Champion du Monde
Posté 15 juin 2023 - 13:19
un président qui dit dans la presse :
on est éliminé à cause de machin qui a pris un rouge ;;; ( il le dit à 2 reprises )
on a des joueurs qui coutent chers, oui mais ils ne sont pas assez bons ( ils vont appreciés )
le coup du million , je ne sais pas si perpignan les a ....
il y a ds joueurs qui ne progressent plus ...
il est pas tres social ce mec ... c est peut etre un peu pour ça que ca ne fonctionne pas
Parisien Névrotique
Posté 15 juin 2023 - 15:33
un président qui dit dans la presse :
on est éliminé à cause de machin qui a pris un rouge ;;; ( il le dit à 2 reprises )
on a des joueurs qui coutent chers, oui mais ils ne sont pas assez bons ( ils vont appreciés )
le coup du million , je ne sais pas si perpignan les a ....
il y a ds joueurs qui ne progressent plus ...
il est pas tres social ce mec ... c est peut etre un peu pour ça que ca ne fonctionne pas
Bah, ça fonctionne pas si mal. 4ème, c'est mieux que 11ème. (notre place l'an dernier) surtout quand on est sauvé par le COVID en 2020. 
Champion du Monde
Posté 15 juin 2023 - 22:25
oui enfin depuis qu il est là, ca marche pas terrible terrible ... il a juste sauvé la fusion non ?
je veux bien avoir un brin de sympathoche pour ton club, tant qu il y aura morgan ... mais ce président,je l aimeuuuuu pas 
Champion d'Europe
Posté 26 juin 2023 - 20:28
la grande classe ...pour moi
Gonzalo Quesada, nommé à la tête de l'Italie après la Coupe du monde : « Le bon moment pour devenir sélectionneur » Gonzalo Quesada a choisi « L'Équipe » pour expliquer son choix d'accepter le poste de sélectionneur de l'Italie, qu'il démarrera en janvier 2024. L'Argentin revient également sur son départ du Stade Français.
Gonzalo Quesada est un homme de parole. Le technicien argentin (49 ans) souhaitait attendre que son avenir soit réglé pour s'exprimer. Le 16 juin, la Fédération italienne de rugby a officialisé son choix de le nommer sélectionneur à compter de janvier 2024 et jusqu'à la Coupe du monde 2027.
Dimanche dernier, « Gonza » s'est présenté au siège de L'Équipe souriant et surtout apaisé. Il s'est confié, pendant près d'une heure, sur l'Italie et le Stade Français où son aventure, pour son deuxième passage au club (après 2013-2017), ne s'est pas terminée comme il l'espérait.
« Vous avez été nommé sélectionneur de l'Italie à partir de janvier 2024. Pouvez-vous nous raconter la genèse de ce choix ?
J'ai reçu quelques propositions (Lyon et Montpellier), dont l'Italie. Les premiers contacts remontent à février, mais les réunions concrètes ont commencé après le Tournoi. Le président Marzio Innocenti a été déterminant. J'ai été convaincu par son projet et sa vision. J'ai compris que nous partagions des valeurs et une même idée du rugby. J'ai ressenti énormément de confiance et ses mots m'ont touché. J'ai conscience que l'Italie est la 14e nation mondiale et que la majorité des internationaux jouent dans deux équipes (Trévise et Parme). Le contexte n'est pas l'idéal. Mais il y a une bonne génération. Le challenge est beau. L'Italie est une grande nation de rugby. Être leur sélectionneur est un honneur.
Était-ce le bon moment ?
J'avais envie de revenir dans le rugby international (il a été adjoint de la sélection argentine pendant six mois en 2018). L'Italie, avec cette jeune génération et un peu d'adversité, ou rien n'est gagné d'avance, me fait penser à ce que j'ai vécu en arrivant au Stade en 2013 ou aux Jaguares en 2018. J'aime construire les bases d'un projet d'équipe, mettre en place une vision, une identité, une culture de travail et d'épanouissement, créer un projet de jeu innovant. Accompagner les joueurs dans leur développement individuel et surtout en tant qu'équipe.
« Je souhaite vivre toute l'année en Italie, bosser avec les clubs et m'engager à 200 %. Je suis en phase avec ce jeu d'attaque produit par l'équipe actuellement »
Gonzalo Quesada
Avez-vous déjà commencé à travailler sur le projet ?
Il faut laisser l'actuel sélectionneur Kieran Crowley préparer tranquillement la Coupe du monde (8 septembre - 28 octobre). J'arriverai en janvier 2024 en conservant le staff actuel. Tout ira vite puisque nous recevrons l'Angleterre pour l'ouverture du Tournoi (3 février). J'ai déjà commencé à regarder leurs derniers matches, à préparer quelques bases de travail. J'essaierai de gérer au mieux ce premier Tournoi. Ensuite, j'aurai le temps d'aller plus loin, même si je sais qu'il y aura de fortes attentes et qu'il faudra avoir des résultats rapidement.
Quel objectif vous êtes-vous fixé ?
Commencer par un bon diagnostic. D'abord écouter, pour bien connaître la culture et l'identité du rugby italien et la remettre au coeur du système. Je souhaite vivre toute l'année en Italie, bosser avec les clubs et m'engager à 200 %. Je suis en phase avec ce jeu d'attaque produit par l'équipe actuellement. Certains diront que ce n'est pas ce qu'on a montré cette saison au Stade Français. J'ai mes convictions mais l'important est aussi de s'adapter. Avec les Jaguares, on avait un jeu fait de vitesse et de possession adapté au Super Rugby.
Ma première saison au Stade (lors de son retour, en 2020-2021), on avait un effectif pour produire du jeu. C'est ce qu'on a fait. On finit la phase aller à la quatrième place avec un jeu séduisant. On s'est qualifiés en fin de saison (6e). Cette dernière saison, on s'est adaptés à la réalité du Top 14 et à notre nouvel effectif, avec un jeu basé sur une grosse conquête et une défense solide, ce qui nous a permis d'occuper le top 3 durant deux tiers de la saison. L'Italie est portée vers l'attaque et ça me plaît. Il faudra trouver un équilibre, mieux gérer certaines zones du terrain mais aussi remettre les bases culturelles du rugby italien à jour : la mêlée et la défense. Le tout avec un coeur géant.
« J'ai pris une grosse claque. Sur le moment, j'ai pensé à partir
Gonzalo Quesada, à propos de son départ du Stade Français
Revenons sur votre fin d'aventure au Stade Français. Vous apprenez en octobre 2022 que vous serez remplacé par Laurent Labit (directeur du rugby) et Karim Ghezal (entraîneur principal) en fin de saison, malgré un contrat jusqu'en juin 2024. Comment l'avez-vous vécu ?
J'ai pris une grosse claque. Sur le moment, j'ai pensé à partir. Ma deuxième saison (2021-2022, 11e place en Top 14) n'avait pas été simple. Je garde pour moi ce qui doit rester dans l'intimité du club. Mais disons que le fonctionnement ne m'allait pas. Avant le dernier match de la saison face à Brive (5 juin 2022), comme l'a expliqué le Dr Wild, j'ai proposé d'arrêter. Le lendemain, j'ai eu une longue réunion avec le Dr Wild. Il m'a demandé de rester et il a été décidé que je devienne "directeur sportif". C'était une idée de Thomas (Lombard, directeur général) à la base. J'étais d'accord. Cette réorganisation était évoquée depuis plus d'un an. Nous repartions sur un cycle de deux ans. C'est vrai aussi que j'ai demandé, par loyauté et respect, que les contrats de Julien (Arias, en charge des trois-quarts) et Laurent (Sempéré, en charge des avants) soient alignés avec le mien. Je n'ai pas pris de vacances. On a bossé très dur tout l'été pour se préparer à une grosse saison.
Pourtant, le docteur Wild rencontre une première fois Laurent Labit en juillet 2022...
Ça m'a surpris. Pourquoi refuser ma proposition de partir et me nommer directeur sportif ? Entre juillet et octobre, pendant que le docteur et Thomas rencontraient Laurent Labit à plusieurs reprises, je travaillais en toute confiance avec Thomas et Christophe (Moni, en charge de la cellule recrutement) sur la préparation de la saison suivante, le recrutement, etc. Voilà pourquoi la sensation a été horrible quand cette histoire est sortie dans la presse. Le docteur a parlé d'une opportunité pour le club. Évidemment il fait comme il le veut, il faut le respecter. Mais c'était dur à comprendre. Le Dr Wild doit gérer et prendre des décisions sans être au club 90 % de la saison, en se basant sur ce qu'on lui dit. Ce n'est pas simple. Je me demandais comment j'allais pouvoir continuer dans ces conditions.
« Les leaders ne concevaient pas mon départ. Idem pour le staff. Ils m'ont tous convaincu de rester. J'ai décidé d'avancer, mais évidemment, je n'oublie pas
Gonzalo Quesada
Pourquoi avez-vous été au bout de la saison ?
J'ai réuni les leaders pour leur dire que je pouvais mettre tout ça de côté, que j'aimais ce club, mais que ce serait quand même difficile de continuer. Je n'ai pas un ego énorme, mais j'ai un minimum de respect pour moi. Les leaders ne concevaient pas mon départ. Idem pour le staff. Ils m'ont tous convaincu de rester. J'ai décidé d'avancer mais évidemment je n'oublie pas.
Comment avez-vous tenu jusqu'à la fin de saison ?
J'ai serré les dents chaque jour. Les joueurs ont été énormes, ils n'ont pas lâché, ils ont tenu leurs engagements. Il y a eu des gestes de soutien touchants. Ce n'était évident pour personne. D'un coup, de nombreux joueurs et membres du staff se retrouvaient dans le flou concernant leur avenir. Les coaches ont été très bons aussi cette saison, Paul Gustard (entraîneur de la défense), Kobus Potgieter (manager de la performance) et James Kent (entraîneur spécialiste de la technique individuelle) ont apporté beaucoup à tous les niveaux. Mais "Lolo" (Sempéré) et Julien (Arias), qui, comme moi, savaient que le club ne comptait pas sur eux pour l'avenir, ont été d'un niveau d'engagement et d'une qualité de travail énormes. C'était bien plus dur pour eux. Tous les coaches sont pour beaucoup dans la réussite de cette saison.
Dans quel état d'esprit partez-vous ?
En paix et satisfait. Malgré le contexte, le Stade Français en 2023 est meilleur que celui en 2020. Le club a progressé. Sur la culture de travail, le professionnalisme, l'organisation, l'effectif, les infrastructures, le boulot a été fait. Après ces trois saisons, le club est plus orienté vers la performance. Il manque juste un terrain d'entraînement pour l'équipe professionnelle. On n'a pas pu s'entraîner à Jean-Bouin plusieurs semaines où le FC Versailles ou l'équipe féminine du PSG y jouaient. Idem les semaines de séminaires ou les matches entre youtubers, ni pendant les fashion week. Pour le terrain du stade Dominici, les moins de 18 ans s'y entraînent et y jouent, les Espoirs et les Féminines aussi. Ça sera mieux au Camp de Loges. Concernant le staff, je constate que Paul (Gustard) a été un bon choix alors qu'au club on évoquait des doutes sur l'incorporation d'un entraîneur anglo-saxon. Laurent (Labit) et Karim (Ghezal), deux excellents entraîneurs et amis, pourront continuer à construire sur des bonnes bases.
Est-ce que vos relations, qui s'étaient rafraîchies avec Thomas Lombard, ont eu un impact négatif sur l'équipe ?
Je m'entends bien avec Thomas. C'est lui qui m'a convaincu de revenir et il fait beaucoup pour le club. Après, je connais mon métier, la dynamique des groupes, la gestion d'équipes, j'ai mes convictions sur la façon de manager, d'entraîner et de jouer, avec quelques années d'expérience et quelques formations professionnelles. La deuxième saison, le fonctionnement n'était pas fluide, c'est vrai. J'ai fait beaucoup d'erreurs aussi. Il y a eu quelques désaccords sur le choix des entraîneurs, la gestion des joueurs, des familles, mais rien de très grave à mes yeux. Cette troisième saison, avec des rôles bien définis, était meilleure. Elle est plutôt réussie. Ce groupe aurait sans doute mérité d'aller en demi-finales (défaite à domicile en barrage face au Racing 92).
Le Stade Français, est-ce définitivement terminé ?
Je ne fermerai jamais la porte. Malgré tout ce qui s'est passé, je garde du respect pour Thomas et le docteur. Les amoureux du Stade Français doivent beaucoup de gratitude et de respect au Dr Wild. Je pars en bons termes. Ce qui m'a fait mal à l'époque, ce sont les fausses informations qui ont fuité dans la presse pour justifier le changement. Raison pour laquelle j'ai accepté de faire cette interview, pour clarifier les choses. En 2020, le Stade Français venait d'enchaîner cinq saisons sans phase finale. Le club occupait même la dernière place avant l'arrêt de la saison en raison du Covid-19. Avec ce groupe et ce staff, on s'est qualifié deux fois en trois saisons.
Joueur de Fédérale 1
Posté 05 juillet 2023 - 20:53
Champion du Monde
Posté 05 juillet 2023 - 22:21
Confondre le CO et Cannes ............... RCV va pas s'en remettre 
Champion du Monde
Posté 05 juillet 2023 - 22:23
Fête du travail et Pirates des Caraïbes m'ont beaucoup fait rire
"C'est Biarritz" et "Le Jura ca non" sont bien aussi
Champion d'Europe
Posté 06 juillet 2023 - 09:20
Excellent ! Ils m'ont bien fait marrer ! 
Champion du Monde
Posté 06 juillet 2023 - 10:44
J'aurais bien aimé qu'ils montrent le logo des Crusaders pour voir les réponses 
Champion du Monde
Posté 06 juillet 2023 - 10:54
Confondre le CO et Cannes ............... RCV va pas s'en remettre
Ca prouve bien que personne ne sait que Castres existe et ou ça se trouve
Joueur de Pro D2
Posté 02 août 2023 - 10:17
Ils ont un mec qui soulève 200 kilos au développé couché mais qui passe encore plus de temps à l'infirmerie que fofana
Belle perf
(ça faisait longtemps qu'on avait pas tiré sur eux - ça fait du bien 
)
Parisien Névrotique
Posté 02 août 2023 - 19:04
Oui ça défoule. D autant plus qu ils ont parmi leurs supporters un petit con qui se permet de se foutre de la gueule d Urios sur le forum alors !Ils ont un mec qui soulève 200 kilos au développé couché mais qui passe encore plus de temps à l'infirmerie que fofana
Belle perf
(ça faisait longtemps qu'on avait pas tiré sur eux - ça fait du bien
Joueur du Grand Chelem
Posté 02 août 2023 - 20:40
Ils ont un mec qui soulève 200 kilos au développé couché mais qui passe encore plus de temps à l'infirmerie que fofana
Belle perf
peut-être qu'il traine trop souvent au Del Boui
Parisien Névrotique
Posté 08 août 2023 - 15:10
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