J'ai toujours été pour l'intégration des primes dans le calcul des pensions de retraite!

Masse salariale Masquée
#1006
Posté 22 décembre 2014 - 23:09
#1007
Posté 24 décembre 2014 - 09:53
1500€ par mois, avec une prime de 80.000€ par match disputé.
Faut penser à mettre des sous de côté pour juin/juillet mais c'est pas mal comme système.
On peut aussi imaginer le SMIC + une prime de 10.000 euros pour chaque entrainement dirige + une prime de 10.000 euros par match + une prime de 10.000 euros pour chaque jour sans match ni entrainement ? Ca parait honnete..
#1008
Posté 24 décembre 2014 - 12:05
Le problème c'est que MB explose le systême des combines pour franchir le salary-cap pour se payer tous les autobus dorés de la planète ovale, mais comme tous les clubs jouent plus ou moins avec la limite, la ligue est pas prête de l'emmerder.
#1009
Posté 24 décembre 2014 - 14:07
Dan Carter payé 300.000 € par an par l'Arena 92 un stade qui n'existe que sur plan!!
bravo Jacky,les leçons ont porté!
Pour infos et je connais très bien le chantier de l'arena 92 ( je précise je supporte clermont mais je vis sur Paris)
Ouverture fin deçembre 2016. C'est 32 000 places en mode rugby avec toit fermé ( donc possibilité de jouer des demi finales de top 14)
Mais pour rentabiliser le stade ou plutôt la salle multimodale ( de 10 0000 à 40 000 spectateurs, unique en France et Europe, cf site internet), le président du racing et donc du stade ( financement privé et pas de partenariat état/ entreprise privée)prévoit des concerts, conventions et toutes autres animations... .
Le retour sur investissement risque d'être rapide et les investissements pour le club de rugby ensuite puissants ( on peut comparer ce projet a celui du club d'Arsenal au football)
Ce n'est qu'une vision mais j'ai bien peur que le centre de gravité du rugby remonte un peu au nord
#1010
Posté 24 décembre 2014 - 16:17
Pour infos et je connais très bien le chantier de l'arena 92 ( je précise je supporte clermont mais je vis sur Paris)
Ouverture fin deçembre 2016. C'est 32 000 places en mode rugby avec toit fermé ( donc possibilité de jouer des demi finales de top 14)
Mais pour rentabiliser le stade ou plutôt la salle multimodale ( de 10 0000 à 40 000 spectateurs, unique en France et Europe, cf site internet), le président du racing et donc du stade ( financement privé et pas de partenariat état/ entreprise privée)prévoit des concerts, conventions et toutes autres animations... .
Le retour sur investissement risque d'être rapide et les investissements pour le club de rugby ensuite puissants ( on peut comparer ce projet a celui du club d'Arsenal au football)
Ce n'est qu'une vision mais j'ai bien peur que le centre de gravité du rugby remonte un peu au nord
Y'a pas deja des salles sur Paris ? Parce que si j'organise une convention, perso, j'ai pas envie d'aller dans le 92, mais bien d'emmener tout le monde a Paris meme .. Et pour les concerts pareil, Bercy + le Zenith + le stade de France pour les evenements enormes, sans oublier en plus de tout cela le stade de la LNR .. A mon avis un de ces lieux (si ce n'est deux) ne sera pas rentable. On verra lequel..
#1012
Posté 26 décembre 2014 - 10:03
Plus de 50% d'etranger dans le XV de depart des 6 meilleurs clubs de Top14, sauf a Toulouse ? Il regarde le rugby, ou il donne juste son avis comme ca, parce qu'il passait par la par hasard ?
#1013
Posté 26 décembre 2014 - 10:50
Plus de 50% d'etranger dans le XV de depart des 6 meilleurs clubs de Top14, sauf a Toulouse ? Il regarde le rugby, ou il donne juste son avis comme ca, parce qu'il passait par la par hasard ?
Avec JBL le hasard n'existe pas, il devait certainement y avoir un apéro dans le coin...
Autant j'ai badé ce mec sur le terrain quand j'étais tout gamin, autant il fait peur à chacune de ses sorties dans les médias...
#1014
Posté 26 décembre 2014 - 10:55
Plus de 50% d'etranger dans le XV de depart des 6 meilleurs clubs de Top14, sauf a Toulouse ? Il regarde le rugby, ou il donne juste son avis comme ca, parce qu'il passait par la par hasard ?
je me pose la meme question car d'un côté il dit que c'est un super spectacle très bien télévisé, d'un autre il dit que c'est surmédiatisé
En plus il dit qu'il est bayonnais et adore biarritz... Roh ces nouveaux riches ^^
Hormis faire le VRP du racing en redisant tout ce qui a pu etre dit depuis des années à chaque recrutement pharaonique du racing... bah... J'espère pour eux que la seconde partie est plus enrichissante car dans ce cas, autant interroger Berléan pour nous parler technique de plaquage
#1015
Posté 26 décembre 2014 - 11:24
#1016
Posté 12 janvier 2015 - 18:07
Lu dans le Daily Telegraph via le Midol - Classement des salaires du Top 10 mondial :


#1017
Posté 13 janvier 2015 - 07:55
Lu dans le Daily Telegraph via le Midol - Classement des salaires du Top 10 mondial :
Dan Carter : 1,3 million d’euros par an - Futur salaire au Racing (l'USAP confirme qu'ils ne le prendront pas)Matt Giteau : un peu moins de 900 000 € - RCTLeigh Halfpenny (770 000 €) - RCT (qui vient d'arriver de Cardiff)Sam Burgess (640 000 €) - Bath (arrivé en 2014)Jonathan Sexton (630 000 €) - Racing (bientôt au Leinster)Bryan Habana (600 000 €) - RCTMorgan Parra, (560 000 €) - ASMThierry Dusautoir (520 000 €) ST (mais ça va baisser, même sans aller au Leicester !)Bakkies Botha (500 000 €) - RCTJamie Roberts (490 000 €) - Racing (bientôt à Cardiff avec le salaire de Halfpenny)Donc dans le top 10 mondial, 7 joueurs de Jacky et Mourad, 2 Français et un seul ne jouant pas dans le Top 14Toujours coté Money, Clermont va devoir payer 250 000 € d'indemnité pour Scott Speeding (c'est plus que pour un talonneur de Bourg en Bresse
Jonathan Sexton devrait toucher 800 000€ la saison prochaine au Leinster
#1018
Posté 16 janvier 2015 - 13:21
http://www.juritrava...sport/Id/164251
En mal de régulation, le sport professionnel voit apparaître au fil des années des dispositifs visant à contrôler financièrement les clubs tout en instaurant une équité sportive. Parmi ces dispositifs figurent le fair play financier ou encore le salary cap. Admis par la "lex sportiva", des doutes subsistent toutefois quant à leur légalité.
Ce n’est un secret pour personne : les rémunérations conséquentes ont mauvaise presse en ces temps de crise.
Après les dirigeants des grandes entreprises à qui l’on a demandé de renoncer à une majeure partie de leurs " parachutes dorés ", ce sont aujourd'hui les sportifs qui sont contraints de revoir leur rémunération à la baisse.
Plusieurs mesures sont introduites au fur et à mesure par les Etats (taxe de 75% sur les hauts salaires en France), les fédérations internationales (fair play financier par l’UEFA football) ou par les fédérations/ligues sportives nationales (contrôle de gestion financière, salary cap) afin de contraindre les clubs (employeurs) à se montrer prudents et raisonnables lors de l’embauche de joueurs (salariés). Intéressons-nous ici au salary cap.
Principe du salary cap
côté du récent fair play financier, qui impose aux clubs de football de ne pas dépenser plus que ce qu’ils produisent, un autre dispositif est en train d'être introduit : le " salary cap ", ou plafonnement des salaires.
Né aux Etats-Unis et unanimement appliqué par les grandes ligues telles que la NBA (basket), la NFL (football US) ou encore la NHL (Hockey), le salary cap consiste à plafonner la masse salariale des clubs.
Finalité du salary cap
Il s’agit de préserver une équité sportive en permettant une concurrence effective entre les clubs. En effet, il devient compliqué pour un même club de détenir les joueurs les plus chers, en théorie les meilleurs, et d’être ainsi le terrain de jeu d’un éventuel magnat dont le compte en banque est par essence déplafonné.
De plus, le salary cap permet aux clubs de préserver leurs finances en les prémunissant d'un éventuel endettement.
Unanime outre Atlantique, le salary cap reste pour le moment anecdotique en Europe.
Unique ligue sportive française a avoir instauré le salary cap, la Ligue Nationale de Rugby limite depuis 2010 les clubs de son élite, le Top 14, à une masse salariale plafonnée à 10 millions d’euros par saison sportive (contre à titre d'exemple plus de 63 millions de dollars en NBA et plus de 130 millions de dollars en NFL). Après près de 4 années d'expérience, le dispositif demeure critiqué et est loin de faire l'unanimité. Sa légalité est même questionnée.
Le salary cap : un dispositif légal ?
On pourrait légitimement affirmer que le salary cap appliqué en France et plus largement en Europe porte atteinte au principe communautaire fondamental de libre circulation des travailleurs. Les clubs étant restreints dans leur recrutement, la liberté de choix des joueurs se trouve de fait impactée.
Par ailleurs, c’est le principe de libre concurrence qui serait remis en question. Bien que le salary cap ait pour finalité de promouvoir la concurrence sportive entre les clubs, c'est au détriment de la concurrence financière et économique et de la liberté d'entreprendre. En effet, en plus de plafonner la masse salariale, le salary cap peut également conduire à plafonner les perspectives de profits des clubs, dont la quasi majorité sont constitués sous la forme de sociétés de capitaux.
De plus, pour reprendre l'exemple du rugby, la concurrence sportive peut être faussée lors des compétitions européennes, les clubs français étant "désavantagés" comparé à leurs homologues libres de toutes contraintes (à noter que les anglais ont également introduit un salary cap).
Dès lors, en pratique, les clubs essaient de trouver des moyens pour contourner les contraintes du salary cap et maintenir leur éventuelle suprématie. Cela pourrait notamment consister pour un club à faciliter la venue d’un joueur en lui permettant en toute discrétion de conclure des contrats d’image avec des sociétés partenaires ou des contrats publicitaires, dont les rémunérations seront exclues de la masse salariale.
En conclusion, à l'instar du fair play financier, on peut d'ores et déjà penser que le salary cap sera difficilement applicable par les ligues sportives européennes, dont la vision sportive est éloignée de la conception américaine de sport/(show) business.
Les grandes ligues sportives nord-américaines, ligues privées fermées (pas de montées/descentes), manient en effet à merveille ce dispositif qui, couplé au système de draft (chaque année les équipes les moins bien classés peuvent recruter en priorité les meilleurs talents et donc miser sur l’avenir), assure la concurrence et attise chez les fans des différentes franchises l'espoir de gagner un jour le titre suprême.
L'américanisation du sport européen, voulue par certains, est encore loin...
#1019
Posté 16 janvier 2015 - 15:57
#1020
Posté 16 janvier 2015 - 16:05
#Laissemoicomprendre: Le salary cap. Le rugbynistère (et accessoirement moi même que je suis l'auteur de l'article).
#AQueTuEsJohnny ?