LOU Rugby
#1351
Posté 01 décembre 2024 - 11:54
#1352
Posté 02 décembre 2024 - 10:40
Moi j'irai plus faire mes courses à Pau...
Vraiment désolé pour Couilloud, quel magnifique joueur il est !
#1353
Posté 02 décembre 2024 - 21:05
Moi j'irai plus faire mes courses à Pau...
Vraiment désolé pour Couilloud, quel magnifique joueur il est !
Oui Pau y'aurait aussi moyen, mais couilloud quand même... D'autant qu'à ce poste on n'est pas merveilleux
#1354
Posté 02 décembre 2024 - 21:08
vraiment surprenant que l'épisode "Gibbes en télétravail" n'ait pas marché
- ESQ4 aime ceci
#1355
Posté 03 décembre 2024 - 07:10
Jono Gibbes ne reviendra pas à Lyon en début d'année, comme c'était prévu. Super-consultant auprès du club de Lyon depuis l'été dernier, l'entraîneur néo-zélandais de 47 ans, passé par Clermont et La Rochelle, travaillait à distance avec le staff du LOU dirigé par Fabien Gengenbacher avec des visioconférences quasi quotidiennes et quelques semaines sur place plusieurs fois dans l'année, comme en octobre dernier. Gibbes et Gengenbacher disaient apprécier leurs échanges et avoir trouvé une façon de travailler efficace mais, ce lundi, le LOU a annoncé la fin de la collaboration avec Gibbes qui est aussi membre du staff de la franchise néo-zélandaise des Waikato Chiefs.
« Compte tenu de sa situation en Nouvelle-Zélande, Jono Gibbes ne reviendra pas, peut-on lire sur le compte X du LOU. Le technicien néo-zélandais ne peut en effet pas venir à plein temps, à court terme. » Cette fin de collaboration, qui n'était pas attendue, s'expliquerait par « le départ de l'entraîneur des avants des Chiefs » et par le décès de Paul Galletta, responsable logistique de l'équipe néo-zélandaise dont le manager Wayne Maher « a demandé à Gibbes de réintégrer le staff à plein temps ».
Le départ de Gibbes intervient à une période difficile pour les Lyonnais, avant-derniers du classement, qui viennent d'enchaîner cinq défaites d'affilée en Top 14, la dernière à Pau samedi (29-15). Après le match, Gengenbacher avait tenu un discours lucide sur la situation d'échec vécue par son staff : « Quand tu réexpliques les choses, que tu en mets en place de nouvelles pour que le message passe et qu'il ne rentre pas, il faut se poser la question de celui qui l'émet. Au-delà de la déception, de la frustration, je pense surtout à la responsabilité que j'ai par rapport au projet sportif du LOU Rugby... On en est au même point que la saison dernière. »
#1356
Posté 05 décembre 2024 - 18:53
Ghezal devrait revenir à Lyon, possible qu'il embarque Parra, Brock possible à l'asm
Comme annoncé Ghezal va revenir à Lyon, ça négocie encore sur la composition exact et la hiérarchie du staff
#1357
Posté 05 décembre 2024 - 19:05
Moi j'irai plus faire mes courses à Pau...
Vraiment désolé pour Couilloud, quel magnifique joueur il est !
J’étais à deux doigts de lui choisir pour meilleur marquer de points dans les pronos - au moins je crois que je ne l’ai choisi après des réfléchis (le mot est correcte?)
- clum63_ aime ceci
#1358
Posté 05 décembre 2024 - 19:08
Jétais à deux doigts de lui choisir pour meilleur marquer de points dans les pronos - au moins je crois que je ne lai choisi après des réfléchis (le mot est correcte?)
Normalement on dit "après réflexion" ou "après avoir réfléchis"
- Eastern Outpost aime ceci
#1359
Posté 05 décembre 2024 - 21:46
Normalement on dit "après réflexion" ou "après avoir réfléchis"
Merci beaucoup
- Codorplusàvie aime ceci
#1360
Posté 06 décembre 2024 - 14:02
Ou après réflexion
- Eastern Outpost aime ceci
#1361
Posté 06 décembre 2024 - 21:38
#1362
Posté 06 décembre 2024 - 23:04
- Alligator427 aime ceci
#1363
Posté 06 décembre 2024 - 23:26
Ghezal entraîneur principal à Lyon est-ce une bonne idée ?
On verra.
Pas optimiste, mais j'espère que lui et le club aura la chance.
#1364
Posté 11 décembre 2024 - 16:19
Fabien Gengenbacher a désormais du renfort. Épaulé depuis la semaine dernière par Karim Ghezal, nouvel entraîneur principal d'une formation lyonnaise en difficulté sportive (13e du Top 14), le directeur sportif du LOU (40 ans) n'aura plus à cumuler les deux casquettes qu'il endossait un peu malgré lui depuis plus d'un an. Il décrit, dans cet entretien à « L'Équipe », les périmètres de chacun et la vision globale qu'il porte pour le club lyonnais.
Son rôle de directeur sportif
« Qu'est-ce que l'arrivée d'un entraîneur principal va changer dans votre quotidien de directeur sportif ?
Jusque-là, j'ai porté cette responsabilité d'entraîneur principal en plus de mon rôle de directeur sportif. Coordonner les entraînements, les points médicaux, les séquences vidéo, valider la composition d'équipe, le suivi. Ça, c'étaient mes matinées. Mes missions de directeur sportif commençaient enfin à partir de 14 heures. À l'été 2023, le LOU était à la recherche d'un directeur sportif. J'avais présenté un projet pour le club, à court, moyen et long terme. À travers mon cursus en entreprise, mon positionnement à Grenoble (il occupait le rôle de manager de 2021 à 2023 et aurait dû devenir président à l'été 2023) et mon diplôme au CDES de Limoges, j'ai une vision claire sur ce que doit faire un directeur sportif et ce que doit faire un entraîneur principal. Dans un club qui se veut structuré, avec une vision, la personne qui gère le court, moyen et long terme, ce n'est pas la même que celle qui gère le samedi soir. Sinon, c'est trop risqué car le plus précaire de l'organisation est celui qui a tous les pouvoirs pour faire les choix.
Comment avez-vous fait avancer le club selon vous ?
J'ai travaillé sur la composition d'une cellule de recrutement, sur le centre de formation, la préformation, pour mettre en place une organisation transversale. On a travaillé sur les plans de succession et j'ai aujourd'hui une lecture jusqu'aux jeunes nés en 2011, sur les potentiels à faire monter. Un effectif, ça se construit et là en l'occurrence ça se reconstruit. Notre effectif était déséquilibré en termes de JIFF/non-JIFF, de masse salariale, de leadership et d'équilibre aux postes. 16 leaders étaient sortis, seulement six sont rentrés depuis. Il faut en faire émerger d'autres. J'ai écrit un projet à cinq ans, que j'ai nommé, marketé, pour qu'on se projette et qu'on ait des objectifs communs.
Est-ce possible de parler de projet à long terme, de structuration, lorsque l'équipe est 13e du Top 14 et vient d'enchaîner cinq défaites ?
Forcément, c'est dur. Quand tu arrives dans un club, que tu as 40 ans, deux ans d'expérience en Pro D2, tu achètes ta crédibilité avec les résultats court terme. Depuis le départ, j'essaie de faire des diagnostics factuels. La situation sportive nous pousse à être focalisé sur le court terme et oriente tous les enjeux, et c'est normal, mais un club c'est aussi une institution qui continue à regarder devant. Je l'ai dit à mes dirigeants, mon président, nos actionnaires, m'avoir confié le poste c'était courageux et m'avoir maintenu c'est courageux aussi. C'est un signe de confiance. Quant à l'environnement extérieur, je lis tellement de conneries...
Le départ de Jono Gibbes, l'arrivée de Karim Ghezal
Quelles conneries, par exemple ?
Notamment sur la période autour du départ Jono Gibbes (qui a été annoncé la semaine dernière, pour des raisons personnelles). On a jamais communiqué qu'il était entraîneur principal en télétravail... Il est venu sur un format de consultant (depuis mi-juillet), il restait en interaction avec les coaches pour construire les séances d'entraînement, analyser les matches, c'est ce qui était prévu dès le départ. Dire aujourd'hui qu'il n'y a pas eu d'impact pendant 16 semaines, que c'était négatif, il faut vraiment ne rien comprendre et ne pas connaître le degré d'expertise de Jono. Il devait revenir en janvier, on travaillait déjà pour la saison suivante. C'est un modèle qui ne peut malheureusement pas être pérenne car Jono a eu des problèmes extra-sportifs. Il fallait trouver une solution plus pérenne et c'est pour ça que Karim est arrivé, car on a besoin de stabilité.
Il a beaucoup été dit que le courant n'était pas passé entre vous l'été dernier. Pourquoi cela marche-t-il maintenant ?
La première chose, c'est qu'il était sous contrat au Stade Français. Il n'était pas disponible. À partir du moment où il l'était (il a été remercié fin septembre), il est redevenu un candidat légitime comme l'a dit le président, au regard de son histoire au club, son passé en équipe de France. On s'est revus, je l'ai reçu, je lui ai expliqué l'évolution du projet, là où on en était depuis un an et demi.
Karim Ghezal expliquait lundi dans les colonnes du Progrès qu'à l'époque, « la fiche de poste n'était pas évidente et transparente ». L'est-elle aujourd'hui ?
Le projet n'était pas au même point il y a six mois. La présentation des périmètres de chacun a été claire, et c'est pour cela qu'il n'y a pas de sujet là-dessus. Sur la partie opérationnelle terrain, l'entraînement et le match, c'est l'entraîneur principal, en l'occurrence Karim, qui dirige. Moi, je vais garder le contrôle sur la partie recrutement, le cadre disciplinaire sur le groupe joueur, le développement du leadership chez les joueurs.
Est-il un danger pour le directeur sportif que vous êtes ? Craignez-vous qu'il marche sur vos plates-bandes ?
Aujourd'hui, je n'ai pas de craintes vis-à-vis de mon positionnement et de mon poste dans le club. Soit je suis pertinent pour un projet et je le fais avancer, soit ce n'est pas le cas et je ne suis pas au bon endroit. Je sais qu'on est gavés d'enjeux d'ego partout, tout le temps, mais moi je n'ai pas d'enjeu là-dessus. Je ne vois pas de craintes, pas de méfiance, je n'ai pas envie de me perturber avec ça.
Le périmètre de chacun
Où allez-vous suivre les prochains matches ? Toujours au bord du terrain ?
L'entraîneur principal, Karim, sera au bord du terrain, il est arrivé pour cela, pour être auprès de l'équipe sur la partie match, et moi je serai en tribune. J'ai fait des études sur les différentes organisations des clubs. On a de très bons exemples de réussite, comme Toulouse, La Rochelle, ce sont des clubs qui sont structurés depuis des années, ils ont des visions court, moyen et long terme avec des personnes qui sont en responsabilité et qui ne sont pas les mêmes selon le domaine. La faiblesse des clubs aujourd'hui, c'est de concentrer tous les pouvoirs sur le mec le plus précaire de l'organisation, l'entraîneur numéro 1, un mec qui peut sauter, ce qui est assez régulier dans le rugby aujourd'hui, et qui oblige à repartir de zéro. Je ne peux pas travailler comme ça, je n'y mets aucun sens. »
Cette nouvelle organisation est-elle aussi une prise de recul ?
Par mon expérience et mon passage en entreprise, j'ai beaucoup plus un profil de bâtisseur, il s'agit de construire une stratégie et manager des gens. Depuis le début, j'ai fait zéro choix pour moi. Recruter Irakli Aptsiauri à Grenoble, le meilleur pilier droit JIFF de 18 à 21 ans, à un poste où le plan de succession était désert, c'est prendre un pilier à Lyon pour quatre ans. Beka Shvangiradze, 21 ans, qui a déjà validé deux ans de Pro D2, qui peut jouer 6-8-7, pareil, c'est pour le LOU. Martin Méliande, c'est pareil, il peut jouer 10 ou 15, il est buteur, avec lui on prépare la succession de Léo Berdeu. Si je n'avais fait que des choix pour moi cette année, pour assurer le coup après une saison compliquée (11e), j'aurais pris des mecs de trente piges. »
- xdderf63 aime ceci
#1365
Posté 11 décembre 2024 - 20:20
Ghezal pour entrainer la touche, ça va mais en coach principal, ça me parait plus discutable, au SF ce ne fut pas une grande réussite pourtant y avait du matos plus qu'au LOU
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