Comme toute organisation d'une société, le systéme qui la gère est borné par deux limites.
1ere borne, le pouvoir "central" a la main mise sur tout et ne laisse aucune latitude à ses subordonnés, se moquent de l'intérêt général (tout en prétendant le contraire) et fait tout pour défendre sa position lucrative.
Immobilisme, obscurantisme, abaissement du niveau est en général le bilan de l'affaire. Des moyens coercitifs sont alors nécessaires pour garder la place car l'adhésion et l'adhésion de la société se délitent.
2éme borne et a l'opposé, les intérêts privés maitrisent à 100% le systéme pour leurs profits, ont des alliés de circonstances, mais se moquent de l'intérêt général qui représente pour eux une entrave et une charge qui complique le chemin pour réaliser leurs ambitions. La société se fragmente et n'est plus que la juxtaposition d'alliances temporaires et mouvantes. Devant cette mosaïque d'intérêts dans laquelle nous sommes tour à tour gagnant, tour à tour perdant avec le sentiment (justifié?) que l'on perd plus souvent qu'on ne gagne, l'adhésion et la cohésion de la société se délitent .
Ces deux bornes sont les limites ou les systèmes "s'écroulent" cela prenant plus ou moins de temps mais l'histoire nous montre et ce en tous domaines, que le processus est irréversible.
Notre sport, cerise sur le gâteau, est géré par deux organismes positionnées chacun sur l'une des deux bornes décrites plus haut. La conclusion me semble évidente, irréversible et dramatique