5085 réponses à ce sujet

[Murena]

D'un autre côté, qui regarde le racigne jouer ? 🤔

[pims]

Départ confirmé de Kolisi qui retournera aux Sharks après le 4 nations https://x.com/City_P...146117939433503

[Buckaroo]

Départ confirmé de Kolisi qui retournera aux Sharks après le 4 nations https://x.com/City_P...146117939433503

Au passage, l'homme d'affaires qui a racheté le contrat est assez proche de Kolisi.

[Murena]

Ah le racing, son passé glorieux, ses noeuds papillons roses, cette grande famille...

[xdderf63]

2 mois de SC de perdu pour le racing pour ce joueur
C'est toujours ça de pris (pour les autres...)

[Tibaldo]

Kolisi se barre c'est officiel

 

https://www.lequipe....-top-14/1506541

 

Bon débarras!

 

Comme je l'avais dit dès le départ: joueur politique à la réputation surfaite

[Alex chocolatines]

Kolisi se barre c'est officiel

 

https://www.lequipe....-top-14/1506541

 

Bon débarras!

 

Comme je l'avais dit dès le départ: joueur politique à la réputation surfaite

Ben tiens, demain j'me fais des moules et j'en reprendrai 2 fois 

[Sushi]

Tout autre chose! J'ai jeté un oeil sur CO-Racigne, hier, eh ben j'ai vu la trombine du gars Farrell avec le maillot ciel et blanc! Ce mec est né pour porté ce maillot à un tel point, que je pense que le Racigne devrait jouer le Premiership!  

[pims]

Comme je l'avais dit dès le départ: joueur politique à la réputation surfaite

bah oui rien que ça

[RCV06]

Kolisi se barre c'est officiel

 

https://www.lequipe....-top-14/1506541

 

Bon débarras!

 

Comme je l'avais dit dès le départ: joueur politique à la réputation surfaite

Canal a déjà trouvé son remplaçant c'est Farrell

[Alex chocolatines]

Tout autre chose! J'ai jeté un oeil sur CO-Racigne, hier, eh ben j'ai vu la trombine du gars Farrell avec le maillot ciel et blanc! Ce mec est né pour porté ce maillot à un tel point, que je pense que le Racigne devrait jouer le Premiership!

Mais pourquoi t'infliger tel supplice ? 

[el landeno]

« Le sentiment de voler le Racing » : Siya Kolisi s'explique après son départ du Top 14 Dans l'air depuis août, le départ anticipé de Siya Kolisi s'est confirmé dimanche : le capitaine des Springboks, désireux de poursuivre sa carrière internationale, a trouvé un terrain d'entente avec le Racing 92 pour quitter le club avec effet immédiat, deux ans avant la fin de son contrat. Conscient qu'il ne pouvait apporter au club ce qu'on attendait de lui.

 

Au lendemain d'une nouvelle victoire sur la Nouvelle-Zélande (18-12), agrémentée d'un essai, qui met les Springboks en excellente position pour remporter le Rugby Championship, Siya Kolisi a débloqué un quart d'heure dans son emploi du temps pour commenter le bruit qui se diffusait dans le monde du rugby depuis le mois d'août : oui, le capitaine de l'Afrique du Sud va bien quitter le Racing 92 moins d'un an après son arrivée en grande pompe, pour revenir aux Sharks, à Durban.

 

 

A 33 ans, le flanker veut poursuivre son aventure avec les doubles champions du monde et il a réalisé combien ce projet, encore flou au moment où il s'était engagé avec le club francilien, était compliqué à mener en évoluant dans le Top 14. Avec franchise, il est revenu pour L'Équipe sur sa courte carrière en ciel et blanc et sur les raisons qui l'ont convaincu de revenir au pays.

lire aussiKolisi quitte déjà le Racing

 

« Pendant l'été, le monde du rugby a commencé à entendre dire que vous n'alliez pas continuer avec le Racing 92. Qu'en est-il ?
Je ne reviendrai pas au Racing cette saison. On a trouvé un accord avec le club. Je suis reconnaissant de la manière dont il a géré la situation. Quand j'y suis arrivé, je ne savais pas ce que deviendrait ma carrière internationale. Puis quand j'ai recommencé à jouer en sélection, je suis allé voir le Racing, on a discuté et ils m'ont dit : "C'est tout bon, va jouer pour ton pays." Mais j'ai réalisé que pour mon corps... Je ne peux avoir de repos ! Et surtout, si je joue pour l'Afrique du Sud, je manque trois mois de la saison de Top 14. Je suis très bien payé et ça me donne le sentiment de voler le Racing. Alors pour moi, ma santé physique et le club, je veux faire ce qui est juste, je ne veux pas m'investir qu'à moitié. Quand ils m'ont recruté, ils pensaient avoir un Siya Kolisi à temps plein. Et j'aime tant jouer pour l'Afrique du Sud, je suis compétitif, alors je voulais continuer avec les Springboks. Il n'y a pas eu de malentendu entre nous, les discussions se sont bien passées. C'est triste, parce que je voulais aussi continuer, j'étais tellement content de venir, mais les choses ont changé.

 

 

Quand vous vous êtes engagé avec le club, pensiez-vous arrêter votre carrière internationale ?
Je n'avais aucune idée de ce qui allait se passer. Je n'étais même pas sûr que je continuerais à être sélectionné en jouant à l'étranger. Puis on m'a redonné l'opportunité de jouer en sélection. Et là je réalise que je n'ai pas eu de coupure depuis la dernière Coupe du monde ! Juste une ou deux semaines. C'est un autre élément important. Quand j'ai rejoué avec la sélection, je me suis rendu compte que je pouvais toujours apporter, mais avec le Top 14, et vous savez comme cette compétition est dure et longue, ça serait difficile. C'est ce qui m'a fait prendre cette décision.

« Le Top 14 est, de loin, le Championnat le plus dur dans lequel j'ai joué »

 

 

 

Comment a réagi le Racing ?
Bien sûr, ils ne pouvaient pas en être heureux. Je venais pour faire une différence. Mais ils ont compris mes raisons, et qu'ils ne pourraient pas tirer le meilleur de moi si je jouais en club et en sélection. Et pour moi, ça n'aurait pas été bon pour ma santé comme pour ma carrière. Je repars sans titre, mais on avait commencé avec un nouvel encadrement, on était en train de construire et ça prend du temps. Il faut créer du lien, parfois tu rates des choses. J'aurais aimé gagner quelque chose, et le club est ambitieux. Et je suis sûr qu'il réussira bientôt, avec les nouvelles recrues et ce que propose Stuart Lancaster. J'adhérais dans ce projet, on s'améliorait mais quand ça comptait, on n'a pas su être performants.

Que retiendrez-vous des 18 matches que vous aurez joués en ciel et blanc ?
Que le Top 14 est, de loin, le Championnat le plus dur dans lequel j'ai joué ! Chaque match a un sens, parce qu'il y a la relégation, ou un autre enjeu. Et la durée de cette compétition ! J'ai tout donné à l'entraînement, j'ai travaillé dur, c'est tout ce qu'on peut faire comme joueur. A mes débuts, j'ai bien joué, puis quand j'ai été blessé au pouce (en mars), avec une opération, puis à la cheville (en avril), j'ai galéré. Ça m'a pris du temps pour revenir, j'ai lutté en fin de saison. J'ai toujours voulu rejouer aussi vite que possible, même si je n'étais pas tout à fait en forme, je voulais être sur le terrain. J'ai donné le meilleur de moi-même mais les deux blessures n'ont pas aidé. Je n'ai pas pu retrouver mon niveau. Mais je ne regrette rien. Je n'ai que de bons souvenirs et que des bonnes choses à dire sur le Racing. Et qui sait, peut-être qu'un jour je pourrai revenir et m'y consacrer pleinement.

« La critique ne me dérange pas, on est honnêtes... (Jacky Lorenzetti) a partagé ce qu'il avait ressenti à ce moment-là, et j'ai dit OK »

 

 

 

Cette mauvaise fin de saison vous a valu des mots durs de la part du propriétaire du Racing 92, Jacky Lorenzetti. Comment les avez-vous reçus ?
Jacky, le président Laurent Travers et moi, on s'est mis autour d'une table pour parler de ça. Je suis un grand joueur et il attendait de grandes choses de moi... La critique ne me dérange pas, on est honnêtes... Il a partagé ce qu'il avait ressenti à ce moment-là, et j'ai dit OK, pas de problème, et on est passé à autre chose.

Vous avez aussi évoqué en conférence de presse, cet été un changement de mode de vie pour votre famille qui a été difficile à surmonter. Est-ce que ça a pesé dans votre décision de rentrer en Afrique du Sud ?
Ce qui a compté dans ma décision, c'est avant tout le rugby, c'est mon unique but, je n'étais au Racing que pour cela !

Pourquoi avoir choisi les Sharks comme point de chute ?
Parce que c'est le dernier club où j'étais avant de venir au Racing, et tous mes amis et ma famille sont là-bas.

Les progrès des Springboks cet été, en bonne position pour remporter le Rugby Championship moins d'un an après avoir à nouveau soulevé la Coupe du monde, vous satisfont-ils ?
On n'a pas encore remporté le Rugby Championship. On ne joue pas si bien mais on trouve le moyen de gagner quand ça compte. On fait grandir l'équipe et il n'y a pas meilleure manière de le faire qu'à travers les victoires. Beaucoup de joueurs ont leur chance dans des matches importants. Quand il y a un blessé, personne ne s'en fait une montagne : il y a toujours quelqu'un pour s'insérer dans l'équipe. On est heureux de ce qu'on fait, mais on ne s'en satisfait pas, on veut continuer à gagner.

Voulez-vous disputer la prochaine Coupe du monde en Australie, en 2027 ?
(Rires.) Oui, c'est mon objectif ! On verra bien comment le corps tient le coup. »

 

 

[steph]

Les capitaines en exercice des sélections Sud-africaines ou Néo-zélandaises, faut être con pour croire qu'ils vont s'inscrire dans la durée en France...
John Smit, arrivé aussi avec la bouche en coeur, nous avait fait la même.

[Binche63]

Les capitaines en exercice des sélections Sud-africaines ou Néo-zélandaises, faut être con pour croire qu'ils vont s'inscrire dans la durée en France...
John Smit, arrivé aussi avec la bouche en coeur, nous avait fait la même.

Pas exactement la même situation il y a avait Ledesma chez nous.
Il s est retrouvé remplaçant quasiment toute la saison voir jouer à la pile.

[steph]

Pas exactement la même situation il y a avait Ledesma chez nous.
Il s est retrouvé remplaçant quasiment toute la saison voir jouer à la pile.

Ledesma a considérablement augmenté le curseur, pour devenir le taulier. Mais Smit était arrivé avec le discours, quasi identique à celui de Kolisi, à savoir, j'ai tout gagné avec la sélection, je viens pour découvrir autre chose, etc, etc... Et on apprenait 6 mois plus tard qu'il ne lui était pas possible de résister à l'appel de la sélection. Ils sont tous bien élevés, disent plein de belles choses au moment de partir, mais le résultat reste le même : ils s'attendent à devenir des têtes de gondole sans qu'on leur demande de faire trop d'effort en contrepartie. Le top14, ce n'est pas ça.