Joueur de 2ème série
Posté 15 juillet 2024 - 11:09
Dumoulin c'est un ancien de la maison MHR et accessoirement fils de Cecillon, donc quand il dit que ce que dit la dame en argentine c'est rien que des menteries on ne peut que le croire.
sur ce sujet, est-ce que les jeux de mot avec bière sont de mise
(c'est de mauvais goût j'avoue)
Champion du Monde
Posté 15 juillet 2024 - 14:36
Ben moi, je n'ai jamais rompu avec ma bière...sur ce sujet, est-ce que les jeux de mot avec bière sont de mise
(c'est de mauvais goût j'avoue)
Champion d'Europe
Posté 30 juillet 2024 - 06:07
En débarquant en salle de presse lundi midi après une séance d'entraînement intense dans la fournaise du GGL Stadium, Billy Vunipola a visiblement apprécié la fraîcheur du lieu, climatisé. « Il fait chaud, tellement chaud, je n'ai vécu une préparation dans une telle chaleur, en a soufflé avec le sourire le numéro 8 anglais (31 ans, 75 sélections), qui s'est exprimé pour la première fois depuis son arrivée à Montpellier, en conférence de presse. Ma femme et mon fils pensent qu'on est juste là pour les vacances d'été mais je peux leur assurer que c'est tout sauf des vacances (rires). »
Arrivé des Saracens où il a fait l'essentiel de sa carrière professionnelle (2013-2024), Billy Vunipola fait partie des nouvelles têtes sur les terrains d'entraînement du MHR depuis la reprise le 17 juillet (voir encadré). « Ça fait bizarre de commencer une saison loin des Saracens, reconnaît-il. J'y ai passé beaucoup d'années, gagné des titres (cinq Championnats d'Angleterre et trois Coupes d'Europe) mais j'ai senti que c'était le bon moment pour passer à autre chose (...). Ça n'a pas été un choix facile de quitter l'Angleterre, je savais que je ne serais plus éligible pour la sélection, il y a la barrière de la langue, une nouvelle vie loin du confort des Saracens auquel je m'étais habitué, une nouvelle culture mais une fois que j'ai pris la décision, j'étais très content et je me suis impliqué à fond. »
« Je ne suis pas venu prendre mon salaire, je veux donner le meilleur pour ce club »
Billy Vunipola
« Je suis comme un gamin d'être à côté d'un mec comme ça à l'entraînement, saluait quelques minutes plus tôt le demi de mêlée Léo Coly. Je le regardais à la télé quand j'avais quatorze ans et je ne vais pas vous refaire son CV. Au-delà d'être un grand joueur de rugby, c'est un super mec. Il vient ici pour vraiment apporter quelque chose au club, aux jeunes, nous aider à grandir, amener sa stature pour repartir sur une nouvelle dynamique. »
« C'est un nouveau choix de vie, un nouveau club, mais je ne suis pas venu prendre mon salaire, je veux donner le meilleur pour ce club, a poursuivi le finaliste de la Coupe du monde 2019, dont la dernière sélection remonte à la demi-finale du Mondial (2023) perdue face à l'Afrique du Sud l'an dernier. J'ai rencontré Bernard (Laporte, le directeur du rugby), le président (Mohed) Altrad la semaine dernière et j'ai bien compris leurs attentes. Ils veulent que le club soit tout en haut. Je veux les aider dans ce projet et retrouver la forme. »
Et son pilier gauche de frère, Mako, qui a lui aussi quitté les Saracens, signé à Vannes et qu'il affrontera donc lors de la 6e journée en octobre. Il doit avoir un peu moins chaud en Bretagne. « On s'est déjà affronté une fois quand je jouais aux Wasps (2011-2013) et la semaine suivante, je signais aux Saracens (rires). Ça va être un super moment, à condition qu'on gagne ! »
Champion d'Europe
Posté 18 août 2024 - 08:43
Entre une rencontre en marge d'un entraînement ouvert au public, le 29 juillet, et un rendez-vous téléphonique une semaine plus tard, Joan Caudullo (42 ans), le nouvel entraîneur de Montpellier, qui travaillait à la formation depuis la fin de sa carrière de talonneur, en 2017, nous raconte ses premiers pas à la tête du MHR.
« Comment avez-vous retrouvé le groupe après une saison ratée à de nombreux égards ?
C'est toujours difficile d'oublier ces moments. Il faut que nous, le staff, communiquions sur cette nouvelle saison, son projet et que l'on n'insiste pas trop sur ce qui ne marchait pas la saison dernière. J'ai senti des mecs meurtris, qui avaient envie de mieux faire, un côté revanchard aussi. Maintenant, il faut que ça marche. Je n'ai pas fait le recrutement mais j'ai décidé d'y aller, donc j'assume. Et si ça ne se passe pas bien, je serai responsable.
Directeur du centre de formation depuis 2020, comment avez-vous accepté ce changement de poste ?
Tout s'est fait en 24 heures après le barrage. J'ai dû me décider rapidement, en parler avec ma femme et mes deux enfants. Même si j'ai toujours beaucoup travaillé, c'est quand même un changement de vie. Une fois que la famille a validé, ça s'est fait vite. Il fallait ensuite savoir avec qui j'allais bosser. Le président (Mohed Altrad) a mis en place un bon de commande sans Patrice Collazo, Christian Labit ni Vincent Etcheto (qui étaient arrivés à la rescousse mi-novembre).
« Je suis prêt à recevoir des coups, à mettre des choses en place pour réussir mais je suis prêt, aussi, à ne pas réussir. »
Est-ce que vous aviez cette envie d'entraîner un jour au plus haut niveau ?
Quand j'ai intégré le staff il y a deux ans (pour assurer l'intérim après le départ d'Olivier Azam en novembre 2022 comme entraîneur des avants), ça m'a plu. Rapidement, j'avais quand même dit au président que je voulais continuer à faire de la formation. Mais je voyais aussi qu'il fallait qu'on arrive à mettre en place des choses à Montpellier pour stabiliser le club. C'était devenu un challenge assez intéressant pour moi. On est partis sur cette aventure humaine avec des anciens du club (il y a joué de 2004 à 2012). J'espère qu'elle durera un peu plus que quelques mois. En tout cas, je suis prêt à recevoir des coups, à mettre des choses en place pour réussir mais je suis prêt, aussi, à ne pas réussir.
Benoît Paillaugue est donc entraîneur de l'attaque...
Il était dans l'organisation (dans le staff des Espoirs), le président lui avait demandé en fin de saison de se rapprocher de l'équipe première. J'ai travaillé un an avec Benoît au centre de formation et j'ai vu très vite qu'il avait des qualités de coach. Un coach travaille beaucoup, il a une réflexion. Benoît est dans cette logique. Et puis il est dans l'ADN du club, c'est quelqu'un qui ne lâche rien, qui a joué plus de 200 matches à Montpellier. C'était important pour moi de partir avec lui.
« Je ne sais pas si ça marchera, je ne sais pas si on est bons, mais on bosse. »
Geoffrey Doumayrou, lui, a pris sa retraite de joueur après le barrage et a immédiatement basculé responsable de la défense ?
Il n'avait pas spécialement envie d'entraîner mais je lui en parlais depuis plusieurs mois. Quand j'étais directeur du centre de formation, j'aurais aimé l'intégrer au staff des équipes de jeunes. Je voulais qu'il bosse sur la défense car je trouve que collectivement, il améliorait ce secteur quand il jouait. Je l'avais vu faire des vidéos au groupe quand il était joueur et je trouvais ça intéressant. Les puristes diront qu'il a zéro expérience, zéro diplôme mais aujourd'hui, je vois un mec câblé pour le haut niveau.
Vous êtes finalement trois à découvrir ce rôle de technicien au plus haut niveau...
On a bossé dur pendant un mois entre le barrage et la reprise (le 17 juillet). Didier Bès (entraîneur de la mêlée), qui a beaucoup d'expérience, nous a permis d'avoir un peu de recul. Tout comme Bernard (Laporte, le directeur du rugby). Il m'aide beaucoup dans cette mission-là, il est au quotidien avec nous. Jérémy Valls sur le jeu au pied et Antoine Battut sur la touche sont aussi précieux. Antoine a été pas mal convoité mais c'était important pour moi de le garder car il est très compétent. Sans oublier Benson Stanley (skills, attitudes au contact et rucks) et Jesse Mogg, qui encadre les jeunes qui montent avec les pros. Je ne sais pas si ça marchera, je ne sais pas si on est bons, mais on bosse... Les résultats feront que ça marche, ou pas.
« Il faut réapprendre à gagner, enchaîner les victoires. »
Est-ce que vous avez des craintes en termes de légitimité ?
On a l'adhésion des joueurs. Cela nous conforte dans nos idées. Après, on est trois gros caractères et on fait tout pour que ça marche. Évidemment que je dors moins la nuit, j'ai envie que ça fonctionne. Pour cela, il faut qu'on gagne d'abord ce premier match contre Lyon (le 7 septembre).
Quels sont les objectifs de la saison ?
On va en discuter pendant le stage en Corse (à partir du 25 août). Je pense que ce n'est pas respecter le Championnat, quand tu as fini 13e, de dire : "on veut être dans les 6". Il faut d'abord réapprendre à gagner, enchaîner les victoires. Cela fait deux ans qu'on ne s'est pas qualifiés, on a d'autres sujets à régler avant d'être dans les six même si on a un président ambitieux, ce qui est normal avec les moyens qu'il met. »
Champion d'Europe
Posté 18 août 2024 - 15:18
Ils ont pas fait long feu les grandes gueules : Patrice Collazo, Christian Labit, Vincent Etcheto.
Mais bon avec Bernardo c'était couru d'avance.
Champion d'Europe
Posté 20 août 2024 - 07:54
Le Montpellier Hérault Rugby n'a pas seulement été concerné par la lutte contre la relégation en fin de saison. Le 24 avril dernier, entre deux nouvelles défaites, à Pau et face à Perpignan, et moins de deux mois avant d'arracher in extremis son maintien à Grenoble (20-18) en barrage, le club était informé, par courrier, du rapport d'observations définitives émis par la Chambre régionale des comptes (CRC) d'Occitanie.
Après les cas de Perpignan, Toulouse et Castres, les magistrats financiers publient ce mardi 20 août leur rapport sur le MHR. Qui, à l'image de sa quête de renouveau sportif autour d'une identité renforcée, va devoir tôt ou tard réviser son modèle économique, qualifié de « fragile » par la CRC.
En 2021-2022, le club héraultais avait réussi le tour de force d'être champion, pour la première fois de son histoire en Top 14, avec la neuvième masse budgétaire. Mais l'exploit ne s'est pas reproduit, et, chaque année, comme la moitié des pensionnaires de l'Élite, la société commerciale rattachée au club (SASP MHR) affiche un déficit structurel d'exploitation.
Entre 2018 et 2022, la période d'étude, dans un contexte de crise sanitaire, elle affiche un résultat négatif de plusieurs millions d'euros (environ 4 250 000 euros en moyenne). « Les seuls salaires et charges sociales absorbent près de 100 % du chiffre d'affaires annuel », peut-on lire dans le rapport.
En général, le MHR présente un budget annuel d'environ 30 M€, ce qui le situe dans la moyenne du Top 14. Au premier poste de dépenses, la masse salariale, charges sociales comprises, représente 70 % du total des charges d'exploitation en 2021-2022, à savoir 22 M€.
Le club compte une centaine de salariés, tous secteurs confondus, et, bien que les plus hauts salaires de l'effectif et du staff aient diminué ces dernières années, la grille du vestiaire s'étire de 10 500 à 38 200 euros mensuels brut. Sans compter les primes (12 000 € par tête pour le titre, 40 000 € en cas de sélection avec le XV de France...). Le joueur le mieux payé en 2021-2022 émargeait à près de 500 000 euros (brut) sur l'année, autant que le manager de l'époque Philippe Saint-André.
Ce ne sont pas les maigres recettes de billetterie (1,5 M€ en 2021-2022), en baisse constante malgré des tarifs très attractifs, qui permettent d'équilibrer la balance. Pour s'en sortir, le club s'en remet aux injections régulières et conséquentes de son propriétaire Mohed Altrad. Entre 2018 et 2022, les produits exceptionnels s'élèvent à plus de 36 M€. Il s'agit essentiellement d'abandons de créances (25,3 M€ au total ; plus 6,5 M€ pour l'exercice 2022-2023), auxquels il faut ajouter un contrat de sponsoring avec la société Altrad Investment Authority à hauteur de 29 M€.
« Ce sont ainsi 61 M€ que le groupe Altrad au sens large a apporté à la SASP MHR », font remarquer les magistrats financiers. Et d'avertir : « Ces abandons de créance illustrent tant la dépendance de la société à son actionnaire majoritaire que la fragilité de son modèle économique. La viabilité du groupement sportif est dépendante du soutien financier de son actionnaire majoritaire complété par celui des financeurs publics locaux et de l'État (en période Covid). »
C'est sur ces derniers que repose l'autre pilier économique du club. Entre 2017-2018 et 2022-2023, il a reçu environ 25 M€ d'argent public. Les collectivités offrent plus de 2 M€ par an de subventions à la société commerciale et à l'association, dont une grande majorité versée par la métropole (760 500 euros en 2022-2023). Une addition, certes en diminution depuis 2017, qui fait du MHR un des « organismes les plus subventionnés » de l'Hérault. Chaque saison, les collectivités dépensent également, en cumulé, plus d'un million d'euros dans des opérations de communication, billetterie et autres hospitalités.
« Les lacunes dans les documents produits (...) rendent difficiles la vérification du respect des plafonds. »
extrait du rapport de la Chambré régionale des comptes d'Occitanie
Pour le strict subventionnement public, les auteurs du rapport alertent sur un possible dépassement du plafond maximal de 2,3 M€ par saison imposé par le législateur par rapport aux missions d'intérêt général. Or, les conventions d'attribution ne donnent pas toujours le détail des financements fournis et des actions envisagées. Il est écrit que « la multiplicité des financeurs, l'imprécision de certaines conventions (...), les lacunes dans les documents produits pour justifier du bon emploi des subventions reçues ainsi que les conditions d'achat de prestations (...) rendent difficiles la vérification du respect des plafonds », théoriquement dépassés en 2017-2018, 2018-2019 et 2020-2021.
Mêmes réserves quant à la convention qui lie depuis 2017 la société commerciale, en charge du secteur professionnel et du centre de formation (qui perd lui aussi un million d'euros par an), et l'association. Les conditions d'utilisation des différentes infrastructures, et les responsabilités qui en découlent, comme les modalités des transferts financiers, posent question aux auteurs. « À ce jour, les conditions de fixation des redevances et autres flux croisés entre l'association et la SASP restent peu transparentes et lisibles », en déduisent-ils.
Dans sa réponse, début juin, Jean-Michel Arazo, alors président de l'association et remplacé depuis (par Marc Bantouré), a fait savoir qu'une nouvelle convention avait été rédigée à la suite de ces conseils, assurant que la nouvelle direction allait tendre vers une gouvernance - « qui favorise la concentration des pouvoirs » jusque-là, d'après la CRC -, et une gestion administrative - « qui l'expose à des risques » - plus rigoureuses.
De son côté, quelques jours plus tôt, la directrice générale du club Jessica Casanova, elle aussi partie depuis (à Toulon), tenait à remercier la CRC d'avoir souligné « l'implication et le rôle essentiel de l'actionnaire majoritaire (...) dans la viabilité notamment financière du groupement sportif ».
Joueur du Grand Chelem
Posté 20 août 2024 - 08:44
Alors que le salary cap 
Joueur de TOP 14
Posté 20 août 2024 - 17:15
Alors que le salary cap
Equipe de France
Posté 20 août 2024 - 18:28
Alors que le salary cap
Champion du Monde
Posté 20 août 2024 - 19:31
Il a arrêté la picole le Billy ? sinon, ça va donner les troisièmes mi temps à Montpeul , l'image du rugby, toussa. 
Joueur de TOP 14
Posté 21 août 2024 - 12:06
Autre article concernant ce "cher" MHR...
Dans un rapport rendu public mardi 20 août, la chambre régionale des comptes d'Occitanie se montre très critique sur la gestion du Montpellier Hérault Rugby entre 2018 et 2022. Elle déplore notamment la concentration des pouvoirs du président du club Mohed Altrad ou encore une situation financière fragile.
Le rapport de 47 pages est acide pour le Montpellier Hérault Rugby. Mardi 20 août, la chambre régionale des comptes d'Occitanie a publié une longue analyse de la gestion du club et de ses comptes entre 2018 et 2022. Et elle se montre particulièrement critique.
Ce rapport arrive après une saison sportive compliquée, le MHR n'ayant sauvé sa place en Top 14 qu'au terme d'un ultime access match contre Grenoble.
Mode de fonctionnement "complexe"Selon elle, le mode de fonctionnement de la structure est "complexe et peu représentatif de son assemblée générale".
La chambre cible notamment le bureau, largement décisionnaire, au détriment du comité directeur. Avec par exemple "une imprécision quant aux champs de compétence de ses instances d’administration, notamment en matière de gestion des ressources humaines, qui conduit dans la pratique à une prédominance de son bureau, et en son sein de son président".
En clair, la chambre constate une prise de décisions des instances gouvernantes "pas formalisées avec la rigueur nécessaire", ce qui engendre "une gestion peu transparente".
Des résultats économiques inégauxLe rapport distingue deux situations bien différentes au sein du club. Elle émet d'abord des doutes sur celle de la structure professionnelle, la Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP).
La viabilité et la pérennité du club professionnel sont tributaires, outre les financements publics, des apports de son principal actionnaire.
Rapport de la chambre régionale des comptes d'Occitanie
Le groupe Altrad Participations, propriétaire de 95,97% des parts en 2022, a ainsi "consenti des abandons de créances pour assurer la trésorerie à hauteur de 31,8 millions d'euros".
En revanche, du côté de la structure associative, après deux saisons (2017-2018 et 2018-2019) déficitaires, la chambre note un résultat net "en amélioration conjoncturelle" lors de la saison 2019-2020 malgré le Covid-19. "L’association se retrouve, à la fin de l’année 2022, à nouveau dans une situation favorable. Ses réserves reconstituées lui permettent de couvrir temporairement son déficit" estime même la chambre.
Autre satisfaction, le non-recours à l'emprunt et le remboursement total de sa dette financière en 2019. "L'association enregistre un fonds de roulement positif tout au long de la période".
Un équilibre fragileMais la question de l’équilibre financier de l’association "se pose au-delà de l’exercice
2022-2023" analyse la chambre régionale des comptes, remarquant "une augmentation des charges, accentuée par la mise en place récente de la rémunération du président de l’association", qui n'est "pas financée à l’heure actuelle par des ressources pérennes et stables".
"Ses charges d’exploitation, partiellement contenues, s’accroissent sous le poids de la rémunération des éducateurs, entraîneurs, bénévoles depuis 2020/2021 et de celle, plus récente, de son dirigeant" poursuit la chambre régionale des comptes.
Une parité absenteLa question de la parité est également épinglée. Rappelant l'obligation pour les clubs de prévoir des "dispositions à l'égal accès des femmes et des hommes aux instances dirigeantes", la chambre pointe l'absence de ces obligations dans les statuts du club.
Aujourd'hui, six femmes sont intégrées au sein de la direction pour une trentaine d'hommes selon la chambre régionale. "L’association doit se conformer à cette obligation réglementaire" insiste-t-elle.
Contacté, le MHR nous indique que Mohed Altrad s'exprimera dans la soirée de ce mardi, lors de la présentation officielle de l'équipe et des maillots de la nouvelle saison.
Equipe de France
Champion d'Europe
Posté 10 septembre 2024 - 14:29
Equipe de France
Posté 10 septembre 2024 - 14:38
Grosse Blague...
Faits divers Stuart Hogg de nouveau arrêté à quelques heures de son procès
https://www.rugbyram...es-12188312.php
Champion d'Europe
Posté 10 septembre 2024 - 14:43
Tkt il auras le droit à une seconde seconde chance
recommandé par Laporte, il va être embauché par la société Codorniu pour diffuser leur cava dans toute la diaspora rubystique 
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