Si tu le dis
Biarritz Olympique
#526
Posté 23 juillet 2024 - 16:03
#527
Posté 29 novembre 2024 - 07:07
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Membre du trio repreneur du BO puis du directoire, l’ancien international sud-africain évoque des désaccords stratégiques pour justifier son départ du club aux cinq Brennus
« Je ne m’aligne plus avec les valeurs de la direction. » C’est par ces mots que Flip Van der Merwe, membre du trio repreneur (avec Shaun Hegarty et Marc Baget) du Biarritz Olympique en avril dernier, justifie son départ du club. L’ancien international sud-africain a d’abord pris le rôle de président du directoire, avant de laisser sa place à Arnaud Dubois et rester membre du directoire en charge des infrastructures. « Je laisse le club dans une position mieux que je l’ai trouvé », se félicite l’ex-Clermontois.
Dans son communiqué publié ce vendredi, Flip Van der Merwe prend le temps de remercier Otium Capital et Pierre-Édouard Stérin, milliardaire proche de l’extrême droite et soutien financier au moment de la reprise du BO. Tout en indiquant que « dans la vie, comme dans le rugby, trop de cuisiniers gâtent la sauce et à travers certaines décisions stratégiques récentes, je ne m’aligne plus avec les valeurs de la direction. »
« Les rôles n’étaient pas clairs »Contacté par « Sud Ouest », l’ex-joueur de Clermont affirme qu’un deal a été passé avec le club aux cinq Brennus pour s’en tenir à cette communication publiée sur X (ex-Twitter). « Tout est dit, il n’y a pas de désaccord », poursuit-il, soufflant cependant que « les rôles n’étaient pas clairs ».
En guise de réponse, le président du conseil de surveillance du Biarritz Olympique Shaun Hegarty, par ailleurs grand ami de Flip Van der Merwe, a fait circuler un communiqué dans lequel il explique « prendre acte de [sa] démission », avant de le remercier, en son nom et celui du club, pour « son investissement lors de la transition et des premiers travaux pour améliorer les conditions de vie des joueurs » et lui souhaiter « bonne chance dans ses futurs projets ».
#528
Posté 12 décembre 2024 - 07:08
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Son retour est très attendu. Président du Biarritz Olympique de 2018 à 2024, Jean-Baptiste Aldigé sera de retour à Aguilera, ce vendredi avec son nouveau club du Stade Niçois. Il y retrouvera les propriétaires du BO, qui viennent de déposer une plainte pour abus de biens sociaux qui, en creux, le vise
Le Biarritz Olympique a porté plainte contre X, ce mardi, pour abus de biens sociaux et complicité d’abus de biens sociaux durant votre présidence (2018-2024). Que répondez-vous à cela ?
Je n’ai pas à répondre puisque je ne suis pas X.
Sans vous citer, vous êtes directement visé par ces soupçons de détournement d’argent du club à des fins personnelles…
Je ne sais pas de quoi on parle pour le moment. La seule chose que je sais, c’est que j’ai géré une société pendant six ans, la SASP Biarritz Olympique Pays Basque, et que les clubs de rugby sont les organes les plus contrôlés du pays, puisque vous êtes en permanence contrôlé par un expert-comptable, par un commissaire aux comptes, et en plus par la DNACG (NDLR, devenu A2R, l’autorité de régulation du rugby). Pendant six ans, il n’y a jamais eu un problème, les comptes ont été validés chaque année à l’assemblée générale des actionnaires et par la DNACG. Je découvre tout ça.
Je sais aussi que le club a été cédé, en avril, à la société B.Otiful, après un audit poussé de cette même société. Au moment de l’acte de vente, elle a déclaré avoir reçu tous les éléments comptables, et elle n’a rien trouvé à redire. Elle a donc donné quitus aux dirigeants de ce club, comme moi, sur la gestion comptable. Donc à ce stade, je ne sais pas de quoi ni de combien on parle…
Êtes-vous encore en contact avec vos successeurs ?
Non, je n’ai pas de lien avec eux mais mes avocats en ont puisque toutes les conditions de l’acte de cession signé par les deux parties n’ont pas été remplies, comme la cession de deux véhicules et de leurs cartes grises. J’espère que cela se fera prochainement.
Il m’a dit : « Tu me donnes le club et je pourrais t’intéresser financièrement plus tard dans le succès, parce que tu as bien travaillé »
Le BO, ce n’est pas que Shaun Hegarty. Il y a une équipe autour de lui. J’ai vu qu’elle avait été modifiée dernièrement (NDLR, Flip Van der Merwe est parti) mais la société B.Otiful était composée de Flip Van der Merwe, Marc Baget et maître Cariou-Martin. Par-dessus, ils ont rajouté l’expertise de l’ex-avocat Arnaud Dubois, aujourd’hui mandataire social du club et président du directoire. Le BO, ce sont toutes ces personnes. Cette nouvelle équipe a avancé beaucoup de promesses d’argent, qu’elle n’a pas complètement tenues. M. Van der Merwe devait amener des fonds via des amis sud-africains, puis MM. Dubois et Détré. Finalement, ils ont dû se tourner vers la mairie qui les a aidés avec M. Stérin. Il y a eu des intentions – je ne dirais pas malhonnêtes – mais rien ne s’est passé. L’acte de vente, lui, est signé. Ce ne sont pas des intentions verbales. Et pour l’instant, il n’est pas complètement acquitté. Moi, j’ai fait ma part en donnant le club pour un euro et en abandonnant 2 millions d’euros de compte courant d’associés (NDLR, l’argent appartenait à Louis-Vincent Gave, l’ancien propriétaire).
Avez-vous été vexé d’apprendre que, derrière Shaun Hegarty, il y avait Arnaud Dubois, et un temps Romain Détré, deux personnes avec qui vous étiez en conflit depuis la précédente vente avortée ?
Pas du tout. Shaun m’a appelé, quand nous avons annoncé notre départ, en me disant : « Vu notre amitié, est-ce qu’il y a moyen que tu me donnes le club ? Et je pourrais t’intéresser financièrement plus tard dans le succès, parce que tu as quand même travaillé. » J’ai répondu « non » pour la deuxième partie. Pour le reste, je l’ai prévenu que le BO coûte à peu près 3 millions d’euros par an. Il m’a rappelé plus tard : « J’ai l’argent, s’il te plaît, donne-moi le club. » Il ne l’avait visiblement pas mais j‘ai tenu ma parole. Les gens derrière, ça m’est complètement égal.
« Biarritz est une jolie destination quand on n’a pas à gérer le club de rugby avec toutes ses emmerdes »
Le bon début de saison du Biarritz Olympique vous fait-il plaisir ?
Plutôt, oui. Même beaucoup. Mais c‘est un peu égoïste : j’ai constitué 95 % de l’équipe.
Vous exagérez. Plutôt 70 % puisque les renforts d’Acebes, Dolhagaray, Retière, Selponi, Jegerlehner, Hourcade, Du Preez, Dakuwaqa, Fa’asalele, Douglas, Tukuafu, Shengelia, Narmania et Dzmanashvili ont été signés après votre départ…
Il faut regarder les 55 à 60 contrats, pas uniquement ceux qui jouent.
Comment expliquez-vous que le BO rejoue les premiers rôles après avoir lutté pour son maintien la saison dernière ?
Après avoir sauvé le BO de la relégation financière en 2018, puis l’avoir porté en Top 14 en 2021, l’échec de la vente à M. Dubois et M. Détré (en 2023) nous a obligés à faire une équipe en 12 heures. Forcément, vous jouez le maintien, et on s’est maintenu.
Cette équipe valait bien mieux que le maintien…
Quand vous faites une équipe en 12 heures, le 29 juin, il n’y a pas de raison que vous soyez champion de France au bout.
Entre être champion de France et jouer le maintien, il y a une différence…
C‘est la preuve suprême que le rugby est un sport de temps long, de patience et de construction. Quand vous faites ça le 29 juin en 12 heures, il ne faut pas s’attendre à des miracles. La réalité, c’est que vous n’êtes pas sur la constitution d’un effectif équilibré. Vous êtes sur ce que j’appelle un recrutement d’opportunités. C’est le marché qui s’impose à vous, et non pas vous qui vous imposez sur le marché puisque vous ne prenez que les joueurs encore disponibles à cette date-là. Donc, vous faites avec ce que vous avez sous la main. Par exemple, le 29 juin, à 11 heures du matin, il y a une décision de justice qui fait que Mohamed Haouas n’est plus à Clermont-Ferrand. En une heure, on l’a fait venir parce qu’on avait besoin d’un pilier droit jiff.
Donc selon vous, les polémiques incessantes et la volonté du propriétaire de partir en cours de saison après l’échec du projet à Saint-Sébastien n’ont pas influé sur l’ambiance générale ?
On était parti sur le fameux projet de se rapprocher de Saint-Sébastien. Pour la petite anecdote, le maillot « ikurrina » avec lequel joue le BO cette année, il a été fait en octobre-novembre 2023 pour ce projet à long terme. On a constitué une équipe pour jouer les six, avant Noël avec Matthew Clarkin, avec les recrutements de Beheregaray, Jaminet, Taofifenua, Plantier, Martinez, Bonneval, Guillemin… Saint-Sébastien ne se faisant pas, on est parti. Et quand je vois l’équipe actuelle de Biarritz, cela confirme qu’on ne fait pas les choses en 12 heures.
Jean-Baptiste Aldigé et Shaun Hegarty devraient se retrouver côte à côte, ce vendredi à Aguilera.« Les foules sont parfois versatiles. On brûle ce qu’on a adoré et vice versa »
Avez-vous encore des contacts au club ?
Oui, bien sûr, avec les joueurs et avec les salariés. On s’appelle parfois. On a vécu des moments très sympathiques.
Êtes-vous heureux de retrouver Biarritz, ce vendredi ?
C’est une jolie destination quand on n’a pas à gérer le club de rugby avec toutes ses emmerdes.
À quel accueil vous attendez-vous ?
Je ne sais pas… Mais j’ai reçu un mail du BO me demandant si j’avais besoin d’une escorte de sécurité. Je vous avoue que j’ai été surpris d’apprendre que je risquais ma vie en venant à Biarritz.
Il y avait eu des incidents avec certains supporters la saison passée…
J‘espère me sentir en sécurité à Aguilera. Quel que soit l’accueil, je n’oublierais jamais les bons souvenirs passés pendant six ans, notamment cette montée historique face à Bayonne. Les foules sont parfois versatiles. Le rugby, comme d’autres sports, c’est parfois du pain et des jeux. Parfois, on brûle ce qu’on a adoré et vice versa.
Ça vous est aussi arrivé de brûler ce (ux) que vous avez aimé…
Ah bon ? Qui ?
On ne va pas refaire toute la liste, de Jack Isaac à Francis Saili, en passant par tant d’autres joueurs ou personnels administratifs…
Jack Isaac, ça n’a rien à voir, c’est dans les quatre premiers mois de notre arrivée, et cette décision m’a donné raison puisqu’on est monté dans les trois ans. Francis Saili, s’il y a eu des tensions, elles ne sont pas énormes. Il voulait partir et je ne pouvais pas le laisser partir gratuitement. Mon travail, c’était de protéger les intérêts de l‘institution.
Avez-vous toujours eu l’impression de bien le faire, notamment dans la forme, avec les politiques ou autre ?
Oui. On voulait créer une économie pour le BO, avec un stade, et ceux qui ont été élus en 2020 étaient pour (NDLR, Maider Arosteguy et son équipe). Derrière, il n’y a pas eu de stade. Notre idée était de ne pas être dépendant de quelqu’un. Avant-hier, le club était dépendant de Serge Kampf. Hier, il l’était de Louis-Vincent Gave. Aujourd’hui, il est dépendant de Pierre-Edouard Stérin.
Serez-vous en corbeille présidentielle aux côtés de Shaun Hegarty et Arnaud Dubois ce vendredi ?
Oui. Comme ça, s’ils veulent discuter, ce sera avec plaisir. J’étais ravi d’inviter Shaun à mes côtés au printemps dernier, quand j’étais encore à la tête du BO et qu’il arrivait. J‘aurai plaisir à le retrouver au même endroit maintenant qu’il a pris son envol dans cette aventure.
Comment ça se passe cette nouvelle aventure à Nice ?
Très bien !
Ça veut dire mieux ?
Mieux que quoi ?
Qu’à Biarritz.
L’histoire ne change pas. Le Biarritz Olympique avait la capacité d’exploiter une zone de chalandise et de fonder une économie réelle. Ça ne s’est pas fait. L’Aviron Bayonnais a parfaitement appliqué le plan qu’on avait présenté en 2018. Et regardez où en est Bayonne aujourd’hui ? Ça veut dire que ce plan-là était le bon.
“Je souhaite à tous les présidents d’arriver à tenir six ans à la tête du Biarritz Olympique. Ce n’est pas rien“
Un club de rugby professionnel au Pays basque, c’est une passion folle, comme le foot à Marseille. En plus, vous avez un concurrent à trois kilomètres. Je souhaite à tous les présidents d’arriver à tenir six ans à la tête du Biarritz Olympique. Ce n’est pas rien. Une fois que vous avez fait ça, vous pouvez aller partout. C’est formateur. Ce n’est pas un long voyage tranquille, mais on dit que les voyages forment la jeunesse.
Ce qui veut dire que vous êtes différent désormais, moins éruptif ?
Je suis absolument le même. À part que je n’ai pas la même situation face à moi.
Quelle est-elle ?
À Nice, j’ai une asso extraordinaire avec 950 gamins, avec un président totalement impliqué. J’ai des actionnaires et des pouvoirs publics complètement derrière nous. Ce n’est pas pour critiquer ceux du Pays Basque. C‘est une situation compliquée pour le pouvoir politique d’avoir deux clubs à trois kilomètres l’un de l’autre. À Nice, on est dans la normalité d’un club sur le territoire. Le pouvoir politique et les partenaires ne sont pas scindés en deux. Tout le monde pousse derrière ce club et ça se passe très bien.
Quelle est votre relation avec le maire Christian Estrosi ?
Très bonne. Le stade va se faire d’ici trois ans. Les financements ont été acceptés et trouvés par les collectivités : la mairie, le département, la région. Ce stade municipal n’est pas sous un bail emphytéotique. C’est une maîtrise d’ouvrage public. On ne sera que le locataire. Actuellement, on a une magnifique pelouse, ça change de Biarritz, mais au niveau des tribunes, on est plus sur celles du Bendern que sur la tribune Kampf.
Quelle est l’implication de Louis-Vincent Gave à Nice ?
On est venu au Stade Niçois à travers une de mes entreprises, Sport Inside Europe, qui est actionnaire du club. À l’intérieur, il y a Louis et d’autres personnes.
Qui sont ?
Des gens de tout horizon. De Hong Kong, des États-Unis, de Monaco, des amis à moi… Ils ne souhaitent pas apparaître. On a appris de notre expérience biarrote. Se retrouver avec l’argent de Louis Gave, financier de Hong Kong, à la tête d’un club de rugby, ça donnait lieu à toutes les affabulations et théories fumeuses. Au lieu d’arriver en « propre », on a créé une société où on est plusieurs. C’est une personne morale et on est là pour faire du rugby.
“Si on se maintient avec Nice, on sera très ambitieux l’année prochaine”
Début septembre, dans une interview à « Sud Ouest », vous disiez que Louis-Vincent Gave, prendrait, à terme, 51 % du capital du Stade Niçois. Où en est-on ?
Sport Inside Europe, pas Louis.
Qui n’est pas financé essentiellement par lui ?
On est cinq, à parts égales.
Vous êtes aujourd’hui minoritaire au capital du club…
L’année prochaine, on aura 40%. Et dans deux ans, à la fin de la troisième année, on aura 51%. Pourquoi 51% ? Parce que quand vous vous retrouvez à payer tout seul chaque année vos augmentations de capital pour satisfaire le budget, au bout d’un moment, vous vous retrouvez à 90%, comme c’était le cas à Biarritz. Et à un moment donné, vous êtes tout seul alors que le rugby est un sport de territoire. Et quand on dit que c’est un sport de territoire, c’est par les gens qui le financent, c’est-à-dire les TPE-PME autour. A La Rochelle, vous avez un actionnaire majoritaire à 50 %, et le reste, ce sont les autres acteurs économiques du territoire qui se partagent le réseau d’actionnariat. Ils se sentent impliqués et valorisés dans le projet, et activent la machine du tissu économique local. L’idée n’est absolument pas de se retrouver à 100 %.
Louis-Vincent Gave vient-il aux matches ?
Pas encore, mais il viendra sans doute.
Il est moins impliqué qu’à Biarritz ?
Il ne l‘était pas vraiment, mais si vous me parlez de passion, il était très passionné des matches de Biarritz et il est très passionné des matches de Nice qu’il regarde.
Est-ce que le maintien est possible et, si vous n’y parvenez pas, est-ce que cela change quelque chose à votre implication ?
On adorerait se maintenir même si ça va être compliqué. J’avais dit qu’on avait une chance sur 10. Même en Nationale, on serait venu. Là, on est en Pro D2, avec deux intérêts : les collectivités ont décidé de fournir un stade à Nice, quoi qu’il arrive. Avec ce stade on aura une politique économique sur laquelle on pourra s’appuyer pour avoir une politique sportive. On pourra avoir du pognon pour faire des stratégies sportives. Le deuxième intérêt, c’est que venant du monde fédéral, nous n’avions pas de centre de formation agréé. Si vous formez un bon joueur, n’importe quel club vient le prendre gratuitement. Si vous prenez un joueur étranger, vous ne pouvez pas lui donner le statut jiff (joueurs issu des filières de formation française), comme on a pu le faire avec Joe Jonas à Biarritz, par exemple. Maintenant, vous gardez l’agrément même en cas de descente.
Aujourd’hui, on adorerait se maintenir. Si on se maintient, on sera très ambitieux l’année prochaine. Sinon, on aura le désir de remonter.
#529
Posté 16 décembre 2024 - 21:31
Actuel 4e de Pro D2, le BO va rétrograder au classement. Le club basque se voit retirer cinq points à la suite d'une décision de la formation régulation du conseil de discipline du rugby français, a annoncé ce lundi soir la LNR. « Cette sanction est, notamment, la conséquence de retards et de non-communication à la commission de contrôle de l'autorité de régulation d'informations et de documents demandés à la société sportive », a indiqué l'instance.
Cette décision a été prise à la suite de l'audition le 13 décembre du BO et après analyse du dossier et des arguments présentés par le club. Biarritz se voit aussi sanctionné d'une amende de 10 000 euros qui a « par ailleurs pour effet d'emporter révocation de l'intégralité du sursis (10 000 € d'amende) prononcé par la formation régulation à l'encontre de la SASP Biarritz Olympique Pays Basque (décision du 12 juin 2024) ». Le BO a annoncé lundi soir qu'il ferait appel de la décision.
#530
Posté 16 décembre 2024 - 22:24
ca en fait des commissions tout ça ....
#531
Posté 16 décembre 2024 - 22:28
Dehors !!!!!
#532
Posté 19 décembre 2024 - 19:13
ça continue dans la transparence au BO
#533
Posté hier, 07:13
#534
Posté hier, 09:14
C'est pas assez...
En corpo le BO...
Aldigé en taule... et Nice radié à vie...
Ca va bien maintenant, la trêve de Noel est terminée, on reprend les choses en mains et on nettoie proprement pour repartir sur des bases saines dans le rugby français....
#535
Posté hier, 12:48
C'est pas assez...
En corpo le BO...
Aldigé en taule... et Nice radié à vie...
Ca va bien maintenant, la trêve de Noel est terminée, on reprend les choses en mains et on nettoie proprement pour repartir sur des bases saines dans le rugby français....
Ou alors il leur faut Bernie pour passer la vitesse supérieure
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