LOU Rugby
#1036
Posted 19 May 2022 - 08:41 AM
#1037
Posted 19 May 2022 - 13:19 PM
Ils vont le payer en saucissons et en quenelles ?
Anelka et Dieudonné ont déménagé à Lyon ?
#1038
Posted 19 May 2022 - 16:40 PM
Il y a quelques semaines je les prédisais hors des six, encore raté.
Mais, avec les deux derniers matchs qui sait...?
#1039
Posted 28 May 2022 - 20:34 PM
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#1040
Posted 29 May 2022 - 08:23 AM
Bravo à Lyon
Et puis ça change un peu de RM92...RCT....Stade Toulousain....un peu pour les autres tout aussi méritants et moins dans la lumière médiatique !
La Rochelle se l 'ai payée celle là , et c 'est super tellement pour moi ils le méritent et suscitent de la sympathie à l 'image de leur Président V Merling
Le LOU , ma foi se construit aussi étape après étape et ce titre est aussi une juste reconnaissance pour Y Roubert!
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#1041
Posted 29 May 2022 - 10:30 AM
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#1042
Posted 29 May 2022 - 19:19 PM
Raté.
Bravo a eux pour cette finale jouée avec les tripes et la tête. Belle charnière qui plus est.
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#1043
Posted 30 May 2022 - 07:56 AM
Et ce n'est pas fini. Il reste le brennus
Enjeu de la dernière journée = pour eux de rester dans les 4 pour recevoir en barrage. mais sera-ce suffisant comme enjeu pour aller faire la guerre au LOU ?
#1044
Posted 28 June 2022 - 05:43 AM
Pierre Mignoni (45 ans), qui a passé un septennat à la tête de Lyon, revient à Toulon, dont il a entraîné les lignes arrière entre 2011 et 2015. Retour sur ses années lyonnaises qui se sont achevées en beauté avec un titre en Challenge européen obtenu en finale face à... Toulon (30-12).
« Vous souvenez-vous de votre tout premier match sur le banc lyonnais ?
C'était un derby face à Bourgoin au Matmut Stadium de Venissieux (30-19, le 21 août 2015). Il y avait 5 000 à 6 000 spectateurs, la majorité venue de Bourgoin. Et pour mon dernier match, c'était 22 000 personnes au Matmut de Gerland avec les deux champions d'Europe (Lyon et La Rochelle) sur le terrain. Ça résume le travail qui a été réalisé et j'en suis fier.
De Bourgoin à La Rochelle, ça fait 215 matches à la tête du LOU. Y en a-t-il un qui vous reste particulièrement en mémoire ?
Il y en a tant ! J'en citerai deux dont on n'a peu parlé. Contre le Racing et face à Castres lors de la première année en Top 14. Face au Racing, c'est notre premier à Gerland, un match incroyable (37-25, le 28 janvier 2017). Cette victoire nous avait donné énormément de confiance car il y avait beaucoup de pression. On venait juste d'être sacrés champions de France de Pro D2. On avait attaqué en Top 14 et déménagé en pleine saison. Le centre d'entraînement n'était pas prêt. On a bricolé comme on a pu. C'était des moments à vivre ! Il a fallu vite s'adapter tout en jouant notre saison sportive. Ce club n'arrivait pas à se maintenir et il y avait de gros enjeux économiques et sportifs. Avec le recul, je vois que ça nous a resserrés. On était condamnés à réussir.
Et Castres ?
Notre victoire à Castres (16-17, le 8 avril 2017) scelle notre maintien définitivement. J'avais l'impression que les gens ne parlaient que de ça. Donc ça a été une délivrance et d'un coup on pouvait passer à autre chose.
« Ce sont les joueurs qui sont déterminants, pas les coaches. Les joueurs m'ont tellement apporté ! On a créé des liens forts. Pour moi, c'est de l'amour, une forme d'amour »
Pierre Mignoni
Et vous enchaînez avec deux demi-finales d'affilée ! Vous avez des regrets de ne pas être allés au bout ?
Aucun, car les deux fois, la défaite était logique. La première à Décines face à Montpellier (40-14), c'est la défaite d'un club jeune qui n'est pas prêt à jouer ces matches-là. Pareil contre Clermont l'année suivante (33-13), on ne méritait pas de gagner même si on avait progressé.
Vous auriez peut-être pu en disputer une troisième si le Top 14 ne s'était pas arrêté en raison du Covid (2020).
Sans doute. On était deuxièmes, on aurait certainement fait la phase finale. C'est comme ça ! Il faut relativiser. Des gens ont beaucoup souffert, alors l'arrêt d'un Championnat... Cette période du Covid a été très dure, plus que triste. Mon pire souvenir de mes sept années ici. Les stades vides, la gestion du stress des gens, les négos pour baisser les salaires, les réunions zoom... Ça a fait du mal dans tous les domaines, aux joueurs, supporters, partenaires, actionnaires, la presse, toute l'économie du sport. L'année suivante, on a eu du mal à digérer, à repartir alors qu'on était sur une dynamique.
Pour votre dernière saison, vous remportez le Challenge européen (face à Toulon, 30-12) mais échouez à accrocher le top 6. Quel bilan faites-vous ?
Cette saison, on a déconné sur des moments clés. En même temps, cette année, tout a pris du relief, tout ce qu'on a noué ensemble, staff et joueurs. Ce qu'on a construit a pris tout son sens, toute sa valeur. L'équipe était au centre de tout. C'est ce qui te fait gagner sur les moments clés. C'est ma plus grande fierté, au-delà du titre à Marseille. Parce que la vie ne s'arrête pas après une victoire.
Mais elle était très importante, non ?
Bien sûr, car ça valide des choses, ça permet de garder confiance dans le projet. Gagner ce Challenge n'est pas une finalité mais un tremplin. J'ai entendu que ce n'est pas un titre majeur. Quel que soit le titre, quel que soit le niveau, gagner un trophée est toujours important.
Et c'était face à Toulon - votre futur club -, qui vous avait éjectés du top 6 plus tôt dans la saison.
(Il rit). Il y a peut-être une destinée ! Non, c'est le hasard des choses. Quand j'ai décidé de partir, rien n'était fait avec Toulon. Bien sûr qu'il y a de l'affectif dans ma décision mais ce n'est pas la raison principale. L'idée, c'est de continuer à construire l'histoire de ce club. Avec Franck (Azema) car je ne serais pas venu s'il n'avait pas été pas d'accord sur le projet global.
Cette victoire européenne ne vous donne pas de regret d'avoir choisi de partir ?
Je fais le parallèle avec ma carrière de joueur. Je voulais arrêter en étant encore bien sur le terrain. C'est un choix très personnel de dire stop, c'est la même chose comme entraîneur. Il y a la peur de faire l'année de trop. Je ne voulais pas vivre ça. Donc j'ai dit stop. Peut-être ai-je tort mais c'était mon choix. J'en ai discuté avec Yann (Roubert, président du LOU) et Olivier (Ginon, actionnaire). Je pouvais partir en 2023 comme prévu par rapport à mon contrat mais c'était compliqué. Olivier Ginon était plutôt parti pour que je prolonge de cinq ans. "Plus, si vous voulez", m'a-t-il dit. (Il sourit). Ce n'était pas le sujet.
Donc aucun regret ?
Le seul, je l'ai dit, c'est que je n'ai pas pu dire à mes joueurs les yeux dans les yeux que je partais car tout avait fuité deux jours avant la venue du Stade Français (26-22, le 5 février). Mais les joueurs ont été des seigneurs. Jordan (Taufua), le capitaine, m'a dit : "Si tu es d'accord, on ne parle pas de ça avant le match et tu nous en parles après." Ça veut tout dire, c'est venu de lui, d'eux. Ce sont les joueurs qui sont déterminants, pas les coaches. Les joueurs m'ont tellement apporté ! On a créé des liens forts. Pour moi, c'est de l'amour, une forme d'amour.
D'où votre émotion lors du dernier match ?
J'étais surpris par tous ces témoignages, tous ces cadeaux. J'étais même gêné car on ne pense pas mériter tout ça, on fait juste son boulot. En arrivant au stade, il y avait la haie d'honneur et tout au bout j'ai vu ma femme, mes filles et derrière elles, toute la famille qui était montée, mes parents, mes oncles, mes cousins... Je n'étais pas au courant. Ça a dû faire quelque chose à mon père de vivre ce moment dans ce stade. »
#1045
Posted 28 June 2022 - 07:04 AM
Comme l'UBB, ils tardent à confirmer leur place dans le haut du panier, ou au moins à passer me cap qui permet d'aller en finale. Comme quoi se hisser au sommet n'est pas si facile.
#1046
Posted 28 June 2022 - 07:22 AM
Comme l'UBB, ils tardent à confirmer leur place dans le haut du panier, ou au moins à passer me cap qui permet d'aller en finale. Comme quoi se hisser au sommet n'est pas si facile.
Seul La Rochelle la très bien fait
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#1047
Posted 28 June 2022 - 07:42 AM
Oui, avec peut-être un peu d'avance sur la restructuration du club (?). Et désormais le MHR aussi..
#1048
Posted 28 June 2022 - 08:51 AM
#1049
Posted 28 June 2022 - 10:31 AM
le MhR est un jeune club mais ça fait 10 ans, comme le racing, quils jouent les phases finales. Mais cest vrai quils ont tardé à confirmer !!!Oui, avec peut-être un peu d'avance sur la restructuration du club (?). Et désormais le MHR aussi..
#1050
Posted 29 June 2022 - 06:47 AM
le MhR est un jeune club mais ça fait 10 ans, comme le racing, quils jouent les phases finales. Mais cest vrai quils ont tardé à confirmer !!!
L 'impatience de Mohed a crée de fait une forme d'instabilité avec un lessivage annuel de l 'effectif, des coachs , de la culture barbecue, et qui plus est avec des "clans " Sud Afs ...Fidjiens..et là , pas facile de faire prendre la sauce et de créer un groupe !
A force de laisser des tunes pour rien , il a enfin compris en donnant sa confiance à Saint André le pourquoi du comment....ça devait arriver il n 'est certainement pas plus con que les autres, et ça , c 'est certain quand on connait son histoire ...avec les deux faces de la monnaie , ne l 'oublions pas sous prétexte que la réussite sportive est au r.d.v , bravo aux gars pour leur titre et à PSA , pour le reste je m 'abstiens de tous commentaires sur les manipulations sulfureuses en tous genres !
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