Perso je m'en fout, mais va falloir qu'ils achètent un frigo XXL les deux gaillards
Merrick en joker ? pitié !
Posté 13 juillet 2023 - 19:54
Perso je m'en fout, mais va falloir qu'ils achètent un frigo XXL les deux gaillards
Merrick en joker ? pitié !
Posté 19 juillet 2023 - 00:31
Dans son jugement du 13 décembre 2022, la présidente de la 32e chambre correctionnelle de Paris avait, à plusieurs reprises, relevé le caractère accablant du remboursement tardif par Bernard Laporte des 180 000 euros de contrat d'image avec le groupe Altrad - contrat jamais exécuté et jamais en passe de l'être. Entre la « renonciation apparente », dixit la juge, en septembre 2017, et le paiement de la dernière créance, au cours du procès en septembre 2022, plus de cinq ans se sont écoulés. Le remboursement par l'ancien secrétaire d'État des frais d'avocat avancés par la FFR, des honoraires que son avocat personnel, Me Versini a chiffré dans Midi Olympique à 150 000 euros, emprunte le même chemin.
Le 1er juillet, pendant l'assemblée générale de la FFR à Lille, Alexandre Martinez, trésorier du temps de Laporte puis président par intérim, fut questionné sur le sujet par un membre de l'assistance. « Nous avons avancé les frais d'avocat suite à une décision du bureau fédéral, a-t-il répondu. La FFR n'a pas abandonné cette somme. Après le jugement du 13 décembre, la Fédération a signé une convention (avec Bernard Laporte) pour qu'il rembourse ces frais d'avocat, majorés des intérêts légaux, s'il est reconnu coupable en appel (procès attendu courant 2024). » Le fondement et la temporalité de cette convention ont de quoi surprendre.
Contrairement aux déclarations de M. Martinez, une condamnation en appel de Laporte n'entraînerait pas un remboursement automatique puisque l'accord signé vaut jusqu'à épuisement des voies de recours nationales, donc après un éventuel pourvoi en cassation. Contrairement aux déclarations de M. Martinez, ce n'est pas en décembre que l'idée de ce protocole a été débattue au sein de l'ancien bureau fédéral, composé, rappelons-le, uniquement de « laportistes ». La discussion et le vote ont eu lieu bien après, le 26 mai comme indiqué dans le PV dont L'Équipe a eu connaissance.
En décembre-janvier, au moment où Laporte est condamnépuis démissionne, l'heure n'est pas à un arrangement entièrement favorable au débiteur. Candidat du camp Laporte au référendum fin janvier, Patrick Buisson déclare que la totalité de la somme sera restituée avant la fin de la saison sportive, soit avant le 1er juillet. Entre décembre et avril, le bureau fédéral adresse un courrier (le 10 janvier) « demandant de procéder au remboursement total de cette avance ». Pas de réponse de Laporte. Le 15 février, la FFR procède à l'envoi d'une première mise en demeure de payer. Le 30 mars, une seconde mise en demeure part de Marcoussis.
Chargé de la présentation de ce dossier au bureau fédéral du 26 mai, le directeur général Laurent Gabbanini rappelle la chronologie : le 9 septembre (donc après le début du procès de l'affaire « Laporte-Altrad »), le bureau fédéral vote à l'unanimité l'activation de la protection fonctionnelle pour Bernard Laporte. Et voilà comment la FFR, partie civile à l'audience, missionne et rétribue deux avocats pour la défendre, tout en rémunérant les avocats des prévenus Bernard Laporte et Serge Simon, possibles auteurs d'un préjudice à son encontre.
Dès cet instant, la position des colistiers de Laporte devenait discutable, étant entendu qu'ils connaissaient ce pour quoi leur président allait comparaître. Son avocat estime que « les infractions qui lui sont reprochées sont inhérentes et consubstantielles à sa fonction de président. Ce sont ses actes de président qui ont conduit à sa condamnation. Il lui est reproché d'avoir fait financer la FFR par le groupe Altrad à hauteur de 1,5 million d'euros (partenariat le temps de la candidature France 2023) puis de 8 millions par an pendant six ans (en réalité 35 millions sur cinq ans pour le contrat maillot). »
M. Laporte n'a pas été poursuivi et condamné pour avoir présidé les comités directeurs examinant l'opportunité des contrats de partenariat avec le groupe Altrad. Il l'a été pour avoir présidé ces comités directeurs alors même qu'il avait signé un contrat d'image avec le groupe Altrad, dont il n'avait informé personne à la fédération, et perçu sans contrepartie 180 000 euros du groupe Altrad. Ce contrat d'image personnel colore chacune des interventions de M. Laporte et notamment les coups de fil à Jean-Daniel Simonet, président de la commission d'appel de la FFR, pour assouplir les sanctions touchant le club de Mohed Altrad.
Au moment de voter cette protection fonctionnelle, en septembre, l'ancien bureau précisera par écrit que la « FFR demandera le remboursement de ces frais d'avocat selon la nature et les motivations d'éventuelles condamnations ». Et « qu'en cas de condamnation des dirigeants sur des faits qui n'auraient pas été commis dans l'intérêt de la FFR, la fédération demandera le remboursement des honoraires ». Par quel raisonnement ont-ils pu considérer que le contrat d'image, d'où tout le reste découle, a pu être « commis » dans l'intérêt de la FFR ? « En signant cette convention, nous avons voulu l'apaisement, indique Martinez. Chaque partie a fait des concessions. »
Autant les concessions de la FFR se voient, autant celles de l'ex-président de la FFR... D'autant qu'après négociations, sur les 150 000 euros d'honoraires avancés par la FFR, le montant du remboursement réclamé à Bernard Laporte a été ramené à 92 000 euros (rabais de 40 %). « A été retranchée la part concernant l'abus de confiance pour lequel il a été relaxé en décembre, signale Me Versini. Je rappelle que Bernard Laporte a été président bénévole. Il n'a pas touché un centime de la fédération pendant six ans. »
L'argument du bénévolat pendant six ans doit être plus que nuancé : à la barre, M. Laporte a lui-même déclaré qu'il avait perçu plus de 52 000 euros pour la seule année 2021, au titre de président de la FFR siégeant à World Rugby (vice-président) et au comité du Six Nations, somme imposée en Irlande. Logiquement, il a dû percevoir le même type d'émoluments au cours des autres années de sa mandature. « Fin mars, la FFR met en demeure et défend les intérêts de l'institution, dit-on en interne. Le 26 mai, le bureau fédéral vire de bord et vote les modalités de cette convention qui s'apparente à un arrangement entre amis. Or, le 26 mai, c'est le jour où l'opposition remporte les élections au comité directeur (onze sièges sur douze). La convention sera signée le 14 juin, le jour de l'élection de Florian Grill à la présidence. Ils ont senti le vent tourner et savaient que Grill n'aurait jamais signé cette convention. »
Posté 19 juillet 2023 - 06:43
Quel bande d'enculés !
Revenus imposés en Irlande, la totale, pour ce qui est des dates d'arrangement et de la convention c'est carrément un "fuck" à tous.
Posté 19 juillet 2023 - 07:58
S'il n'a rien gagné , il n'a rien à déclarer au fisc.
Posté 19 juillet 2023 - 08:29
S'il n'a rien gagné , il n'a rien à déclarer au fisc.
Il a même perdu 5 millions. Vous 'rendez compte ? 5 MILLIONS!!!
Posté 19 juillet 2023 - 11:25
Laporte, le benêt vole
Et le benêt fist
Posté 20 juillet 2023 - 04:56
La FFR a fait crédit à Bernard Laporte de ses frais d'avocat En contradiction avec ses précédentes décisions, l'ancien bureau fédéral a signé, juste avant le changement de gouvernance, une convention repoussant à loin l'éventuel remboursement des frais d'avocat de Bernard Laporte, dont le montant a été entre-temps ratiboisé.
Dans son jugement du 13 décembre 2022, la présidente de la 32e chambre correctionnelle de Paris avait, à plusieurs reprises, relevé le caractère accablant du remboursement tardif par Bernard Laporte des 180 000 euros de contrat d'image avec le groupe Altrad - contrat jamais exécuté et jamais en passe de l'être. Entre la « renonciation apparente », dixit la juge, en septembre 2017, et le paiement de la dernière créance, au cours du procès en septembre 2022, plus de cinq ans se sont écoulés. Le remboursement par l'ancien secrétaire d'État des frais d'avocat avancés par la FFR, des honoraires que son avocat personnel, Me Versini a chiffré dans Midi Olympique à 150 000 euros, emprunte le même chemin.
Le 1er juillet, pendant l'assemblée générale de la FFR à Lille, Alexandre Martinez, trésorier du temps de Laporte puis président par intérim, fut questionné sur le sujet par un membre de l'assistance. « Nous avons avancé les frais d'avocat suite à une décision du bureau fédéral, a-t-il répondu. La FFR n'a pas abandonné cette somme. Après le jugement du 13 décembre, la Fédération a signé une convention (avec Bernard Laporte) pour qu'il rembourse ces frais d'avocat, majorés des intérêts légaux, s'il est reconnu coupable en appel (procès attendu courant 2024). » Le fondement et la temporalité de cette convention ont de quoi surprendre.
Deux mises en demeure sans effetContrairement aux déclarations de M. Martinez, une condamnation en appel de Laporte n'entraînerait pas un remboursement automatique puisque l'accord signé vaut jusqu'à épuisement des voies de recours nationales, donc après un éventuel pourvoi en cassation. Contrairement aux déclarations de M. Martinez, ce n'est pas en décembre que l'idée de ce protocole a été débattue au sein de l'ancien bureau fédéral, composé, rappelons-le, uniquement de « laportistes ». La discussion et le vote ont eu lieu bien après, le 26 mai comme indiqué dans le PV dont L'Équipe a eu connaissance.
En décembre-janvier, au moment où Laporte est condamnépuis démissionne, l'heure n'est pas à un arrangement entièrement favorable au débiteur. Candidat du camp Laporte au référendum fin janvier, Patrick Buisson déclare que la totalité de la somme sera restituée avant la fin de la saison sportive, soit avant le 1er juillet. Entre décembre et avril, le bureau fédéral adresse un courrier (le 10 janvier) « demandant de procéder au remboursement total de cette avance ». Pas de réponse de Laporte. Le 15 février, la FFR procède à l'envoi d'une première mise en demeure de payer. Le 30 mars, une seconde mise en demeure part de Marcoussis.
Chargé de la présentation de ce dossier au bureau fédéral du 26 mai, le directeur général Laurent Gabbanini rappelle la chronologie : le 9 septembre (donc après le début du procès de l'affaire « Laporte-Altrad »), le bureau fédéral vote à l'unanimité l'activation de la protection fonctionnelle pour Bernard Laporte. Et voilà comment la FFR, partie civile à l'audience, missionne et rétribue deux avocats pour la défendre, tout en rémunérant les avocats des prévenus Bernard Laporte et Serge Simon, possibles auteurs d'un préjudice à son encontre.
Un juteux contrat d'image personnelDès cet instant, la position des colistiers de Laporte devenait discutable, étant entendu qu'ils connaissaient ce pour quoi leur président allait comparaître. Son avocat estime que « les infractions qui lui sont reprochées sont inhérentes et consubstantielles à sa fonction de président. Ce sont ses actes de président qui ont conduit à sa condamnation. Il lui est reproché d'avoir fait financer la FFR par le groupe Altrad à hauteur de 1,5 million d'euros (partenariat le temps de la candidature France 2023) puis de 8 millions par an pendant six ans (en réalité 35 millions sur cinq ans pour le contrat maillot). »
M. Laporte n'a pas été poursuivi et condamné pour avoir présidé les comités directeurs examinant l'opportunité des contrats de partenariat avec le groupe Altrad. Il l'a été pour avoir présidé ces comités directeurs alors même qu'il avait signé un contrat d'image avec le groupe Altrad, dont il n'avait informé personne à la fédération, et perçu sans contrepartie 180 000 euros du groupe Altrad. Ce contrat d'image personnel colore chacune des interventions de M. Laporte et notamment les coups de fil à Jean-Daniel Simonet, président de la commission d'appel de la FFR, pour assouplir les sanctions touchant le club de Mohed Altrad.
Où sont les concessions ?Au moment de voter cette protection fonctionnelle, en septembre, l'ancien bureau précisera par écrit que la « FFR demandera le remboursement de ces frais d'avocat selon la nature et les motivations d'éventuelles condamnations ». Et « qu'en cas de condamnation des dirigeants sur des faits qui n'auraient pas été commis dans l'intérêt de la FFR, la fédération demandera le remboursement des honoraires ». Par quel raisonnement ont-ils pu considérer que le contrat d'image, d'où tout le reste découle, a pu être « commis » dans l'intérêt de la FFR ? « En signant cette convention, nous avons voulu l'apaisement, indique Martinez. Chaque partie a fait des concessions. »
Autant les concessions de la FFR se voient, autant celles de l'ex-président de la FFR... D'autant qu'après négociations, sur les 150 000 euros d'honoraires avancés par la FFR, le montant du remboursement réclamé à Bernard Laporte a été ramené à 92 000 euros (rabais de 40 %). « A été retranchée la part concernant l'abus de confiance pour lequel il a été relaxé en décembre, signale Me Versini. Je rappelle que Bernard Laporte a été président bénévole. Il n'a pas touché un centime de la fédération pendant six ans. »
« Un arrangement entre amis »L'argument du bénévolat pendant six ans doit être plus que nuancé : à la barre, M. Laporte a lui-même déclaré qu'il avait perçu plus de 52 000 euros pour la seule année 2021, au titre de président de la FFR siégeant à World Rugby (vice-président) et au comité du Six Nations, somme imposée en Irlande. Logiquement, il a dû percevoir le même type d'émoluments au cours des autres années de sa mandature. « Fin mars, la FFR met en demeure et défend les intérêts de l'institution, dit-on en interne. Le 26 mai, le bureau fédéral vire de bord et vote les modalités de cette convention qui s'apparente à un arrangement entre amis. Or, le 26 mai, c'est le jour où l'opposition remporte les élections au comité directeur (onze sièges sur douze). La convention sera signée le 14 juin, le jour de l'élection de Florian Grill à la présidence. Ils ont senti le vent tourner et savaient que Grill n'aurait jamais signé cette convention. »
Et bien , voyons...à y être avant de partir servons- nous un poil dans la caisse....pas à une près.....et juste après: disparitions de documents.....passez, il n 'y a rien à voir !
Posté 20 juillet 2023 - 07:58
les cons ça osent tout et c'est à ça qu'on les reconnait !
N'y a-t-il pas moyen d'agir en justice contre ses arrangements nauséabonds ? et les petits clubs ne disent rien ? un groupement de licenciés ????
Posté 20 juillet 2023 - 10:17
les cons ça osent tout et c'est comme ça qu'on les reconnait !
N'y a-t-il pas moyen d'agir en justice contre ses arrangements nauséabonds ? et les petits clubs ne disent rien ? un groupement de licenciés ????
On peut faire une cagnote Leetchee pour aider Laporte à rembourser ?
Posté 20 juillet 2023 - 11:21
On peut faire une cagnote Leetchee pour aider Laporte à rembourser ?
Je propose plutôt la cagnotte "carotte"
Note : La carotte peut s'utiliser occasionnellement comme la balayette .
Posté 14 août 2023 - 08:42
Ca y est
On sait qui c'est qui a perturbé le live de La Montagne ASM-Oyo
https://www.rugbyram...ax-11391654.php
Posté 16 août 2023 - 16:49
Aldigé a un nouveau meilleur ennemie
Sinon, merci Bernard et Serge pour la bonne santé financière du Rugby français
La situation à Biarritz, entre la structure professionnelle et l’association, est assez particulière...
On sait qu’il y a des différends à Biarritz entre la SASP et l’association. Mais la FFR n’a pas à en être la victime collatérale. Nous sommes responsables de la bonne gestion de nos comptes et nous sommes attentifs à tout. Au passage, la situation financière dont nous héritons à la Fédération est pire que ce que l’on craignait, avec un déficit autour de 20 millions d’euros. Pas 9 ou 13, comme on l’a un temps évoqué. Cette situation, nous la gérons et nous essayons d’éteindre les incendies. Le BO doit en faire de même et en la matière, les choses sont claires : la SASP doit donner à son association les moyens financiers de régler les licences. L’intégralité des licences, pas seulement la part de la structure professionnelle. C’est un principe de saine gestion pratiqué par tous les clubs.
https://www.rugbyram...ch-11399075.php
Posté 16 août 2023 - 17:00
Posté 17 août 2023 - 10:28
Aldigé a un nouveau meilleur ennemie
Sinon, merci Bernard et Serge pour la bonne santé financière du Rugby français
La situation à Biarritz, entre la structure professionnelle et l’association, est assez particulière...
On sait qu’il y a des différends à Biarritz entre la SASP et l’association. Mais la FFR n’a pas à en être la victime collatérale. Nous sommes responsables de la bonne gestion de nos comptes et nous sommes attentifs à tout. Au passage, la situation financière dont nous héritons à la Fédération est pire que ce que l’on craignait, avec un déficit autour de 20 millions d’euros. Pas 9 ou 13, comme on l’a un temps évoqué. Cette situation, nous la gérons et nous essayons d’éteindre les incendies. Le BO doit en faire de même et en la matière, les choses sont claires : la SASP doit donner à son association les moyens financiers de régler les licences. L’intégralité des licences, pas seulement la part de la structure professionnelle. C’est un principe de saine gestion pratiqué par tous les clubs.
C'est le moins que l'on puisse dire. J'ai quelques inquiétudes sur l'avenir de ce club..................
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