Un maillot double champion de France. Vous n'avez donc aucun respect, hum?
Tu pourrais en tirer un bon prix à Timisoara
Posté 15 septembre 2018 - 14:20
Un maillot double champion de France. Vous n'avez donc aucun respect, hum?
Posté 15 septembre 2018 - 15:28
Tu pourrais en tirer un bon prix à Timisoara
Cela dit avec les charniers ils sont habitués à ce genre de reliques !
Un maillot double champion de France. Vous n'avez donc aucun respect, hum?
Et il a perdu combien de finales ce maillot ?
Posté 15 septembre 2018 - 15:38
Un temps donné il venait souvent chasser dd le coin aussiJe viens d'entendre, par hasard, Thierry Lhermitte
dire sur
RTL qu'il aimait bien le rugby et qu'il suivait l'ASM.
Comme quoi Tikidès a bien raison d'augurer fièrement son maillot :
http://www.cybervulc...n/#entry2414270
Posté 15 septembre 2018 - 15:41
Disons qu'il est chargé d'histoire. Une cathédrale en quelque sorte. Et tu voudrais que je m'en sépare???Cela dit avec les charniers ils sont habitués à ce genre de reliques !
Et il a perdu combien de finales ce maillot ?
Posté 15 septembre 2018 - 15:42
Disons qu'il est chargé d'histoire. Une cathédrale en quelque sorte. Et tu voudrais que je m'en sépare???
Non, non, ça ferait une belle nappe pour nos gueuletons !
Posté 15 septembre 2018 - 15:56
Non mais le mec il grandit à Saint Eloy les mines. Tu te dis déjà pas de bol. Bon...mais on choisit pas. Et il déménage où? En Moselle. La tu te dis il y a surement un truc qui déconne. Mais le pire. Où est-ce qui va passer sa retraite? En Saône et Loire. Là plus de hasard.Non, non, ça ferait une belle nappe pour nos gueuletons !
Posté 15 septembre 2018 - 16:16
Non mais le mec il grandit à Saint Eloy les mines. Tu te dis déjà pas de bol. Bon...mais on choisit pas. Et il déménage où? En Moselle. La tu te dis il y a surement un truc qui déconne. Mais le pire. Où est-ce qui va passer sa retraite? En Saône et Loire. Là plus de hasard.
Et tu voudrais me donner des leçons de bon goût?
Tableau sombre, mais juste, soyons lui gré, de ne pas ajouter à cela, l'infamie, d'origines Bourbonnaises !
Posté 15 septembre 2018 - 16:59
Tableau sombre, mais juste, soyons lui gré, de ne pas ajouter à cela, l'infamie, d'origines Bourbonnaises !
Posté 15 septembre 2018 - 19:03
Toi ta gueule.
Je dirais même plus : "toi le Corrézien ta gueule !"
Posté 16 septembre 2018 - 22:41
Pas de scans de journaux
Posté 16 septembre 2018 - 22:45
Pas de scans de journaux
Désolé, j'ai fait une boulette, je prends acte de ton message - Aucune malveillance de ma part sincèrement - A supprimer, plus aucun article ne sera mis sur le forum - Bien reçu - Très cordialement -
Posté 16 septembre 2018 - 22:51
pas de soucis
Désolé, j'ai fait une boulette, je prends acte de ton message - Aucune malveillance de ma part sincèrement - A supprimer, plus aucun article ne sera mis sur le forum - Bien reçu - Très cordialement -
pas de soucis, c'est interdit c'est tout
Posté 06 décembre 2018 - 23:40
Ça ne parle pas directement de l'ASM, plutôt du ST, mais l'ASM est citée en référence (avec les blacks).
Top 14 - Enfin la fin des kilos
TOP 14 - Dans le sillage d’un Toulouse à la ligne de trois-quarts légère et mobile, d’un Clermont qui allie vitesse et déplacement ou d’un racing 92 qui assume sa mutation vers un jeu spectaculaire et aéré, le rugby français est (enfin) en train de prendre une nouvelle voie : celle où la mobilité des hommes et du ballon est privilégiée aux gros bras.
L’aveu était signé Sébastien Bezy, demi de mêlée toulousain qui culmine à 1,74 m pour 77 kg, en septembre : "Quand on a moins de gros gabarits derrière, le but est de mettre le plus de vitesse possible." D’une implacable logique. Il faisait alors référence au week-end précédent, pour un match victorieux face à La Rochelle, quand son association avec Zack Holmes (1,75 m) était combinée à une paire de centres Ntamack-Mermoz dont la force de pénétration n’est évidemment pas la marque de fabrique. Ajoutez les Dupont, Kolbe ou Ramos (tous des hommes arrivés, revenus ou éclos ces deux dernières saisons) et vous comprendrez qu’au sein de la ligne de trois-quarts stadiste, le gabarit ne fait pas forcément le bonheur.
Cela tombe plutôt bien d’ailleurs, pour la santé visuelle des spectateurs et des observateurs, autant que pour l’efficacité actuelle de ce parti pris assumé. "Déplacer le ballon, s’adapter aux situations et essayer d’utiliser les compétences de chacun pour trouver les espaces : nous avons été élevés et nous avons gagné comme ça", répète Régis Sonnes, entraîneur des avants des Rouge et Noir passé par le club comme joueur et revenu cet été. Voilà qui est récompensé puisque son équipe, confortable deuxième du Top 14, est aussi invaincue en Champions Cup après deux journées. C’est même cette philosophie, à la fois audacieuse et ambitieuse, qui a permis - avec pourtant une composition largement remaniée - de dominer un Leinster imbattable depuis un an et demi sur la scène européenne, au terme d’un sublime et emballant duel.
Un rugby qui plaît et qui marche. La preuve ? En championnat, seul Clermont fait mieux que la "bande à Mola et Sonnes", en pratiquant également un jeu de mouvement où rythme, intensité et rapidité sont les maîtres mots. Même dans la grande compétition continentale, les statistiques sont pour l’instant incontestables : outre Toulouse, le Racing 92 est l’autre formation française à avoir aligné deux succès. Et vous savez quoi ? Les Franciliens ont franchement réalisé leur mutation depuis deux saisons pour mettre à mort l’éternel cliché selon lequel "le rugby, dans les Hauts-de-Seine, se joue à dix".
En même temps qu’ils entamaient leur révolution en s’établissant à l’Arena, où la pelouse ne peut être plus sujette à la mise en place d’un rugby spectaculaire, ils ont adapté leurs principes, comme le confirmait leur coentraîneur Laurent Labit il y a quelque temps : "On ne gagne plus en faisant dix cocottes par match. Le Mondial anglais a sacré les équipes qui avaient clairement opté pour le mouvement, la passe et le jeu debout. Chez nous, l’idée est de tendre vers ce projet-là." Les derniers recrutements de Finn Russell et Simon Zebo, deux hommes viscéralement portés vers l’attaque, en est l’illustration. Même si cela ne se fait pas sans revers, comme en atteste l’irrégularité des Ciel et Blanc en Top 14.
"Quand on prend ce type de joueurs, il faut savoir accepter les jours sans, avoue Labit. Avec eux, le risque zéro n’existe pas."
Admettre le danger, ou plutôt favoriser l’attraction à la destruction, est le compromis même de cette vision moderne des choses. Quitte à en payer le prix. "Cela amène à prendre des risques, à faire tomber des ballons, à s’exposer aux contres", assure Ugo Mola. Il y a un an et demi, alors que le Stade toulousain sortait d’une saison cauchemardesque terminée à la douzième place du championnat, ce dernier défendait ses convictions, selon lesquelles le renouveau du club passerait par là :
"Les supporters ont envie de nous voir jouer, pas de voir des mecs qui répètent et récitent. Heureusement que les Blacks ou Clermont sont en haut, sinon je passerais pour un fou. En France, c’est parfois dur parce qu’on est souvent sur un rugby âpre. […] Je me planterai peut-être avec ça mais, à mon sens, on pratique à Toulouse un rugby qui demande de prendre des initiatives. On doit créer de l’émotion. Si s’adapter, c’est taper dix fois au pied, nous ne sommes pas complètement idiots (sic), mais la première intention doit être de tenter, de déplacer les hommes avec le ballon." Ce qui signifiait donc la fin annoncée de la course aux kilos, celle qui a tant régi (ou gangrené) le rugby des années 2005 à 2015.
"J’ai l’impression qu’on en a la preuve tous week-ends, et pas seulement chez nous, admet le Toulousain Maxime Mermoz. Un joueur me vient en tête : le Rochelais Arthur Retière. En le croisant dans la rue, personne ne se douterait qu’il est joueur professionnel de rugby. Mais quand on voit son talent..." Aujourd’hui, les Fickou, Danty ou Cancoriet - qui ont chacun retrouvé leur meilleur niveau ces récents mois - ont tous avoué que ce retour au premier plan correspond à leur perte de poids. Un hasard ? Sûrement pas. Une vérité générale et inépuisable ? Non plus et il serait naïf de croire le contraire. Pourtant, quand Montpellier et Toulon, qui privilégient encore un jeu plus direct et axé sur leurs gros bras, sont en difficulté, il s’agit simplement de se réjouir de l’évolution progressive des mentalités.
Posté 13 janvier 2019 - 11:44
Le match d'hier soir va beaucoup nous aider à gagner le cœur des supporters (non jaunards) :
Il suffit de lire les commentaires :
https://www.rugbyram...533/story.shtml
https://www.lequipe....domicile/977016
Les quelques critiques viennent de supporters jaunards
Posté 13 janvier 2019 - 12:03
Le match d'hier soir va beaucoup nous aider à gagner le cœur des supporters (non jaunards) :
Il suffit de lire les commentaires :
https://www.lequipe....domicile/977016
Les quelques critiques viennent de supporters jaunards
La prime de risque
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