2462 réponses à ce sujet

[Lima]

Je viens de voir que Bourgarit est encore blessé longue durée.

Quel coup dur encore pour ce super joueur.

Comme quoi ce type de tuile ne concerne pas que notre club quand on veut bien regarder ce qui se passe chez les autres.

[Silhouette]

Je viens de voir que Bourgarit est encore blessé longue durée.

Quel coup dur encore pour ce super joueur.

Comme quoi ce type de tuile ne concerne pas que notre club quand on veut bien regarder ce qui se passe chez les autres.

Faudrait faire des stats et j'ai la flemme, mais j'ai l'impression que les talonneurs sont particulièrement exposés non ? Chez nous, a LR au Racing, ça fait beaucoup

[Bart Simpson]

Retour de Jegou à l'entraînement selon sud ouest

[Fanchic]

Je viens de voir que Bourgarit est encore blessé longue durée.

Quel coup dur encore pour ce super joueur.

Comme quoi ce type de tuile ne concerne pas que notre club quand on veut bien regarder ce qui se passe chez les autres.

Un exemple isolé ne fait pas un axiome
Quand il aura manqué autant que Fischer ou Lapandry on pourra en rediscuter
Surtout quand le SR atteindra le niveau collectif de blessure important.

Après je comprends que tu puisses avoir envie de tenter de convaincre après tes échecs sur le sujet en 2022.

[InASMWeTrust]

Je viens de voir que Bourgarit est encore blessé longue durée.

Quel coup dur encore pour ce super joueur.

Comme quoi ce type de tuile ne concerne pas que notre club quand on veut bien regarder ce qui se passe chez les autres.

Si j'étais eux, je me tournerai vers Faaing'a pour l'année prochaine 

[PiR]

Un exemple isolé ne fait pas un axiome
Quand il aura manqué autant que Fischer ou Lapandry on pourra en rediscuter
Surtout quand le SR atteindra le niveau collectif de blessure important.

Après je comprends que tu puisses avoir envie de tenter de convaincre après tes échecs sur le sujet en 2022.

Tu as des statistiques étayées sur le sujet ou c'est au doigt mouillé orienté ?

[Fanchic]

Tu as des statistiques étayées sur le sujet ou c'est au doigt mouillé orienté ?

J'avais posté des statistiques édifiantes en leur temps
Plus de 70 jours en moyenne sur notre 30 majeur contre 47 pour les deuxième UBB et a peine 30 jours pour le ST

[Lima]

Un exemple isolé ne fait pas un axiome
Quand il aura manqué autant que Fischer ou Lapandry on pourra en rediscuter
Surtout quand le SR atteindra le niveau collectif de blessure important.

Après je comprends que tu puisses avoir envie de tenter de convaincre après tes échecs sur le sujet en 2022.

Venu du roi des axiomes et autres théories dogmatiques fumeuses en tout genre je le prends comme un compliment.

 

Je continue de croire que tu lisais pas mes posts à l'époque mais c'est pas bien grave. Je nuançais simplement les choses et cherchais à comprendre les facteurs de ces nombreuses blessures (fragilité physique de nos joueurs, mauvaises préparations etc.) plutôt que de chouiner à une éternelle malchance ou fatalité touchant l'ASM sur les blessures comme sur tout autre sujet (arbitre, salary cap etc.)

 

Si l'année de référence c'est notre saison noire 2018, effectivement y avait pas de débat possible.

[Fanchic]

"Roi des théories dogmatiques et fumeuses" quand je sors des stats flagrantes et documentées ça me laisse à penser que tu n'as bien que cette expression dans ton argumentaire qui frise le néant quand il n'est pas emplis de fausses nouvelles et autres biais.

[Bon Chasseur]

Faudrait faire des stats et j'ai la flemme, mais j'ai l'impression que les talonneurs sont particulièrement exposés non ? Chez nous, a LR au Racing, ça fait beaucoup

faudrait voir les blessures exactes des uns des autres de ces talonneurs, mais j'imagine qu'entre jouer les mêlées surtout avec un gabarit de 3èL qu'ont les talons modernes, et le profile de gratteurs qu'ils ont svt, ils s'exposent particulièrement. Marx des Boks par ex colle à cette description et a souvent été blessé (bon, pas pour le match d'hier...).

[Silhouette]

faudrait voir les blessures exactes des uns des autres de ces talonneurs, mais j'imagine qu'entre jouer les mêlées surtout avec un gabarit de 3èL qu'ont les talons modernes, et le profile de gratteurs qu'ils ont svt, ils s'exposent particulièrement. Marx des Boks par ex colle à cette description et a souvent été blessé (bon, pas pour le match d'hier...).

Oui je pense que c'est globalement le profil un peu "hybride" qu'on leur demande d'etre avec des aspects techniques (lancer en touche), un travail de force en melee, et une activite quasiment de 3eme ligne. Ca fait beaucoup..

[el landeno]

Des cadres prolongés, des jeunes promus et des stars déjà recrutées : le Stade Rochelais prépare l'avenir En prolongeant une grande partie de son groupe ces derniers mois puis en recrutant le Racingman Nolann Le Garrec et le Lyonnais Davit Niniashvili pour la saison prochaine, les Maritimes se sont offert une visibilité à moyen terme. Mais quelques dossiers chauds restent à régler.

Si c'est la manière dont les Rochelais disent bienvenue, Davit Niniashvili a du souci à se faire. Samedi dernier, le demi de mêlée du Racing Nolann Le Garrec s'est fait violemment déblayer par son futur coéquipier Will Skelton (sanctionné d'un carton jaune) lors de la réception des Maritimes à Créteil (16-17).

 

 

Ce samedi après-midi, les Jaune et Noir vont recroiser l'une de leurs autres futures recrues, Niniashvili (titulaire à l'arrière), à l'occasion de la réception du LOU. En attendant les arrivées du Géorgien et du Racingman, programmées l'été prochain, les hommes de Ronan O'Gara, 4es de Top 14 après quatre journées, tentent déjà cette saison de renouer avec les titres.

Pour ce faire, ils ont opté pour la stabilité, un seul joueur - le deuxième-ligne australien Kane Douglas (ex-UBB) - ayant rejoint le groupe à l'intersaison. « On n'a pas beaucoup recruté à l'extérieur, mais on a promu beaucoup de jeunes joueurs dans le groupe pro, comme Louis (Penverne) et Simeli (Daunivucu), rappelle Robert Mohr, le directeur sportif du Stade Rochelais. Si on remplaçait chaque départ par une recrue, il n'y aurait jamais de place pour les jeunes. » Comme depuis trois saisons, les Maritimes, qui ont notamment perdu Yoan Tanga (Stade Français) et Rémi Picquette (Pau) cet été, ont donc continué à fondre. Ils ne comptent désormais plus que 31 contrats professionnels, autour desquels gravitent une quinzaine de jeunes.

Une stratégie minimaliste assumée. « En théorie, on estime avoir le nombre optimal de joueurs pour fonctionner, même si ce n'est pas une science exacte, il peut y avoir des blessés, estime Mohr. Mais on préfère prendre ce risque. On pourrait avoir plus de joueurs, mais, dans ces cas-là, tu peux passer beaucoup de temps à gérer ceux qui ne jouent pas. Là, tout le monde est important. Et avec le salary-cap, tous les clubs sont au même niveau. Notre philosophie est donc d'avoir un nombre de joueurs sous contrat qui n'est pas très élevé, mais d'avoir de très bons joueurs. »

« Je pense qu'il faut un bon équilibre dans le groupe et un certain taux de renouvellement »

Robert Mohr, directeur sportif du Stade Rochelais

 

 

 

 

 

C'est dans cette optique que le club a procédé à une vaste campagne de prolongations. Plus de vingt joueurs ont étendu leur bail à La Rochelle ces douze derniers mois. Parmi eux, de nombreux cadres, de Will Skelton à Grégory Alldritt, en passant par Uini Atonio, Levani Botia, Pierre Bourgarit, Reda Wardi, Dillyn Leyds, Antoine Hastoy, Paul Boudehent ou UJ Seuteni. « L'idée, avec ces prolongations, est de garder la main et d'avoir une visibilité à moyen terme sur la base de notre groupe, précise Mohr. Je pense qu'il faut un bon équilibre dans le groupe et un certain taux de renouvellement. »

Et c'est ce que le Stade Rochelais s'est attaché à faire en recrutant pour la saison prochaine deux joueurs en fin de contrat en 2025 qui étaient parmi les plus courtisés du Top 14, Le Garrec et Niniashvili. « Notre organisation, avec une visibilité de deux, trois années en avance, nous permet d'être réactifs sur certains dossiers, note Mohr. On pouvait être actifs à partir du 1er juillet (date de l'ouverture de la période de mutations), on ne s'en est pas privés. » Avec ces deux arrivées de poids, La Rochelle a déjà effectué la majeure partie de son recrutement pour la saison prochaine.

Les négociations avec Colombe en stand-by

Mais d'autres dossiers chauds restent à gérer avec des éléments importants de l'effectif dont le contrat s'arrêtera à l'issue de la saison. Il y a notamment les cas des deux cadres actuels qui évoluent aux postes de Le Garrec et Niniashvili, le demi de mêlée Tawera Kerr-Barlow (34 ans) et l'arrière Brice Dulin (34 ans). Ronan O'Gara souhaiterait conserver le Néo-Zélandais.

Mais ce dernier a indiqué cette semaine qu'il pensait jouer sa dernière saison au club... tout en précisant qu'il désirait continuer à évoluer en Top 14. Concernant Dulin, des discussions se poursuivent au sujet d'une prolongation d'un an. Si aucun accord n'était trouvé, l'arrière, qui ne se voit pas se lancer dans une ultime aventure ailleurs, arrêterait sa carrière.

Par ailleurs, les négociations sont actuellement en stand-by avec le pilier droit international français Georges-Henri Colombe (26 ans, 4 sélections), courtisé par le Stade Toulousain. Le Stade Rochelais aimerait aussi conserver son troisième-ligne Matthias Haddad (23 ans), qui s'est relancé en ce début de saison, mais, là aussi, les discussions n'ont pas encore trouvé d'issue.

Actuellement blessé, le centre sud-africain Raymond Rhule (31 ans) devrait, lui, s'en aller à l'issue de la saison, tandis qu'une prolongation de Teddy Thomas (31 ans), pourtant écarté en fin de saison dernière, n'est pas à exclure, comme pour Kane Douglas, qui s'était engagé pour une saison seulement chez les Maritimes. Titulaire ce samedi après-midi, l'Australien de 35 ans aura une nouvelle occasion de prouver sa valeur.

 

 

[cocotte 63]

Oh putain ce genre dinterview me fout le bourdontant on est loin de ça !

[Bart Simpson]

Merci pour le partage

[el landeno]

À La Rochelle, Paul Boudehent montre de nouveau les muscles Auteur d'un doublé et d'une performance pleine de punch contre le LOU samedi (43-22), le troisième-ligne de La Rochelle Paul Boudehent retrouve peu à peu son impact après avoir été longtemps éloigné des terrains.

 

Il est arrivé en conférence de presse d'après-match lessivé par la bataille, au point de lâcher, tout sourire, avant de prendre le micro : « je n'en peux plus, que des questions simples s'il vous plaît. » Paul Boudehent avait de quoi être las. Il venait de livrer face au LOU (43-22) une prestation de golgoth. Quatre-vingts minutes pleines, où le troisième-ligne international (11 sélections) s'est envoyé aux quatre coins du terrain. Sans jamais penser à s'économiser.

 

 

« Les trente premières minutes m'ont semblé vraiment dures, à l'issue de la première période, j'avais presque la sensation d'avoir joué un match, il y avait beaucoup de jeu, de déplacement, c'était ouvert », souligne-t-il. Le Stade Rochelais éprouvait alors des difficultés à bousculer une équipe lyonnaise mobile avant de la faire progressivement plier en seconde période. Bien aidé par Boudehent, défenseur féroce et porteur de ballon puissant. « C'est comme ça que je veux aider l'équipe, sur les collisions, où j'essaie de m'engager fort, sourit-il. Si j'ai réussi à le faire tant mieux. »

Le flanker retrouve peu à peu sa densité physique, lui qui avait vu sa saison dernière se terminer dès le mois d'avril en raison d'une blessure à l'ischio-jambier. Il a ensuite pu se remettre en forme cet été avant de débuter sur le banc les deux premiers matches de Top 14, se faisant notamment remarquer lors de son entrée à Toulouse.

Puis il a retrouvé une place de titulaire il y a trois semaines et vient d'enchaîner trois rencontres à 80 minutes. « Le premier match avait été compliqué sur le rythme, ça faisait quelques mois que je n'avais pas joué 80 minutes mais on travaille bien dans ce sens avec le staff pour enchaîner », avance-t-il.

 

 

« On voit qu'il retrouve petit à petit tout son impact, toute sa dimension physique »

Rémi Talès

 

 

 

Rémi Talès, l'entraîneur des trois-quarts rochelais, complète : « Paul monte crescendo. Il sort d'une grosse blessure, on voit qu'il retrouve petit à petit tout son impact, toute sa dimension physique. C'est sûr que quand il attrape les mecs, il leur fait mal. Il revient très bien, c'est bien d'avoir un Paul comme ça dans l'équipe parce qu'offensivement comme défensivement, il est toujours dans l'avancée. »

Devant comme derrière, puisque l'Angevin, polyvalent, a terminé samedi le match à l'aile. « Avec le banc en 6-2, on savait que c'était l'avant qui pouvait couvrir ce poste-là derrière, explique Talès. Il va très vite pour un troisième-ligne, il a plutôt bien fait, il a fini un essai en position d'ailier, on va continuer à le mettre dans les couloirs pour qu'il trouve de l'avancée. » Des essais, il en a même marqué deux samedi (67e, 79e), dont celui qui a relancé son équipe vers le bonus offensif, arraché au bout du temps additionnel.

Premier doublé de sa carrière pro

« Quand la sirène a sonné à la 80e dans le stade, à titre personnel, j'étais lessivé, je me disais qu'on menait, qu'il fallait taper en touche, note le joueur. Mais le groupe a eu la volonté d'envoyer du jeu pour aller chercher ce cinquième point. On l'a fait. » Un dénouement heureux pour une journée que Boudehent devrait garder en mémoire. Et pas seulement parce qu'il a signé une performance comptable qu'il n'avait encore jamais réalisée.

« C'est le premier doublé de ma carrière pro, c'est certain, apprécie-t-il. Mon dernier doit peut-être remonter à l'époque du SCO d'Angers (son premier club). Mais je vais vous dire la vérité, ce qui m'a fait le plus plaisir aujourd'hui (samedi), c'est que mes grands-parents étaient là (au stade), j'ai vu pour la première fois mon grand-père pleurer. Avoir pu passer ce court moment avec eux, c'est sincèrement plus ça que je retiens que le doublé. »