9754 réponses à ce sujet

[thurfin]

On fait une carte avec des signatures ?

"Prompt rétablissement", pour un médecin ca s'impose

[Bad Zé]

Jai mal à mon Simon inter-fessiers.

😁
J'ai appris au burger quiz que le sillon inter-fessiers des schtroumphs s'appelle la blue raie.

[xdderf63]

😁
J'ai appris au burger quiz que le sillon inter-fessiers des schtroumphs s'appelle la blue raie.

J'ai vu que 2 minutes de l'émission
Mais je suis tombé dessus (la raie)

[Alligator427]

Buisson se casse aussi

[frednirom]

On ne sera pas champion du monde .

[Alligator427]

On est foutus

[Alex chocolatines]

Buisson se casse aussi

Je dirais "buisson se taille" 

On est foutus

Bin blague à part, je me demande bien comment Galthie va prendre tout ça... Il avait déjà laissé comprendre qu'il soutenait Bernie contre vents et marées. Alors l'ambition  l'emportera - t - elle sur la fidélité au parrain ? 

Il ne peut pas tout planter maintenant mais en cas de contreperformance, l'excuse du chamboulement et des persécutions de Bernie le bénévole va nous péter en pleine poire 

[frednirom]

Faut faire revenir Lievremont .

[Alligator427]

Je dirais "buisson se taille" 

Bin blague à part, je me demande bien comment Galthie va prendre tout ça... Il avait déjà laissé comprendre qu'il soutenait Bernie contre vents et marées. Alors l'ambition  l'emportera - t - elle sur la fidélité au parrain ? 
Il ne peut pas tout planter maintenant mais en cas de contreperformance, l'excuse du chamboulement et des persécutions de Bernie le bénévole va nous péter en pleine poire 

Galthié est déjà dans sa coupe du monde.
Si la nouvelle présidence le laisse tranquille pendant 4 mois il n'y a pas de raison que ça interfère.

[gregouarrrr]

Faut faire revenir Lievremont .

et morgan  ....

[Silhouette]

Je dirais "buisson se taille" 

Bin blague à part, je me demande bien comment Galthie va prendre tout ça... Il avait déjà laissé comprendre qu'il soutenait Bernie contre vents et marées. Alors l'ambition  l'emportera - t - elle sur la fidélité au parrain ? 

Il ne peut pas tout planter maintenant mais en cas de contreperformance, l'excuse du chamboulement et des persécutions de Bernie le bénévole va nous péter en pleine poire 

Avec Galthie, pas besoin de finir la phrase, on sait deja que oui, t'inquiete pas 

[el landeno]

Nouveau bureau fédéral, déficit budgétaire aggravé : les enjeux du congrès de la FFR à Lille Le nouveau président de la FFR Florian Grill proposera au vote du comité directeur jeudi après-midi un nouveau bureau fédéral, sans Serge Simon ni Patrick Buisson, mais ouvert à quelques membres de l'ancienne équipe.

Marseille-Lille, ça fait une trotte. D'une ville à l'autre, d'un congrès FFR au suivant, il peut s'en passer des choses. En juin 2022, l'Assemblée générale marseillaise de la FFR s'ouvrait en plein mistral, celui généré par les premières révélations de L'Équipe concernant le management de Claude Atcher au GIP-France 2023 et par l'approche du procès de l'affaire « Laporte-Altrad », deux mois plus tard.

 

 

voir aussiPodcast : Affaire Laporte-Altrad, l'enquête

Un an a passé. Atcher n'est plus Directeur général, il a été révoqué pour faute grave et se retrouve cerné par les enquêtes judiciaires. Bernard Laporte a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris (il a fait appel) et a dû démissionner de la présidence de cette fédération. Quant à Serge Simon, le grand vizir de Laporte, il vient de rendre tous ses mandats, au bureau fédéral, au comité directeur et partout ailleurs.

 

Serge Simon. (F. Lancelot/L'Équipe)

Depuis janvier, en sous-marin, l'ex-vice-président tirait les ficelles et dictait les manoeuvres de « son » candidat, Patrick Buisson, qui vient, lui aussi, de s'auto-congédier du bureau fédéral. Par procuration, les trois défaites électorales de Buisson (référendum pour le poste de président-délégué, complétude du comité directeur, présidentielle) sont imputables à Simon. Même sa tentative pour se faire élire au board de World Rugby a été couronnée d'insuccès. Faute de soutien à l'international, le docteur a retiré sa candidature.

 

 

Un nouveau bureau fédéral proposé

Le congrès de Lille, ce week-end, marquera la fin d'une époque. Élu dans un fauteuil à la présidence le 14 juin (58 %, contre 42 % au candidat « laportiste ») mais minoritaire dans les deux chambres de la FFR (27-11 au sein du comité directeur, 14-1 au bureau fédéral), Florian Grill ne comptait pas brusquer les choses. Elles se sont accélérées d'elles-mêmes. Simon et Buisson - et demain peut-être le vice-président Henri Mondino et le secrétaire général Christian Dullin - ont fini par comprendre que le triple choix des clubs devait se répercuter dans la composition des organes de décision.

Le bon sens a fini par rattraper même les plus forcenés de Marcoussis. Un rééquilibrage s'imposait et c'est pour cela que Grill a inscrit à l'ordre du jour du comité directeur de jeudi (13 heures) une refonte du bureau. Le nouveau président a toujours dit qu'il ne souhaitait pas, comme du temps de Laporte-Simon, d'un bureau monochrome. Il compte proposer au vote du comité directeur un effectif resserré (12 membres au lieu de 15), incluant au moins cinq membres de l'ancienne majorité, dont l'ancien président par intérim Alexandre Martinez. « J'ai toujours dit que la fédération serait parfaitement gouvernable (en cas de cohabitation) avec les personnes de bonne volonté, assure Grill. Il y en a dans l'ancienne équipe, mais pas toutes. »

 

Alexandre Martinez. (B. Paquot/L'Équipe)

Il ne comptait pas ouvrir le bureau à Serge Simon, Henri Mondino ou Christian Dullin, ceux qui ont, selon ses mots, « trop politisé la fédération. J'ai dit et redit (y compris à l'intéressé) qu'il y avait une incompatibilité avec Serge Simon, que nos manières de gérer et d'être étaient différentes. » En suivant ce même fil, on comprend qu'il n'était en aucune façon envisageable que Simon puisse représenter la FFR auprès des équipes de France.

Ce rôle reviendra désormais à l'ancien international clermontois Jean-Marc Lhermet. « Ce que je souhaite, c'est réunir le bureau chaque semaine au lieu de tous les quinze jours, réunir chaque mois le comité directeur au lieu de quatre ou cinq fois par an, explique Grill. Et réunir les présidents de Ligue chaque semaine. » Les représentants de la FFR auprès du GIP 2023 (Simon et Mondino) vont aussi changer. Idem au sein des instances internationales, où Grill compte siéger lui-même et s'appuyer sur l'ancien international Abdelatif Benazzi. Contacté par L'Équipe, Serge Simon n'a pas donné suite.

Le dîner avec Galthié et les primes des Bleus

Le nouveau président de la FFR a rencontré le sélectionneur Fabien Galthié. Au cours du dîner, Florian Grill a pu l'assurer à nouveau qu'il n'avait aucune intention de modifier l'organisation des Bleus si près de la Coupe du monde en France (8 septembre-28 octobre). « Pas question de toucher aux équipes de France, a-t-il répété. On n'abîme pas ce qui marche. »

 

Fabien Galthié, à Marcoussis avec les Bleus. (A. Mounic/L'Équipe)

En revanche, sans doute a-t-il dû l'informer d'un réajustement à prévoir dans le volant des primes par rapport ce que lui avait vendu Serge Simon. Selon nos informations, l'ancien vice-président n'avait pas prévu d'indexer les primes des joueurs et du staff à celles versées par les partenaires à la FFR, selon le résultat du quinze de France à la Coupe du monde. En résumé, ces primes n'étaient pas financées. Un nouveau cadre va donc être fixé.

Vers des pertes aggravées pour le budget 2023-2024

Samedi matin, la présentation à tous les clubs du budget prévisionnel pour la saison prochaine s'annonce périlleuse. C'est probablement la trésorière de l'ancienne majorité, Marie-Pierre Pagès, qui s'en chargera. Au lendemain de son élection, Grill et ses soutiens avaient été mis devant le fait accompli, celui d'un budget dont les pertes d'exploitation se chiffraient à 9,3 M€. « Le résultat net prévisionnel est certes positif de 4 millions d'euros, mais en incluant les 13,5 M€ de recettes exceptionnelles de CVC (le fonds d'investissement ayant acheté les droits commerciaux du Six Nations), avait expliqué Grill. On peut donc considérer qu'en résultat d'exploitation, il y a 9,3 M€ de pertes. Je préférerais que l'argent de CVC puisse servir non pas à boucler les fins de mois, mais à faire des investissements comme, typiquement, entrer dans le tour de table du Stade de France. (la concession du Stade de France doit être renouvelée en 2025) »

 

Le Stade de France, lors de France-Irlande, comptant pour le Tournoi des Six Nations 2020. (F. Mons/L'Équipe)

Selon nos informations, le résultat d'exploitation annoncé au Comité directeur du 15 juin serait encore plus déficitaire aujourd'hui. La raison principale ? L'ancienne équipe aurait budgété un bénéfice plus qu'optimiste sur les hospitalités de la Coupe du monde. Si ce décalage avec la réalité se confirmait, les pertes pourraient passer de 9,3 M€ à 11 ou 12 M€.

L'administration Grill héritera d'une situation financière dégradée. « Mécaniquement, les années de Coupe du monde sont déficitaires financièrement, explique-t-on en interne. D'abord parce que vous perdez les recettes des test-matches d'été et d'automne, avec les droits télés qui vont avec. Les matches de préparation à la Coupe du monde ne génèrent pas du tout les mêmes recettes. Ensuite, en année de Coupe du monde, vous avez les joueurs beaucoup plus longtemps à votre charge. Du temps de Lapasset et Camou (prédécesseurs de Laporte), voilà ce qui se passait : les trois exercices précédents positifs compensaient l'exercice déficitaire. Or, aujourd'hui, la FFR reste sur six exercices de suite avec des déficits d'exploitation. Un repère important a été perdu. »

 

 

[Alex chocolatines]

Bin il nous disait pas que les comptes étaient sains le porte flingue à Bernie ? 

[xdderf63]

Bin il nous disait pas que les comptes étaient sains le porte flingue à Bernie ? 

Soucis de calculatrice
Au lieu d'additionner les pertes ils les multipliaient
Les années paires, on passait positif...

[TH69]

Lol...