109 réponses à ce sujet

[ben124]

Chanal met la tartine alors qu'on a un avantage pénalité en cours. 22m face à leurs poteaux.

Et l'essai anglais est entaché d'un en avant d'un mètre.

Heureusement le lendemain Poitrenaud fera passer notre fin de match dantesque dans l'ombre de sa boulette Masterclass en finale de HCup...

 

Oh pinaise, encore plus violent que dans mes souvenirs. On touche au divin. Au dessus c'est le soleil.

[Matt63]

_{Pour TIRE BOUCHON}

_{Effectivement en 1976 à BORDEAUX contre le C.A.B. MONTFERRAND avait  perdu 3/0 ( une pénalité de PUIDEBOIS je crois et assez lointaine il me semble ) Un  match qui n'aurait jamais du être perdu en temps normal, seulement au tour précédent, l'A.S.M avait "sorti" magistralement l'U.S.A.P sans en sortir indemne. En effet le pauvre ROMEU avait été "agressé" par un seconde  ligne nommé ...... Paul GOZE!  ROMEU avait du jouer le match avait un horrible masque sur le visage, ce n'était plus lui mais son ombre sur le terrain........ et nous avons perdu!  Tout le monde savait qu'il n'aurait pas du jouer ce match, mais à cette époque l'équipe de l'ASM était très soudée, ROMEU en faisait partie, la question de sa présence sur le terrain ne se posait pas!  QUELLE EPOQUE OU L'ON PRIVILIGIAIT L'AFFECTIF AU RESULTAT!  Inimaginable aujourd'hui!  Cette année 76 fut l'une des plus belles avec une victoire sur le grand BEZIERS à BRIVE en 1/4 de finale du DU MANOIR par notre monstre à 16 pattes!  Le père d'Aurélien ROUGERIE ( le cube ) jouait je crois ce match là en 1ère ligne.}

 

Le nombre de fois ou ma mère m'a raconté ce déplacement... J'ai l'impression de l'avoir vécu alors que je suis né 11 ans plus tard!

[journey63]

Les déplacements quand tu es gamin comme je l'était dans les  70s, c'était génial, les moines de l'ASM, les gens qui buvaient le canon au bord de la route, qui t'offraient le saucissons...J'en garde de super souvenirs.

 

Mon père m'emmenait au Michelin, mais les déplacement, s'était autre chose.

[tom63]

Moi je rentrais sans payer derrière les poteaux et à la MT je profitais de la fête de la pisse sous les populaires pour y rentrer en douce.

j'était gamin on sonné a la grande porte  du gardien du stade (qui avait sa maison dans le stade sur le coté de la grande tribune a l'epoque)

et y nous laissé entrer comme ca on allez dans la petite tribune metalique derriere les but et a la mi temps  on montait dans les tribunes

 

sinon certains d'entre vous se souviennent d'un papy qui regardait quasiment tous les match sur un pylone electrique au ras des murs du stade ?

[squalito]

Jeff tu fais chier

[Poulacre]

Pour Bagnères, c'est "grace" à une geguerre à Lourdes, distant d'une cinquantaine de km et Bagneres avait récupéré de sacrées pointures, Aguirre, Bertranne et cie.

Merci pour ce sujet nostalgie.

J'ai fait mon apprentissage, tout gamin, en fréquentant les populaires en bois avec mon père et mon grand-père, et l'ambiance y était chaleureuse, on va dire.
Me souvient de match contre Cognac, Montchanin, Oloron, Lourdes, bref le charme de la formule à 80 clubs...

Bizarement, je ne me souviens pas avoir fait la gueule, à cette époque parce que l'ASM perdait en finale...

[Arverne03]

Les déplacements quand tu es gamin comme je l'était dans les  70s, c'était génial, les moines de l'ASM, les gens qui buvaient le canon au bord de la route, qui t'offraient le saucissons...J'en garde de super souvenirs.

 

Mon père m'emmenait au Michelin, mais les déplacement, s'était autre chose.

Quels déplacements, quelles festivités, que de chaleur, que de ...................................................CANONS!

[crazybib]

j'était gamin on sonné a la grande porte  du gardien du stade (qui avait sa maison dans le stade sur le coté de la grande tribune a l'epoque)
et y nous laissé entrer comme ca on allez dans la petite tribune metalique derriere les but et a la mi temps  on montait dans les tribunes
 
sinon certains d'entre vous se souviennent d'un papy qui regardait quasiment tous les match sur un pylone electrique au ras des murs du stade ?

Vers la maison du gardien, oui. Et il agitait un drapeau comme un sémaphore.

[durban63]

j'était gamin on sonné a la grande porte  du gardien du stade (qui avait sa maison dans le stade sur le coté de la grande tribune a l'epoque)

et y nous laissé entrer comme ca on allez dans la petite tribune metalique derriere les but et a la mi temps  on montait dans les tribunes

 

sinon certains d'entre vous se souviennent d'un papy qui regardait quasiment tous les match sur un pylone electrique au ras des murs du stade ?

exacte....je me souviens de lui!!!

[El Sudourator]

Moi j'ai un souvenir, un match contre Grenoble perdu à la maison qui nous empêche de nous qualifier pour les phases finales je dirai dans les 2003 ou 2004. Le Michelin était sous tension. Assez électrique comme ambiance.

[amethys]

Et le drop de Costes, c'était quand déjà ?

 

Mon 1er souvenir, c'est mon 1er match contre Grenoble, une générale comme on n'en fait plus devant les populaires. Peloux était sorti la gueule en sang... Je ne me souviens que de ça par contre 

[Arverne03]

Donc, pour les plus jeunes, vous pouvez imaginer pour nous les '''' vieux """ ce que représente le 29 mai 2010 ( putain dans deux jours l'anniversaire!!!!!!) et la venue du bouclier place de jaude, le rêve de toute une vie.............Ce jour là, il fallait y être, à pied, en voiture, à cheval, en parachute, en vélo, peu importe, pour dire J'Y ETAIS.............. Le voir et le toucher, moment unique dans la vie d'un supporter, aussi après le désastre de cette fin de saison, je suis comme la totalité des supporters, malheureux comme les pierres..................

J'y étais. J'ai tellement attendu pour avoir cet immense bonheur!

Un seul regret, que mon père n'ait pas eu le temps de les voir couronner

Quelle ambiance. Quelle sublime journée du stade à JAUDE. 

Quel moment de partage!

Un souvenir qui marque dans une vie..............................pour moi dans tous les cas.

 

Je crois que c'est ça qui m'a le plus marqué. La longue procession le long de la nationale 89 (pas d'autoroute à l'époque) et les bouchons dans les villes traversées en klaxonnant, Boën, Feurs.... Les gens mettaient des draps jaunes et bleus aux fenêtre. Je trouvais tout ça impressionnant. Aller à Lyon, Le Creusot, Aurillac, Toulouse ou Périgueux, c'était une expédition. Avec souvent des déceptions au bout mais on y croyait chaque année.

Affirmatif, j'y ai même laissé plusieurs fois les fusibles de ma voiture qui était maquillée en jaune et bleu. Les cornes de brume donnaient et lorsque l'on traversait BRIVE, nous chantions tous en cœur : "PEBEYRE une chanson, PEBEYRE, une chanson !". Bien entendu, au retour, avec bien souvent la défaite dans nos bagages, la voix nous manquait; mais on se disait que la prochaine fois on allait voir ce que l'on allait voir. Rien ni personne  ne pouvait nous ôter notre foi

[journey63]

Et oui, les " anciens" sont habitués à la défaite- résigné peut-être", les jeunes font une pétition...

[philou]

on peut rajouter également pour les plus anciens une défaite en 8ème en 1975 contre le racing à dijon. taffary  avait marqué un essai de filou sur une pénalité jouée à la main pendant qu'on tournait le dos au ballon, puis on avait campé toute la partie dans leurs 22 sans succès

[ELSAZOAM]

Et oui, les " anciens" sont habitués à la défaite- résigné peut-être", les jeunes font une pétition...

Les anciens habitués à la défaite ? Oui, c'est un peu ça, on est aussi désabusé ! On sait trop qu'en finale on ne gagne jamais ou presque, alors le bonheur c'est d'avoir atteint ce but, ce qui est déjà beau. Mais bien sûr, ça ne suffit pas !

Pour la petite histoire, j'ai le souvenir d'une époque où après les matchs, les joueurs buvaient des canons avec les supporters. Et des joueurs, il y en a qui tournaient au gros rouge. Les lendemains qu'ils soient de victoire ou de défaite étaient toujours pénibles à vivre, avec des maux de tronche innommables, et pour tout le monde !