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[Bougnat et Breton]

Mais il est tellement sexy

L'honnêteté m'oblige à dire que les avis ne sont pas unanimes sur le qualificatif 

[Alex chocolatines]

L'honnêteté m'oblige à dire que les avis ne sont pas unanimes sur le qualificatif 

Les avis divergent . ( On peut aussi dire cinq Buckaroo ) 

[Gourine63]

Les avis divergent . ( On peut aussi dire cinq Buckaroo ) 

Masterc...classe de maître.

[Rugby ?]

 

 

La Section Paloise Béarn Pyrénées annonce un partenariat sur plusieurs saisons avec Qatar Airways

 

Au delà de la polémique sur l'écologie, on voit que les émirs ont découvert le rugby. Comme au foot, la manne financière devrait dégringoler.

Je ne sais pas si c'est un plus.

[L'Eclair]

Au delà de la polémique sur l'écologie, on voit que les émirs ont découvert le rugby. Comme au foot, la manne financière devrait dégringoler.

Je ne sais pas si c'est un plus.

L'histoire est plus simple et plus modeste que ça. Un des vice présidents de la Section était cadre de haut vol chez Air France et on a eu assez longtemps un partenariat avec Air France, il est passé chez British Airways et on a perdu ce partenariat. Il est maintenant à très haut niveau chez Qatar Airways Europe, il a vendu la Section comme support intéressant et ça s'est fait.

Il ne faut pas non plus fantasmer sur la somme, c'est au niveau des partenaires "prémium", pas du partenaire majeur, quelques centaines de K€

[Rugby ?]

L'histoire est plus simple et plus modeste que ça. Un des vice présidents de la Section était cadre de haut vol chez Air France et on a eu assez longtemps un partenariat avec Air France, il est passé chez British Airways et on a perdu ce partenariat. Il est maintenant à très haut niveau chez Qatar Airways Europe, il a vendu la Section comme support intéressant et ça s'est fait.

Il ne faut pas non plus fantasmer sur la somme, c'est au niveau des partenaires "prémium", pas du partenaire majeur, quelques centaines de K€

Ok, mais maintenant que les émirs y ont mit le  nez, à Pau où ailleurs, ils ne raterons par une occasion de se montrer.

[L'Eclair]

Ok, mais maintenant que les émirs y ont mit le  nez, à Pau où ailleurs, ils ne raterons par une occasion de se montrer.

Bon si ils veulent rajouter un 0 au chèque, on prendra il n'y a pas de problème

[el landeno]

Top 14. Aymeric Luc, le Basque rebondissant de la Section Paloise

  Lecture 2

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Trois ans après son départ de Bayonne, Aymeric Luc, qui n’a plus joué depuis 7 mois, débarque dans le Béarn pour se relancer. © Crédit photo : Section

Par Georges Lannessans

Publié le 03/09/2024 à 5h01.

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Après trois saisons conclues par sept mois sans jouer à Toulon, Aymeric Luc débarque au sein d’un club qu’il avait failli rejoindre voilà trois ans. L’occasion de retrouver le statut de postulant au groupe France abandonné sur la rade

Aymeric Luc et la Section, c’est d’abord l’histoire d’une union retardée. Quand les aspirations de l’un ne collent pas vraiment avec les ambitions des autres. Trois ans après son départ au RCT, les courbes se sont inversées jusqu’à leur point de croisement : le moment idoine pour rattraper le temps perdu. « Si j’ai choisi Toulon en 2021, c’est que l’opportunité me semblait belle, et elle l’a été, assume l’arrière-ailier. À Pau, le nouveau staff venait d’arriver, je leur ai expliqué que j’avais envie de breaker, de basculer sur un club comme le RCT. »

« De la colère »

Moins en vertu de la querelle de clocher basco-béarnaise, que pour l’éreintante perspective de n’avoir à lutter que pour survivre en Top 14. « Sur ma dernière saison à Bayonne, on est à la lutte pour le maintien avec Pau. Je ne voulais pas repartir sur la même situation. Cette saison-là, la Section nous avait fait plus de mal que de bien. Ce qui a peut-être aussi un peu joué dans mon choix. Mais j’aspirais surtout à voir plus haut… pour, au final, rejouer le maintien l’année suivante avec Toulon. »

« On m’a gentiment fait comprendre que j’étais assez gênant »

L’évolution logique d’un jeune joueur à la porte de l’équipe de France. « La première année s’est bien passée sur le plan personnel. J’ai accumulé beaucoup de temps de jeu, d’expérience. » Puis la décroissance s’est amorcée, à l’issue de la première de trois saisons où Aymeric Luc « a tout vécu ». Moins en jambes, le natif de Bayonne a d’abord tardé à confirmer tout le bien que l’on pensait de sa première année. « Quand on ne sent pas ses jambes, pour un joueur comme moi, c’est emmerdant. Mais j’ai travaillé pour revenir, et quand j’ai retrouvé un peu plus de sensations, les places étaient prises. »

Le début de la fin pour l’arrière-ailier de 26 ans, malgré un dernier rebond favorable. « Mes perfs sont bonnes, le staff me le dit, mais derrière, Pierre Mignoni fait le choix de recruter Melvyn Jaminet pour construire autre chose. Un joueur que tout le monde connaît est donc arrivé, avec sa qualité de buteur. Le staff n’a pas eu vraiment la volonté de me faire jouer à l’aile. On m’a gentiment fait comprendre que j’étais assez gênant. »

Lumière verte

Fatalisme, patience, et abnégation. Dans cette gestion de la situation, Pau a sa petite part de mérite. « Quand j’ai compris que je n’allais plus jouer, je savais que la lumière était au bout du tunnel puisque j’avais donné mon accord à la Section. J’avais six mois à tirer. J’essayais d’être le plus performant possible sur le terrain pour donner de l’adversité à mes coéquipiers. Mais je travaillais aussi pour moi, car je savais qu’une nouvelle aventure allait bientôt démarrer. »

« J’ai bien compris que je n’allais plus jouer et le sentiment d’impuissance est apparu »

Loin de la Rade, où Aymeric Luc a fini par tomber en carafe. « Je pensais que ma polyvalence allait être une option, une arme, mais le staff en a décidé autrement. L’entraîneur des trois-quarts était pourtant content de mon investissement. Mais j’ai bien compris que je n’allais plus jouer et le sentiment d’impuissance est apparu. Il y a eu pas mal de colère, aussi. Mais comme je suis quelqu’un de discret, je l’ai gardée pour moi. Même si les derniers mois n’étaient pas marrants, j’étais différent. » Mais pas résigné pour autant.

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Le Basque rebondissant a donc retrouvé une équipe bien moins moribonde que celle pour laquelle il aurait pu signer trois ans plus tôt. À l’image d’une concurrence densifiée. « C’est vrai qu’il y a du matos, abonde le néo-Béarnais. On est beaucoup à se ressembler (Luc, Attissogbe, Maddocks, Laporte sont capables de jouer à l’aile ou à l’arrière, NDLR), et quelques mecs détonnent un peu parmi ces profils-là, comme Aaron Grandidier. »

Suffisamment stimulant pour redevenir le joueur aux portes du groupe France qu’il était voilà trois ans. « Cela fait sept mois que je n’ai pas mis un pied sur un terrain, et il y a fort à faire niveau concurrence sur le triangle arrière ici. Je vais déjà chercher à gagner du temps de jeu, à retrouver de la confiance, à m’amuser. »

À recouvrer les sensations qui étaient les siennes chez lui, à 100 km plus à l’ouest. De ce point de vue, le Basque avoue « ne pas trop s’être fait chambrer » en signant chez le voisin béarnais. « Dans notre famille, on est très Bayonne/Biarritz. Pour nous, il y a une certaine rivalité avec la Section, qui reste très axée sur le Top 14. Cela ne s’étend pas au reste. Et ça fait toute la différence. »

Aymeric Luc aura l’occasion d’y goûter dès la deuxième journée, mais sous un nouveau maillot. Un Pau - Bayonne trop particulier, pour ne pas servir de tremplin à l’arrière-ailier.

 

 

Top 14. Pau en quête de croissance à tous les niveaux

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Une conquête en reconquête, pour une Section Paloise qui a axé son recrutement sur le cinq de devant. © Crédit photo : Romuald Augé

Par Georges Lannessans

Publié le 03/09/2024 à 5h00.

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À Pau, la réussite sportive de la saison dernière s’accompagne d’une croissance économique inédite au sein d’un club qui cherchera à entériner la première qualification en phases finales de son histoire en Top 14

Si tant est qu’elle soit respectée, la philosophie du « toujours mieux » accouche inexorablement du meilleur. Frappée du sceau de la progression - après deux premières saisons de stagnation (10e, 50 pts puis 12e, 51 pts) - la troisième année de l’ère Piqueronies (9e, 60 pts) a laissé la Section aux portes de tout ce qui pouvait matérialiser sa croissance. Bouté du top 6 pour deux petits points, recalé de la Champions Cup pour un seul, le club béarnais cherchera, a minima, à accrocher la grande Coupe d’Europe. Et se verrait bien rêver le plus longtemps possible d’une qualification en phases finales, inédite, pour elle, depuis la création du Top 14.

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« On est satisfaits de ce qu’on a fait l’année dernière mais énormément frustrés d’avoir terminé à quelques petits points de moments effervescents de fin de saison, synthétise le directeur général palois Pierre Lahore. Tous les acteurs du club sont alignés sur l’ambition d’être la première génération du club à se qualifier en Top 14. On l’attend avec beaucoup d’impatience. »

Plus de 28 millions de budget

Parce que la Section, dans toutes ses strates, estime « avoir donné les moyens, au sportif, d’avancer dans cet objectif-là. » Une ambition assumée pour la première fois, dans le sillage d’une croissance économique elle aussi porteuse d’espoir.

Au-delà de la hausse de revenus générée la saison passée (plus de 13 % en moyenne dans tous les secteurs), la Section a su attirer dans ses filets Qatar Airways, son nouveau partenaire premium.

De 24,5 millions d’euros en 2022-2023, à plus de 27 l’an passé, et plus de 28 de budget prévisionnel pour l’exercice qui s’ouvre : Pau aspire à atteindre la barre des 30 pour 2027. « Ce n’est pas un chiffre qu’on a posé au doigt mouillé, approfondit le dirigeant palois. C’est une barrière symbolique, mais elle doit surtout nous permettre de soutenir le salary cap. »

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Sur le terrain, l’évolution de la Section se matérialise par un turnover important (13 départs, 12 arrivées) et par la retraite de Sam Whitelock. « On arrivait à la fin d’un cycle, c’était la première phase du projet, détaille Pierre Lahore. Maintenant, on rentre dans une phase d’affirmation plus forte de notre ambition, qui passe par une densification de notre effectif, dont on est très satisfaits. » Un recrutement axé sur un cinq de devant trop inconstant l’an passé.

Carte d’identité de la Section Paloise Président Bernard Pontneau
Staff technique Sébastien Piqueronies (manager), Thomas Choveau (touches, ballons portés), Thomas Domingo (mêlées, rucks), Geoffrey Lanne-Petit (attaque et transitions), Antoine Nicoud (défense et transitions)
Budget Plus de 28 millions d’euros
Palmarès Champion de France (1928, 1946, 1964), Champion de France de Pro D2 (2015), vainqueur du Challenge Yves-du-Manoir (1939, 1952, 1997), vainqueur du Challenge européen (2000)
Saison 2023-2024 9e de Top 14 (60 pts)
Arrivées Zabala (Béziers, Pro D2), Kaulashvili (GEO, Bordeaux-Bègles), Bibi-Biziwu (Clermont), Jolmès (Bordeaux-Bègles), Picquette (La Rochelle), Kpoku (ANG, Lyon), Credoz (Oyonnax, Pro D2), Klemenczak (Racing 92), Grandidier (Brive/France 7), Luc (Toulon)
Départs Gigena (ARG, Nice, Pro D2), Fisi’ihoi (TON, Massy, National), Corato (Castres), Tailhades (Soyaux-Angoulême, Pro D2), Chauvac (Brive, Pro D2), S. Whitelock (N.-Z., retraite), Metz (Vannes), Cummins (AUS, Newport), Ducat (Castres), Puech (retraite), Vatubua (FID, Dax, Pro D2), Ezeala (Stade Français)
Effectif/Arrière-ailier Maddocks (AUS), Luc, Laporte, Attissogbe Ailier Carol, Arfeuil Centre-ailier Roudil Centre Valentino, Manu (SAM/N.-Z.), Klemenczak, Gailleton, Decron, Brau-Boirie Demi d’ouverture Simmonds (ANG), Mondinat, Desperes Demi de mêlée Souverbie, Robson (ANG), Daubagna Troisième ligne Zégueur, L. Whitelock, Tlili, Pelesasa (AUS), Hewat (AUS), Hamonou, Gorgadze, Crédoz, Bouhier Deuxième-troisième ligne Tagitagivalu (FID), Liufau, Kpoku (ANG) Deuxième ligne Picquette, Maximin, Jolmès, Capelli, Auradou Pilier droit Zabala (ESP), Williams (ANG), Tokolahi (TON), Papidze (GEO) Talonneur Ruffenach, Rey, Delhommel Pilier gauche Sénéc, Parrou, Kaulashvili, Calles, Bibi-Biziwu

 

 

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[Codorplusàvie]

Il est pas bien causant le manager palois et n'a pas l'air commode du tout.
C'est clairement pas un Mignoni ou un Mola.
Sinon Lanen-Petit est bien le fils de son père.
Et parmi le staff, j'ai croisé un ancien partenaire qui a refusé de venir me dire bonjour, la grande classe de la grande famille du rugby.