Excusez le cadrage incertain et les mouvements dignes du costa concordia mais le 200mm à bout de bras ça pése.
Posté 06 juin 2016 - 21:38
Excusez le cadrage incertain et les mouvements dignes du costa concordia mais le 200mm à bout de bras ça pése.
Posté 06 juin 2016 - 21:46
Posté 06 juin 2016 - 21:50
En tout cas un aller retour dans la journée avec 6 heures pour rentrer avec pour seule compagnie un caneton, deux heures de sommeil et une réunion en mode fantôme mais ça valait sacrément le coup. C'était sincère, touchant, fort, émotionnellement poignant, parfois un peu trop à la limite de la nécrologie mais surtout c'était beau.
Avec de la Volvic Agrumes tu aurais pété le feu à ta réunion.
Posté 06 juin 2016 - 22:10
Avec de la Volvic Agrumes tu aurais pété le feu à ta réunion.
Tout le monde n'aime pas autant les agrumes monsieur qui connait mieux la Touraine que le Berry...
Posté 07 juin 2016 - 06:22
Posté 07 juin 2016 - 14:52
Posté 07 juin 2016 - 15:02
L'article est coupé chez moi. Quelqu'un pour le mettre en entier ? Merci d'avance.
Posté 07 juin 2016 - 17:05
En effet je l'ai eu en clair, il est masqué maintenant ...
Posté 07 juin 2016 - 17:54
L'article est coupé chez moi. Quelqu'un pour le mettre en entier ? Merci d'avance.
L'article apparaît durant 2 seconde en clair et ensuite il est masqué. Mais mon esprit de rebelle de la société m'a tout de même réussi à placer un copié-coller entre temps
Il n'était pas le seul à partir. Avant lui, une fois le match terminé, Marcel-Michelin salua Loïc Jacquet, auvergnat formé à Clermont et futur Castrais après quatorze ans de bons et loyaux services à l'ASM, dans une ambiance magnifique. Déjà. Ensuite, Daniel Kotze reçut lui aussi un bel hommage. Mais que dire de la clameur qui accompagna Brock James lorsque celui-ci se présenta, avec sa femme et ses filles, au centre de la pelouse ?
C esoir-là, rien n'était comparable à cet instant précis en terme d'émotion. Enfin si. Il y avait bien eu, déjà, son arrivée sur le terrain, pour l'échauffement. On le savait depuis longtemps, sa signature à La Rochelle ayant été officialisée depuis de longs mois, le destin avait voulu que pour son dernier match à Clermont en tant que Jaunard, l'ouvreur franco-australien affronte son prochain club.
L'hommage d'un club
Aussi, ce préambule mit la puce à l'oreille quant à ce qui allait arriver quand le demi d'ouverture de 34 ans serait chargé de prendre la suite de Camille Lopez. D'abord, son entrée en jeu. Fantastique. Les « Brock James » résonnèrent de très, très longues secondes, comme des vagues de bonheur secouant les tribunes d'une écume magique. Puis vint une première transformation à tenter.
Oui, même si son départ était acté, même si Michelin ne le reverra jamais revêtu de la tunique jaune et bleue, ce n'est pas à un enterrement que l'on assistait. « Dieu », comme aiment à l'appeler parfois ses supporteurs, était bien vivant. Et c'est les yeux humides qu'il attendit, en famille et sur le bord de la touche, l'hommage d'un club qui l'a consacré star du championnat de France et du rugby européen.
Passage de témoin
Alors, il prit le micro. Et c'est devant de nombreux joueurs rochelais, jeunes et moins jeunes, devant son futur président, et devant une foule aux yeux de Chimène, qu'il exprima son émotion : « J'ai adoré jouer ici. Mes deux enfants sont nés ici, quand je suis arrivé en France, ce n'était pas facile. Merci de votre soutien, vous avez toujours été derrière moi. J'apprécie, ça me touche profondément. Merci beaucoup et à bientôt. »
Inutile de vous décrire la force qui accompagna ces mots, puis son tour d'honneur, c'est impossible. « J'ai vu le stade grandir, il est très spécial, et c'est très bien comme ça. Quand je suis arrivé, je n'avais signé qu'un an. Seul Tony Marsh avait prévu que j'allais rester dix ans », disait-il alors aux journalistes.
Ces marques d'affection de la « Yellow Army » forcent l'admiration. Elles révèlent à quel point l'aura de ce joueur est importante, et à quel point il aura marqué un club historique, en dix ans. À l'occasion de ce passage de témoin, c'est comme si le peuple jaunard avait transmis à un autre très beau public français la responsabilité de prendre soin de son favori. Nul doute que Marcel-Deflandre saura comment s'y prendre.
Posté 07 juin 2016 - 18:54
Justement, BJ c'est l'incarnation de l'époque Cotter, cette époque est révolue il est presque logique de voir partir BJ qui ne correspond plus au plan du nouveau staff.
Roro, c'est l'incarnation de l'histoire de l'ASM de par sa filiation, c'est le lien avec le Rugby d'avant le professionnalisme, Roro est moins marqué Cotter car il était la avant et après, Roro c'est le lien intergénérationnel, donc quand il va arrêter c'est l'icone de l'ASM qui va s'arrêter.
Qui va reprendre le flambeau derrière pour incarner le club pour l'instant je ne vois pas.
Pourquoi vouloir "comparer" Roro et Brock.
Roro personnalise parfaitement le club.
Brock lui a incarné un style de jeu à mon sens magnifique. Il l'a incarné, il en a été l'âme. Il y avait bien un jeu sans BJ, mais dés que Brockie jouait on retrouvait le style magnifique qu'on aimait tant.
Non il ne sera pas remplacé, et pour la simple et bonne raison que l'ASM a changé de style de jeu.
Mais nul doute qu'un jour ou un autre un retrouvera un joueur qui nous fera vibrer et qui emmènera le club vers les sommets.
Posté 08 juin 2016 - 16:56
L'article apparaît durant 2 seconde en clair et ensuite il est masqué. Mais mon esprit de rebelle de la société m'a tout de même réussi à placer un copié-coller entre temps
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Il n'était pas le seul à partir. Avant lui, une fois le match terminé, Marcel-Michelin salua Loïc Jacquet, auvergnat formé à Clermont et futur Castrais après quatorze ans de bons et loyaux services à l'ASM, dans une ambiance magnifique. Déjà. Ensuite, Daniel Kotze reçut lui aussi un bel hommage. Mais que dire de la clameur qui accompagna Brock James lorsque celui-ci se présenta, avec sa femme et ses filles, au centre de la pelouse ?
C esoir-là, rien n'était comparable à cet instant précis en terme d'émotion. Enfin si. Il y avait bien eu, déjà, son arrivée sur le terrain, pour l'échauffement. On le savait depuis longtemps, sa signature à La Rochelle ayant été officialisée depuis de longs mois, le destin avait voulu que pour son dernier match à Clermont en tant que Jaunard, l'ouvreur franco-australien affronte son prochain club.
L'hommage d'un club
Aussi, ce préambule mit la puce à l'oreille quant à ce qui allait arriver quand le demi d'ouverture de 34 ans serait chargé de prendre la suite de Camille Lopez. D'abord, son entrée en jeu. Fantastique. Les « Brock James » résonnèrent de très, très longues secondes, comme des vagues de bonheur secouant les tribunes d'une écume magique. Puis vint une première transformation à tenter.
- L'émotion était-elle trop forte ? Toujours est-il qu'il manqua la cible, ce dont ne lui tint pas rigueur son public. D'ailleurs, il eut vite l'occasion de se rattraper. Et, à la 59e minute, une énorme ovation accompagna une nouvelle tentative au cœur des poteaux. Que dire, dès lors, quand deux minutes plus tard, Brock James inscrivit le septième essai de son équipe ? Le stade vibra comme rarement, à en croire des habitués des lieux et le principal intéressé. Et, à l'unisson des partenaires de l'ouvreur, ce furent plus de 18 000 personnes qui le félicitèrent dans un joyeux vacarme.
Oui, même si son départ était acté, même si Michelin ne le reverra jamais revêtu de la tunique jaune et bleue, ce n'est pas à un enterrement que l'on assistait. « Dieu », comme aiment à l'appeler parfois ses supporteurs, était bien vivant. Et c'est les yeux humides qu'il attendit, en famille et sur le bord de la touche, l'hommage d'un club qui l'a consacré star du championnat de France et du rugby européen.
Passage de témoin
Alors, il prit le micro. Et c'est devant de nombreux joueurs rochelais, jeunes et moins jeunes, devant son futur président, et devant une foule aux yeux de Chimène, qu'il exprima son émotion : « J'ai adoré jouer ici. Mes deux enfants sont nés ici, quand je suis arrivé en France, ce n'était pas facile. Merci de votre soutien, vous avez toujours été derrière moi. J'apprécie, ça me touche profondément. Merci beaucoup et à bientôt. »
Inutile de vous décrire la force qui accompagna ces mots, puis son tour d'honneur, c'est impossible. « J'ai vu le stade grandir, il est très spécial, et c'est très bien comme ça. Quand je suis arrivé, je n'avais signé qu'un an. Seul Tony Marsh avait prévu que j'allais rester dix ans », disait-il alors aux journalistes.
Ces marques d'affection de la « Yellow Army » forcent l'admiration. Elles révèlent à quel point l'aura de ce joueur est importante, et à quel point il aura marqué un club historique, en dix ans. À l'occasion de ce passage de témoin, c'est comme si le peuple jaunard avait transmis à un autre très beau public français la responsabilité de prendre soin de son favori. Nul doute que Marcel-Deflandre saura comment s'y prendre.
Superbe article bel hommage à Brock, et relatant bien la situation
Posté 08 juin 2016 - 17:32
see you later Brockie
Posté 08 juin 2016 - 17:45
see you later Brockie
Je suis persuadé qu'il va avoir un grand rôle sur ses phases finales !! Ses entrées vont faire la diff
Posté 17 juin 2016 - 22:15
Toute la carrière de James résumée... Un coup de génie et une antépénultième touche non trouvée.
Au revoir. Salut.
Posté 17 juin 2016 - 22:18
Toute la carrière de James résumée... Un coup de génie et une antépénultième touche non trouvée.
Au revoir. Salut.
C'est vrai que Lopez a été imperial !!!!!!!!
Bon courage pour la saison prochaine !
Au revoir ,salut !!!
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