Match dégueu hier, la saison de trop ?
Match raté, c'est indiscutable. Il a encore largement le temps de prouver qu'il en a sous la semelle. Il sort d'une saison remarquable, je doute qu'il s'effondre dans l'instant.
Posté 05 novembre 2023 - 21:20
Match dégueu hier, la saison de trop ?
Match raté, c'est indiscutable. Il a encore largement le temps de prouver qu'il en a sous la semelle. Il sort d'une saison remarquable, je doute qu'il s'effondre dans l'instant.
Posté 05 novembre 2023 - 21:23
il l a prouvé la semaine passée deja ...
comment peut on juger à une semaine d invervalle que c est la saison de trop ?
bref
Posté 06 novembre 2023 - 00:32
Il passe à coté au Michelin mais à Jean Dauger il est sur les bases de la saison dernière.
Posté 06 novembre 2023 - 09:18
je doute de la saison de trop, il a raté son match comme ça arrive à tous . ne l'enterré pas si vite
Posté 06 novembre 2023 - 14:14
Posté 06 novembre 2023 - 14:38
C'était une question à la base.
L'air de Clermont lui convient pas en fait.
il a jamais été bon à clermont ?
Posté 17 novembre 2023 - 20:32
Bayonne veut prendre sa revanche sur la seule équipe qui l'a battue à domicile depuis sa remontée en Top 14 en 2022, même si c'était à l'occasion d'un match délocalisé à Saint-Sébastien et non à Jean-Dauger. Pau, qui reste sur cinq victoires d'affilée, entend bien poursuivre sa série pour rester leader du Championnat. Mais au-delà de la rivalité, la rencontre entre les deux va voir se confronter deux des ouvreurs les plus performants de ce début de saison, Camille Lopez et Joe Simmonds.
« Ce sont deux stratèges à qui leurs coaches ont filé les clés », résume Jonathan Wisniewski, l'ancien demi d'ouverture du Racing et du LOU entre autres. Celui qui est désormais consultant pour Canal+ ne cache pas son admiration pour les deux joueurs : « Le profil que j'aime par-dessus tout parce qu'ils sont les gardiens du temple, les dépositaires du jeu. »
Arrivé chez le promu basque l'été de la remontée en Top 14, Camille Lopez a été une incroyable locomotive toute la saison dernière. Si l'Aviron a longtemps envisagé une place dans le top 6, avant de terminer huitième, et s'est qualifié pour la Coupe des champions, il le doit en grande partie au rayonnement de l'ancien demi d'ouverture des Bleus (34 ans, 28 sélections), auteur de l'une des plus belles saisons de sa carrière avec un bilan incroyable.
Une campagne pleine avec plus de 90 % de réussite devant les poteaux, quatre passes décisives, sept drops et 26 matches dont 23 comme titulaire. Et l'ancien Clermontois est reparti sur les mêmes bases cette saison avec un 100 % de réussite face aux poteaux : 9 pénalités, 7 transformations et 3 drops pour 50 points marqués.
Joe Simmonds n'est arrivé en provenance d'Exeter que cet été à Pau mais il y est déjà comme chez lui, co-meilleur réalisateur du Top 14 avec 77 points inscrits. Pour le manager palois Sébastien Piqueronies, « Joe Simmonds s'est très vite mis au diapason de notre projet de jeu pour très vite l'incarner. Il respire, transpire l'humilité tout en faisant preuve d'une ambition terrible. »
Venu pour remplacer Zack Henry, parti au Stade Français, l'Anglais, double champion d'Angleterre (2017 et 2020), et capitaine des Chiefs à 23 ans lors de la victoire en Coupe d'Europe en 2020, s'est vite intégré au projet de jeu palois. « On le sent rayonner. Il a pris la mesure du jeu en Top 14 qui, en général, demande un temps d'adaptation, insiste Wisniewski. Il est à l'aise et magnifie la façon de jouer de la Section. » Au point d'être indispensable et d'enchaîner à Bayonne sa septième titularisation en sept journées.
Si les deux joueurs sont d'une grande efficacité face aux poteaux, leur apport va bien au-delà. « Ce ne sont pas des gars qui vont traverser le terrain et débloquer la situation sur un exploit individuel, explique Wisniewski. Ils vont le faire par leur jeu, par leur activité, la variété de leurs options, par la justesse de leurs choix et leur justesse technique. »
Ils occupent les deux premières places au nombre de ballons joués dans le jeu courant selon Opta : 118 pour Lopez, 108 pour Simmonds. « S'il faut les différencier, estime le consultant de Canal+, je donnerais un petit avantage sur le jeu à la main à Simmonds et un petit avantage au pied à Lopez avec sa capacité à trouver des 50-22, des angles, à poser le ballon où il veut, à jouer les drops. »
L'un et l'autre ont cette capacité à donner le rythme, à gérer le temps d'une partie en fonction des temps forts et des temps faibles, des conditions météo, de l'adversaire avec un jeu au pied de pression et d'occupation très précis. « Sa gestion de l'espace-temps est incroyable. On a toujours l'impression qu'il a le temps nécessaire pour prendre les bonnes décisions, pour peser sur la ligne, toujours très tranquillement », dit de Simmonds Antoine Nicoud. Mais on parie que l'entraîneur palois de la défense et des transitions pourrait dire la même chose de Camille Lopez.
Posté 30 décembre 2023 - 07:32
Camille Lopez se sent encore bien dans son corps et dans sa tête. En fin de contrat en juin prochain, le demi d'ouverture de 34 ans et capitaine de l'Aviron Bayonnais a décidé qu'il était trop tôt pour penser à autre chose, et partir à la retraite. Il a donc prolongé son contrat d'une saison. La dernière ? Il ne sait pas. Lopez (1,75 m ; 90 kg) jure qu'il n'a jamais rien planifié. Depuis qu'il est revenu près de ses terres, le natif d'Oloron-Sainte-Marie est épanoui.
Auteur d'une première saison remarquable (26 feuilles de match), considéré comme l'un des meilleurs joueurs du Top 14, il confirme encore. L'ancien ouvreur des Bleus (28 sél.) n'a pas raté une seule rencontre depuis le début du Championnat. Il sera encore titulaire pour la réception du Racing, avec l'envie d'être toujours aussi adroit devant les poteaux et d'aider son club à conforter une invincibilité à domicile qui dure depuis près de deux ans en Championnat.
« Vous voilà lié à l'Aviron jusqu'en juin 2025. C'est votre dernier contrat ?
Je ne sais pas. Tant que je me sens bien... Je suis plutôt épargné par les blessures depuis le début de ma carrière. Je n'ai eu que deux gros pépins, et j'espère sincèrement qu'il n'y en aura pas d'autres. Une carrière, ça tient vraiment beaucoup à ça, à la manière dont ton corps réagit. Je sais que j'approche de la fin, mais tout dépend de l'état physique, mais aussi du mental. Physiquement, ça va. Je me sens bien.
Et mentalement ? On sait que le sport est de plus en plus dur, qu'il y a la répétition des matches, des entraînements, des stages, des mises au vert...
C'est vrai, les gens ne se rendent pas compte. Ils pensent qu'on a de la chance, qu'on s'amuse, qu'on joue au rugby, qu'on vit de notre passion, mais la charge mentale est lourde. Il y a beaucoup de travail, de contraintes, de répétition. C'est redondant, et parfois, je n'en peux plus du rugby. Ce n'est plus ma tasse de thé. Je peux vous assurer que ça m'a fait du bien de changer de projet après huit années à Clermont (2014-2022). Parce que parfois, même si le club t'apporte beaucoup de choses, qu'il t'a permis de grandir, de t'épanouir, il y a comme une forme de lassitude. Je parle souvent de ça avec certains collègues.
« On avait une bonne étoile avec un nombre important de matches qu'on aurait dû perdre, et qu'on a finalement remportés. Et puis, on a aussi eu la chance d'être pris souvent à la légère par l'adversaire. »
Vous avez quitté Clermont mais quand vous n'en pouvez plus du rugby, est-ce que vous avez un remède miracle pour repartir ?
Non, il n'y a pas de remède miracle, mais il faut savoir s'échapper même si on a un emploi du temps hyper chargé. Il faut arriver à trouver le temps, à penser à autre chose, à faire autre chose, à petites doses. Depuis que je suis revenu ici par exemple, je rejoue pas mal à la pelote. Cela me fait du bien. Et encore une fois, changer de club m'a aussi fait du bien, me retrouver à participer à un nouveau projet, à me sentir impliqué à Bayonne, non loin de chez moi. Et c'est un projet qui marche en plus, avec une qualification européenne dès la première année. Pour un promu, c'est rare.
Cette première année vous met une pression supplémentaire car les suiveurs de l'Aviron ne comprendraient pas que vous ne fassiez pas aussi bien...
On sait qu'ici, l'exigence est très élevée avec un public fanatique, c'est une terre de rugby. Mais il faut être réaliste, et je connais le Top 14, la deuxième année est toujours plus complexe. Ce qu'on a réalisé, c'était miraculeux. On avait une bonne étoile avec un nombre important de matches qu'on aurait dû perdre, et qu'on a finalement remportés. Et puis, on a aussi eu la chance d'être pris souvent à la légère par l'adversaire, eh bien ça, c'est terminé. Donc, je savais que ça allait se passer comme cela (Bayonne est actuellement 11e de Top 14), mais il faut bien être conscient qu'au quotidien on fait tout pour essayer de revivre la saison qu'on a vécue l'an dernier.
« J'ai toujours essayé de conserver ce feeling, cette liberté dans la manière que j'ai d'évoluer sur le terrain, avec ce souci de faire briller des joueurs. »
Des tribunes, on a l'impression que vous avez pris du recul sur le terrain pour distribuer à votre guise le jeu, comme le footballeur Pirlo à l'époque. Est-ce que vous avez modifié, avec le temps, votre manière de jouer ?
C'est gentil de me comparer à ce joueur, je suis un grand fan. Je comprends la comparaison mais je n'ai absolument pas modifié ma manière de jouer. Je fais ce que je ressens sur un terrain, même si cela peut paraître difficile car les consignes sont nombreuses, et les plans de jeu assez stricts. Mais j'ai toujours essayé de conserver ce feeling, cette liberté dans la manière que j'ai d'évoluer sur le terrain, avec ce souci de faire briller des joueurs qui sont capables de faire des différences.
D'où vous vient ce souci de garder cette liberté à tout prix ?
J'ai toujours gardé ça à l'esprit, même quand je suis devenu un joueur pro. C'est Vincent Etcheto qui a été mon premier entraîneur dans ce monde professionnel, à l'UBB, qui m'a dit qu'il fallait absolument que je conserve cette approche, et que je m'appuie toujours sur mes qualités. Et moi, mes qualités, c'est d'optimiser les ballons, et de mettre dans les meilleures conditions mes partenaires. »
Posté 01 janvier 2024 - 14:49
Camille a réalisé une partie taille patron face aux racingmen. Il sortait d'une série de cinq rencontres durant lesquelles sa partition avait été plus neutre, plus en dedans. Mais ce coup de mou est largement compréhensible car il sort d'une très grosse saison et n'a quasiment jamais soufflé depuis deux ans enchaînant 99% des rencontres de l'aviron. Cela étant, son apport va au-delà de sa participation aux rencontres du top 14, il éduque forme et transmet au sein du club, tant pour le jeu au pied que pour l'organisation d'une ligne offensive ou défensive
Posté 07 septembre 2024 - 07:52
« Il ne faut jamais dire jamais mais… » Le demi d’ouverture de l’Aviron Bayonnais (35 ans, 28 sélections) attaque probablement la dernière saison de sa carrière. De l’arrivée de Joris Segonds à ses ultimes motivations, il s’est livré à « Sud Ouest »
C’était votre dernière préparation d’avant-saison. Comment l’avez-vous vécue ?
Ce n’est toujours pas ma période préférée (rires), même si c’est nécessaire. J’étais content que ce soit ma dernière. Après, je dis ça, mais l’année prochaine, quand ça va redémarrer, ça va me manquer.
Votre décision d’arrêter est-elle définitive ?
Il ne faut jamais dire jamais mais je suis parti comme si c’était ma dernière. Je n’ai pas envie de faire l’année de trop. Si c’est pour prolonger un an et jouer deux matches de dix minutes dans l’année, ça ne m’intéresse pas.
Se prépare-t-on mieux quand c’est sa dernière saison ?
Je ne sais pas. Il y a des trucs que je vais essayer de faire différemment. Le fait de moins jouer va être nouveau pour moi. Après, je vais rester moi-même. Au bout d’un moment, je suis comme ça. Tu ne changes pas une personne en claquant des doigts.
La gestion de votre poids a toujours été un sujet, sans jamais affecter vos performances. Est-ce encore le cas au crépuscule de votre carrière ?
Je sais que si j’ai deux kilos de trop, ça ne changera pas mon match. Ça reste du rugby. J’ai connu des clubs où les mecs étaient au gramme près mais si tu me fais faire des trucs toute la semaine pour que je sois à tel poids, au final, ça te pompe mentalement et tu te braques avec les prépas. Ce n’est pas bon non plus. Il faut le faire intelligemment. Quand j’en vois certains me dire que Tevita (Tatafu) est trop gros… J’en ai rien à foutre quand il me décalbombe (sic) les mecs en mêlée et en met trois sur le cul en prenant le ballon. Il ne faut pas faire n’importe quoi, c’est du cas par cas, mais s’il est bien comme ça, c’est l’essentiel.
« Toutes les semaines, tous les jours, tu es là-dedans. C’est une machine à laver. J’aime être investi dans le bordel mais ça pompe de l’énergie »
Ces dernières années, vous exprimiez parfois votre lassitude du rugby. Est-elle encore présente ?
Je vis le truc à fond. Je ne suis pas consommateur. Une fois que je quitte le stade, ce n’est pas fini. Les gens ne le voient pas, mais il y a énormément de boulot derrière. Il y a de la vidéo, des réunions leaders, des réunions d’attaque… Ce dimanche, je mangeais avec un pote, et « Ged » (Fraser) nous envoyait des pistes de travail. C’est un investissement permanent. Toutes les semaines, tous les jours, tu es là-dedans. C’est une machine à laver. J’aime ça. Je veux vivre ma dernière année comme ça. Je ne peux pas rester à l’écart de tout, ce n’est pas moi. J’aime être investi dans le bordel. Sinon, il n’y a aucun intérêt. Mais ça pompe de l’énergie.
Vous savez qu’avec l’arrivée de Joris Segonds, recruté pour vous succéder, vous allez moins jouer. Comment l’appréhendez-vous ?
J’y ai réfléchi cet été. Même lorsque je serai remplaçant, il faudra être investi dans le projet, aider le groupe différemment. J’ai connu ça au début de ma carrière, quand j’arrivais dans le monde pro. Mais après, dans tous mes clubs (UBB, Perpignan, Clermont, Bayonne), j’avais une place importante, je jouais souvent.
« Je ne vais pas laisser ma place sinon, autant arrêter. Je n’ai pas envie d’être là pour être son remplaçant toute l’année »
Cette nouvelle concurrence est-elle stimulante ?
Forcément, parce que tu es compétiteur. Je n’ai pas envie d’être là pour être son remplaçant toute l’année. Je ne vais pas laisser ma place sinon, autant arrêter. Mais si on veut exister et franchir un cap dans notre saison, il faut une rotation naturelle sans que le niveau de l’équipe bouge. C’est le plus important. Ça va être dur mais on aura besoin de tout le monde.
« Si je suis honnête envers moi-même, en deuxième partie de saison, même si je fais certains bons matches, ça ne va pas »
Est-ce facile à accepter alors que vous aviez le plus gros temps de jeu de tout le Top 14 la saison passée ?
C’est clair que je n’y suis pas habitué. C’était le choix des coaches même si « Dolha » (Thomas Dolhagaray, parti à Biarritz en Pro D2) aurait pu faire aussi bien que moi sur certains matches. Si je suis honnête envers moi-même, en deuxième partie de saison, même si je fais certains bons matches, ça ne va pas. Plus globalement, quand tu regardes les compos d’équipe de l’Aviron, c’était quasiment toujours les mêmes mecs alignés. Cette saison, il y aura plus de rotations.
En jouant moins, vous pensez être meilleur ?
Je l’espère. Si au lieu de faire 26 matchs, tu en fais 18, c’est 8 de moins. C’est énorme ! Tu es plus frais quand tu joues, moins usé physiquement et mentalement. J’en avais parlé avec Morgan (Parra) à Clermont, quand il était capitaine. Il me disait : « Tu verras ». Quand je l’ai été à mon tour, tu sens que tu as besoin de relais. Si c’est toujours le même qui parle, au bout d’un moment, tu te tues et le groupe ne t’écoute plus. Ça rentre par une oreille et sort par l’autre. On a besoin d’être plusieurs car le Top 14 tous les week-ends, c’est usant.
Camille Lopez sur son rapport au poids : « Quand j’en vois certains me dire que Tevita (Tatafu) est trop gros… J’en ai rien à foutre quand il me décalbombe (sic) les mecs en mêlée et en met trois sur le cul en prenant le ballon. »Qu’attendez-vous de votre dernier tour de piste ?
Mon côté perso, je le mets de côté. Ce n’est pas la priorité. Le but, c’est qu’on fasse une belle saison, qu’on franchisse un cap. Il le faut et on a envie. Moi, je suis sur la fin. Mais ce club, il faut qu’il ait l’ambition de faire mieux. J’espère qu’on va y arriver. Si on fait une belle saison, ça sera le bon moment pour s’arrêter, et ce sera très bien.
Le staff sportif parle désormais de top 8 et non plus de maintien. C’est raccord…
Il faut qu’on ait l’ambition d’y parvenir. Après, entre le dire et y arriver, ce sont deux choses différentes. On s’est maintenu deux ans de suite. On connaît la difficulté de ce championnat. Les équipes à côté ne dorment pas. Mais à Bayonne non plus, quand tu vois le recrutement, les infrastructures… J’ai eu la chance de jouer à Clermont (2014-2022). À l’époque, si on jouait à notre niveau, on savait qu’on était dans les six premiers à la fin. Aujourd’hui, tu as 13 équipes qui veulent batailler.
Qu’attendez-vous de ce premier match contre Perpignan à domicile ?
Rien de particulier, juste une victoire simple. Il faut lancer la saison comme il faut. À la maison, tu ne peux pas te permettre trop d’erreurs. Quand tu vois qu’il y a deux ans, on perd juste le match à Anoeta à domicile, on en gagne un à l’extérieur et on fait un nul, et malgré ça, tu n’es pas dans les six… Tu te demandes ce qu’il faut faire pour se qualifier dans ce championnat !
Si l’Aviron veut franchir un cap, c’est essentiellement en déplacement, non ?
C’est une étape, oui. Mais avant cela, il faut franchir un cap dans la qualité de nos entraînements. Ce n’était pas toujours le cas par le passé. Cette régularité peut nous permettre de bomber le torse et de gagner en confiance.
Est-ce l’année où l’Aviron a le plus de « matos » ?
Je pense. Mais c’est la suite logique. Il y a deux ans, l’Aviron remontait en Top 14. Maintenant, le club a arrêté de faire le yo-yo. Il attire des joueurs de qualité, l’effectif est plus complet.
Changer de logiciel, à l’extérieur comme dans les ambitions collectives, c’est facile ?
Ça ne s’inculque pas comme ça. C’est la culture de la gagne que tout le monde voit au Stade Toulousain. Mais si on est un peu plus régulier dans nos entraînements, consistant dans les petits détails, les attitudes, les choses comme ça, je suis persuadé qu’on pourra y arriver.
Posté 08 septembre 2024 - 13:14
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