Si ils y arrivent, ce sera monumental...
Mais déjà si on en prend moins de 20 ça sera pas si mal !
Posted 09 August 2024 - 07:00 AM
Si ils y arrivent, ce sera monumental...
Mais déjà si on en prend moins de 20 ça sera pas si mal !
Posted 09 August 2024 - 07:02 AM
Si ils y arrivent, ce sera monumental...
Mais déjà si on en prend moins de 20 ça sera pas si mal !
Vues les branlées que les spécialistes annonçaient contre le Canada et les Allemands, gardons nous de toute prévision...
Posted 09 August 2024 - 08:06 AM
Bravo à l'EDF pour sa qualif en finale des JO !
Contre les Américains, ça ne sera pas simple, mais bon ce sont les Américains...
Je l'ai dit et le répète, le basket ça me gonfle ; j'aime bien ce sport, mais en fin de match, on a 30 secondes de jeu effectif pour 3 minutes écoulées, c'est interminable entre les fautes, les lancers francs, les temps morts.
Posted 09 August 2024 - 10:25 AM
Bravo à l'EDF pour sa qualif en finale des JO !
Contre les Américains, ça ne sera pas simple, mais bon ce sont les Américains...
Je l'ai dit et le répète, le basket ça me gonfle ; j'aime bien ce sport, mais en fin de match, on a 30 secondes de jeu effectif pour 3 minutes écoulées, c'est interminable entre les fautes, les lancers francs, les temps morts.
Ouais mais ça manque de pom pom girl pendant les TM, là tu trouves le temps bien moins long
Posted 09 August 2024 - 10:40 AM
Bravo à l'EDF pour sa qualif en finale des JO !
Contre les Américains, ça ne sera pas simple, mais bon ce sont les Américains...
Je l'ai dit et le répète, le basket ça me gonfle ; j'aime bien ce sport, mais en fin de match, on a 30 secondes de jeu effectif pour 3 minutes écoulées, c'est interminable entre les fautes, les lancers francs, les temps morts.
çà peut être encore pire que çà, genre 30 sec et 10 min.
Hier on a eu que deux fautes selon mes souvenirs pour arrêter le temps.
Certains matchs, il peut y en avoir 5 ou 6
Posted 09 August 2024 - 10:58 AM
Non mais oui, la c'était juste une blague parceque ça restera (sur ce sujet) pour moi l'aspect le plus marquant de ces JOs: on voit une prepa et des matchs de groupe vraiment pas aboutis, avec une absence totale de cohésion et de plan de jeu (ce qui est logiquement mis sur le dos de Collet et son staff). Et d'un coup, pim le Canada, puis l'Allemagne, et même si c'est médaille d'argent c'est un tournoi réussi.
Pas certain surtout qu'on soit capable de marquer autant, les serbes en attaque c'était vraiment fort
hélas, c'est la raison pour laquelle les Bleus ne peuvent pas (fort probablement) remporter ce match. C'est vraiment, vraiment dommage pour le coup.
- Adresse à 3 points: Contre les Allemands, les Bleus 6-27 à trois points, contre les Canadiens: 9-28.
- Adresse au tir: l'attaque des Bleus reste très aléatoire et les % sont forcément très moyens: 44% contre ALL et 41,7% contre CAN.
- MAIS très bonne défense des Bleus: ALL = 40% et CAN = 38% aux tirs. Les Bleus les ont étouffé et frustré.
- MAIS: les USA c'est un tout autre calibre que ALL ou CAN: contre les Serbes ils tirent ... 57%. Créer de l'attaque pour eux, c'est rien. JAMAIS ils ne vont partir sur des périodes de disette comme les Allemands l'ont fait, ou comme les Bleus le font à tous les matchs.
Malgré contre l'ALL un Wemby cata, malgré une maladresse effrayante à 3 pts, malgré une incapacité à pleinement exploiter le muscle et la taille à l'intérieur... les Français battent le champion du monde en titre (ALL). Donc le potentiel est très haut. Malgré tout ça, les Bleus passent en finale. Mais pour battre les USA, il faut pouvoir défendre très très bien ET pouvoir générer de l'attaque très très bien. Les Bleus ne sont pas cette équipe en place en attaque. Ca ne devrait pas passer contre les USA.
Posted 09 August 2024 - 12:35 PM
Posted 09 August 2024 - 18:42 PM
Bravo Fefe qui arrache le bronze en petite finale du ping pong par équipe
Oups mauvais topic
Fefe ?.... Covfefe ?
Posted 10 August 2024 - 07:03 AM
Posted 10 August 2024 - 10:26 AM
Peut-on gagner une demi-finale olympique en rentrant à peine un tir sur trois ? Sur ces JO, lors des trois premières demi-finales, ça ne s'était pas vérifié. Et puis l'équipe de France s'est pointée sur le parquet de l'Arena Bercy, vendredi soir. Elle a beaucoup raté (30 %), mais elle est quand même passée, face à une équipe de Belgique plus adroite (44 %). Par quel miracle ? En fait, il s'agit d'efforts. Pour faire simple : les rebonds offensifs (19) et les interceptions (14) ont permis aux Bleues d'avoir plus de shoots que leurs adversaires (77 tentatives contre 52). Et donc d'échouer davantage, sans que ça ne porte un énorme préjudice.
Ce nombre élevé de rebonds offensifs n'était pas, jusque-là, une habitude de l'équipe de Jean-Aimé Toupane. En revanche, les interceptions sont une de ses caractéristiques claires sur ce tournoi olympique, avec une moyenne de douze par match. « L'enjeu, c'est de défendre haut, sur les lignes de passes, de courir », disait le sélectionneur tricolore après la victoire en quarts de finale contre l'Allemagne, déjà ponctuée de quatorze ballons volés. Cette stratégie est liée aux qualités du groupe, avec des joueuses énergiques, agressives, et qui ont, pour certaines, un avantage de taille par rapport à leurs adversaires. C'est le cas de l'arrière Leïla Lacan (1, 83 m), qui a réussi trois interceptions en demi-finales, dont l'une sur une passe de la meneuse Elise Ramette (1,77 m).
Pour étouffer ainsi l'attaque adverse, une grosse dose d'énergie est nécessaire, raison pour laquelle Toupane effectue depuis le début des JO des changements réguliers (même si ç'a été moins le cas face à la Belgique). Une action du début de la prolongation, capitale parce qu'elle a offert un petit matelas de + 5 d'entrée, symbolise l'implication physique et mentale des Bleues en défense.
Il y a parfois eu des relâchements. La Belgique a collé un 28-2 cinglant à cheval sur les deuxième et troisième quart-temps parce que les Bleues ont été moins pressantes et présentes sur les lignes de passe. Mais elles se sont reprises, interceptant notamment quatre ballons dans les cinq dernières minutes de troisième quart-temps. Dont celui-ci, mélange de flair et de générosité de Marine Fauthoux.
Autre habitude des Françaises qui ressemble à une consigne du staff : passer devant sa vis-à-vis quand celle-ci se met dos au panier pour recevoir le ballon. Les Bleues ont stoppé deux attaques belges de cette manière en fin de match.
Dimanche, en finale, cette envie de couper les possessions adverses pourrait être une arme majeure pour contenir le pouvoir offensif des Américaines. Avec un peu plus d'adresse de l'autre côté du terrain, ça serait quand même mieux.
Posted 10 August 2024 - 10:44 AM
« Il a changé leur équipe », juge le sélectionneur américain Steve Kerr, comme pour avertir le joueur de la Virtus Bologne qu'il sera surveillé en finale. Un sacré traitement de faveur pour le 44e choix de la draft 2016, jamais appelé aux Etats-Unis et dont Brooklyn a renoncé en 2021. Mais au buzzer de France-Allemagne, cette histoire inachevée était si loin de Cordinier (1,97m, 27 ans, 39 sélections), déjà étincelant en quarts contre le Canada (20 points, record en sélection). Bondissant, ému, ambitieux - « On peut regarder tout le monde dans les yeux » - le natif de Créteil tient le graal familial avec sa médaille olympique, d'or ou d'argent.
« Avec mon père, on avait un pacte : la 4e place était interdite. Il fallait une médaille chez les Cordinier », raconte le numéro 8 des Bleus, celui que portait Stéphane Cordinier en équipe de France de handball. L'ancien ailier gauche (72 sélections) était à Bercy jeudi soir avec son maillot des Jeux Olympiques 1996 d'Atlanta, achevés au pied du podium avec les « Barjots ». « J'avais conservé quelques guenilles et Isaïa a choisi ce numéro pour me faire un clin d'oeil, sourit le médaillé de bronze mondial 1997, joint vendredi matin. C'est une fierté énorme : j'avais mis 20 ans à digérer ma 4e place, je ne voulais pas qu'il finisse pareil ! » Prévenant, il avait pris depuis des mois quatre places pour la petite finale (11 heures) pour donner de la voix et éviter cette médaille en chocolat. Les sésames sont en vente, remplacés par quatre tickets d'or pour la grande finale.
« C'est unique. Je ne sais pas si on s'en rend compte : jouer les JO chez nous, devant nos familles et nos fans, on ne revivra jamais ça de notre vie. C'est une raison de plus pour tout arracher », clame Isaïa Cordinier. De Villeneuve-d'Ascq à Paris, l'ancien joueur de Nanterre vit à plein régime l'expérience olympique effleurée en 2021. Vincent Collet l'avait amené à Tokyo comme 13e homme pour prévenir un forfait sur blessure ou lié au Covid. Cordinier était même entré dans le village olympique, où son ami handballeur Nedim Remili, médaillé d'or au Japon, lui avait fait ce serment : rendez-vous à Paris.
« Je me suis mis deux secondes à sa place : faire le voyage au Japon, aller au village et repartir juste après... Je ne sais pas si j'en aurais été capable », avoue son père. Le fils jure ne pas en avoir souffert : « Mentalement, j'étais prêt à revenir. Il n'y a pas eu de déception. J'étais le premier supporter et notamment de Timothé (Luwawu-Cabarrot), un de mes meilleurs amis ». Des mots prononcés pour L'Equipe pendant la préparation à l'Euro 2022 dont il fut... le dernier joueur coupé ! « Il avait fermé sa gueule, il avait continué de bosser et il était revenu. Là, je ne l'ai jamais vu comme ça », salue Evan Fournier. « Il est comme possédé », confirme Vincent Collet, ravi d'avoir relancé Cordinier dans le cinq après la révolte lancée par l'arrière contre l'Allemagne en phase de groupes (71-85).
Cet été, pour la première fois de sa carrière, Cordinier faisait enfin partie de la liste finale, un an après sa participation au Mondial 2023 due au forfait de Frank Ntilikina à mi-chemin de la préparation. Sur le sol français, le voilà enfin avec un rôle « au-delà de défenseur d'élite » : montée de balle, tirs à trois points et même un peu de création. « Je n'ai jamais douté, assure son père. Il est passé par la petite fenêtre et il a saisi son opportunité au bon moment et au bon endroit. Il a gagné le respect de tous. »
Un mental forgé avec l'aide de l'ancien sportif pro qui a laissé son fils choisir sa voie. « Il a fait un an de handball à 6-7 ans et je pense qu'il aurait été bon. Puis il a voulu faire du foot, il a fait un test à Nice. On lui avait ramené de Turquie le maillot d'Hakan Sükür (ancien attaquant) et il est arrivé avec ses chaussures de basket, pas des crampons. Les autres l'ont regardé de la tête aux pieds, mais il ne s'est pas démonté, il courait partout. Je lui ai dit 'Oublie le foot, on va trouver autre chose' et il n'a pas insisté », raconte Stéphane Cordinier.
Le futur arrière des Bleus se tourne vers le basket, entre en pôle régional en Martinique, où la famille s'était installée, et y croise Mathias Lessort, futur coéquipier de l'aventure olympique. De retour en France métropolitaine, il continue sa progression avec Antibes après avoir enfin dominé son père, premier adversaire sur des un-contre-un. « Je ne l'ai jamais laissé gagner. Je voulais qu'il comprenne ce qu'il fallait comme ingrédients pour une victoire. Et en tant que handballeur, s'il n'y a pas de physique, ce n'est pas drôle, donc il râlait et il pleurait en disant que je faisais des fautes... Ce qui était vrai. Ca a duré jusqu'à ses 14 ans et un jour il m'en a mis une bonne : 11-2 et 11-3 », rigole l'ancien ailier gauche.
Parti d'Antibes pour Denain, d'où il sera drafté, Cordinier voit sa carrière menacée à 18 ans. La faute à des genoux en souffrance qui plombent ses qualités athlétiques. « Avant la draft NBA, il était déjà sous anti-inflammatoires avec de grosses douleurs aux tendons rotuliens. On courait à la catastrophe et on a décidé de passer ensemble par une année blanche pour qu'il se fasse opérer (2017-2018) », se souvient son père. Les Allemands et les Canadiens, essorés, peuvent témoigner du succès de l'opération, récompensée six ans après par une médaille olympique.
Posted 10 August 2024 - 17:13 PM
Posted 10 August 2024 - 22:19 PM
3 choses:
Pas en place offensivement. Collet a su mettre la défense dans cette équipe FOR SURE, mais pas l'attaque.
LF
Steph Curry.
Posted 10 August 2024 - 22:25 PM
3 choses:
Pas en place offensivement. Collet a su mettre la défense dans cette équipe FOR SURE, mais pas l'attaque.
LF
Steph Curry.
Je dirais meme: KD, puis Steph au relais. Tout le debut de match, les francais sont tres chaud, certains joueurs US s'eparpillent un peu, et au milieu t'as KD qui enquille, tranquillement.
Posted 10 August 2024 - 22:35 PM
3 choses:
Pas en place offensivement. Collet a su mettre la défense dans cette équipe FOR SURE, mais pas l'attaque.
LF
Steph Curry.
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