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Aviron Bayonnais


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#556 el landeno

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Posté 23 octobre 2024 - 06:03

Président du Racing, Laurent Travers pourrait devenir le directeur du rugby de l'Aviron Bayonnais
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Après avoir été directeur du Rugby, Laurent Travers est président du Racing 92 depuis juillet 2023. (A.Mounic/L'Equipe)
Pour franchir un nouveau palier, Philippe Tayeb, le président du club de Bayonne, souhaiterait se renforcer avec l'arrivée d'un directeur du rugby. Laurent Travers est dans le viseur.
Guillaume Dufy avec J. F. P. et F. Bepublié le 22 octobre 2024 à 23h33
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Un point de bonus décroché à Bordeaux (27-30), un succès probant à Anoeta contre La Rochelle (37-7), une confirmation samedi dernier, à Jean-Dauger, contre le Racing 92 (32-15) lors des trois dernières journées... L'Aviron Bayonnais va mieux ! Mais pour Philippe Tayeb, l'ambitieux président du club basque, ce n'est pas suffisant. Il veut grandir, et vite.

 
 

Les travaux de l'enceinte ne vont pas tarder à reprendre d'ailleurs, avec une nouvelle phase prévue à partir du mois de février prochain, qui permettra d'accueillir environ 1 500 spectateurs supplémentaires. Son mercato estival fut spectaculaire avec notamment le recrutement de Manu Tuilagi, l'international anglais, longtemps considéré comme l'un des meilleurs centres du monde.

Il a envie d'autre chose pour son équipe, de la voir dominer, prendre des bonus offensifs à chaque rencontre à domicile, de la voir plus haut, installée durablement dans le top 8, voire dans le top 6, de la voir concurrencer les meilleures équipes du Championnat. Il n'a plus envie de trembler comme ce fut le cas la saison passée, de craindre la relégation, ce retour brutal à l'étage inférieur.

Tayeb pense également qu'il doit, pour atteindre l'objectif qu'il s'est fixé, renforcer son staff, ajouter de la compétence à la compétence. Depuis plusieurs semaines, il réfléchit à l'idée de recruter un directeur du rugby, un technicien qui aurait une vision globale du sportif, des professionnels aux espoirs, à l'image de Bernard Laporte qui occupe cette fonction, à Montpellier.

 
 
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Philippe Tayeb, le président du club basque. (N. Luttiau/L'Équipe)

Mais il y a également des directeurs du rugby qui sont sur le terrain, qui entraînent et qui donnent leur avis sur la composition du quinze qui oeuvrera le samedi suivant, comme Pierre Mignoni, le Toulonnais, ou Laurent Labit, le Parisien.

Travers nie en bloc... Patat veut des explications

Quel profil souhaite Philippe Tayeb ? Sollicité, il n'a pas voulu répondre à cette question. Il a juste tenu à préciser que rien n'était signé, qu'il était en pleine phase de réflexion et qu'il était très content de Grégory Patat, son entraîneur, sous contrat jusqu'en 2026, et de ses adjoints. La prolongation de Patat, en discussion voilà un mois, est pourtant aujourd'hui complètement au point mort selon nos informations.

Pourquoi ? Peut-être parce que depuis quelques jours, on entend beaucoup, à droite et à gauche, que Philippe Tayeb serait sur le point d'engager Laurent Travers, le président du Racing 92, qui aurait très envie de retrouver un rôle proche du terrain. Les deux hommes s'apprécient et discutent beaucoup.

Plusieurs sources nous ont ainsi fait part de discussions avancées entre les deux hommes. D'autres bruits font même état d'un accord. Et d'une possible communication dans quelques jours, peut-être juste avant la réception de Toulouse. Il est aussi question d'un échange entre le président basque et Vern Cotter...

Pour l'instant, Laurent Travers nie en bloc. Et Jacky Lorenzetti, le propriétaire du Racing, assure que son ancien entraîneur ne lui a rien annoncé. Qui dit la vérité ? Qui ment ? La frontière est ténue. Mais pourquoi Laurent Travers, qui voudrait à nouveau entraîner, accepterait ce genre de poste, cette fonction de directeur de rugby au-dessus des partis ?

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Laurent Travers. (R.Perrocheau/L'Equipe)

Cette information serait indirectement arrivée aux oreilles de certains joueurs influents et de Grégory Patat, qui logiquement vivrait mal cette agitation que personne ne lui a expliquée... Joint au téléphone, le technicien gersois n'a pas voulu la commenter. On ne saura donc pas s'il est prêt à collaborer avec un directeur du rugby.

Selon nos informations, il aurait demandé un rendez-vous à son président, un rendez-vous qui devrait se tenir avant la fin de la semaine. Il devrait permettre de crever l'abcès ou de faire la lumière sur une situation floue.

 
 

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#557 steph

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Posté 23 octobre 2024 - 08:57

C'est beau. Un président qui va entraîner un autre club. D'ici à ce que Pats devienne coach de Castres, va savoir !
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#558 Lourugby

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Posté 23 novembre 2024 - 12:53

Joli coup réalisé par les bayonnais avec la signature d'Herschel Jantjies, demi de mêlée sud-africain crédité de 25 sélections : https://www.rugbyram...ne-12342440.php

 

C'est un très bon joueur, jeune mais expérimenté, assez offensif...



#559 el landeno

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Posté 29 novembre 2024 - 19:33

Philippe Tayeb, président de l'Aviron Bayonnais : « Il y a une certaine forme de ras-le-bol » Dirigeant de l'Aviron Bayonnais depuis 2018, Philippe Tayeb s'exaspère de voir les présidents prendre constamment « des coups ». Pour autant, l'homme d'affaires souhaite poursuivre l'aventure avec les Bleu et Blanc alors que son mandat arrive à échéance.

Ce dimanche soir, l'Aviron Bayonnais accueillera le Stade Français. Une deuxième rencontre en prime time pour le club basque qui avait accueilli Toulouse, le 3 novembre (12-8). Septième du classement, le club bayonnais espère grimper encore et être dans les six premiers. C'est en tout cas le souhait de Philippe Tayeb, son président, dont le mandat arrive à terme en décembre. Malgré les difficultés rencontrées, il a « envie de continuer », nous a-t-il confié. Entre deux réunions, il a également évoqué les prolongations de contrat et son désir de voir le salary-cap diminué.
 
 

« Qu'avez-vous ressenti en découvrant les déclarations de Guillaume Rouet (demi de mêlée) qui s'attendait visiblement à un peu plus de respect de la part du club (après la signature de l'international sud-africain Herschel Jantjies) ?
Cela a été une grande surprise, on ne lui a pas manqué de respect. Depuis 3 ou 4 ans, il est plus que respecté. On lui a fait confiance, on lui a offert à chaque fois une année supplémentaire. Je me suis entretenu avec le joueur, il y a quand même un procédé à l'Aviron. Le sportif valide ou non, et ensuite, le président intervient pour les négociations. Je trouve que les mots prononcés sont dommageables. Il s'est excusé. Mais il faut faire attention à la portée des mots. Il y a beaucoup de joueurs qui oublient le sens du mot respect. On a déjà eu par le passé quelques joueurs qui ont eu ce genre de sorties, et c'est irrespectueux envers l'institution et la direction.

Est-ce que la saison complexe de Guillaume Rouet (seulement trois matches joués cette saison pour des pépins physiques) peut expliquer ce qui est en train de se passer ?
Non. Il y a un plan de succession. On a un joueur sous contrat, Baptiste Germain. Et on a toujours dit qu'on recruterait un 9. Ce qui est fait avec la signature de (Herschel) Jantjies. Mais à ce jour, il n'y a rien d'engagé avec Maxime Machenaud ou de désengagé avec Guillaume Rouet.

« Peut-être que le rugby français vit au-dessus de ses moyens. Des gens, autour de la table, souhaitent, je ne suis pas le seul, avoir une certaine forme d'équité sportive »

 
 
 
 
 

Vous allez voir Machenaud ?
Oui (il le voit ce vendredi), et juste après, je verrai Camille Lopez. Et je vais discuter avec Guillaume Rouet rapidement. Mais Guillaume a répété à plusieurs reprises que cette saison serait certainement sa dernière. Je suis donc très étonné de cette petite polémique. Quand le sportif et le joueur sont alignés sur l'avenir, c'est au président d'intervenir, et de prendre les décisions financières. Je ne fais pas d'ingérence dans le sportif, j'ai toujours eu cette position. Le premier examen de passage, c'est Greg Patat (l'entraîneur de Bayonne). Si un président impose un joueur, c'est facile pour un staff de dire qu'il ne l'a pas voulu, et que s'il ne joue pas, c'est parce qu'il n'est pas au niveau. Je veux rester à ma place, je suis là pour construire une économie, pour ramener des moyens au sportif.

Un sujet qui a animé votre début de saison, et peut-être un peu gâché celle du joueur, c'est l'avenir de Tevita Tatafu...
Il est sous-contrat jusqu'en 2026, et je n'ai pas eu de demande officielle de transfert. Il est très heureux ici, il a découvert l'équipe de France (première sélection contre le Japon, le 9 novembre) grâce à son travail, grâce aussi à l'Aviron. Cela fait longtemps qu'on s'en occupe, que le staff réalise un boulot de dingue avec lui. C'est un jeune joueur qu'il faut aider et contrôler. On met beaucoup de moyens autour de lui.

Une prolongation est possible ?
Je l'espère...

Votre volonté est d'engager une nouvelle compétence pour vous épauler. On a beaucoup parlé de Laurent Travers, l'actuel président du Racing. Avez-vous évoqué le sujet avec Grégory Patat qui a été surpris en le découvrant ?
On se pose des questions et j'ai échangé avec Greg sur le sujet. Il faudrait peut-être une personne avec une fonction transversale qui aurait un oeil sur les jeunes, sur les espoirs, sur le centre de formation, sur le développement et l'accompagnement des pros mais Greg resterait le patron du sportif et ça se fera en concertation avec lui. On n'invente rien. On essaye d'amener une compétence supplémentaire dans l'intérêt du projet.

Laurent Travers fait toujours partie des candidats ?
Je ne répondrai pas à la question.

Avez-vous trouvé le candidat idéal ?
Ce n'est pas le moment encore une fois. On est dans une période importante. Le rugby français va se réunir à Lyon le 17 décembre, on va aborder des sujets forts, comme le salary-cap. Beaucoup de présidents souhaitent le baisser, c'est mon cas. Cela va nous obliger à avoir une formation encore plus compétitive, et il faut lui donner encore plus de moyens. Peut-être que le rugby français vit au-dessus de ses moyens. Des gens, autour de la table, souhaitent, je ne suis pas le seul, avoir une certaine forme d'équité sportive.

« Aujourd'hui, des présidents sont bousculés, insultés, mal traités, dénigrés »

 
 
 

Vous trouvez que le rugby français vit au-dessus de ses moyens ?
Des clubs qui fonctionnent comme Bayonne, avec une véritable économie, avec un nombre important de partenaires et d'abonnés, il n'y en a pas tant que ça. À Bayonne, il y a 900 partenaires et 9000 abonnés. C'est un modèle qui fonctionne. C'est dur mais ça fonctionne. Je trouve que le rôle du président est très ingrat. Quand tout va bien, c'est le sportif... Et quand tout va mal, c'est le président !

Vous le saviez quand même en acceptant ce poste ?
Non, je ne le savais pas. Quand je jouais, il y avait du respect pour le président. Aujourd'hui, des présidents sont bousculés, insultés, mal traités, dénigrés. On donne, de notre vie, de notre temps. Certains donnent beaucoup d'argent. Ça suffit... On ne peut pas prendre que des coups. Il y a une certaine forme de ras-le-bol.

Votre mandat arrive à échéance ?
Oui.

Avez-vous envie de poursuivre l'aventure malgré les difficultés que vous évoquiez à l'instant ?
Oui, je discute beaucoup avec les membres du conseil d'administration. On est en phase. On n'est qu'à la moitié du projet, de l'histoire de ''Envol 2027'' (projet stratégique et de développement du club). J'ai envie de continuer. Je suis encore très motivé.

Avez-vous entamé des discussions pour prolonger le contrat de Grégory Patat qui est lié au club jusqu'en 2026 ?
Non. Ça se fera en juillet, août... Comme cela avait été fait pour sa première prolongation. »

 
 


#560 el landeno

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Posté 18 décembre 2024 - 21:50

Top 14 : Laurent Travers, président du Racing, va bien rejoindre l’Aviron Bayonnais
  Lecture 2 min
archive-quay-a1-33579165.jpg?v=173455158Depuis 2013 au Racing, Laurent Travers a occupé les fonctions d’entraîneur, de directeur du rugby puis de président du directoire. © Crédit photo : Laurent Theillet
Publié le 18/12/2024 à 20h48.
Mis à jour le 18/12/2024 à 20h53.
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Selon les informations de « Sud Ouest », le dirigeant francilien a indiqué son départ du Racing à Jacky Lorenzetti. Malgré les récents démentis, il occupera le poste de directeur du rugby du club basque à l’issue de la saison

Laurent Travers a fermement démenti, le 24 octobre, sur le site Internet du Racing 92. Philippe Tayeb venait d’en faire de même, quelques heures plus tôt dans « Sud Ouest » : « Je ne sais pas d’où est sortie cette rumeur, indiquait le président de l’Aviron Bayonnais. Il n’y a absolument rien, ni pour maintenant, ni pour la fin de saison. » Pourtant, selon nos informations, l’actuel président du directoire du Racing 92 va bien rejoindre le club basque dans un rôle de directeur du rugby. L’ex-manager du club francilien, champion de France en 2016, prendrait ses fonctions la saison prochaine. Il en a même informé Jacky Lorenzetti, président du conseil de surveillance, qui aurait peu goûté la nouvelle, lui qui l’avait promu à ses côtés dans la direction à l’été 2023.

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Selon les informations de « Sud Ouest », Philippe Tayeb et Grégory Patat se sont entretenus, ce mercredi, au sujet de la possible arrivée de Laurent Travers comme directeur du rugby de l’Aviron. Le manager, qui n’était pas dans la confidence, n’y est pas favorable

Du côté de Bayonne, on ne confirme pas l’information. Tout juste se borne-t-on à dire, en interne, qu’il fait partie des « deux, trois candidats potentiels ». Et pour cause, l’idée était de ne pas ébruiter la nouvelle avant le conseil d’administration (CA) de la fin du mois de janvier. Auparavant, l’assemblée générale du club doit élire la nouvelle équipe dirigeante, et le nouveau président, ce lundi 23 décembre à Jean-Dauger. Sauf surprise, le CA devrait être intégralement reconduit, et élargi à douze membres, contre dix actuellement. Et Philippe Tayeb réélu à sa tête pour un mandat de quatre ans.

Compatible ?

Laurent Travers, qui pourrait arriver accompagné d’un partenaire financier d’envergure, occuperait une fonction « transversale » entre Philippe Tayeb et le manager Grégory Patat. Les dirigeants bayonnais ont mal vécu de se faire doubler sur plusieurs transferts en ce début de saison (Mateo Garcia, Thibaud Lanen, Beka Gorgadze…). Pour eux, leur projet est crédible. Mais il le serait encore plus avec un « nom » pour le représenter. D’où le choix de Laurent Travers.

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Son retour est très attendu. Président du Biarritz Olympique de 2018 à 2024, Jean-Baptiste Aldigé sera de retour à Aguilera, ce vendredi avec son nouveau club du Stade Niçois. Il y retrouvera les propriétaires du BO, qui viennent de déposer une plainte pour abus de biens sociaux qui, en creux, le vise

Comment sera-t-il accueilli par le staff, Grégory Patat en tête ? Le manager actuel ne souhaitait pas forcément la présence d’une personne au-dessus de lui. Et si tel était le cas, il voulait être associé au choix. Or il a découvert celui de Laurent Travers dans la presse, en octobre dernier, avant de solliciter un rendez-vous à son président à ce sujet. L’a-t-il rassuré ? Le Gersois a insisté pour bien définir le périmètre de compétences de chacun. Le sien, le terrain. Problème : l’actuel président du Racing 92 n’a jamais caché sa volonté de se rapprocher du rectangle vert.

Sous contrat jusqu’en 2026, comme l’ensemble de son staff, Grégory Patat souhaitait valider sa prolongation de contrat dans les prochaines semaines. Philippe Tayeb, lui, a évoqué la prochaine intersaison. Pour l’instant, le technicien est dans les clous fixés par son président : le top 8. Avant de se rendre à Vannes, ce samedi à 16 h 30, l’Aviron Bayonnais occupe la cinquième place du championnat.

 
 

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#561 el landeno

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Posté 24 décembre 2024 - 09:13

Continuité et stabilité à tous les étages pour Bayonne Ce lundi, le club basque a offert à Philippe Tayeb un deuxième mandat de président et a prolongé d'une saison le contrat de Camille Lopez.

 
 
 

Lundi, c'était la journée de la continuité à l'Aviron Bayonnais. Au moment du dîner, le club communiquait pour annoncer la réélection de Philippe Tayeb (56 ans) à la présidence, ce qui était dans l'air du temps. Il était de toute façon le seul candidat. Il repart donc pour quatre ans, avec l'espoir de faire grandir encore l'Aviron, en offrant au staff les moyens de construire une équipe compétitive capable de se classer de manière régulière dans les huit premiers du Championnat.

 
 

Les hommes de Grégory Patat qui viennent de s'imposer à Vannes (21-27) sont pour l'instant quatrièmes. Joint au téléphone, Tayeb a accepté de dire quelques mots : « Je suis évidemment très heureux de continuer. Quand je suis arrivé dans ce club, c'était un club secoué et instable. Et avec ce conseil d'administration, on a créé de la stabilité, et aujourd'hui, le club, c'est autre chose qu'une pena (groupe d'amis autour d'une passion commune dans le Sud-Ouest). L'Aviron est un club qui est respecté pour le travail fourni au niveau des finances et également sportivement. Je suis très content de continuer avec ce peuple bayonnais, un peuple excessif et passionné. Et d'ailleurs, je crois que je le suis aussi. »

C'est à l'issue de l'assemblée générale que le conseil d'administration s'est réuni et a procédé à l'élection de Tayeb. Il a également entériné la nomination de deux nouveaux membres : Philippe Ruggieri, ancien président du club, et Thomas Bergeyre. « On passe effectivement à douze, explique Tayeb. C'est un signe d'ouverture, c'est une possibilité pour le club de faire rentrer de nouvelles ressources, de nouvelles compétences et intelligences. Rien n'est fermé, et l'Aviron continue de grandir. »

L'une des premières décisions de son nouveau mandat sera la nomination d'un directeur sportif. « Sur le principe, cette arrivée est effectivement actée, concède-t-il. On n'invente rien. C'est une mission parallèle au responsable du sportif, ce n'est pas une opposition. C'est l'évolution du monde sportif, c'est important pour avoir des relations avec les agents, pour s'occuper de la formation, pour parler aux associations et réfléchir au développement de la marque dans la région et en France. »

 
 

« Camille (Lopez), c'est une personne importante dans le système de l'Aviron, dans le vestiaire »

Philippe Tayeb, président de l'Aviron Bayonnais

 
 
 

Comme L'Équipe l'annonçait le 22 octobre, le favori pour embrasser la fonction est toujours Laurent Travers, l'actuel président du Racing 92.

Juste avant l'apéritif, le club annonçait ou plutôt officialisait ce que tous les supporters du club savaient : la prolongation de contrat de Camille Lopez, l'ouvreur basque, qui avait pourtant laissé entendre avant le début du Championnat que cette saison serait certainement la dernière de sa carrière. Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. À 35 ans, il a considéré qu'il avait encore les jambes, la tête et donc le niveau pour continuer à jouer, à briller et à épauler Joris Segonds, l'autre numéro 10 du club. « Camille, définit Tayeb, c'est une personne importante dans le système de l'Aviron, dans le vestiaire. »

Son après-carrière a été évoqué. « L'Aviron doit s'ouvrir aux anciens qui veulent s'investir, poursuit le patron du club. Cela marche, par exemple, très fort dans le rugby français. On n'est pas plus bêtes que les autres, on n'est pas plus intelligents non plus... Mais encore une fois, je suis très heureux qu'il reste pour nous, il a l'ADN du Pays basque. Il a l'écoute et le regard des autres. Des jeunes notamment. »

 
 

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Posté 27 décembre 2024 - 18:21

Top 14 : l’Aviron Bayonnais est-il en train de changer de dimension ?
  Lecture 2 min
archive-quay-a1-34289424.jpg?v=173531921Giovanni Habel-Küffner suivi par Joris Segonds et Mateo Carreras. Ou le symbole de la densification de l’effectif bayonnais. © Crédit photo : E. Drouinaud
Publié le 27/12/2024 à 16h28.
Mis à jour le 27/12/2024 à 18h06.
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Lancé dans le championnat avec le top 8 comme objectif, le groupe basque, qui reçoit Castres ce samedi, pourrait se retrouver sur le podium à mi-saison. De quoi revoir ses ambitions à la hausse ?

Quoi qu’il se passe ce samedi à 16 heures face à Castres, l’Aviron Bayonnais sera dans les clous de ses objectifs à mi-saison. Le club du président Philippe Tayeb ambitionne de disputer la « vraie » Coupe d’Europe l’an prochain. Cela signifie de terminer parmi les huit premiers du Top 14. Au pire, les Basques achèveront les matches aller à la 6e place. Mais ils nourrissent l’espoir de grimper sur la troisième marche du podium, ce samedi, en restant invaincu à domicile où ils recensent déjà six victoires.

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Alors que son départ pour l’Aviron Bayonnais avait été annoncé dans nos colonnes, Laurent Travers quitte officiellement ses fonctions de président du directoire du Racing 92

La plupart des supporteurs ignorent à quelle distance se situe la zone rouge. Le bas de tableau n’est même pas évoqué dans les conversations. Cela dit quelque chose de la nouvelle dimension prise par les hommes de Grégory Patat (4es, 34 points), pour sa troisième saison à la tête du groupe. « Je ne sais pas si on a changé de statut, souffle le manager. Je le dis souvent : dans ce championnat, il y a Toulouse, il y a le promu qui monte dont on ignore quelle sera son aventure, et au milieu, il y a douze équipes très proches les unes des autres. »

L’Aviron s’est quelque peu détaché d’une partie du peloton. Ce sera encore l’objectif du week-end. « Plus que notre classement, gagner contre Castres (7e, 27 points) signifierait a minima trois points de plus par rapport à la septième place. Ça nous ancrerait un peu plus dans ce top 6. Même si on sait qu’on va se déplacer plus de fois (7) que l’on va recevoir (6) lors de la phase retour, on ne joue pas avec la même pression si on est en haut du classement ou en retard sur des objectifs. »

« J’ai quasiment deux équipes »

Avec déjà deux victoires à l’extérieur (Lyon et Vannes), soit autant que lors des deux dernières saisons réunies, Bayonne semble avoir franchi un cap. « Il y a eu un changement de mentalité, avance l’ailier international argentin Mateo Carreras. On a plus confiance en nous, en l’équipe, en nos coéquipiers. » C’est la nouvelle force d’un groupe plus complet, où les rotations de joueurs ne changent pas fondamentalement le niveau général. « Pour moi, cette mentalité, nous l’avons toujours eu, rétorque Grégory Patat. En revanche, aujourd’hui, j’ai quasiment deux équipes à ma disposition. »

« On a faim mais il ne faut pas s’enflammer. Le point positif, c’est qu’on a encore une bonne marge de progression »

Outre l’exemple Manu Tuilagi, maintes fois cité depuis la rentrée, la charnière nourrit le propos avec Camille Lopez et Guillaume Rouet, titulaires des deux dernières saisons, qui ont reculé dans la hiérarchie au profit de Joris Segonds et Maxime Machenaud. Idem au centre de la troisième ligne où Uzair Cassiem, indispensable par le passé, peut désormais souffler grâce au précieux apport de Giovanni Habel-Küffner. « Je peux manier mon équipe comme je le souhaite. Par le passé, on réalisait des bons parcours à Dauger mais à l’extérieur, on était souvent en difficulté dans les 20-30 dernières minutes, et dans l’incapacité de répondre dans le money time. Cette année, même quand notre contenu est moins bon, on peut forcer la décision. »

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Maxime Machenaud fêtera ses 36 ans lundi prochain. Avant cela, le demi de mêlée sera titulaire contre Castres, ce samedi 28 décembre à 16 heures. Une rencontre qui pourrait propulser l’Aviron sur le podium du Top 14. Lui reste centré sur le contenu de jeu

Y compris celle de s’inviter aux phases finales du mois de juin ? « On y pense, c’est normal, sourit le talonneur argentin Facundo Bosch. On est des compétiteurs, on a faim. Mais il ne faut pas s’enflammer. Regardons d’abord nos performances. Le point positif, c’est qu’on a encore une bonne marge de progression. » Dit comme ça, l’ambition ne semble pas démesurée pour des bleu et blanc qui visaient encore le maintien en mai dernier. Pour info, le 13e et barragiste est aujourd’hui un petit point vert à peine distinguable dans le rétroviseur. Pau campe à quinze longueurs.

Bayonne (4e, 34 pts) - Castres (7e, 27 pts) Lieu Bayonne (stade Jean-Dauger) Horaire Ce samedi 28 décembre, à 16 heures Arbitre M. Rousselet
Bayonne Tiberghien - T. Spring, Maqala, Tuilagi, Carreras - (o) Segonds, (m) Machenaud - Bourdeau, Cassiem, Bruni - Paulos, Chouzenoux © - Cotet, Bosch, Cormenier. Remplaçants : Martin, Bordelai, Poloniati, Heguy, Habel-Küffner, Rouet, Lopez, Tagi
Castres Palis - Hulleu, Botitu, Goodhue, Baget - (o) Popelin, (m) Doubrere - Tukino, Papali’i, Babillot © - Vanverberghe, Ducat - Corato, Colonna, Tichit. Remplaçants : Zarantonello, Walcker, Jedrasiak, Nakarawa, Arata, Le Brun, Chabouni, Chilachava.
 
 


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Posté 14 février 2025 - 20:36

Tatafu, l'absent qui fait beaucoup causer entre Bayonne et Bordeaux Blessé après avoir été au centre d'un imbroglio entre les deux clubs, le jeune pilier droit bayonnais Tevita Tatafu est malgré lui l'un des acteurs majeurs de la rencontre au sommet entre l'Aviron et Bordeaux-Bègles, samedi à 14h30.

 

Tevita Tatafu n'affrontera pas Bordeaux, ce samedi après-midi. Le jeune pilier droit de 22 ans souffre d'un genou, conséquence de sa blessure à une cheville subie en novembre, lors du match France-Nouvelle-Zélande. Depuis, il a rejoué une vingtaine de minutes à Perpignan. C'était il y a une quinzaine de jours. Il a été plutôt à son aise. Mais à chaque fois qu'il monte en intensité, son genou grince et gonfle.

 

Le staff préfère donc attendre qu'il soit totalement remis. Il espère pouvoir l'utiliser contre Clermont, le 2 mars. Quant à Fabien Galthié, le sélectionneur des Bleus, il a bien compris qu'il pourrait difficilement l'utiliser durant le Tournoi des 6 Nations.

Malgré son absence, Tevita Tatafu est un peu la star du moment, et il sera l'un des acteurs majeurs de la rencontre qui opposera ce samedi après-midi, à Jean-Dauger, l'Aviron à Bordeaux. À l'insu de son plein gré ? Un peu, mais pas seulement. En début de semaine, RMC révélait que les dirigeants de l'UBB avaient l'intention de poursuivre en justice le jeune joueur de 22 ans.

Le coach mentor, l'oncle influent et la clause à 500 000 euros

L'histoire est à la fois simple et complexe. En septembre, Tevita Tatafu, qui était lié au club basque jusqu'en 2026, décidait de rejoindre le club entraîné par Yannick Bru, un coach qui compte beaucoup pour lui. Ce dernier l'a fait venir en France et l'a lancé dans le grand bain professionnel, quand il dirigeait encore le club basque. L'idée de retravailler avec lui attirait beaucoup Tatafu, sans doute persuadé aussi que le niveau de l'UBB pourrait l'aider à progresser plus vite, et à s'installer rapidement en équipe de France.

Bordeaux, c'est aussi le club de Toma Taufa, un pilier de 29 ans, oncle du jeune pilier international et personnage central de cette histoire, puisqu'il a beaucoup oeuvré pour que son neveu le rejoigne. Si Tatafu qui, durant cette période de négociations, a changé d'agent pour se rapprocher de celui de Bru, a accepté ce deal de quatre ans, c'est aussi parce qu'on lui affirme qu'il possède une clause dans le contrat qui le lie à l'Aviron et qui lui permet de le dénoncer moyennant le versement d'une indemnité de 500000 euros. Une clause qui avait permis à Matis Perchaud, jeune pilier de Bayonne, de rejoindre Bordeaux il y a quelques mois.

 
Bayonne ne veut pas passer à la caisse

En novembre, Laurent Marti, le président de l'UBB, aurait sollicité Philippe Tayeb, son homologue bayonnais, pour entamer des négociations. Tayeb aurait choisi de ne pas ouvrir la porte, assurant que cette fameuse clause n'existait pas, ajoutant qu'il n'avait guère goûté la manière dont son joueur avait été sollicité. Le 26 janvier, l'Aviron Bayonnais publiait un communiqué dans lequel il annonçait la prolongation de contrat de son joueur jusqu'en 2030. En découvrant la nouvelle, Laurent Marti serait tombé de sa chaise. Les intermédiaires qui travaillaient sur le dossier également...

Fin du psychodrame ? Pour Tatafu, la vie continue et ses blessures n'auraient rien à voir avec ce feuilleton à rebondissements. Il serait très détendu, souriant, et très heureux d'avoir prolongé. Il aurait à nouveau changé d'agent pour revenir avec celui qu'il avait au départ... et aurait également coupé les ponts avec son oncle, bloquant son numéro sur son téléphone portable.

L'histoire du joueur qui se rétracte après la signature d'un pré-contrat n'est pas rare en Top 14. On trouve plein d'exemples : Rory Kockott qui reste à Castres après avoir voulu rejoindre Toulon ; Reda Wardi qui poursuit à la Rochelle après avoir dit oui à Montpellier. À chaque fois, les dirigeants des clubs se passent un coup de fil et s'arrangent financièrement. Mais entre Bayonne et Bordeaux, ce n'est pas le grand amour, c'est même très tendu, et selon nos informations, les dirigeants bayonnais, qui vont soutenir le joueur si une procédure est déclenchée, n'ont pas vraiment l'intention de passer à la caisse, et d'indemniser leurs homologues girondins.

Entre Bru et Tayeb, une enquête pour « violences volontaires » toujours en cours

Sollicités en début de semaine, Laurent Marti et Philippe Tayeb, qui font partie du groupe de soutien à Yann Roubert, le président du LOU et candidat à la LNR, ont refusé de répondre à nos questions, préférant attendre que le match soit passé avant de communiquer de manière plus précise sur cette « affaire Tatafu. » Ils ne parlent pas mais leurs entourages vont ébruiter quelques rumeurs sur la nature du pré-contrat, sur l'argent perçu par le joueur pour signer ce pré-contrat, ou sur l'argent qu'aurait perçu la famille du pilier pour le convaincre de rester au Pays basque. Selon nos informations, Tevita Tatafu aurait perçu une prime de 100 000 euros à la signature de son pré-contrat avec l'UBB.

En avril 2024, pour rappel, à l'issue d'un match entre les deux clubs, Bru et Tayeb, qui étaient très amis avant de se fâcher, s'étaient accrochés, ce dernier portant plainte un mois plus tard pour « violences volontaires dans une enceinte sportive ». Le parquet de Bayonne nous a fait savoir que l'enquête était toujours en cours.

Autre épisode du feuilleton, il y a quelques semaines, Grégroy Patat, l'entraîneur bayonnais, a annoncé en conférence de presse que le jeune ailier Xan Mousques, international des moins de 20 ans, avait décidé de ne pas prolonger son contrat à l'Aviron pour rejoindre... Bordeaux !

 
 


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Posté 14 février 2025 - 21:05

Emprunt pour Jaminet.
Emprunt pour Tatafu.
Emprunt pour Perchaud.

Les banques aiment le rugby.

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Posté 15 février 2025 - 07:15

Emprunt pour Jaminet.
Emprunt pour Tatafu.
Emprunt pour Perchaud.

Les banques aiment le rugby.

En tout cas Tayeb se démerde bien et pourrait faire basculer l 'AB dans le camp des possibles avant probables à ce rythme

 

Leur effectif n 'est pas dégueu/ du tout et avoir résisté aux sirènes de l 'UBB  pour Tatafu , c 'est un sacré signal , envoyé ! 



#566 Sushi

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Posté 15 février 2025 - 14:29

Oui Tayeb, Marty, Lacroix, ils se démerdent bien, mais il y a quelques dégâts collatéraux financiers, au passage, pour les joueurs.
L ASM n est pas toujours exemplaire sur biens des situations vis à vis de certains de ses joueurs, surtout récemment, mais je crois que financièrement, il n y a pas d exemple de joueurs ou de dirigeants qui auraient eu à se plaindre !
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Posté 15 février 2025 - 14:32

Oui Tayeb, Marty, Lacroix, ils se démerdent bien, mais il y a quelques dégâts collatéraux financiers, au passage, pour les joueurs.
L ASM n est pas toujours exemplaire sur biens des situations vis à vis de certains de ses joueurs, surtout récemment, mais je crois que financièrement, il n y a pas d exemple de joueurs ou de dirigeants qui auraient eu à se plaindre !

Chez nous ce sont les joueurs qui sont plutôt empruntés 


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#568 Codorplusàvie

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Posté 15 février 2025 - 14:53

Chez nous ce sont les joueurs qui sont plutôt empruntés 

C'est culturel de ne pas aimer emprunter en Auvergne.

C'est pas le banquier que tu invites en premier au banquet.
Sauf s'il épouse ta fille.




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