t'as des preuves que c'est pas les animaux qui foutent toute cette merde ?

Pollutions racing irréversibles ..?
#661
Posté 26 octobre 2018 - 22:48
#662
Posté 26 octobre 2018 - 22:54
C'est clairement du fait des animaux.
Et sans vouloir accuser personne, à mon avis l'homo sapiens en est grandement responsable.
#663
Posté 27 octobre 2018 - 01:02
t'as des preuves que c'est pas les animaux qui foutent toute cette merde ?
Serieusement cela dit les oiseaux utilisent souvent des bouts de plastiques pour faire leur nid, donc ca pourrait etre de leur faute si c'est tant visible que ca..
#664
Posté 27 octobre 2018 - 05:32
Pour rester positif, visiblement les animaux s'adaptent!
Du moment qu'il en reste quelques uns...
#665
Posté 27 octobre 2018 - 11:09
Beaucoup d'animaux ne survivront pas, mais nous (humains) ne sommes pas (même volontairement) capables éradiquer toute vie sur terre.
La question, c'est est-ce que l'espèce humaine survivra et combien d'espèces vont y passer.
Notamment tous les mammifères plus gros que lui. Les mammouths, tigres à dents de sabre et autres tatous géants, c'est fait. L'éléphant, la girafe et le rhinocéros c'est en bonne voie. Bientôt le plus gros mammifère sera la vache.
Il faut prendre en compte l’extrême résistance de certains animaux ou de certaines espèces :
* Des arbres millénaires, dépassant les dizaines de milliers d'années, le plus vieux connu ayant 80 000 ans, et qui a donc connu l'homme de Néandertal.
* Pareil pour les champignons dont certains individus dépassent les centaines d'hectares et les centaines de tonnes pour une longévité dépassant les mille ans (armillaire couleur miel)
* Des insectes et des vers qui résistent globalement à un peu tout (pas en tant qu'individu, mais en temps qu'espèce)
* On a des cas de homards et de méduses ne vieillissant pas et pouvant possiblement être « immortels » s'ils ne se font pas tuer. La méduse est capable de « rajeunir » quand elle atteint un stade très avancé de la vie.
* Et évidemment on ne peut pas conclure la liste sans le champion absolu de la survie : Le tardigrade, capable de résister à 3 jours dans le vide sidéral, exposé aux rayons du soleil et sans oxygène, en entrant en cryptobiose (sorte de « pause » de toute fonction vitale en évacuant l'eau, comme une hibernation beaucoup plus intense) pendant qu'il est exposé à ces conditions extrêmes.
Tout ça pour dire qu'on ne sera pas responsable de la fin de la vie sur terre. On pourra emporter de nombreuses espèces. Peut-être nous même au passage, mais il restera de la vie.
La question, c'est plutôt de savoir quel est le degré de dégâts qu'on est capables de faire.
#666
Posté 27 octobre 2018 - 11:44
Pourquoi inventorier uniquement les mammifères plus gros que l'être humain dans l'extinction des espèces animales ? Les plus petits n'auraient pas d'importance ?
Et oui, la vie sur Terre continuera bien après nous. A Hiroshima, des Ginkgo Biloba situés à 1 km de l'épicentre ont survécu à la bombe nucléaire et fleuri dès le printemps suivant.
Pour ceux qui ont envie, une interview de Paul Watson datant du début d'année : "C'est la nature qui règlera le problème".
#667
Posté 27 octobre 2018 - 12:02
Pourquoi inventorier uniquement les mammifères plus gros que l'être humain dans l'extinction des espèces animales ? Les plus petits n'auraient pas d'importance ?
Si bien sûr. Mais les petits ne vont pas tous disparaître (et d'autres espèces vont disparaître aussi, pas de mammifères, mais pas tous). Les gros si. Par ailleurs, il y aura une pression sélective (notamment par les activités humaines) pour que les mammifères soient moins grands qu'auparavant.
C'est ce qu'explique une étude d'avril dernier publiée dans science :
Body size downgrading of mammals over the late Quaternary
Megafaunal loss
Today, it is well known that human activities put larger animals at greater risk of extinction. Such targeting of the largest species is not new, however. Smith et al. show that biased loss of large-bodied mammal species from ecosystems is a signature of human impacts that has been following hominin migrations since the Pleistocene. If the current trend continues, terrestrial mammal body sizes will become smaller than they have been over the past 45 million years. Megafaunal mammals have a major impact on the structure of ecosystems, so their loss could be particularly damaging.
Abstract
Since the late Pleistocene, large-bodied mammals have been extirpated from much of Earth. Although all habitable continents once harbored giant mammals, the few remaining species are largely confined to Africa. This decline is coincident with the global expansion of hominins over the late Quaternary. Here, we quantify mammalian extinction selectivity, continental body size distributions, and taxonomic diversity over five time periods spanning the past 125,000 years and stretching approximately 200 years into the future. We demonstrate that size-selective extinction was already under way in the oldest interval and occurred on all continents, within all trophic modes, and across all time intervals. Moreover, the degree of selectivity was unprecedented in 65 million years of mammalian evolution. The distinctive selectivity signature implicates hominin activity as a primary driver of taxonomic losses and ecosystem homogenization. Because megafauna have a disproportionate influence on ecosystem structure and function, past and present body size downgrading is reshaping Earth’s biosphere.
En gros les mamifères n'auront jamais été aussi petit que lors des 45 dernier millions d'années.
- Silhouette aime ceci
#668
Posté 27 octobre 2018 - 12:39
C'est tout de même à relativiser avec la connerie humaine qui, elle, n'aura fait que grossir au fil des années.
#669
Posté 27 octobre 2018 - 13:16
Pour rester positif, visiblement les animaux s'adaptent!
Du moment qu'il en reste quelques uns...
Ben oui parce que, restons sérieux, on va pas tous se mettre à leur connerie de végan. Faut bien bouffer quand même !
#670
Posté 27 octobre 2018 - 16:48
De toutes les façons la victoire finale reviendra aux virus les maitres ès mutation
#671
Posté 27 octobre 2018 - 17:29
Pourquoi inventorier uniquement les mammifères plus gros que l'être humain dans l'extinction des espèces animales ? Les plus petits n'auraient pas d'importance ?
Et oui, la vie sur Terre continuera bien après nous. A Hiroshima, des Ginkgo Biloba situés à 1 km de l'épicentre ont survécu à la bombe nucléaire et fleuri dès le printemps suivant.
Pour ceux qui ont envie, une interview de Paul Watson datant du début d'année : "C'est la nature qui règlera le problème".
En plus de ce que George a deja dit, il y a aussi un rapport inverse entre taille de l'animal et taille des populations, ce qui impact enormement les risques d'extinction.
#672
Posté 27 octobre 2018 - 21:27
Beaucoup d'animaux ne survivront pas, mais nous (humains) ne sommes pas (même volontairement) capables éradiquer toute vie sur terre.
La question, c'est est-ce que l'espèce humaine survivra et combien d'espèces vont y passer.
Notamment tous les mammifères plus gros que lui. Les mammouths, tigres à dents de sabre et autres tatous géants, c'est fait. L'éléphant, la girafe et le rhinocéros c'est en bonne voie. Bientôt le plus gros mammifère sera la vache.
Il faut prendre en compte l’extrême résistance de certains animaux ou de certaines espèces :
* Des arbres millénaires, dépassant les dizaines de milliers d'années, le plus vieux connu ayant 80 000 ans, et qui a donc connu l'homme de Néandertal.
* Pareil pour les champignons dont certains individus dépassent les centaines d'hectares et les centaines de tonnes pour une longévité dépassant les mille ans (armillaire couleur miel)
* Des insectes et des vers qui résistent globalement à un peu tout (pas en tant qu'individu, mais en temps qu'espèce)
* On a des cas de homards et de méduses ne vieillissant pas et pouvant possiblement être « immortels » s'ils ne se font pas tuer. La méduse est capable de « rajeunir » quand elle atteint un stade très avancé de la vie.
* Et évidemment on ne peut pas conclure la liste sans le champion absolu de la survie : Le tardigrade, capable de résister à 3 jours dans le vide sidéral, exposé aux rayons du soleil et sans oxygène, en entrant en cryptobiose (sorte de « pause » de toute fonction vitale en évacuant l'eau, comme une hibernation beaucoup plus intense) pendant qu'il est exposé à ces conditions extrêmes.
Tout ça pour dire qu'on ne sera pas responsable de la fin de la vie sur terre. On pourra emporter de nombreuses espèces. Peut-être nous même au passage, mais il restera de la vie.
La question, c'est plutôt de savoir quel est le degré de dégâts qu'on est capables de faire.
Certains animaux peuvent résister a tout même a l homme, mais l homme lui ne résistera pas à sa propre connerie.
On est que de passage, une anomalie sur cette brave planète qui a passé 4 milliards et demie d'années peinarde sans nous et qui continuera après
#673
Posté 27 octobre 2018 - 21:33
- RCV06 aime ceci
#674
Posté 28 octobre 2018 - 05:42
Pas gagné.De toutes les façons la victoire finale reviendra aux virus les maitres ès mutation
Le but d'un virus, comme pour nous tous, c'est de se reproduire.
Un virus tueur est un virus défaillant. C'est d'ailleurs vrai de tous les parasites. Un parasite qui éteint une ou plusieurs espèces s'éteint lui même.
En général ça arrive lors de la transmission d'un virus d'une espère (qui survit) à une autre (qui ne survit pas).
#675
Posté 28 octobre 2018 - 10:35
Oui mais ils ont pas fini de nous faire ch.…..les virus peuvent altérer et modifier les programmes de fonctions intracellulaires à leur profit, avec pour objectif final de transformer l’organisme infecté en agent contaminant, capable de propager l’infection et d’assurer la survie du virus.
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