9709 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

A priori bcp d'anciens inter/( 20 ) soutiennent ouvertement la liste peaufinée par Laporte et son pion Buisson....à commencer par les Codorniou  Imbernon   Rives  Garuet  Maso , Gacahssin....et consorts via G Guirado.....

 

A mon sens tout a été ficelé via les réseaux et m 'étonnerait que l 'on assiste médusé à une surprise car il n 'y en aura point !

 

Les tontons "flingueurs " ont tout bien verrouillé et ont fait les comptes en sourdine .

Tu vas nous faire croire qu'ils tâtent du rézo les vioques ? Non les bonnes affaires se discutent autour d'un (ou plusieurs) gueuleton bien arrosé 

[jm12]

Tu vas nous faire croire qu'ils tâtent du rézo les vioques ? Non les bonnes affaires se discutent autour d'un (ou plusieurs) gueuleton bien arrosé 

L'un n 'empêche pas l 'autre et ce seront pour la cellule "Buisson ' d'excellents relais , c 'est fait pour ça , via qqs promesses ....

 

Mais bine sûr que la tournée des banquets fonctionne à plein!

[Alex chocolatines]

L'un n 'empêche pas l 'autre et ce seront pour la cellule "Buisson ' d'excellents relais , c 'est fait pour ça , via qqs promesses ....

 

Mais bine sûr que la tournée des banquets fonctionne à plein!

ventre affamé n'a pas d'oreilles .

[Yellow]

ventre affamé n'a pas d'oreilles .

 

Tant qu'il reçoit une télé gratuitement !

[el landeno]

Bernard Laporte : « Je suis convaincu que c'est ma Coupe du monde. Je veux la vivre à fond » Après avoir encaissé ses démêlés judiciaires et son départ de la FFR, l'ancien patron du rugby français entend profiter du Mondial à partir de septembre, avant de penser à d'autres projets.

Son regard se portera forcément vers Marcoussis aujourd'hui, là où il a posé un pied conquérant en décembre 2016, lorsqu'il a pris la présidence de la FFR, jusqu'à sa moins glorieuse démission, un peu plus de six années agitées plus tard, le 27 janvier dernier, conséquence de sa condamnation, mi-décembre, à deux ans de prison avec sursis dans « l'affaire Laporte - Altrad ». Bernard Laporte sait que c'est sa succession qui se joue là depuis lundi, et une part de sa propre histoire, aussi.

 

 

lire aussiD'où vient la menace de blocage qui plane autour de la présidentielle de la FFR ?

Selon son entourage, il a gardé un oeil sur la Fédération, et n'aura pas manqué au moins de transmettre son avis sur ce qui attend l'instance, lui qui est très proche, par exemple, de Laurent Gabbanini, le DG, et garde un lien avec Patrick Buisson, candidat à sa succession. L'intéressé s'en défend, pourtant. « Moi, je passe du coq à l'âne très vite », explique-t-il à L'Équipe. Quand c'est fini, c'est fini. Je ne tire pas les ficelles, je suis passé à autre chose, nous a-t-il rétorqué. On a remis la Fédération sur les rails financièrement et l'équipe de France aussi. C'est le moteur. »

Ces deux arguments, économique et sportif, ce sont ceux sur lesquels il s'est appuyé pour défendre son héritage, lors de ses quelques sorties médiatiques cette année. Laporte s'est fait rare par la parole, depuis son départ de la FFR, accordant un premier entretien à Eurosport, fin mars, puis une interview télévisée à C8, dans l'émission « Chez Jordan », il y a un mois, dans lesquels il insistait sur les mêmes points. La semaine dernière, c'est sur les ondes d'RMC qu'on a pu l'entendre, mais là, il n'était pas question de bilan ou de défense, il y était quasiment en famille, pour les 15 ans du Moscato Show, célébrés sur une péniche parisienne, entouré de sa bande, en quelque sorte.

Consultant bénévole sur RMC

Parmi elle, Denis Charvet. Ce très bon ami a vu Laporte accuser le coup, à son départ de la FFR. Un autre proche concède que la période « n'était pas facile. Il est passé par une période de deuil ». « Il est marqué, comme quelqu'un qui a fait des trucs assez grands et qu'on fait sortir comme un voyou », ajoute Mourad Boudjellal, son ex-président à Toulon, duquel il est resté proche. « Mais il a repris du poil de la bête », assure Charvet. Certaines marques de soutien ont dû l'aider. Les plus spectaculaires sont venues du quinze de France et du sélectionneur Fabien Galthié, qui l'a invité dans l'intimité de son dernier stage de préparation à Capbreton, avant le Tournoi des Six Nations, début février, puis, plus symbolique encore, à remettre les maillots aux joueurs, avant France - Galles, mi-mars. La spectaculaire déculottée infligée aux Anglais à Twickenham (53-10) venait d'ébahir tout le monde, et ce soir-là, Laporte complimenta les joueurs : « J'en avais les larmes aux yeux, sur mon canapé, avec un bon whisky. »

 

 

Après ce match, lui aussi sous le coup de l'émotion, Galthié, avait dit publiquement avoir « une pensée spéciale pour Bernard ». Le duo n'a pas été ébranlé par les affaires. Le sélectionneur a reçu son ancien patron chez lui fin mai, à ce qu'a raconté Laporte sur RMC. L'occasion de se remettre dans la peau d'un entraîneur avec une Coupe du monde à domicile qui arrive, pour mieux sensibiliser le boss des Bleus. « Je lui disais, par rapport à 2007 : tu vas avoir énormément de sollicitations, relatait l'aîné à la radio. Tout le monde veut venir voir l'équipe de France. Je lui ai dit : "c'est malheureux, mais il faut que tu dises non à tout. Il faut te mettre dans ta bulle". »

C'est que la Coupe du monde 2023 (du 8 septembre au 28 octobre), c'est l'obsession du moment de Laporte, qui a piloté le dossier français lors de son attribution en 2017 et assisté à la renaissance tricolore depuis le Mondial japonais en 2019. Après quelques vacances estivales partagées entre la Corse, dans son fief de l'île Rousse, où on le voit jouer à la pétanque ou courir les matins, pour mieux éliminer l'apéro de la veille, et le Pyla-sur-mer (Gironde), chez son ami William Téchoueyres (ancien joueur du CA Bègles-Bordeaux), il compte bien profiter d'un événement dont il revendique la paternité. « Je veux bouger et voir beaucoup de matches, se projette-t-il. Je suis convaincu que c'est ma Coupe du monde. Je veux la vivre à fond. »

On le verra sans doute réapparaître dans les stades, ce qu'il avait évité lors du dernier Tournoi, jugeant que c'était trop tôt par rapport à ses démêlés. On l'entendra peut-être un peu plus, sur RMC, toujours, dans un rôle de consultant. « J'ai dit à Karim Nedjari (directeur général de RMC et RMC Sport) que je viendrais les veilles ou les lendemains des matches de l'équipe de France et je viendrai gratuitement, nous révèle-t-il. Je ne veux pas de contrat. J'espère que je le ferai sept fois, ça veut dire que la France sera en finale ! »

« Je ne veux pas entraîner, sauf si c'est une équipe nationale »

Bernard Laporte

 

 

 

Un premier titre mondial pour les Bleus serait un aboutissement par procuration. Mais certainement pas une garantie d'avenir pour lui. Alors Laporte s'attelle à se réinventer un futur. Il a déjà repris une activité qu'il pratiquait, animant des séminaires d'entreprise. « Je vais aussi commencer une formation "comment devenir manager", où je ferai le prof avec des éducateurs sportifs de clubs amateurs, ajoute-t-il. Ça me plaît de transmettre mon expérience. »

lire aussiToute l'actualité du rugby

Pourrait-il se réimplanter ensuite dans le monde du rugby ? Ses proches les voient mal replonger dans le quotidien-terrain d'un club, mais l'imaginent plus dans un nouveau costume de dirigeant « Il est attaché à deux clubs, croit savoir Boudjellal : Toulon et le Stade Français. Je le verrai bien patron du Stade Français. Ce serait parfait pour lui mais il y a déjà quelqu'un à ce poste. Il ne va pas ouvrir un camion de pizza ! » Laporte, lui, n'écarte pas totalement l'hypothèse de diriger des joueurs. « Je ne veux pas entraîner, sauf si c'est une équipe nationale, précise-t-il. Ça ne m'intéresse pas d'entraîner tous les jours. » Des sélections ont pensé à lui, comme les Fidji, qui continuent à lui faire les yeux doux, et le Japon pourrait être la possibilité d'une autre île. « Je suis d'abord sur un très gros projet professionnel dans le business qui n'a rien à avoir avec le rugby, tranche-t-il. Ça devrait se boucler d'ici un mois. Après, je verrai. »

 

[DOUDOU63]

Bernard Laporte : « Je suis convaincu que c'est ma Coupe du monde. Je veux la vivre à fond » Après avoir encaissé ses démêlés judiciaires et son départ de la FFR, l'ancien patron du rugby français entend profiter du Mondial à partir de septembre, avant de penser à d'autres projets.

Son regard se portera forcément vers Marcoussis aujourd'hui, là où il a posé un pied conquérant en décembre 2016, lorsqu'il a pris la présidence de la FFR, jusqu'à sa moins glorieuse démission, un peu plus de six années agitées plus tard, le 27 janvier dernier, conséquence de sa condamnation, mi-décembre, à deux ans de prison avec sursis dans « l'affaire Laporte - Altrad ». Bernard Laporte sait que c'est sa succession qui se joue là depuis lundi, et une part de sa propre histoire, aussi.

 

 

lire aussiD'où vient la menace de blocage qui plane autour de la présidentielle de la FFR ?

Selon son entourage, il a gardé un oeil sur la Fédération, et n'aura pas manqué au moins de transmettre son avis sur ce qui attend l'instance, lui qui est très proche, par exemple, de Laurent Gabbanini, le DG, et garde un lien avec Patrick Buisson, candidat à sa succession. L'intéressé s'en défend, pourtant. « Moi, je passe du coq à l'âne très vite », explique-t-il à L'Équipe. Quand c'est fini, c'est fini. Je ne tire pas les ficelles, je suis passé à autre chose, nous a-t-il rétorqué. On a remis la Fédération sur les rails financièrement et l'équipe de France aussi. C'est le moteur. »

Ces deux arguments, économique et sportif, ce sont ceux sur lesquels il s'est appuyé pour défendre son héritage, lors de ses quelques sorties médiatiques cette année. Laporte s'est fait rare par la parole, depuis son départ de la FFR, accordant un premier entretien à Eurosport, fin mars, puis une interview télévisée à C8, dans l'émission « Chez Jordan », il y a un mois, dans lesquels il insistait sur les mêmes points. La semaine dernière, c'est sur les ondes d'RMC qu'on a pu l'entendre, mais là, il n'était pas question de bilan ou de défense, il y était quasiment en famille, pour les 15 ans du Moscato Show, célébrés sur une péniche parisienne, entouré de sa bande, en quelque sorte.

Consultant bénévole sur RMC

Parmi elle, Denis Charvet. Ce très bon ami a vu Laporte accuser le coup, à son départ de la FFR. Un autre proche concède que la période « n'était pas facile. Il est passé par une période de deuil ». « Il est marqué, comme quelqu'un qui a fait des trucs assez grands et qu'on fait sortir comme un voyou », ajoute Mourad Boudjellal, son ex-président à Toulon, duquel il est resté proche. « Mais il a repris du poil de la bête », assure Charvet. Certaines marques de soutien ont dû l'aider. Les plus spectaculaires sont venues du quinze de France et du sélectionneur Fabien Galthié, qui l'a invité dans l'intimité de son dernier stage de préparation à Capbreton, avant le Tournoi des Six Nations, début février, puis, plus symbolique encore, à remettre les maillots aux joueurs, avant France - Galles, mi-mars. La spectaculaire déculottée infligée aux Anglais à Twickenham (53-10) venait d'ébahir tout le monde, et ce soir-là, Laporte complimenta les joueurs : « J'en avais les larmes aux yeux, sur mon canapé, avec un bon whisky. »

 

 

Après ce match, lui aussi sous le coup de l'émotion, Galthié, avait dit publiquement avoir « une pensée spéciale pour Bernard ». Le duo n'a pas été ébranlé par les affaires. Le sélectionneur a reçu son ancien patron chez lui fin mai, à ce qu'a raconté Laporte sur RMC. L'occasion de se remettre dans la peau d'un entraîneur avec une Coupe du monde à domicile qui arrive, pour mieux sensibiliser le boss des Bleus. « Je lui disais, par rapport à 2007 : tu vas avoir énormément de sollicitations, relatait l'aîné à la radio. Tout le monde veut venir voir l'équipe de France. Je lui ai dit : "c'est malheureux, mais il faut que tu dises non à tout. Il faut te mettre dans ta bulle". »

C'est que la Coupe du monde 2023 (du 8 septembre au 28 octobre), c'est l'obsession du moment de Laporte, qui a piloté le dossier français lors de son attribution en 2017 et assisté à la renaissance tricolore depuis le Mondial japonais en 2019. Après quelques vacances estivales partagées entre la Corse, dans son fief de l'île Rousse, où on le voit jouer à la pétanque ou courir les matins, pour mieux éliminer l'apéro de la veille, et le Pyla-sur-mer (Gironde), chez son ami William Téchoueyres (ancien joueur du CA Bègles-Bordeaux), il compte bien profiter d'un événement dont il revendique la paternité. « Je veux bouger et voir beaucoup de matches, se projette-t-il. Je suis convaincu que c'est ma Coupe du monde. Je veux la vivre à fond. »

On le verra sans doute réapparaître dans les stades, ce qu'il avait évité lors du dernier Tournoi, jugeant que c'était trop tôt par rapport à ses démêlés. On l'entendra peut-être un peu plus, sur RMC, toujours, dans un rôle de consultant. « J'ai dit à Karim Nedjari (directeur général de RMC et RMC Sport) que je viendrais les veilles ou les lendemains des matches de l'équipe de France et je viendrai gratuitement, nous révèle-t-il. Je ne veux pas de contrat. J'espère que je le ferai sept fois, ça veut dire que la France sera en finale ! »

« Je ne veux pas entraîner, sauf si c'est une équipe nationale »

Bernard Laporte

 

 

 

Un premier titre mondial pour les Bleus serait un aboutissement par procuration. Mais certainement pas une garantie d'avenir pour lui. Alors Laporte s'attelle à se réinventer un futur. Il a déjà repris une activité qu'il pratiquait, animant des séminaires d'entreprise. « Je vais aussi commencer une formation "comment devenir manager", où je ferai le prof avec des éducateurs sportifs de clubs amateurs, ajoute-t-il. Ça me plaît de transmettre mon expérience. »

lire aussiToute l'actualité du rugby

Pourrait-il se réimplanter ensuite dans le monde du rugby ? Ses proches les voient mal replonger dans le quotidien-terrain d'un club, mais l'imaginent plus dans un nouveau costume de dirigeant « Il est attaché à deux clubs, croit savoir Boudjellal : Toulon et le Stade Français. Je le verrai bien patron du Stade Français. Ce serait parfait pour lui mais il y a déjà quelqu'un à ce poste. Il ne va pas ouvrir un camion de pizza ! » Laporte, lui, n'écarte pas totalement l'hypothèse de diriger des joueurs. « Je ne veux pas entraîner, sauf si c'est une équipe nationale, précise-t-il. Ça ne m'intéresse pas d'entraîner tous les jours. » Des sélections ont pensé à lui, comme les Fidji, qui continuent à lui faire les yeux doux, et le Japon pourrait être la possibilité d'une autre île. « Je suis d'abord sur un très gros projet professionnel dans le business qui n'a rien à avoir avec le rugby, tranche-t-il. Ça devrait se boucler d'ici un mois. Après, je verrai. »

 

 

Oui, oui, comme Directeur d'une entreprise de démarchages de bracelets électroniques !!!- Agent commercial HAOUAS avec démonstration à domicile gratuite !!!!

[Good Shvili]

Ça me donne des envies de supporter l’Irlande

[Y&B]

Enc …

[Alex chocolatines]

C'est quoi le projet à Bernie ? une blanchisserie i? 

[Loup blanc]

"Je suis convaincu que c'est ma Coupe du monde." , il avait dit pareil au juge : "Je suis convaincu que c'est mon argent.", ca n'a pas bien fonctionné en fait !    

[thurfin]

Ça me donne des envies de supporter l’Irlande

Ca fait longtemps pour ma part que c'est fait, limite les anglois histoire que l'humiliation soit totale

[frednirom]

Grill va payer son manque total de cupidité .

[bazooka]

On sait ce qu'il est, les autres pas encore et pas arrivés, on saura plus tard enfin peut être...?

Perso, la vie m'a appris à ne pas donner de chèque en blanc à qui que ce soit.

[steph]

On sait ce qu'il est, les autres pas encore et pas arrivés, on saura plus tard enfin peut être...?
Perso, la vie m'a appris à ne pas donner de chèque en blanc à qui que ce soit.

+ 1
Parce que, perso, pour le moment Grill, je le vois bien comme le François Hollande du rugby, moi president..., et on a vu le résultat.
Ce n'est jamais trop difficile de se faire élire sur les casseroles de son prédécesseur, être à la hauteur de la fonction et efficace, on juge à la fin.

[InASMWeTrust]

"et je viendrai gratuitement, nous révèle-t-il. Je ne veux pas de contrat."

Ce mec restera à jamais le modèle du bénévolat désintéressé. Grill devrait s'en inspirer.