Champion du Monde
Posté 18 septembre 2024 - 12:58
Pour Marti et Jalibert tout et son contraire circule, venant de personne proche d'eux. Compliqué de savoir qui croire tant tous ont l'air sûr de ce qu'ils racontent. Comme pour Urios avec Jalibert et Woki.
Par contre moi je sais rien dans les deux cas et la c'est fiable a 100% 
Champion d'Europe
Posté 18 septembre 2024 - 15:56
Faut pas croire, entre un employeur et un employé, malgré le respect, la sympathie, des relations amicales eventuelles, ca reste avant tout une relation professionnelle.
Marti a la responsabilité de monter une équipe compétitive pour tenter de gagner un titre donc il ne fera pas n’importe quoi qui mettrait en danger la cohésion du groupe.
Champion d'Europe
Posté 19 septembre 2024 - 06:11
« Ç'a été une période difficile pour moi, consent le pudique gaillard des Highlands (1,98 m, 122 kg). Chaque jour, je devais faire confiance au staff médical, croire au processus de guérison. Je devais comprendre que je n'étais pas le premier à vivre ça, que ça fait partie malheureusement de la vie d'un rugbyman. On doit apprendre à gérer ces émotions-là. »
« (Gray) a montré que c'était un bosseur sur lequel on peut compter »
Shaun Sowerby, entraîneur de la touche bordelaise
Gray regarde le quinze du Chardon disputer la Coupe du monde 2023 puis le Tournoi des Six Nations 2024 sans lui. Mais dans son malheur, il voit une éclaircie : conseillée par son directeur de la performance Thibault Giroud, l'UBB le contacte pour lui offrir un nouveau départ. « Je connaissais Thibault depuis son passage à Glasgow (en 2016-2017), sourit Gray. On est de bons amis. Il est fou et très intelligent, je l'adore ! »
Le manager, Yannick Bru, et le président, Laurent Marti, croient en la capacité du deuxième-ligne à redevenir une référence mondiale, malgré sa longue absence. Libéré par Exeter en avril, Gray s'engage avec Bordeaux, rassuré par les avis de son frère Richie, passé par Castres (2013-2016) et Toulouse (2016-2020), et de son pote Finn Russell, ancien maestro du Racing (2018-2023).
Depuis son arrivée, l'Écossais (77 sélections) impressionne. Installé à Gradignan (Gironde) avec sa femme et ses jeunes enfants, il s'astreint à des leçons de français, même s'il juge, sévèrement, le parler « comme une vache espagnole ». Surtout, Gray a déjà été responsabilisé comme leader de touche.
« Jonny s'est bien adapté. Il a fait une forte impression au groupe et il a aussi montré que c'était un bosseur sur lequel on peut compter, salue Shaun Sowerby, arrivé lui aussi cet été comme entraîneur en charge de la touche. En conquête, il y a plusieurs facteurs pour être un bon leader. D'abord, l'intelligence et la compréhension. Ensuite, il faut fédérer les gens autour de soi. Et enfin, la capacité à s'adapter à une culture différente, une méthode différente, dans un langage différent. »
Au moment d'entrer en jeu face au Stade Français le 7 septembre (46-26), Gray était forcément ému : enfin il redevenait rugbyman. « Ça faisait longtemps que je n'avais pas joué. Quand on m'a dit que j'allais entrer en jeu, j'ai dû me concentrer rapidement, revit-il. Mais ce n'était pas facile de rester froid parce que ce moment signifiait beaucoup pour moi et tous ceux qui m'ont soutenu. Pour ma famille, mais également pour Yannick et Laurent, qui ont cru en moi alors que j'avais une blessure importante (rupture du tendon rotulien). Depuis le début, ils m'ont fait confiance et je voulais leur rendre ça, bien jouer pour eux aussi. Donc en entrant, j'ai juste pensé que j'étais très chanceux. Et j'aurais aimé revenir quelques mois en arrière pour me dire que j'allais réussir à revenir sur le terrain. »
Après la petite demi-heure disputée contre Paris, Gray n'était pas complètement rassasié. Du coup, il a joué quatre-vingts minutes la semaine suivante à Lyon (défaite 28-26) et réussi 23 plaquages. Un rendement d'affamé, ponctué de quelques gestes délicats, comme cette passe après contact pour offrir l'essai à Ben Tapuai. Pas mal pour un revenant. « Je ne suis pas content de la façon dont je joue pour le moment, contre le deuxième-ligne. J'espère que je vais devenir meilleur, je veux montrer du respect au club. » L'exigence n'est pas une option, même quand on a déjà pas mal de cours de français.
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2024 - 06:27
On apprend que l 'UBB se positionne pour recruter Posolo Tuilagi , après avoir entre autres déjà lancée une banderille sur Gaetan Barlot....
Le moins que l 'on puisse dire c 'est que Marty ne s'endort pas sur ses "lauriers " à conquérir d'ailleurs
Raymond Calbuth III
Posté 19 septembre 2024 - 06:48
avec tout le fric que va libérer Jalibert, il aura de quoi acheter.
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2024 - 08:13
Ne pas faire péter le PEL, quand il s'agit de prolonger l'un des 3 meilleurs ouvreurs du monde, serait une hérésie... c'est quand même le mec qui te fait gagner des titres, contrairement au transparent NTK, non ? 😉😎Faut pas croire, entre un employeur et un employé, malgré le respect, la sympathie, des relations amicales eventuelles, ca reste avant tout une relation professionnelle.
Marti a la responsabilité de monter une équipe compétitive pour tenter de gagner un titre donc il ne fera pas nimporte quoi qui mettrait en danger la cohésion du groupe.
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2024 - 20:22
Suggestion pour la Hyène : Renommer ce topic "Racing UBB" 
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2024 - 21:24
Suggestion pour la Hyène : Renommer ce topic "Racing UBB"
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2024 - 22:34
Ils jouent bien et perdent les matchs importants donc c'est pas la peine.
On les renommera quand ils auront gagné un Brennus en marquant 3 essais sur maul en finale.
Ben c'est un racing qui gagne pas 
Champion d'Europe
Posté 22 septembre 2024 - 08:19
À la longue, ça doit être fatigant de brandir aussi souvent le poing. Perché en haut de la tribune de Chaban-Delmas, entre ses collègues Jean-Baptiste Poux et Christophe Laussucq, Noel McNamara avait souvent le bras en l'air pour célébrer l'oeuvre de ses ouailles. L'entraîneur de l'attaque girondine, comme les 32 000 spectateurs venus prendre leur dose bimensuelle de dopamine, a apprécié ce qu'il a vu samedi soir.
Les joueurs de l'UBB ont accompli un festival offensif total face au Racing (52-34) et, cette fois-ci, pas de bonus offensif bêtement perdu ou de victoire échappée à l'ultime minute. Les Bordelais ont retenu la leçon des deux premières journées contre le Stade Français (46-26) et à Lyon (28-26), ces quatre points au classement lâchés en route. Et même si l'UBB s'est fait une nouvelle frayeur avec trois essais encaissés en fin de match, le compte est bon cette fois-ci : cinq points sur cinq.
Et cette note de premier de la classe pourrait tout aussi bien être décernée aux deux ailiers de l'UBB : Louis Bielle-Biarrey et Damian Penaud. Les numéros 11 et 14 ont largement pris les choses en main et, quand ils reverront le match à la vidéo, les Franciliens auront la désagréable impression d'avoir joué le rôle du coyote impuissant face à l'insaisissable Bip Bip. À la nuance près qu'il y avait deux sacrés oiseaux à courser.
Et aux phénomènes de l'aile, on peut ajouter des centres perforants et un Matthieu Jalibert encore irrésistible à la baguette. Comme si l'ouvreur international, monstrueux un soir de Coupe des champions contre les Saracens en janvier dernier (55-15), n'était jamais aussi bon que lorsqu'il affronte son idole Owen Farrell. « On a trouvé beaucoup de solutions et on a pris beaucoup de plaisir, en allant chercher les espaces », savourait simplement le numéro 10 après la rencontre. « On connaît la qualité qu'ils ont chez les trois-quarts, soufflait de son côté le Francilien Max Spring. Derrière, ça va à 10 000. »
Effectivement, ça va vite, Penaud a entamé les réjouissances en inscrivant les deux premiers essais de son équipe, à chaque fois en repiquant à l'intérieur pour éviter le dernier défenseur tel un matador de couloir (9e, 12e). Puis, bien plus tard, il s'est offert un triplé en « volant » un essai aux gros, tranquillement calé en fond de maul (71e). « On n'en veut pas à Damian, a souri le coach de la touche Shaun Sowerby. S'il marque à chaque fois qu'il vient derrière les avants, pas de problème ! »
Après avoir perdu le bonus offensif en dégageant le ballon en touche avec la main contre Paris il y a quinze jours, Penaud avait cru se rattraper en marquant l'essai de la presque victoire à Lyon la semaine dernière. Sa performance de samedi, complétée par une agressivité défensive bienvenue (Gaël Fickou doit encore se souvenir du tampon infligé par son pote en équipe de France), lave en grande partie l'ardoise.
Bielle-Biarrey, lui, n'avait rien à se reprocher avant le coup d'envoi. Est-ce pour cette raison que l'ailier casqué a joué avec autant de liberté ? C'est bien simple, il a tout bien fait ou presque. Auteur d'un doublé express (17e, 19e) après des coups de pied de... Penaud et Nicolas Depoortere, l'ancien Grenoblois a réglé Henry Arundell à la course après avoir intercepté une passe malvenue de Sam James (53e).
En plus de ça, l'international a glissé deux passes décisives à... Penaud (12e) et Depoortere (45e). Une implication maximale qui montre que Bielle-Biarrey prend à chaque sortie une ampleur grandissante. « Maintenant, tout le monde connaît Loulou, sourit son partenaire en troisième-ligne Bastien Vergnes-Taillefer. Il est de plus en plus complet, notamment sur les taches défensives. Il s'étoffe. C'est une bonne chose pour nous et pour ses objectifs avec l'équipe de France. »
Si les tests-matches de novembre ne sont pas encore pour tout de suite, les deux ailiers bordelais ont prouvé qu'ils avaient déjà leurs cannes internationales. Les Racingmen n'ont pu que le constater. Alors qu'ils regagnaient le vestiaire avec les 52 points encaissés au fond des chaussettes, ils ont aussi vu le ciel noir girondin strié par le tonnerre et ses flashs lumineux. Mais l'orage était déjà passé et deux éclairs avaient frappé fort avant le déluge.
Champion d'Europe
Posté 23 septembre 2024 - 09:17
Ne pas faire péter le PEL, quand il s'agit de prolonger l'un des 3 meilleurs ouvreurs du monde, serait une hérésie... c'est quand même le mec qui te fait gagner des titres, contrairement au transparent NTK, non ?
tu es au courant que le rugby se joue à 15 (23)?
mais oui l'un des 3 meilleurs ouvreurs du monde assuremment voire meme...
Ils jouent bien et perdent les matchs importants donc c'est pas la peine.
On les renommera quand ils auront gagné un Brennus en marquant 3 essais sur maul en finale.
depuis le debut de la saison, 17 essais...16 inscrits par un 3/4!!
donc j'ai un doute pour 3 essais sur maul en finale...faut deja pouvoir y retourner!!
Joueur de 1ère série
Champion d'Europe
Posté 25 septembre 2024 - 18:02
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 18:06
Si c'est le radis qui le dit...
Oui c'est un fane 
Champion d'Europe
Posté 25 septembre 2024 - 19:00
Yoram Moefana, 24 ans, originaire de Futuna, passé en métropole par Limoges et Colomiers, évolue depuis cinq ans avec l’UBB. Formé au centre mais capable de jouer à l’aile, il s’est révélé en 2020 et a été appelé en équipe de France après seulement six matches disputés en Top 14. Depuis, Moefana s’est installé à l’UBB (84 matches, 13 essais), compte 28 sélections avec les Bleus (4 essais inscrits), et était l’objet d’approches du Stade Toulousain.
Cette prolongation de Moefana pourrait précéder celle, plus complexe, de l’ouvreur international Matthieu Jalibert, en fin de contrat en juin prochain. Samedi, après la victoire de l’UBB contre le Racing 92 (52-34) durant laquelle il a inscrit un essai et 17 points au total, Jalibert avait indiqué avoir « conscience » d’être « dans un grand club » et être « très fier de porter ce maillot ».
« On ne s’est pas mis d’accord »À l’évocation de son avenir, l’ouvreur qui fêtera ses 26 ans en novembre avait expliqué qu’« à chaque fin de contrat, il y a des négociations, plein de choses qui entrent en compte », affirmant que « pour l’instant, c’est un peu en stand-by. Je serais très heureux de rester ici. Il faut que les négociations reprennent ».
« Je sais la chance que j’ai de jouer pour ce club, devant ce public, je m’en rends compte à chaque fois, avait-il poursuivi. Je n’ai pas non plus envie de me précipiter, j’arrive à un tournant de ma carrière, je prends le temps de la réflexion. On a beaucoup discuté avec Laurent (Marti, le président). Pour l’instant, on ne s’est pas mis d’accord. On va avancer doucement ».
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