3588 réponses à ce sujet

[L'Eclair]

Des cailles en groupe ?...

Des cailles bien rôties en crapaudine

[Parigot_Paris]

On oublie un élément ESSENTIEL dans cette affaire !  

 

Les Parisiens sont gentils tout plein. Là, il fallait que cela fut dit.

[Alex chocolatines]

On oublie un élément ESSENTIEL dans cette affaire !

 

Les Parisiens sont gentils tout plein. Là, il fallait que cela fut dit.

Avant de te filer un bourre pif, oui mais .... 

[el landeno]

Le Stade Français, qui reçoit le Stade Toulousain, reste fragilisé Le Stade Français accueille, ce dimanche soir (21 h 05), le Stade Toulousain après les secousses issues de la défaite sans appel à Pau (30-6), il y a une semaine, conjuguée à la virée nocturne de quelques joueurs qui s'est mal terminée.

Après un tremblement de terre, les sismologues craignent souvent une réplique, même plusieurs. Le Stade Français a connu ses premières secousses de la saison après la raclée infligée par la Section Paloise le week-end dernier (30-6).

 

 

La question est de savoir si la réception du Stade Toulousain va permettre de reconstruire ou de se fissurer un peu plus.

Comme révélé mercredi sur notre site, huit joueurs et deux membres du staff se sont affranchis de l'interdiction de sortie proclamée par le directeur sportif Laurent Labit à la suite du revers en terre paloise.

L'un d'eux, Giovanni Habel-Küffner, a été plus loin en portant un coup au visage d'un membre du staff du club béarnais lors de cette virée nocturne. Pris par la patrouille, les fautifs ont été convoqués, réprimandés pour certains, sanctionnés pour d'autres.

Ce qui n'empêche pas plusieurs noctambules d'être titulaires ce dimanche soir, preuve que le staff n'a pas non plus souhaité trop s'affaiblir pour recevoir le champion en titre.

 

 

En revanche, Habel-Küffner (28 ans), hors groupe, a reçu par courrier une convocation auprès de la direction du club de la capitale. Selon nos informations, le troisième-ligne d'origine néo-zélandaise est attendu mardi pour un nouvel entretien.

Il a la possibilité d'être accompagné par le joueur de son choix afin de se défendre et faire face notamment au propriétaire-président Hans-Peter Wild. Ce dernier, de retour des États-Unis pour le Clasico, n'a guère apprécié ce nouvel écart extrasportif.

Cependant, l'état-major parisien est pris entre deux eaux. Il désire envoyer un message de fermeté, comme le souhaite surtout le nouveau directeur sportif Laurent Labit, dont la prise officielle de fonction date seulement de la fin octobre, après la fin de son aventure avec l'équipe de France.

Un licenciement pour faute d'Habel-Küffner est à l'étude. Sauf que certains clubs sont déjà à l'affût et sont venus aux renseignements pour s'attacher les services du numéro 8 auprès du directeur général Thomas Lombard.

« On veut jouer avec les meilleurs alors il faut se comporter comme les meilleurs »

Laurent Labit, directeur sportif du Stade Français.

 

 

 

Le Stade Français, peu fourni à ce poste stratégique, et qui cherche un top-player en vue de la saison prochaine (qui ne sera pas le Sud-Africain Jasper Wiese), hésite donc à employer la manière forte. Enfin, les joueurs stadistes sont derrière leur coéquipier, très apprécié. Ils espèrent une décision plus clémente, même s'ils ont parfaitement conscience d'avoir fait « une connerie ».

Voilà comment les Stadistes ont lancé leur semaine de préparation en vue de la réception du Stade Toulousain. « Ce qui s'est passé le week-end dernier, c'est la vie des équipes, des collectifs, des nouveaux projets, a coupé court Labit en conférence de presse vendredi. Il y a un cadre, il faut respecter les règles que nous nous sommes fixées. Nous avons traité nos histoires en interne. »

À base de réunions pour affirmer que le groupe était solidaire. Avec un peu de jardinage, aussi, pour déterrer une éventuelle taupe. « Le groupe a réalisé une très bonne semaine de travail », a assuré Labit.

Du côté de Toulouse, « ça les regarde », a souri l'entraîneur des avants Jean Bouilhou à l'évocation de cet épisode extrasportif. Mais nous savons que ça peut créer un supplément d'énergie, un supplément d'âme. Ça peut les resserrer. »

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D'un point de vue purement comptable, le Stade Français n'est pas dans une situation d'urgence, avec 23 points. Mais la situation à l'instant T demeure fragile. Après deux revers, dans le derby face au Racing 92 à domicile (9-13) puis à Pau, une nouvelle défaite à Jean-Bouin ferait désordre et raviverait sans doute quelques tensions.

« On a besoin de retrouver la victoire, a reconnu Labit. Quand on est au Stade Français, on se doit d'avoir des résultats. Cela a été compris par tout le monde. On veut jouer avec les meilleurs alors il faut se comporter comme les meilleurs. Notre message est clair : il faut être au Stade Français pour les bonnes raisons, avoir l'esprit de compétition, pour aller gagner des titres. »

Et de continuer à écrire l'histoire de ce club, atypique, qui fête ses 140 ans ce soir dans un stade Jean-Bouin à guichets fermés pour l'occasion.

« Créons notre propre histoire », lançait le capitaine Paul Gabrillagues sur le site du club pour annoncer les festivités du jour. Ils savent faire... D'ailleurs, les suiveurs des soldats roses peuvent être rassurés. Leurs protégés répondent généralement présents en période de secousses. Nouvel exemple ce soir ?

 

 

[Parigot_Paris]

Parigot content !

[el landeno]

Habel-Küffner (Stade Français) retient son souffle Le troisième-ligne d'origine néo-zélandaise est attendu ce mardi matin pour s'expliquer devant la direction du Stade Français à la suite de son coup de poing sur un membre du staff de la Section Paloise lors d'une sortie non-autorisée. Le joueur sait qu'il risque gros.

Avec ses cheveux colorés rose et bleu électrique, et même uniquement rose très vite après son arrivée à l'été 2022, Giovanni Habel-Küffner s'est vite mis les supporters du Stade Français dans la poche. À la Section Paloise, son précédent club (2015 à 2022), il avait opté pour une teinture verte du même effet. Sa bonne humeur communicative faisant le reste.

 

 

Le troisième-ligne (28 ans), né en Nouvelle-Zélande, d'un père Samoan et d'une mère Allemande, qui possède les passeports des trois nationalités, est vite devenu « un joueur important de notre équipe et du vestiaire », expliquait le directeur général Thomas Lombard, à l'initiative de son recrutement.

Avec son mètre quatre-vingt-seize et son quintal bien tassé (105 kg), ses épaules carrées et ses tatouages proéminents, il passe rarement inaperçu.

Depuis une semaine, Habel-Küffner est dans l'oeil du cyclone. La faute à une sortie non-autorisée après la défaite à Pau (30-6) dans la nuit du 25 au 26 novembre. Huit joueurs parisiens et deux membres du staff se sont affranchis de l'interdiction de sortie décidée par le directeur sportif Laurent Labit.

Le troisième-ligne était de l'expédition nocturne. Le souci, c'est qu'il s'est distingué un peu plus que ses camarades en assénant un coup de poing au visage d'un membre du staff de la Section Paloise dans un établissement de nuit de la cité béarnaise.

 

 

La direction parisienne a réprimandé les noctambules. « G.H.K » a, lui, reçu une convocation par courrier. Il est attendu ce mardi au siège du club dans la matinée.

Si plusieurs joueurs se sont proposés pour l'accompagner, le capitaine Paul Gabrillagues sera à ses côtés. Ils feront face au propriétaire-président Hans-Peter Wild, revenus des États-Unis pour le match de dimanche face à Toulouse (27-12), qui n'a guère apprécié ce nouvel épisode extra-sportif, mais également au directeur général Thomas Lombard.

À Pau, déjà, (Habel-Küffner) était passé par la case « justice »

 

Habel-Küffner risque une sanction pouvant aller jusqu'à un licenciement pour faute, même si cette convocation n'est en aucun cas un « entretien préalable à un licenciement ». Il n'a pas été mis à pied.

Mais selon nos informations, ce n'est pas la première fois que le troisième-ligne est pris par la patrouille depuis sa signature à Paris. La saison passée, juste après le derby au Racing 92, remporté très largement le jour de Noël (10-48), « Gio » avait dérapé dans la nuit parisienne. Une sortie de piste restée sous silence.

En revanche, à Pau, déjà, il était passé par la case « justice ». En 2019, la veille de Noël, ivre, il s'était fait remarquer au bas d'un immeuble en souhaitant rejoindre un ami. Les habitants avaient appelé la Police.

Küffner avait alors insulté les forces de l'ordre qui avait dû employer du gaz lacrymogène pour le maîtriser et l'embarquer au commissariat. Une fois dégrisé, l'ancien Palois avait reconnu les faits et s'était excusé. Il avait été condamné à deux mois de prison avec sursis et 1000 euros d'amende.

À l'heure où nous écrivons ces lignes, le membre du staff de la Section Paloise victime du coup au visage, n'ayant entraîné aucune ITT, n'a pas porté plainte. C'est donc uniquement devant la direction sportive du Stade Français que Habel-Küffner doit répondre de ses actes. Ce dernier fait profil bas, appréciant le gros soutien apporté par ses coéquipiers depuis une semaine.

De son côté, le club de la capitale est partagé entre deux options. La première : employer la manière forte et licencier son joueur pour faire un exemple. La seconde : lui laisser une dernière chance tout en le sanctionnant sportivement et encore plus financièrement.

D'autant que plusieurs clubs sont déjà à l'affût pour récupérer ce numéro 8 athlétique, physique, puissant et régulier dans ses performances. Sans oublier enfin que Habel-Küffner est l'un des « chouchous » du Docteur Wild. La raison ? Comme ce dernier, il bénéficie d'un passeport allemand. Et sa maman est née à Heidelberg, dans le Sud-Ouest de l'Allemagne, comme son patron ! Est-ce que ce sera suffisant pour sauver sa tête ?

[Parigot_Paris]

Ach !

[cocotte 63]

Ton président sinterroge sur le respect du Salary , et une pièce de plus dans le nourrin !

[musky]

Ton président sinterroge sur le respect du Salary , et une pièce de plus dans le nourrin !

 

En citant précisément le Racing et Toulon...

[Parigot_Paris]

Razzurez-fous ! Zimple férificazion !

[jm12]

Ton président sinterroge sur le respect du Salary , et une pièce de plus dans le nourrin !

En tout cas , ça interroge sacrément....que ce soit le RM92 ou le RCT quand tu vois les effectifs alignés , je dirais empilés par poste on sourit !

 

Je ne sais pas si celui du Stade Français est exemplaire ou si simplement, s' il jalouse un peu ,  mais en tout cas un p'tit pavé dans la flaque de boue qui éclabousse , venu d'un autre mécène a le mérite d'être jeté !

 

Quand je vois notre effectif sans réelle profondeur et des postes clés en souffrance et notre budget , ou bien on paie des gars pour le prix de trois autres au RCT ou alors ....bon , l 'expert xdderf63 va bien nous gratouiller tout ça et fournir qqs explications de base !

[Pilou]

Ton président sinterroge sur le respect du Salary , et une pièce de plus dans le nourrin !

On peut quand même pas lui donner tort.

L'exemple de Toulon est peut être mal choisi cette année car leur effectif est pas dingue dingue non plus.

Mais le Racing, c'est incompréhensible.

D'autant qu'ils vont encore recruter 2 internationaux français l'année prochaine.

[Codorplusàvie]

Le nombre de sélectionnés en EDF est un indice très souvent expliqué par notre chef compta et contrats.
Ce qui prouve que même Hans Peter ne lit pas toutes ses explications.

[Bon Chasseur]

quand le SFP va-t-il se remettre à jouer la grande coupe d'Europe ? Cette saison p-ê.

[cocotte 63]

L'honneur est sauf le bon docteur n'a pas cité le grand Stade qui ne triche jamais comme chacun sait !