6048 réponses à ce sujet

[bouseu03]

Et Michelin c'est du mou de veau ?

Et Limagrain, on en a en Auvergne du haut du panier mondial.

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[Ptolémée]

ils sont pas passés loin de la correctionnelle

[diomedea]

Ils sont soûlants dans ce club... à la limite c'est leur seule marque de fabrique...

Ca et les barbecues de fin de saison, où là ils sont loin devant tout le monde, des vrais champions.

 

En + il peut pas s'empêcher de jouer sa petite partition victimaire (avec le racisme en filigrane), ça me gave, mais ça me gaaave ça !

 

Ah non faut suivre un peu, cette année c'est pas un barbecue c'est une "garden-party"
 

Top 14 - Mohed Altrad (Montpellier) : "Le club est en crise", Midi Olympique, 18.06.2024

 

Lors d’une conférence de presse organisée avant la garden-party du club, qui se tenait au Domaine du Mas Neuf à côté de Sète, le président montpelliérain Mohed Altrad est longuement revenu sur la situation du MHR, et reconnaît qu’il traverse une période de crise. Il évoque aussi l’éviction de Patrice Collazo et le nouveau staff, qui sera mené par Joan Caudullo, avec Bernard Laporte en directeur du rugby.

[InASMWeTrust]

 

Ah non faut suivre un peu, cette année c'est pas un barbecue c'est une "garden-party"
 

Top 14 - Mohed Altrad (Montpellier) : "Le club est en crise", Midi Olympique, 18.06.2024

 

Lors d’une conférence de presse organisée avant la garden-party du club, qui se tenait au Domaine du Mas Neuf à côté de Sète, le président montpelliérain Mohed Altrad est longuement revenu sur la situation du MHR, et reconnaît qu’il traverse une période de crise. Il évoque aussi l’éviction de Patrice Collazo et le nouveau staff, qui sera mené par Joan Caudullo, avec Bernard Laporte en directeur du rugby.

Oui, le BBQ c'est vulgaire. Depuis que Laporte est là, ils sont passés au nec plus ultra du chic et de la classe. Il se dit d'ailleurs que le Royal Ascot avait envisagé de délocaliser son pique-nique à l'Altrad Stadium. 

[Alex chocolatines]

Oui, le BBQ c'est vulgaire. Depuis que Laporte est là, ils sont passés au nec plus ultra du chic et de la classe. Il se dit d'ailleurs que le Royal Ascot avait envisagé de délocaliser son pique-nique à l'Altrad Stadium. 

Des sushis au fugu ? 

[el landeno]

Jessica Casanova quitte Montpellier, le fils aîné de Mohed Altrad devrait la remplacer - L'Équipe (lequipe.fr)

[Alex chocolatines]

Jessica Casanova quitte Montpellier, le fils aîné de Mohed Altrad devrait la remplacer - L'Équipe (lequipe.fr)

Le fils Laporte va pas tarder à rappliquer, il est déjà connu des tribunaux, il a tout d'un grand    

[Francoisbougnat]

Le fils Laporte va pas tarder à rappliquer, il est déjà connu des tribunaux, il a tout d'un grand    

En tout cas, le cadet altrad n'est pas copain avec bernie...
J'ai hâte du match retour aux tribunaux, la nouvelle direction risque d'en prendre un coup...
Casanova a peut-être un peu précipité son départ, à moins qu'elle ait anticipé, en effet, l'arrivée du fiston Laporte, probable futur prête-nom du paternel...
Si tu es dans le vrai, il aura encore un coup d'avance sur la justice, et continuera à se remplir les fouilles, depuis sa cellule !
Pour autant, il réussira bien à y échapper, un bon avocat payé par mohed et un simple bracelet porté dans une luxueuse propriété de ce dernier, et c'est réglé !
Bref, l'anguille n'est pas encore dans les filets...

Envoyé de mon BAH2-W19 en utilisant Tapatalk

[Bad Zé]

En tout cas, le cadet altrad n'est pas copain avec bernie...
J'ai hâte du match retour aux tribunaux, la nouvelle direction risque d'en prendre un coup...
Casanova a peut-être un peu précipité son départ, à moins qu'elle ait anticipé, en effet, l'arrivée du fiston Laporte, probable futur prête-nom du paternel...
Si tu es dans le vrai, il aura encore un coup d'avance sur la justice, et continuera à se remplir les fouilles, depuis sa cellule !
Pour autant, il réussira bien à y échapper, un bon avocat payé par mohed et un simple bracelet porté dans une luxueuse propriété de ce dernier, et c'est réglé !
Bref, l'anguille n'est pas encore dans les filets...

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Si t'as un bracelet c'est que tu n'y as pas échappé.
A ce jour il est condamné en première instance et à été obligé de démissionner de la présidence de la ffr, donc il a échappé à rien du tout.
Ce qui ne l'empêche pas de travailler dans le privé.

[InASMWeTrust]

Moi je vous dit qu'Altrad est pas si à l'aise que ça, et peut-être que BL lui tient les couilles avec de vilaines petites histoires. 

[Francoisbougnat]

Si t'as un bracelet c'est que tu n'y as pas échappé.
A ce jour il est condamné en première instance et à été obligé de démissionner de la présidence de la ffr, donc il a échappé à rien du tout.
Ce qui ne l'empêche pas de travailler dans le privé.

Mouais...
On a bien pu constater le suivi qu'occasione le "bijou de chevilles " de ces messieurs...
En aucun cas quelque forme de rétention pour ces anguilles, pour peu que la boîte aux lettres soit un peu éloignée...

Envoyé de mon BAH2-W19 en utilisant Tapatalk

[Buckaroo]

Quelqu'un aurait-il l'article paru il y a quelques jours dans rugbyrama où Collazo parlait du MHR ? C'est pour entretenir ma haine.

[Lima]

Quelqu'un aurait-il l'article paru il y a quelques jours dans rugbyrama où Collazo parlait du MHR ? C'est pour entretenir ma haine.

 

Si c'est de cet article du Midi Olympique du 23.06.2024 dont tu parles :

 

Patrice Collazo va donc quitter Montpellier, mais avec le sentiment du devoir accompli car la mission du maintien a été remplie. Il nous a confié ses sentiments sans aigreur, fort de sa connaissance de son milieu.

 

Dimanche 16 juin, vous gagnez le barrage de maintien. Lundi 17, vous étiez licencié. C’était un drôle d’ascenseur émotionnel… Avez-vous vécu ça comme un écroulement ?

 

Ce sont des choses qui arrivent, dans notre métier. Je les ai vues venir de loin. Pourtant, je crois sincèrement que ce fut une performance que de maintenir le club dans ces conditions. En plus, comme on a dû activer des leviers très forts pour en arriver-là, je me dis que si j’avais dû continuer avec le même groupe, avec le même staff ou, encore plus, avec un staff différent, je ne sais pas si cela aurait fonctionné la saison prochaine.

 

On sent une forme de fatalisme dans vos propos…

 

En 30 ans de rugby, j’ai appris à voir venir les choses de loin. Je savais où l’on mettait les pieds. Dans le feu de l’action, je me suis demandé : « faut-il combattre des choses qu’on voit venir de loin, au risque de perdre de l’énergie ? » J’ai vu les tractations, les désirs de pouvoir. J’ai choisi de ne pas les combattre parce que l’enjeu était trop important. Il y avait trop à perdre, je préférais mobiliser les joueurs et surtout remobiliser le staff. J’avais cette double tâche et ce n’était pas facile, quand on arrivait le matin avec toute la campagne médiatique qui s’était déclenchée, combinée aux résultats.

 

Vos adjoints avaient donc le moral à zéro ?

 

Non, mais ils entendaient et ils lisaient, ils sentaient les hommes. Je leur disais : « Écoutez, on savait tout ça quand on est arrivés… » Il y avait tout de même des lundis et des mardis difficiles, des avant-matchs pas évidents avec des infos qui sortaient dans la presse. Il fallait remettre tout cela dans la bonne direction. Mais je me dis que toutes nos décisions ont été validées par le maintien final.

 

De quelles décisions parlez-vous ?

 

De ne pas forcément jouer sur la fibre des joueurs issus du club. Je ne suis pas sûr que l’on aurait gagné avec ça. Il fallait aussi s’entraîner d’une certaine façon. Mais nous avons su que nous ferions le barrage avec trois semaines d’avance et ça nous a permis de bien le préparer. Ce fut un point fondamental.

 

Le dimanche, au soir de la victoire, pensiez-vous sincèrement rester ?

 

Je voyais des choses se passer mais je n’étais pas dans ces pensées, j’étais encore dans le truc du match réussi. Sincèrement, je n’ai aucune rancœur, je trouve finalement positif que les clubs donnent leur chance à des anciens joueurs. L’idée est de faire comme à Toulouse et de confier l’entraînement à quelqu’un qui est issu du club. Mais Toulouse, il n’y en a qu’un. Il est souvent imité, jamais égalé. D’autres clubs ont réussi avec d’autres modèles, comme Castres ou La Rochelle.

 

Au soir de la victoire, vous teniez des propos tournés vers l’avenir…

 

La tendance des derniers jours, c’est vrai, était que nous resterions en cas de maintien. C’était le message de Bernard Laporte, mais je pense que Bernard n’a pas eu d’autre choix que de subir ce changement.

 

On a eu l’impression que le lundi, les choses se sont accélérées contre vous et votre staff…

 

Non, je pense que ça s’est fait dans un comité très restreint et que les missions étaient actées depuis longtemps. Il y a eu un travail en coulisses. On l’a encore vu pendant les trois jours passés à Grenoble, j’ai bien perçu certaines attitudes. Je le répète, vu l’enjeu, ce n’était pas la peine de se lancer dans un combat perdu d’avance. À une époque, je serais entré dans ce combat. Mais je ne voulais pas perdre de vue la mission qui était la nôtre : redresser le club et assurer le maintien. On ne venait pas pour pérenniser. Il fallait scanner les problèmes et prendre des décisions rapides.

 

Avez-vous été dur avec les joueurs, comme on a pu l’entendre ?

 

Il n’y a pas eu de clash entre moi et les joueurs; il y a eu des différends avec Bernard Laporte sur sa manière de dire des choses aux joueurs. Moi, sa manière ne me choquait pas outre mesure, mais nous avons été touchés par ricochet. En fait, Bernard Laporte a fait le sale boulot et il m’a laissé un confort formidable. Il n’est jamais intervenu sur mon travail. En ce qui me concerne, je n’ai pas ressenti de fracture avec le groupe.

 

Vos relations avec Bernard Laporte sont-elles restées bonnes ? N’avez-vous pas eu quelques dissensions avec lui ?

 

Au contraire, ce fut une très belle collaboration, avec ma totale liberté. Jamais il ne m’a dit : « Patrice, il faut faire ceci ou cela. » Dans ce contexte, il fut pour nous un gilet pare-balles. Le fait que nous ayons pu aller au bout de la mission, c’est à lui qu’on le doit.

 

De cette situation, on retire l’image d’un président Mohed Altrad sous l’influence de quelques joueurs « historiques » du club, non ?

 

J’ai découvert un homme atypique. J’ai apprécié la qualité de nos échanges, sur plein de choses, du rugby et de l’extra-rugby. Il est président d’une institution, il est propriétaire de son club, je ne peux pas croire qu’il prenne des décisions à l’envers de l’intérêt général. Après, sur ses relations avec certains de ses joueurs, elles sont le fruit d’un processus qui date de longues années. Elles n’appartiennent qu’à eux.

 

Bernard Laporte, qui reste au MHR, va-t-il se retrouver encerclé ?

 

Peut-être. Mais tout le monde va faire en sorte que ça fonctionne. J’ai vu que Bernard Laporte allait avoir des compétences élargies sur le sportif, avec la composition de l’équipe, la stratégie. Je pense qu’il fera en sorte de servir l’institution. Vous savez, ces fameux coups de gueule que n’ont pas compris les joueurs, c’était pour le bien de l’institution.

 

Sur le terrain, quels sont les joueurs que vous avez découverts ? Qui vous a surpris agréablement ?

 

J’ai découvert des personnalités, notre jeune pilier Baptiste Erdocio, qui a eu beaucoup de temps de jeu, le pilier Luka Japaridze que j’avais côtoyé à Brive. Je citerais Yacouba Camara, Cobus Reinach, Jan Serfontein. Nous avons aussi relancé Ben Lam, qui fut décisif sur le barrage. Je crois qu’Auguste Cadot s’est révélé au centre, il fonctionnait très bien avec Jan Serfontein. Quand je suis arrivé, j’ai rebattu les cartes et ça peut déranger. Certains l’ont compris, car si on en était là, c’est qu’il y avait des problèmes. On ne pouvait pas continuer comme avant. D’autres se sont fermés mais on s’est donné jusqu’au dernier moment pour réfléchir à la meilleure équipe possible. Finalement, on gagne à Grenoble dans le money-time. Ça prouve qu’on a réussi à maîtriser ce qu’on n’arrivait pas à faire depuis le début de la saison. Nous avons privilégié certains profils, pour le XV de départ et pour le banc. Je crois que Geoffrey Doumayrou, longtemps blessé, nous a beaucoup apporté dans les trente dernières minutes du barrage. On l’avait prévu. Avec son expérience, son leadership, il nous a permis de faire ce qu’on ne savait pas faire : s’imposer dans les dernières minutes.

 

Il fut angoissant, ce barrage, arraché 20-18. On ne peut le nier.

 

Je rappelle qu’on a gagné ce barrage dans un contexte très délétère et très anxiogène avec pas mal de blessés : Simmonds, Camara, Willemse, Bouthier. Ce fut dur, mais je savais qu’on aurait une dernière cartouche… Je l’avais préparé en appelant des entraîneurs qui avaient vécu ça. Jean-Baptiste Péjoine de Brive, par exemple, qui m’a beaucoup aidé. J’ai même parlé à Yannick Bru, le matin même alors qu’il préparait de son côté le match UBB-Racing. Il m’a dit : « Personne ne peut savoir ce que c’est sans l’avoir vécu. » Un barrage, c’est une expérience à vivre car il y a tout pour te plomber. Mais attention, je n’ai pas envie de le vivre toutes les saisons.

 

Louis Carbonel a réussi la pénalité décisive. Que n’a-t-on pas dit sur votre relation soi-disant difficile depuis Toulon ?

 

Un fil rouge des médias. C’est ce qui a alimenté les commentaires jusqu’à la fin. Je remarque qu’il a toujours été notre titulaire, il a été à l’image de la saison du MHR avec des hauts et des bas. Mais je n’ai pas été surpris de la qualité de son barrage. Tout le monde a dit que nous ne nous parlions pas, c’est grotesque. Je suis manager, il est numéro 10, même si au quotidien, il était plus au contact de Vincent Etcheto. Je n’ai pas été surpris, j’ai même été content que ça se termine bien pour lui. Il n’a pas loupé la dernière cartouche, il fait un cent pour cent, il a été aussi bon dans la gestion et la distribution. Ce match va le faire grandir…

 

Il y a eu aussi cette histoire des Jiff, et un procès en irresponsabilité.

 

La preuve que je n’étais pas irresponsable, on est entré dans le quota. Les Jiff, c’est une moyenne à la fin, c’est un contrôle continu. Ce qui m’a surpris, c’est qu’on m’en parle tous les jours. Et à la fin, quand tout est entré dans l’ordre, tout d’un coup personne n’en parlait plus. J’ai même lu que j’étais parti de Brive en laissant une situation catastrophique à ce niveau… Je conteste, je suis parti après dix matchs. À l’intersaison 2023, on m’a dit qu’il y aurait quinze départs, qu’il fallait recruter un effectif en 48 heures avec une enveloppe qui change toutes les trente secondes. Trouver des Jiff de qualité dans ces conditions, c’est impossible. À Brive, il restait vingt matchs à jouer après mon départ et le club s’est qualifié à la dernière minute. Regardez le ratio des points et des matchs…

 

Quid de votre avenir ? On commence à parler de certaines destinations à votre sujet. Le Stade français, Vannes, Lyon, par exemple…

 

Au Stade français ? Vous me l’apprenez. J’ai vu mon nom cité à Lyon, je dis non. Vous me parlez de Vannes ? Un club où il y a un manager qui est là depuis longtemps et qui vient de monter ? Je suis sidéré. Non, de toute façon, je ne pouvais pas être dans une mission maintien avec Montpellier et être en contact avec un autre club. Je ne peux pas faire ça. Je n’ai jamais appelé ou envoyé de message à un président. Mais tout ça veut dire qu’on ne laisse pas indifférent.

 

Comment voyez-vous votre futur ?

 

J’ai eu une ou deux propositions dans les médias. Si c’est pour parler rugby pur, c’est oui ; pour autre chose, c’est non. J’aimerais intégrer un staff à l’étranger, pourquoi pas dans une équipe nationale, sur le jeu d’avants par exemple. J’aimerais me reconnecter à certaines choses, j’aime la touche, j’aime la mêlée. Revenir à la technique. Deux personnes m’ont approché… Mais rien de concret.

 

Avez-vous parlé avec les Montpelliérains historiques qui vous ont poussé dehors ? Les Caudullo, Paillaugue, Ouedraogo…

 

J’ai eu un bref échange avec Joan Caudullo. Je lui ai dit ce que j’avais à lui dire, brièvement, sans plus. Il n’y avait pas vraiment d’échanges à avoir. Ces gars, je les avais vus en train de regarder nos entraînements de loin. Je trouve bizarre, de regarder les entraînements de loin. Ça veut dire certaines choses… Je préfère les gars qui regardent les entraînements de près. Mais le maintien, c’est bien notre staff qui l’a acquis et qui fait que les nouveaux coachs peuvent commencer une carrière en Top 14. C’est plus sympa qu’en Pro D2. Moi, j’ai commencé en Pro D2.

[Buckaroo]

 

Si c'est de cet article du Midi Olympique du 23.06.2024 dont tu parles :

Celui-là même. Merci beaucoup !

[Y&B]

Bernard Laporte « un gilet parre balle » … manque pas d’air quand même !!!!