Ça se dit pas un compromis, on dit une fiancée.
Ou comme disait Coluche: la promise complétement bourrée
Tiens, c'est bizarre ça fait rire d'habitude !!
Ha non, c'est promiscuité qui fait rire
Posté 25 décembre 2023 - 17:26
Ça se dit pas un compromis, on dit une fiancée.
Ou comme disait Coluche: la promise complétement bourrée
Tiens, c'est bizarre ça fait rire d'habitude !!
Ha non, c'est promiscuité qui fait rire
Posté 25 décembre 2023 - 20:40
Posté 26 décembre 2023 - 10:46
Comme disait madame Claude: con compris, chose due !
Joli !
Posté 26 décembre 2023 - 11:03
Le compromis droite- gauche de Jacques Beauregard " La Droiche" !
j'espère qu'il joue pas 10, car c'est pas gagné !
Posté 29 décembre 2023 - 17:09
Posté 05 janvier 2024 - 08:05
1982, 2002, 2022 et 2023 ! Grâce au travail colossal effectué par le site cybervulcans, géré par Thierry Wagner, nous avons pu identifier les (rares) années, depuis 1970, au cours desquelles l’ASM n’a pas obtenu la moyenne, c’est-à-dire un pourcentage de succès inférieur à 50%.
Vendredi dernier, en s’inclinant (35-40) face à l’UBB, Clermont a terminé 2023 comme il l’avait commencé, par un échec au stade Michelin (13-32) devant le Stade Toulousain. Sur les 30 matchs joués sur l’année, l’équipe reprise en mains par Christophe Urios fin janvier a remporté 13 matchs et en a perdu 17.
Avec trois matchs de joués en moins, le bilan s’inscrit dans la continuité de celui de 2022 (15 victoires, 1 nul, 17 défaites), avec Jono Gibbes aux manettes. On l’a déjà dit, deux années civiles déficitaires consécutives est une rareté, peut-être même une première dans l’histoire du club qui figure dans l’élite, rappelons-le, depuis 1925.
2002, malgré une place de demi-finaliste...Troy Jaques, Alexandre Audebert et Olivier Magne (défaite face à Biarritz en juin 2002)Soupe à la grimace dans le vestiaire pour Troy Jaques, Alexandre Audebert et Olivier Magne, après une défaite face à Biarritz en juin 2002. Photo Thierry Nicolas
On peut donc dire que l’institution “jaune et bleu” traverse une période noire de son histoire, vingt-ans après son dernier trou d’air. Il faut remonter, en effet, à 2002 pour trouver un exercice négatif (13 victoires, 18 défaites) même si, curieusement, l’ASM s’était hissée en demi-finale du championnat en juin 2002, sous la houlette de Laurent Travers, promu entraîneur en chef après l’éviction en mars de l’Australien Steve Nance.
Magne, Tsabadze, Cockerill, Brouzet, Tolofua, Lecomte et Raynaud (défaite à Bourgoin novembre 2002)Le pack clermontois, en novembre 2002, avait souffert sur la pelouse de Bourgoin (défaite 37-10). On reconnait de gauche à droite : Magne, Tzabadze, Cockerill, Brouzet, Tolofua, Lecomte et Raynaud. Photo d'archives
Avant cela, bien avant le professionnalisme (qui date de 1995), le club clermontois n’a connu qu’une seule année “noire”, en 1982 ; 11 défaites, 10 victoires et 3 nuls.
Xausa, Bertrand (au sol), Sauzade, Marocco et Molénat (face à Bègles en 1982)L'ASM en 1982 (ici face à Bègles), avec de gauche à droite : Bruno Xausa, Dominique Bertrand (au sol), Dominique Sauzade, Philippe Marocco et Joël Molénat (de
dos, à droite). Photo René Charpin
Alors que 2024 débutera samedi par un déplacement au Stade Français, l’un des objectifs de l’ASM cette année, sera bien naturellement d’inverser la tendance et de renouer avec son passé, bien plus positif sur le plan comptable.
Christophe Buron (L Montagne - 04/12/23)
Posté 05 janvier 2024 - 09:43
j'ai jamais fait latin à l'école... annus horribilis ça veut dire que ça fait mal au cul ?
Posté 05 janvier 2024 - 13:31
Posté 05 janvier 2024 - 13:58
Un beau terrain comme ça au Bib avec des pom pom girls
Posté 05 janvier 2024 - 14:21
Posté 05 janvier 2024 - 16:02
Quel retour en arrière de 20 ans...!!!! Pire, à mon avis, car la qualité de l'effectif mentionné ci-dessus, est bien supérieur à celui aligné actuellement....MAGNE, AUDEBERT, JACQUES, quand même c'est de très bons joueurs... Je ne ne suis pas plus vieux que mon grand père, pour utiliser cette célèbre formule, mais pas souvenir d'une situation aussi difficile à tous les niveaux, pour le club....Et qui perdure dans le temps, c'est pour moi la pire des choses...
Posté 06 janvier 2024 - 11:34
Quel retour en arrière de 20 ans...!!!! Pire, à mon avis, car la qualité de l'effectif mentionné ci-dessus, est bien supérieur à celui aligné actuellement....MAGNE, AUDEBERT, JACQUES, quand même c'est de très bons joueurs...
Je ne ne suis pas plus vieux que mon grand père, pour utiliser cette célèbre formule, mais pas souvenir d'une situation aussi difficile à tous les niveaux, pour le club....Et qui perdure dans le temps, c'est pour moi la pire des choses...
Actuellement : oui.
Je pensais que l'obtention de nos deux titres de champions de France nous aurait permis (par la suite) de "voyager" sereinement dans les 6 premiers du championnat; mais c'est loin d'être le cas. On a du louper certaines choses dans la gestion du club. Enfin, on nous déclare qu'il nous faudra un peu de temps avant de retrouver une équipe vraiment compétitive. Alors attendons puisqu'on ne peut faire autrement.
Posté 06 janvier 2024 - 11:58
Pinaise, pas mieux que Nance et Travers.
Ou Hyardet.
Punaise, ça fait mal au c.. !
Posté 07 janvier 2024 - 17:47
Actuellement : oui.
Je pensais que l'obtention de nos deux titres de champions de France nous aurait permis (par la suite) de "voyager" sereinement dans les 6 premiers du championnat; mais c'est loin d'être le cas. On a du louper certaines choses dans la gestion du club. Enfin, on nous déclare qu'il nous faudra un peu de temps avant de retrouver une équipe vraiment compétitive. Alors attendons puisqu'on ne peut faire autrement.
Certes, Arverne, mais même les plus fidèles d'entre nous commencent à trouver le temps long...Et surtout aucune certitude à l'horizon...
Posté 02 février 2024 - 14:57
Les comptes de l'ASM ont été publiés :
- Résultat d'exploitation en perte de 4,991 Millions d'€ (VS + 2,686 Millions d'€ en 2022) qui s'explique principalement par:
Une forte hausse des charges sociales (+ 3.2 Millions)
L'absence de "subvention d'exploitation" (- 3.4 Millions d'€).
Une hausse des dotations pour provisions pour risques est charges) (+ 450 K€)
- Le CA lui est quasiment identique (+300 K€), tout comme les salaires à 14 Millions d'€.
- Un résultat financier de - 535 K€
- Un résultat exceptionnel de - 1,92 Millions d'€
Soit une perte globale de 7.790.986 € VS un bénéfice de 2.256.842 € en 2022.
A noté également une forte hausse des autres créances qui sont de 9,3 millions d'€ VS 500 K€ en 2022 -> potentiellement l'apport michelin qui aurait été versé début de l'exercice N+1.
Une trésorerie en forte baisse de plus de 4 Millions d'€ qui atteint 1,5 Millions €.
Il y a également eu des mouvements de capital pour reconstituer les capitaux propres lors de l'AG extraordinaire du 13 juin 2023.
"L'AGE des actionnaires du 13 juin 2023 constatant qu'il ressort des derniers comptes de la situation intermédiaire au 31 mars 2023 un actif net négatif a décidé d’opérer une réduction de capital motivée par les pertes, d’un montant de € 7 336 875 pour le ramener de € 7 336 875 à € 0 par annulation de la totalité des 322 500 actions composant le capital social et de procéder à une augmentation du capital social de la Société d’un montant de € 11 000 011,75 pour le porter de € 0 à € 11 000 011,75, par émission de 483 517 actions ordinaires de 22,75 € de valeur nominale chacune souscrites par la Compagnie Financière Michelin."
La valeur des titres de participation du club de la nouvelle orléans sont dépréciés à 100%, signe que là bas ca ne va pas bien non plus.
Il y a eu des transactions dont nous n'avons pas le détail par "affaires" ainsi qu'une indemnisation de l'ancien propriétaire de la boutique (cout total des charges exceptionnelles de 2 millions d'€)
"Dans les charges exceptionnelles, dont le total est de 2 038 576 euros, sont comptabilisées divers protocoles transactionnels et des provisions pour risques et charges. En février 2023, la société a repris en direct la gestion de ses boutiques Produits Dérivés qui étaient jusqu'à présent sous-licenciées à un prestataire extérieur. Cette reprise a donné lieu à indemnisation du prestataire dont le montant est comptabilisé en charges exceptionnelles."
Pour les provisions pour risques et litiges cela concerne :
- Conflits avec ex-salariés et aussi un litige URSSAF suite à un contrôle en 2016, pour lequel le renvoi en appel a été prononcé par la cour de cassation.
"Les provisions pour risques et charges à hauteur de 1 765 950 euros comprennent divers litiges potentiels avec des ex salariés et la provision liée au contrôle par les URSSAF en 2016 dont la procédure en Cours de Cassation a donné lieu à un renvoi devant la cours d'appel."
Voici une analyse sommaire et rapide des comptes publiés. Il s'agit d'information publique et donc aucun problème pour discuter de ces données.
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