parce que dans le programme du match il dit : Aujourd’hui, je suis toujours à mon compte mais depuis novembre 2020 j’ai comme unique client Lojelis.
Pour moi ca veut dire que lojelis est un client à lui , il bosse pour eux ... apres j admets que c est jouer sur les mots ... bosser à Lojelis / bosser pour lojelis ...
c est pas tres important ....
je ne contredis pas ELSAZOAM .... j ai juste apporté plus de précision en disant qu il etait vers Biarritz c es tout
Ce mois-ci parlons de Flip Van der Merwe
Flip Van der Merwe, joueur de rugby à XV international sud-africain évoluant au poste de deuxième ligne. Flip a porté les couleurs Jaune & Bleu sur 82 matches et marqué 4 essais pendant ses 4 saisons à Clermont.
Salut Flip, que deviens-tu depuis juin 2019, après le titre de la Challenge Cup ?
« Salut l’ASM ! Après ma dernière saison en Jaune & Bleu, j’ai pris un peu de vacances dans mon pays d’origine, l’Afrique du Sud. J’ai passé du temps en famille et j’en ai profité pour faire un petit road trip afin d’ aller voir des amis de longues dates ! J’ai organisé mon séjour afin de partager un maximum de temps avec mes proches car je savais que j’allais décoller pour Cambridge dans le cadre de mon après-rugby dès septembre 2019.»
Raconte-nous, comment s’est passé ton après-rugby ?
« J’ai étudié 2 ans à Cambridge afin de passer un MBA (Master Business Administration) en finance et management avec une spécialisation stratégie et innovation. Une superbe expérience ! L’ambiance était top, 1400 étudiants dans le campus et nous habitions dans les immeubles type « Harry Potter » (rires). J’ai continué le rugby là-bas, dans l’équipe étudiante de Cambridge, où nous avons disputé un match, lors des 150 ans du club, face à Oxford.
Mon MBA se faisait en alternance, j’ai donc été consultant grands comptes chez CGI à Clermont-Ferrand et je faisais les allers-retours sur toute la période scolaire. La fréquence était assez simple, nous avons commencé avec 4 mois plein à l’école puis uniquement une semaine par mois. Une fois l’obtention de mon diplôme, j’ai continué à travailler chez CGI à Clermont puis je me suis mis à mon compte en tant que consultant. A l’époque, nous avions encore le LAG café avec John Ulugia mais aujourd’hui nous avons vendu nos parts pour nous consacrer à nos projets actuels. »
Justement, quels sont–ils ?
« Aujourd’hui, je suis toujours à mon compte mais depuis novembre 2020 j’ai comme unique client Lojelis. C’est un cabinet d’expertise dans le domaine des nouvelles technologies et de l’informatique. C’est une entreprise qui accompagne les structures dans leurs offres digitales, de la data et de l’ERP. Elle développe en parrallèle une partie formation et édition qui regroupe l’environnement, la santé et la mobilité dont je fais partie. Plus précisément, je suis directeur solution mobilité H2, dans le sud-ouest. Ce qui m’a valu un déménagement express et une adaptation rapide à la vie des basques, même si je n’ai toujours pas expérimenté le surf (rires) ! Je suis porteur du projet sur l’hydrogène. Notre objectif ? Être acteur du monde de demain en mettant notre savoir-faire au service de la société. Pour nous, l’hydrogène constitue une des facettes de la mobilité de demain. En proposant une plateforme numérique unique, destinée à collecter, analyser et partager des informations clés entre les différents acteurs de l’écosystème, nous accompagnons l’adoption de l’hydrogène comme énergie alternative grâce à notre compétence numérique. »
Quelles sont tes missions chez Lojelis :
« Chez Lojelis, on m’appelle : Monsieur « Mobilité Hydrogène », je développe l’Hydrogen Team en réunissant l’ensemble des acteurs de l’écosystème via notre plateforme numérique. Je suis présent sur les salons dans toute la France. Nous avons organisé avec Sylvain Jourdy un tour de France sur le mois d’octobre pour relever le défi inédit de traverser la France à bord d’un véhicule hydrogène ! L’objectif était de sensibiliser le public à une mobilité plus durable pour notre futur. »
Aujourd’hui, as-tu des passions autre que le rugby ?
« Le rugby reste une grande passion ! Et j’aime regarder les matches. Aujourd’hui, j’ai plus le temps pour retrouver mes autres passions. J’ai adoré pouvoir reprendre mes études à Cambridge et je profite maintenant d’avoir tous mes week-ends en famille et entre amis pour des balades en montagne et aller visiter l’Espagne ou découvrir Bordeaux à l’occasion du match Clermont Bordeaux le 31 octobre dernier. »
Qu'est-ce que nous pouvons te souhaiter pour la suite ?
« Plein de succès ! De garder mes valeurs que j’ai apprises et découvertes grâce au rugby ! Être très discipliné, travailler avec de la rigueur et de l’intelligence. Et de rester humble et humain ! »