Fais gaffe qu ils viennent pas te chercher pour le STO, il y aura toujours un buron en zone libre pour te planquer
J'avais bien des idées de banderoles en allemand...
Posté 11 janvier 2019 - 18:04
Fais gaffe qu ils viennent pas te chercher pour le STO, il y aura toujours un buron en zone libre pour te planquer
J'avais bien des idées de banderoles en allemand...
Posté 11 janvier 2019 - 18:11
Djibril Camara (Stade français) : "Je ne quitterai pas Paris cette saison"
Par Arnaud Beurdeley via Midi Olympique
Il y a 4 heures
TRANFERTS - Malgré un temps de jeu réduit et des problèmes relationnels avec le staff parisien, l'arrière international Djibril Camara affirme qu'il ne quittera pas le Stade français cette saison.
Depuis plusieurs semaines, des rumeurs affirment que l'arrière international du Stade français Djibril Camara pourrait quitter le club de la capitale avant la fin de saison en raison notamment de problèmes relationnels avec Heyneke Meyer. Comme d'autres joueurs "historiques", Camara souffre aussi de la concurrence et d'un temps de jeu réduit (seulement trois titularisations en Top 14 et une en Challenge Cup cette saison).
Toutefois, joint ce vendredi au téléphone, il affirme : "Quoi qu'il arrive, je ne quitterai pas le Stade français cette saison". Celui qui est arrivé chez les Soldats roses en cadets n'a pas souhaité en dire davantage sur son avenir. Simplement a-t-il ajouté : "Je vais tout faire pour retrouver très vite une place de titulaire."
Évidemment, force est tout de même de s'interroger sur ce qu'il se passera à l'issue de la présente saison. En juin prochain, il restera donc à Camara encore trois années de contrat. Le manager sud-africain Heyneke Meyer souhaite-t-il le conserver ? Si la réponse devait être négative, les dirigeants parisiens le laisseront-il partir sans réclamer d'indemnité ? Autant de questions qui, selon nos informations, n'ont pas encore été tranchées.
Posté 11 janvier 2019 - 18:14
J'avais bien des idées de banderoles en allemand...
Même en gestation, ce projet ne manque pas de faire réagir , d'ici que ta réputation de dessinateur émérite ait déjà franchi le Rhin, il n'y a qu'un pas:
Posté 11 janvier 2019 - 18:34
Bon. Je voyais une banderole "Wo ist die Freunschaft ?" mais non, on m'a dit !
Sinon, maintenant que nous sommes "Der Ratzing Klub Toür Eiffel" (prononcez Heil Fell) et que vous pouvez nous chambrer à juste titre, on peut trouver un emoticon casque à pointe ? Ca pimenterait mes posts.
A mon premier match au SF, il y a bien longtemps, un ami m'a dit : "viens je vais te présenter les joueurs" et on est partis boire des coups avec Auradou et Mike James, je sais même plus où. Non qu'il picolassent, mais moi oui à l'époque.
J'ai pris le train avec les garçons, je logeais dans le même hôtel quitte à craquer des plans d'épargne logement. Aujourd'hui, tout ce que je porte au dessus de la ceinture m'a été donné par le club : blazer, parka, ticheurte, polo manches longues (jour de match oblige). Nan la casquette je l'ai payée. Trop cher.
En tant que supporter groupie j'entretiens une relation distante avec les joueurs, amicale et presque proche : Jules, que j'encourage par messenger quand le moral a pris un coup, Julien, le très regretté Gonzalo, l'incroyable Paulo Gabrillagues, notre titi parisien de deux mètres.
Maintenant quoi ? On va me forcer à payer pour des signatures dont j'ai rien à foutre et des photos que je peux avoir ailleurs.
Je sais déjà que les réponses aux journalistes sont formatées par la dir com, qui a la main sur les entraînements ouverts au public avant le sportif...
Vous n'avez pas idée des histoires d'amitiés qui sont nées dans ce club, maintenant il faudra aller aux putes pour ça.
Si j'admire le rugby, moi qui suis un gros plein de soupe et un couard sur le plan physique, c'est à cause de l'échange, de Max qui venait nous faire des compliments quand on chantait fort, du gâteau d'anniv de mon Virage porté par les joueurs. Maintenant, je redoute ce qui nous attend.
ACH, HAND-PETER, WAS HAST DU GEMACHT !!! :crying; (bon ça vient cet emoticon)
Posté 11 janvier 2019 - 19:46
Le ménage au SF... la suite...
http://sport24.lefig...ommencer-940273
"Dans leur désir de se soustraire à l’encombrante ADN du Stade Français, Wild et Meyer envisagent de mettre fin au contrat de Pascal Papé à la tête du centre de formation. Un autre historique, au club depuis 2007. Ils ont même déjà un nom pour lui succéder : le Sud-Africain Kobus Potgieter, compatriote de Meyer et homme de confiance du Dr Wild depuis 2008."
"Pour éviter que la révolte ne gronde de trop dans les rangs des Soldats roses, le ménage va être également fait dans l’effectif. Des joueurs historiques - Jules Plisson (direction Lyon ou Clermont), Alexandre Flanquart (pour s’être plaint de son son sort dans les colonnes de L’Équipe) et Sergio Parisse - ne seront pas retenus en fin de saison. Pour Djibril Camara, «coupable» d’une violente altercation avec Heyneke Meyer, le départ pourrait être effectif dans les prochaines semaines si un autre club formulait une offre. L’ailier affirme qu’il la refusera. Il ne retrouvera pas pour autant une place sur le terrain. Preuve supplémentaire d’une ferme reprise en main."
Posté 11 janvier 2019 - 20:11
Parisse, Flanquart, Plisson et Camara, ce sont les 4 des 6 plus anciens du SF avec Arias et Burban.
Posté 11 janvier 2019 - 20:24
Bon, méthode on ne peut plus gerbante, quand même. Prenons seulement les cas de Parisse, que je ne porte pas forcément dans mon coeur rugbystique, le mec aura consacré quasi toute sa vie professionnelle de rugbyman au club, pour finalement se faire reconduire sans plus d'égard que le visiteur lambda! Là pour le coup c'est vraiment pas du tout rouby, ça !
Posté 11 janvier 2019 - 21:54
Bon, méthode on ne peut plus gerbante, quand même. Prenons seulement les cas de Parisse, que je ne porte pas forcément dans mon coeur rugbystique, le mec aura consacré quasi toute sa vie professionnelle de rugbyman au club, pour finalement se faire reconduire sans plus d'égard que le visiteur lambda! Là pour le coup c'est vraiment pas du tout rouby, ça !
Posté 11 janvier 2019 - 21:55
Accessoirement si tu veux des habits du SF j en ai quelques un en rab, encore emballés d ailleursBon. Je voyais une banderole "Wo ist die Freunschaft ?" mais non, on m'a dit !
Sinon, maintenant que nous sommes "Der Ratzing Klub Toür Eiffel" (prononcez Heil Fell) et que vous pouvez nous chambrer à juste titre, on peut trouver un emoticon casque à pointe ? Ca pimenterait mes posts.
A mon premier match au SF, il y a bien longtemps, un ami m'a dit : "viens je vais te présenter les joueurs" et on est partis boire des coups avec Auradou et Mike James, je sais même plus où. Non qu'il picolassent, mais moi oui à l'époque.
J'ai pris le train avec les garçons, je logeais dans le même hôtel quitte à craquer des plans d'épargne logement. Aujourd'hui, tout ce que je porte au dessus de la ceinture m'a été donné par le club : blazer, parka, ticheurte, polo manches longues (jour de match oblige). Nan la casquette je l'ai payée. Trop cher.
En tant que supporter groupie j'entretiens une relation distante avec les joueurs, amicale et presque proche : Jules, que j'encourage par messenger quand le moral a pris un coup, Julien, le très regretté Gonzalo, l'incroyable Paulo Gabrillagues, notre titi parisien de deux mètres.
Maintenant quoi ? On va me forcer à payer pour des signatures dont j'ai rien à foutre et des photos que je peux avoir ailleurs.
Je sais déjà que les réponses aux journalistes sont formatées par la dir com, qui a la main sur les entraînements ouverts au public avant le sportif...
Vous n'avez pas idée des histoires d'amitiés qui sont nées dans ce club, maintenant il faudra aller aux putes pour ça.
Si j'admire le rugby, moi qui suis un gros plein de soupe et un couard sur le plan physique, c'est à cause de l'échange, de Max qui venait nous faire des compliments quand on chantait fort, du gâteau d'anniv de mon Virage porté par les joueurs. Maintenant, je redoute ce qui nous attend.
ACH, HAND-PETER, WAS HAST DU GEMACHT !!! :crying; (bon ça vient cet emoticon)
Posté 11 janvier 2019 - 23:15
Lors de sa présentation à la presse en avril 2018 comme directeur sportif pour la saison suivante, Heyneke Meyer, qui avait été choisi par le nouveau propriétaire Hans-Peter Wild en personne, l'avait joué gentleman alors qu'il avait clairement hérité des pleins pouvoirs au sein du club parisien : « Je suis humble par nature, je suis ici pour servir et je suis reconnaissant de pouvoir travailler au Stade Français, à Paris. » Mais dans la petite salle de conférence du Stade Jean-Bouin, on sentait déjà un malaise. Olivier Azam et Julien Dupuy, le duo d'entraîneurs en place, ne souhaitaient pas être présents pour l'intronisation du nouveau boss du sportif. Ils y avaient néanmoins été fortement invités, pour ne pas dire contraints, par leur direction alors que leur sort respectif semblait déjà entendu. À la question : « Allez-vous garder le staff en place ? », Heyneke Meyer avait botté en touche.
Un mois plus tard, Olivier Azam quittait le club et était remplacé par Pieter De Villiers comme entraîneur des avants. Le retour du pilier d'origine sud-africaine, dix ans après son départ du club, était un pare-feu idéal. Idole de Jean-Bouin, le Tricolore (69 sélections) jouait les cautions de Meyer. Julien Dupuy était, lui, conservé, mais déclassé comme entraîneur des « skills ». Mike Prendergast était choisi comme entraîneur des arrières. Placardisé en début de préparation, l'ancien demi de mêlée, au club depuis près de dix ans, avait finalement repris un peu de galon lors du lancement de la saison. « Dupuy a mis les choses au clair avec Meyer, et ce dernier s'est rendu compte qu'il avait besoin de lui », nous avait glissé une source interne au club début septembre.
Un staff divisé en deux clansDupuy était notamment à l'origine des signatures de Delbouis, Arrate, Hamdaoui ou encore Etien, de jeunes joueurs français très prometteurs. Mais finalement, l'ex international (8 sélections), unique non anglo-saxon du staff, ne s'est jamais vraiment intégré et sa proximité avec une grande majorité du vestiaire lui a été fatale. Heyneke Meyer a finalement eu besoin de six mois pour arriver à ses fins et écarter Dupuy.
« Si j'avais voulu coacher des Sud-Africains, je serais resté là-bas »
Le côté communicant et séducteur affiché de Meyer lors de ses premiers pas dans la capitale est loin. Pourtant, lors d'un déjeuner informel organisé dans le cadre bucolique de la Faisanderie au coeur du Parc de Saint-Cloud, Heyneke Meyer avait réitéré sa volonté de ne pas faire du Jake White. Référence à l'ex entraîneur sud-africain de Montpellier qui s'était attiré les foudres du milieu en recrutant du Springbok à tout va et en proposant un jeu très physique. « Si j'avais voulu coacher des Sud-Africains, je serais resté là-bas, souriait Meyer en conférence de presse. Je veux garder la tradition et la culture du club. Je vais m'adapter aux joueurs, à la tradition rugbystique, à la culture française, c'est la raison pour laquelle je vais apprendre le français le plus vite possible. Après, on cherche toujours à recruter les meilleurs joueurs au monde. Mais il y a des limites. Entre un joueur français et un joueur étranger, je choisirai toujours un Français. On veut d'ailleurs attirer les meilleurs joueurs français. »
Si les internationaux Gaël Fickou et Yoann Maestri ont été recrutés à l'intersaison, trois Sud-Africains (Hanro Liebenberg, Hendre Stassen et André Warner) ont débarqué début novembre pour une pige de quelques mois. Robert Mohr, relégué au poste de Directeur du développement sportif, mais toujours porteur du projet du Docteur Wild, avait émis des réserves en interne. Pas du goût de Meyer. Mohr a vite été catalogué comme celui qui mettait souvent (trop ?) en garde Wild, dont il est à l'origine de la venue dans le rugby et qui avait sa totale confiance, sur les dossiers sensibles (comme le Salary Cap). Sa mise à l'écart illustre le poids pris par Meyer auprès du propriétaire milliardaire.
Des joueurs au bord de la ruptureLa guéguerre en interne a vite opposé le clan Patricot (président), Grobon (DG) et Meyer au clan Mohr, Dupuy et Papé (le directeur du centre de formation). En écartant Mohr et Dupuy, Fabien Grobon a lui aussi repris du crédit alors qu'il était contesté par une partie des joueurs. C'est d'ailleurs ce dernier qui travaille au recrutement d'un nouveau technicien, lequel sera recruté dans un rôle transversal pour épauler Meyer. Comme évoqué sur notre site la semaine passée, Fabrice Landreau est une piste, mais rien n'est signé.
D'autant que la crise en interne pourrait être plus profonde. Selon nos informations, Mike Prendergast s'interrogerait sur son avenir. Le technicien irlandais, adepte d'un jeu léché, ne goûterait guère le rugby proposé par son supérieur depuis le début de saison. Un départ à la prochaine intersaison n'est pas à exclure. Là encore, il s'agit d'une histoire de clan entre les Sud-Africains (Meyer, De Villiers, Mc Farland) et les Irlandais (Prendergast et O'Connell).
Ce jeu prioritairement basé sur le contre, qui paie pour le moment d'un point de vue purement sportif (le Stade Français est 4e du Top 14), n'enchante pas vraiment une grande partie de l'effectif. Mais c'est surtout le management de Meyer qui fait grincer des dents. L'ancien sélectionneur des Boks n'opère quasiment pas de rotation dans son effectif, alignant régulièrement le même XV de départ. Certains joueurs se retrouvent ainsi avec un temps de jeu ultra-limité. Alexandre Flanquart s'en est plaint ouvertement dans nos colonnes. D'autres enfants du club sont frustrés par leur sort personnel comme Jules Plisson, qui envisage un départ en fin de saison (Lyon ou Clermont) malgré un contrat qui court jusqu'en 2021. De même, Djibril Camara n'est plus en odeur de sainteté. Le courant ne passe pas du tout avec Meyer et un licenciement était même à l'ordre du jour courant septembre. Selon nos informations, Meyer aurait demandé à son agent de proposer certains joueurs, sans les prévenir, dont il ne souhaite plus la présence dans son effectif.
C'est dans cette ambiance moribonde que le Stade Français accueille Pau, ce vendredi soir, en Challenge européen. Le club parisien a quinze jours et un déplacement périlleux à Toulon (dimanche 27 janvier) en Top 14 pour retrouver un peu de sérénité.
Posté 12 janvier 2019 - 08:08
Dupuy était notamment à l'origine des signatures de Delbouis, Arrate, Hamdaoui ou encore Etien, de jeunes joueurs français très prometteurs. Mais finalement, l'ex international (8 sélections), unique non anglo-saxon du staff, ne s'est jamais vraiment intégré et sa proximité avec une grande majorité du vestiaire lui a été fatale.
Donc le mec recrute de super joueurs, mais il se fait virer parce que trop proche du vestiaire ? C'est mal d'avoir une proximité avec les joueurs ?
Selon nos informations, Meyer aurait demandé à son agent de proposer certains joueurs, sans les prévenir, dont il ne souhaite plus la présence dans son effectif.
La grande classe.
Posté 12 janvier 2019 - 08:16
La direction du club aurait été vue au Lidl, dans le rayon brochettes/merguez.
Un barbecue se prépare.
Posté 12 janvier 2019 - 08:32
Autre sujet : Sinzelle était annoncé au SF.
Est-ce que ça ne va pas le refroidir un peu, un peu à l'image du MHR qui a foiré plusieurs recrutement, pourtant en offrant un salaire supérieur, mais dont les joueurs étaient inquiets - à raison - de l'ambiance dans les vestiaires ?
Stade Français Paris : le grand ménage ne fait que commencer
« Pourquoi cette décision alors que le club pointe à une prometteuse 4e place en Top 14 ? La volonté commune et affirmée du Dr Wild et de Heyneke Meyer de remettre de l’ordre dans un club trop habitué à s’affranchir des règles. On se souvient du bouclier de Brennus remporté en autogestion (avec un coup de main officieux de Bernard Laporte) en 2000, des humeurs des joueurs contre John Connolly ou, plus tard, Michael Cheika, deux entraîneurs australiens. Sans oublier, bien sûr, la révolte active contre le projet de fusion avec le Racing 92…
Cette fois, on n’en était pas encore là, mais les germes d’une nouvelle fronde étaient semés. Quelques cadres de l’équipe (Jules Plisson, Djibril Camara, Alexandre Flanquart) mécontents de leurs temps de jeu ; une partie de l’effectif se plaignant de l’intensité de la préparation physique et de l’autoritarisme du très exigeant manager sud-africain ; d’autres (ou les mêmes) affichant leur désaccord avec le projet de jeu ou daubant sur la manière dont le club est désormais géré. Pour un début de cassure dans l’effectif entre les pro (surtout les joueurs étrangers) et les anti-Meyer.
Dans ce contexte brûlant, Robert Mohr et Julien Dupuy ont eu, selon les hommes forts du Stade Français, le tort d’être à l’écoute des récriminations des joueurs, de s’en faire le relais, voire, même, de les attiser. Une erreur de jugement qui leur a coûté leur place. L’esprit rebelle du Stade Français est en effet désormais à l’épreuve de la rigueur germano-sud-africaine. La fin d’une certaine époque « romantique », que regrettent les supporteurs sur les réseaux sociaux. À moins que les répercussions de ces mises à l’écart ne se révèlent délétères sur un effectif déjà séparé en deux camps pour une crise plus profonde. »
Beaucoup plus clair avec ces précisions.
Posté 12 janvier 2019 - 08:54
La direction du club aurait été vue au Lidl, dans le rayon brochettes/merguez.
Un barbecue se prépare.
Wurst et choucroute au BBQ en plein hiver... sont pas comme nous ces gens là !
J'avais bien des idées de banderoles en allemand...
Dessiner des bites en lettres gothiques, c'est difficile, mais quel rendu !!
Posté 12 janvier 2019 - 09:23
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