Vertige Racing Spatial
#4111
Posté 22 mai 2024 - 14:12
#4112
Posté 22 mai 2024 - 16:45
Alors, il me manque tous les termes français, donc je vais essayer d'expliquer succinctement, au mieux, en simplifiant beaucoup :
En gros, tu as plusieurs techniques :
1. Comme avec n'importe quel objet spatial, tu peux observer l'influence qu'il a sur les autres objets (les étoiles par exemple) qui se trouvent pas trop loin.
Notre soleil a un effet gravitationnel sur notre Terre, mais notre Terre a également un effet gravitationnel (moindre) sur notre soleil ; cet effet est directement lié à leur masse respective ; pour simplifier (vraiment beaucoup), imagine tendre un drap avec un ami, y déposer une boule de pétanque et un cochonnet de pétanque ; les deux boules déforment le drap, et exercent donc un effet d'attraction sur l'autre boule, mais il est clair que la boule de pétanque déforme davantage le drap que le cochonnet, et a donc un pouvoir d'attraction plus élevé ; celui-ci est lié à la masse.
Il en va de même avec notre trou noir. Donc même si tu ne peux pas le voir, tu peux le deviner car il a un effet sur ce qui est autour de lui. Tout ça se calcule assez simplement, du moins si le trou noir a la bonne idée de ne pas bouger. Il suffit de résoudre des équations simples de relativité générale (pan de la physique inventé en grande partie par Einstein), ce qu’on sait faire depuis plus d’un siècle. C’est d’ailleurs en règle générale comme ça qu’on détectait les trous noirs : tu voyais l’effet de la boule de pétanque sur le drap, sans pour autant voir la boule en elle-même, mais tu déduisais qu’elle était bien là.
2. Tu peux étudier comment les gaz et la matière se comportent à proximité d'un trou noir ; en gros, ils forment une sorte de disque brûlant et crépitant de très haute température. Donc tu ne peux certes pas voir le trou noir, mais tu peux voir "son ombre" portée sur la matière en l'observant au télescope (un bon télescope quand même ! Et il a coûté cher !). Tu peux en déduire le diamètre du trou noir, ainsi que sa masse. C’est une possibilité récente.
Bon, j’ai vraiment simplifié. Dans les faits, il y a des complications dues notamment au fait que les trous noirs ne se tiennent pas toujours immobiles.
Je ne sais pas si j'ai été très clair (en plus, j'écris ça en vitesse)). Je ne passe jamais sur ce sujet, donc si tu as des questions, envoie-moi un MP pour m’en avertir, ou cite-moi, et j'essaierai de faire de mon mieux.
Ouais, c'est pas faux.
#4113
Posté 22 mai 2024 - 20:32
Alors, il me manque tous les termes français, donc je vais essayer d'expliquer succinctement, au mieux, en simplifiant beaucoup :
En gros, tu as plusieurs techniques :
1. Comme avec n'importe quel objet spatial, tu peux observer l'influence qu'il a sur les autres objets (les étoiles par exemple) qui se trouvent pas trop loin.
Notre soleil a un effet gravitationnel sur notre Terre, mais notre Terre a également un effet gravitationnel (moindre) sur notre soleil ; cet effet est directement lié à leur masse respective ; pour simplifier (vraiment beaucoup), imagine tendre un drap avec un ami, y déposer une boule de pétanque et un cochonnet de pétanque ; les deux boules déforment le drap, et exercent donc un effet d'attraction sur l'autre boule, mais il est clair que la boule de pétanque déforme davantage le drap que le cochonnet, et a donc un pouvoir d'attraction plus élevé ; celui-ci est lié à la masse.
Il en va de même avec notre trou noir. Donc même si tu ne peux pas le voir, tu peux le deviner car il a un effet sur ce qui est autour de lui. Tout ça se calcule assez simplement, du moins si le trou noir a la bonne idée de ne pas bouger. Il suffit de résoudre des équations simples de relativité générale (pan de la physique inventé en grande partie par Einstein), ce qu’on sait faire depuis plus d’un siècle. C’est d’ailleurs en règle générale comme ça qu’on détectait les trous noirs : tu voyais l’effet de la boule de pétanque sur le drap, sans pour autant voir la boule en elle-même, mais tu déduisais qu’elle était bien là.
2. Tu peux étudier comment les gaz et la matière se comportent à proximité d'un trou noir ; en gros, ils forment une sorte de disque brûlant et crépitant de très haute température. Donc tu ne peux certes pas voir le trou noir, mais tu peux voir "son ombre" portée sur la matière en l'observant au télescope (un bon télescope quand même ! Et il a coûté cher !). Tu peux en déduire le diamètre du trou noir, ainsi que sa masse. C’est une possibilité récente.
Bon, j’ai vraiment simplifié. Dans les faits, il y a des complications dues notamment au fait que les trous noirs ne se tiennent pas toujours immobiles.
Je ne sais pas si j'ai été très clair (en plus, j'écris ça en vitesse)). Je ne passe jamais sur ce sujet, donc si tu as des questions, envoie-moi un MP pour m’en avertir, ou cite-moi, et j'essaierai de faire de mon mieux.
Merci d'avoir pris le temps de détailler ta réponse, et en des termes accessibles. Cela me paraît un peu plus clair.
#4114
Posté 25 mai 2024 - 21:59
Gliese -12B une planète habitable ! ..après 225.000 années de voyage
Planete-Gliese-12-b-espace-1870244.jpg
Illustration réalisée par un artiste représentant la Terre (à gauche) et trois interprétations possibles de la planète Gliese 12 b (à droite). - NASA/JPL-Caltech/R. Hurt
Une nouvelle planète habitable? En collaboration avec l'Agence spatiale américaine (Nasa) et l'Agence spatiale européenne (ESA), des scientifiques de l'Université de Warwick en Angleterre ont confirmé l'existence d'une nouvelle planète potentiellement habitable, dans une étude publiée le jeudi 23 mai.
Baptisée "Gliese 12 b", cette exoplanète est située en dehors de notre système solaire à plus de 40 années-lumière. Il s'agit de l'une des rares planètes rocheuses connues où les humains pourraient théoriquement survivre, indique la radio britannique BBC.
"Il s'agit d'une découverte vraiment passionnante qui facilitera nos recherches sur des planètes similaires à la Terre dans notre galaxie", s'est réjoui l'astrophysicien Thomas Wilson à la BBC.Une température de 42°C
Selon les scientifiques, la nouvelle exoplanète Gliese 12 b orbite autour d’une étoile naine rouge froide située dans la constellation des Poissons. Cette étoile fait environ 27% de la taille de notre soleil et 60% de sa température.
Si la planète Gliese 12 b est considérée comme potentiellement habitable, c'est parce qu'elle réunit un certain nombre de critères. En plus d'être en orbite autour de son étoile, comme la Terre autour du Soleil, Gliese 12b se situe à une distance suffisante pour que de l'eau existe à l'état liquide.
En partant de l’hypothèse que l'exoplanète n’a pas d’atmosphère, les scientifiques ont calculé que sa température de surface était d’environ 42°C. Une température qui, selon la BBC, équivaut à celle enregistrée au Royaume-Uni durant l'été 2022. En effet, une fois qu'on identifie la température de la surface d'une planète, il est alors plus simple de déterminer si elle abrite les ressources nécessaires à la vie telles que l'eau.
Pour confirmer l'existence de la planète Gliese 12 b, l'équipe de chercheurs a analysé les données des satellites de la Nasa et de l'ESA sur sa taille, sa température et sa distance par rapport à la Terre.
"Ce qui est passionnant, c'est que cette planète est la planète la plus proche de la Terre, en termes de taille et de température, que nous connaissions", a déclaré l'astrophysicien Thomas Wilson à la BBC.Un voyage spatial de 225.000 ans
À l'heure actuelle, les scientifiques ignorent la composition exacte de l’atmosphère de cette planète, bien que la somme de certains paramètres semble indiquer la présence d'eau.
Mais au risque d'en décevoir plus d'un, la planète Gliese 12 b se trouve à 12 parsecs, a indiqué l'astrophysicienne Larissa Palethorpe à la chaîne de télévision américaine CNN. Autrement dit, il faudrait environ 225.000 ans pour espérer l'atteindre à bord des fusées spatiales que nous connaissons actuellement.
Concernant la prochaine étape, les scientifiques espèrent utiliser le télescope spatial James Webb pour effectuer une analyse spectroscopique. Cette méthode consiste à capter la lumière des étoiles qui brille à travers l’atmosphère d’une exoplanète et à observer quelles longueurs d’onde sont absorbées par certaines molécules. De cette façon, les scientifiques pourraient en apprendre davantage sur la composition de l’atmosphère.
"Cette planète nous apprendra en particulier comment la Terre est devenue habitable", a confié Larissa Palethorpe à CNN, "[et] nous indiquera les voies d'habitabilité que les planètes empruntent au cours de leur développement".
#4115
Posté 27 mai 2024 - 16:26
Le Badzé m'a parlé de Gisèle 95 B, parait qu'elle est bien habitable aussi
#4116
Posté 27 mai 2024 - 16:36
Le Badzé m'a parlé de Gisèle 95 B, parait qu'elle est bien bitable aussi
Tu confonds pas avec Gilda 23 CM, vertigineuse et réversible?
#4117
Posté 27 mai 2024 - 16:48
Tu confonds pas avec Gilda 23 CM, vertigineuse et réversible?
Les volets rouges ?
#4118
Posté 27 mai 2024 - 19:40
#4119
Posté 27 mai 2024 - 20:21
Ah Amsterdam et ses ruelles tout de rouge éclairées.
À Amsterdam, il y a le Père Bon Dieu, il y a l’edam
#4120
Posté 27 mai 2024 - 22:42
Le Badzé m'a parlé de Gisèle 95 B, parait qu'elle est bien habitable aussi
t'y connais rien ! va faire mumuse avec ton seau et ta pelle
#4121
Posté 28 mai 2024 - 23:53
Il y a un youtuber plutôt décalé (certes, il faut en apprécier la subsantifique moelle de son humour ) dont la chaîne s'appelle 12 Parsec, je trouve ça plutôt amusant !
t'y connais rien ! va faire mumuse avec ton seau et ta pelle
Merci pour les partages, c'est toujours un plaisir de te lire sur ce topic.
Envoyé de mon BAH2-W19 en utilisant Tapatalk
#4122
Posté 29 mai 2024 - 08:35
Il y a un youtuber plutôt décalé (certes, il faut en apprécier la subsantifique moelle de son humour ) dont la chaîne s'appelle 12 Parsec, je trouve ça plutôt amusant !
Merci pour les partages, c'est toujours un plaisir de te lire sur ce topic.
Envoyé de mon BAH2-W19 en utilisant Tapatalk
Ce qui fait tout de même 39 mille années-lumière.
#4123
Posté 29 mai 2024 - 09:52
Ce qui fait tout de même 39 mille années-lumière.
+1 unité de distance utilisée principalement par les astrophysiciens et chercheurs
#4124
Posté 29 mai 2024 - 10:19
un mystère encore entier non élucidé sujet passionnant
Dans un trou noir, l'espace et le temps existent-ils encore Un trou noir, une machine où le temps et l'espace n'existent plus ?
L'une des péripéties du film Interstellar (2014) voit l'astronaute Joseph Cooper s'approcher de Gargantua, trou noir central d'une galaxie imaginaire. Il passe sans encombre le disque de matière qui ceint l'astre et plonge au-delà de ce qu'on appelle son horizon des événements, seuil de la région qui l'entoure d'où rien ne peut s'échapper, pas même la lumière. Cooper est alors brinquebalé vers le centre de l'objet céleste, que Christopher Nolan, le réalisateur, décrit comme une machine où le temps et l'espace n'existent plus...
Un scénario réaliste ? Peut-être… ou peut-être pas. Car, surchauffé à des millions de degrés, le disque de matière qui gravite généralement autour de tels trous noirs supermassifs émet des rayons X délétères. "Sauf si ce disque ne s'était pas alimenté en matière extérieure depuis des millions d'années, ce qui est peu probable, Cooper serait à coup sûr grillé avant d'aller plus loin ! commente Alain Riazuelo, chercheur à l'Institut d'astrophysique de Paris. Le film a cependant raison sur un point : Cooper ne sentirait pas l'effet des forces de marée, inévitable."
"L'espace entre l'horizon et le centre est donc… vide"
Les forces de marée, ce sont les effets dus à l'attraction différentielle des points d'un solide : par exemple, la Lune attire davantage le côté le plus proche de notre planète que son centre, et encore plus que le point opposé. La Terre est étirée dans le sens de l'axe Terre-Lune. Dans le cas d'un trou noir, la puissance de cet effet détermine l'étirement du corps qui s'en approche, un phénomène que le physicien Stephen Hawking a appelé spaghettification. S'il s'agit d'un trou noir d'une à dix masses solaires, le problème est vite réglé : les effets de marée déchirent tout corps constitué bien avant qu'il n'atteigne l'horizon des événements.
En revanche, près de l'horizon d'un trou noir de 225 millions de masses solaires tel que Gargantua, les forces de marée se font encore peu sentir, car leur intensité varie en proportion inverse du carré de la masse centrale. Cooper peut traverser l'horizon sans même s'en rendre compte ! "C'est comme émettre un chèque, sourit Alain Riazuelo. On ne prend conscience du prélèvement qu'après avoir reçu le relevé de la banque." Les signaux que Cooper pourra émettre seront de plus en plus faibles à mesure qu'il s'approche de l'horizon. Passé cette limite, aucun photon ne pourra en parvenir, et l'astronaute deviendra pour toujours invisible aux yeux d'un observateur extérieur. Il pourra cependant continuer à recevoir des messages.Pour le héros d'Interstellar, s'en suit une chute vertigineuse vers le cœur de l'astre. Dans la réalité, elle se déroulerait tout autrement. "Rien ne résiste à l'attraction immense du centre, décrit Éric Gourgoulhon, directeur de recherche à l'observatoire de Meudon. Tout tombe très vite vers lui. L'espace entre l'horizon et le centre est donc… vide."
Et ensuite ? Mystère. Ce qui se passe au centre demeure une énigme. Car les trous noirs restent une des curiosités les plus déconcertantes de notre Univers. Les plus massifs comme Gargantua, qui siègent au centre des galaxies, se sont formés en même temps que leur galaxie-hôte. Ceux dont la masse se situe entre 1 et 10 masses solaires sont la forme ultime d'une étoile massive en fin de vie. Quand celle-ci explose en supernova, son cœur se contracte tellement qu'aucune force nucléaire ne peut plus assurer la cohésion des atomes. Le cœur s'effondre irrémédiablement. "Selon les équations de la relativité générale, mise au point par Albert Einstein en 1915, l'effondrement aboutit à un endroit de densité et courbure infinies, ce que les mathématiciens appellent une singularité", rappelle Éric Gourgoulhon.
Le trou noir, un objet céleste éternel ?
Ce lieu peut avoir plusieurs formes selon la sophistication des modèles. Le plus simple - mais le moins réaliste ! - est un trou noir statique qui n'avale aucune matière. Il est dit de Schwarzschild, du nom du physicien allemand qui en avança le premier l'hypothèse. En ce cas, le centre du trou noir est un point de densité infinie. Une description bien plus réaliste est à porter au crédit du Néo-Zélandais Roy Kerr et de l'Américain Ezra Newman qui, en 1963 pour le premier et 1965 pour le second, envisagèrent le cas d’un trou noir en rotation et de charge électrique non nulle, proposition qui présente cependant elle aussi un défaut : elle suppose que le trou noir n’a pas été créé et ne reçoit pas de matière. Bref, qu’il est éternel.
Dans ce modèle, la singularité n’est plus un point mais un anneau – une théorie qui suscitera les idées les plus farfelues, comme les "trous de ver", tunnels reliant deux points de l’espace-temps, ou le passage d’un univers à un autre. Aborder cet anneau est très difficile, car plus on s’approche du centre, plus la vitesse de rotation est grande. Et avec elle, les forces centrifuges qui tendent à repousser la particule qui s’approche. Il arrive alors une zone, l’horizon de Cauchy, où les forces centrifuges l’emportent. Tout ce qui s’approche est rejeté vers l’extérieur. C’est un mur de rayonnement infranchissable. Dans le cas de notre astronaute interstellaire, "Cooper devrait alors recevoir une quantité de rayonnement infini en un temps infiniment bref", assure Alain Riazuelo.Cependant, aucun de ces modèles ne permet aux physiciens de se débarrasser de la singularité. Ce qui leur pose problème, car ils ne savent pas jongler avec des caractéristiques infinies. De plus, ils reconnaissent que leur description du centre du trou noir est fausse, car elle ne se base que sur la théorie de la relativité générale, qui ne peut s'appliquer à ces densités extrêmes. Règne alors en maîtresse la physique des particules, décrite par la mécanique quantique, une théorie probabiliste. Selon les calculs d'Alain Riazuelo, pour un trou noir d'une masse solaire, ces effets quantiques interviennent 10-24 seconde avant d'atteindre la singularité.
Voyager dans le temps ?
Pour réconcilier ces deux sœurs ennemies de la physique, certains astrophysiciens tentent depuis les années 1960 d'élaborer la théorie des cordes, dans laquelle les particules ne sont plus ponctuelles mais ressemblent à des cordes, à une dimension. D'autres, comme Carlo Rovelli ou Aurélien Barrau, construisent une théorie de la gravitation quantique à boucles, dans laquelle l'espace-temps est granulaire. La taille du plus petit élément est alors l'échelle de Planck, soit 10-35 mètre, longueur à laquelle la théorie de la gravitation cesse de s'appliquer. L'espace-temps n'étant plus continu comme dans la relativité générale, il n'est plus question de singularité de densité infinie. Reste cependant à construire une théorie prédictive et à la vérifier par de multiples tests. Cooper parviendrait-il alors à voyager dans le temps, comme le pense Christopher Nolan ? Peut-être ! Il rejoindrait alors Buzz l'Éclair "vers l'infini… et au-delà".
Les formes du trou noir
Pour un observateur extérieur, le trou noir est délimité par son horizon des événements : au-delà de cette limite, aucun objet, ne serait-ce qu'un photon, ne peut en ressortir. Cet horizon présente une forme quasiment sphérique - plus le trou noir tourne vite, plus cette sphère s'aplatit. Son rayon est proportionnel à la masse de l'objet central. Pour un trou noir d'une masse solaire, il mesure 3 kilomètres. Pour Gargantua, de 225 millions de masses solaires, il serait de 775 millions de kilomètres. À l'échelle du Système solaire, il engloberait tout jusqu'à Jupiter !
Par ailleurs, à l'intérieur du trou noir, l'espace est complètement perturbé. En effet, la courbure de l'espace-temps y est extrême : la notion de distance au centre n'est plus pertinente. "C'est comme une bouteille vue du dessus, prévient Carlo Rovelli, professeur à l'Université Aix-Marseille. L'observateur extérieur ne voit que le bouchon alors que le volume intérieur est bien plus grand." Cette notion de volume est à manier avec prudence, car elle ne s'entend que pour des objets statiques l'un par rapport à l'autre. Or, dans un trou noir, tout tombe vers le centre… Tout est donc en mouvement
- Francoisbougnat aime ceci
#4125
Posté 29 mai 2024 - 18:08
t'y connais rien ! va faire mumuse avec ton seau et ta pelle
Y a du sable sur ta planète ?
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