ya un des frères Senio qui mange à la même cantine que moi.
C'est ce bon vieux Kévin ! Il semble qu'il se soit un peu laissé aller ...
Posted 06 February 2017 - 11:33 AM
ya un des frères Senio qui mange à la même cantine que moi.
Posted 06 February 2017 - 13:49 PM
Posted 06 February 2017 - 13:58 PM
Ils vont au restau et ne bougent que de la flotte...
Ils sont malins, hop on change les verres juste avant la photo, bande de poivrots qui n'assument pas.
Ça fait plaisir de revoir Tony avec les frères Senio et Gavin Williams.
Me semblait avoir mis un truc dans le genre qui a disparu,
En fait non, la photo est dans plusieurs sujets
Posted 10 February 2017 - 23:36 PM
Quand on revoit Rougerie portant Marsh sur ses épaules pour sa der on se dit que quelque chose s'est transmis de Marsh à Rougerie, puis de Rougerie à Fofana, qui sait de Fofana et Rougerie à Penaud bientôt...
Posted 11 February 2017 - 04:17 AM
y sont tous en tongues !!!
Seul Sénio sait localiser Castres sur une carte. Voilà le pourquoi du voyage là bas pour joindre Grosso.
Posted 13 May 2017 - 14:01 PM
Des nouvelles: http://sport24.lefig...time=1494623368
Son avis sur la finale:
Un dernier mot sur Clermont, qui dispute ce samedi la finale de la Champions Cup. Cette fois, c'est la bonne?
Il faut toujours croire que la prochaine sera la bonne. Et arrêter de penser à l'histoire de l'ASM, à toutes ces finales perdues. C'est une finale, c'est 80 minutes. Il ne faut pas se poser des questions, pas rentrer là-dedans avant une finale. Les joueurs doivent arrêter avec cette histoire de malédiction. Bien sûr, ça va être très compliqué vu l'adversaire. Mais Clermont est du même niveau que les Saracens.
Posted 02 October 2017 - 16:34 PM
http://www.legendesd...age/tony-marsh/
Le chouchou !!!
Tony Marsh nous dit tout sur ses nouveaux projets et son après carrière
https://www.bpronz.com/accueil
Réaliser en septembre 2017
Interview : Jérôme Gallo pour www.legendesdusport.com
Posted 02 October 2017 - 16:36 PM
http://www.legendesd...age/tony-marsh/
Le chouchou !!!
Tony Marsh nous dit tout sur ses nouveaux projets et son après carrière
https://www.bpronz.com/accueilRéaliser en septembre 2017
Interview : Jérôme Gallo pour www.legendesdusport.com
top !!!!
Milles mercis !!!
Le plus grand !!!
Posted 02 October 2017 - 17:48 PM
http://www.legendesd...age/tony-marsh/
Le chouchou !!!
Tony Marsh nous dit tout sur ses nouveaux projets et son après carrière
https://www.bpronz.com/accueilRéaliser en septembre 2017
Interview : Jérôme Gallo pour www.legendesdusport.com
Posted 02 October 2017 - 18:45 PM
Sujet existant sur la même page du forum... Merci pour le doublon.
Posted 02 October 2017 - 22:18 PM
Sujet existant sur la même page du forum... Merci pour le doublon.
pas vu, si tu veux transférer
Posted 14 November 2017 - 18:16 PM
Faudra les prendre assez jeunes.
Posted 21 June 2018 - 21:29 PM
Il n'y a guère que la couleur sel dans ses cheveux pour donner une idée de son âge. Tony Marsh a quarante-cinq ans aujourd'hui et le physique d'un athlète en compète. Depuis l'arrêt de sa carrière en 2007, il a quand même laissé quelques kilos de côté. Plus commode quand on devient «personal trainer» et qu'on choisit l'Iron Man comme loisir une fois rangés les crampons. L'ex-trois-quarts centre de l'équipe de France (21 sélections entre 2001 et 2004) est rentré en Nouvelle-Zélande depuis déjà plusieurs années. Il a posé ses valises dans le quartier de Ponsonby, à Auckland, garde ses souvenirs précieusement dans une malle, mais l'ouvre rarement. «Quand on rentre chez moi, il n'y a rien qui vous indique que j'ai été rugbyman», s'amuse-t-il.
Alors il faut l'inviter à s'y replonger. Ce qu'il fait volontiers, un peu timide au départ, sans aucune nostalgie, seulement beaucoup de reconnaissance : «Je me souviens que quand j'arrive en équipe de France en 2001, on gagne huit matches d'affilée (tournée de novembre et Grand Chelem 2002). La vie était belle.» L'ancien Clermontois, demi-finaliste du Mondial en 2003, est forcément triste de voir l'état actuel de l'équipe de France. Il continue de la défendre sur les plateaux télé et veut croire en un avenir meilleur même s'il est très conscient des limites du système français. Il l'a vécu au premier rang.
«Putain mais je suis français ou quoi ?»
Évidemment, pendant le séjour, il est passé voir les Bleus, Bernard Laporte, la première semaine, et Jacques Brunel, qui ont fait de lui un international tricolore. «Je me souviens de mon arrivée au château Ricard (là ou les Bleus se retrouvaient, à Clairefontaine) pour la première fois, glisse-t-il avec un grand sourire. Je remplace "Garba" (Xavier Garbajosa), j'arrive le mercredi matin à château Ricard ! Je vois les mecs, je monte dans ma chambre, et là, il y avait les affaires de l'équipe de France et un t-shirt avec un coq énorme. Je le regarde et je me dis : "Putain, mais qu'est-ce que c'est ! ? Je ne suis pas français. Je ne suis pas un Néo-Z (sic) non plus. Mais qu'est-ce que je suis ? T'es obligé de te poser ces questions : est-ce que je mérite ce maillot ? Est-ce que je peux donner le meilleur de moi-même ? Et si je joue les All Blacks ? Ce moment m'a marqué !»
Et sa culture d'adoption l'a marqué comme les tatouages si chers à celle qui l'a vu naître. «Quand je pense à mes onze années en France, ça me fait ressentir beaucoup de choses. Plus le temps passe, plus je me rends compte à quel point la France fait partie de moi. C'est fou ! En fin de carrière, je ne comprenais pas ça. C'était trop frais ou je ne sais pas... Mais, en rentrant, je me suis dit : putain mais je suis français ou quoi ? En tout cas, ce que j'y ai vécu a fait l'homme que je suis aujourd'hui.»
«Bien sûr que je chante la Marseillaise. Et à chaque fois !»
Un Kiwi qui s'indigne quand un Français commande un «flat white» dans un café, qui chante l'hymne tricolore avant les matches du quinze de France, même au bout du monde. De son monde. «Bien sûr que je chante la Marseillaise. Et à chaque fois !»
Viscéralement attaché aux deux pays, il tente aujourd'hui d'établir une passerelle entre ses deux rugbys. Il a lancé Rugby Pro NZ pour faire venir des joueurs et entraîneurs français en Nouvelle-Zélande pour des stages et des formations. «Aujourd'hui, je travaille avec les Crusaders et l'académie d'Auckland. Ce sont des académies qui reçoivent des joueurs du monde entier. On peut recevoir des jeunes de tous les niveaux, des femmes à XV ou à 7. Ils rentrent dans un cadre très structuré où ils s'entraînent comme des pros. Le week-end, ils intègrent une équipe pour faire des matches. Cela peut être pour deux à quatre semaines. Ils jouent aussi avec un club le week-end. J'ai deux gars en ce moment : un de Montpellier et un de Wallis-et-Futuna. Quatre autres arrivent en juillet, et le fils de Fabien Galthié fin juillet. Un groupe de Tahiti aussi. Ça commence tout doucement, ça va prendre du temps, mais, petit à petit, j'espère pouvoir faire ces échanges dans les deux sens. Créer des liens pour les clubs. »
La distance pourrait être un frein, mais le patron voit ça autrement : «Je sais que c'est un point faible. Les mecs ne peuvent venir au mieux qu'une fois dans l'année, mais combien de fois dans une vie tu vas venir au pays du rugby ? J'ai envie que les mecs connaissent une expérience extraordinaire, riche, inoubliable. Vivre cette culture, cette mentalité néo-zélandaises.» Et en repartir changés à jamais. Eux aussi.
Posted 22 June 2018 - 10:10 AM
J'aime ce joueur/homme.
Voilà un nom qui ne sera pas sur le piédestal de la statue et qui pourtant n'usurperait pas sa place (comme d'autres aussi).
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