Merci pour l’article, mais j’ai peur que ça ne change pas grand chose …
Oui, surtout que :
Quatre rendez-vous similaires avaient déjà été donnés par le passé, au Racing ou à Nevers par exemple, et un prochain aurait déjà été fixé à Castres.
Posté 19 avril 2022 - 15:00
Merci pour l’article, mais j’ai peur que ça ne change pas grand chose …
Oui, surtout que :
Quatre rendez-vous similaires avaient déjà été donnés par le passé, au Racing ou à Nevers par exemple, et un prochain aurait déjà été fixé à Castres.
Posté 27 avril 2022 - 12:58
Posté 27 avril 2022 - 13:41
De ce que je comprends, tant que le ST sera dans les 6 pas besoin de changement !
Posté 27 avril 2022 - 16:12
De ce que je comprends, tant que le ST sera dans les 6 pas besoin de changement !
C'est la base pour le top14 et la CE
Posté 27 avril 2022 - 16:20
https://www.quinzemo...l-repond-761665
J aime bien la dernière phrase
Chaque président doit essayer d'oublier l'intérêt particulier de son club, qui est conjoncturel, pour l'intérêt collectif."
C'est ça etre pistonnés par un ancien de Toulouse ........ Après vous viendrez parler de mafia cassoulet
Posté 10 mai 2022 - 10:55
DESIGNATION DES STADES POUR LES DEMIES FINALES EN 2023 ET 2025 ET POUR LA FINALE 2024.
La Ligue Nationale de Rugby a lancé le mardi 1er février dernier le processus visant à sélectionner les villes hôtes des demi-finales du TOP 14 pour les saisons 2022/2023 et 2024-2025.
Cette consultation incluait également la finale de la saison 2023-2024 en raison de la tenue des Jeux Olympiques 2024 à Paris et des conditions d’utilisation du Stade de France par l’évènement, qui ne permettent pas le déroulement au Stade de France de la Finale 2024 du TOP 14.
Le dossier a été adressé à toutes les collectivités et stades identifiés par la Ligue Nationale de Rugby comme susceptibles d’accueillir ces évènements pour un dépôt de candidatures à la date limite du 21 mars 2022.
Le Comité Directeur de la LNR a désigné, après étude approfondie des dossiers, les villes hôtes ci-dessous :
- Demi-finales du TOP 14 2022-2023 : San Sebastián
- Finale du TOP 14 2023-2024 : Marseille
- Demi-finales du TOP 14 2024-2025 : Bordeaux
Les supporters qui souhaitent être informés lors des mises en vente de ces évènements sont invités à s’inscrire sur billetterie.lnr.fr.
Assez stupéfiant qu'il faille s'exiler au-delà des frontières pour jouer une compétition française.
Posté 10 mai 2022 - 11:10
DESIGNATION DES STADES POUR LES DEMIES FINALES EN 2023 ET 2025 ET POUR LA FINALE 2024.
La Ligue Nationale de Rugby a lancé le mardi 1er février dernier le processus visant à sélectionner les villes hôtes des demi-finales du TOP 14 pour les saisons 2022/2023 et 2024-2025.
Cette consultation incluait également la finale de la saison 2023-2024 en raison de la tenue des Jeux Olympiques 2024 à Paris et des conditions d’utilisation du Stade de France par l’évènement, qui ne permettent pas le déroulement au Stade de France de la Finale 2024 du TOP 14.
Le dossier a été adressé à toutes les collectivités et stades identifiés par la Ligue Nationale de Rugby comme susceptibles d’accueillir ces évènements pour un dépôt de candidatures à la date limite du 21 mars 2022.
Le Comité Directeur de la LNR a désigné, après étude approfondie des dossiers, les villes hôtes ci-dessous :
- Demi-finales du TOP 14 2022-2023 : San Sebastián
- Finale du TOP 14 2023-2024 : Marseille
- Demi-finales du TOP 14 2024-2025 : Bordeaux
Les supporters qui souhaitent être informés lors des mises en vente de ces évènements sont invités à s’inscrire sur billetterie.lnr.fr.
Assez stupéfiant qu'il faille s'exiler au-delà des frontières pour jouer une compétition française.
Rien de nouveau.
Finale 2016 au Camp Nou. faut dire que les stades étaient occupés par l'Euro de foot
Le BO et l'Aviron délocalisent souvent à San Sébastian.
Posté 10 mai 2022 - 12:26
Rien de nouveau.
Finale 2016 au Camp Nou. faut dire que les stades étaient occupés par l'Euro de foot
Le BO et l'Aviron délocalisent souvent à San Sébastian.
Dans ces cas là, c'est plus compréhensible surtout pour le BO et l'AB, à la recherche d'un grand stade proche de chez eux..
Posté 16 mai 2022 - 10:04
ça existe encore....
Posté 17 mai 2022 - 21:27
Les demies finales en 2014 et 2015 auraient du se dérouler à Lyon au Groupama Stadium, toujours intéressant pour nous, en tant que voisin. Mais, la mairie écologique de Lyon a refusé, d'après le journal Le Progrès, sous prétexte qu'un partenaire de la LNR est un constructeur automobile et que celui-ci aurait exposé des SUV au village Rugby place Bellecour. Cette place est classé à l'UNESCO, et pour la mairie il est impensable d'exposer de tels engins à cet endroit.
Du coup, les demies auront lieu à Lille en 2024 et Bordeaux 2025.
Posté 17 mai 2022 - 21:30
Les demies finales en 2014 et 2015 auraient du se dérouler à Lyon au Groupama Stadium, toujours intéressant pour nous, en tant que voisin. Mais, la mairie écologique de Lyon a refusé, d'après le journal Le Progrès, sous prétexte qu'un partenaire de la LNR est un constructeur automobile et que celui-ci aurait exposé des SUV au village Rugby place Bellecour. Cette place est classé à l'UNESCO, et pour la mairie il est impensable d'exposer de tels engins à cet endroit.
Du coup, les demies auront lieu à Lille en 2014 et Bordeaux 2015.
Retour vers le futur irréversible
Posté 17 mai 2022 - 23:33
Retour vers le futur irréversible
Nostalgie
Posté 23 mars 2024 - 12:24
En 2022-2023, la moyenne, après 17 journées de Top 14, atteignait 13 788 spectateurs. Cette saison, elle a grimpé à 14 402. La palme revient à l'UBB qui, sur neuf rencontres à domicile, culmine à 25 599 spectateurs de moyenne. La crise du Covid-19 est oubliée, et la Ligue Nationale de Rugby peut s'en réjouir, d'autant que le public change, et c'est le but, même s'il est délicat d'obtenir des données statistiques précises de cette évolution.
Dans la plupart des clubs pros, l'âge moyen de l'abonné est supérieur à 60 ans. « Oui, l'âge moyen est de 62 ans, confie Mariève Bidart, directrice de la communication de l'Aviron Bayonnais, et c'est un abonné qui est présent depuis plus de 40 ans, qui a pris son premier abonnement quand il avait 15 ans. Notre doyen a 99 ans. »
La Ligue souhaite rajeunir et féminiser son public. « D'ailleurs, rappelle Thomas Otton, le directeur communication et RSE de la LNR, une direction a été créée avec la mise en place de plusieurs projets. Le président de la LNR a par exemple installé une commission du développement économique et de l'innovation, présidée par Thomas Lombard, directeur général du Stade Français. Sa mission : travailler pour que notre sport s'ouvre à de nouveaux publics. »
« On veut engager les présidents sur des mesures communes, explique Lombard, le public est vieillissant, il faut le renouveler, en regardant ce qui se fait ailleurs, en Bundesliga, ou en NBA. Il faut créer du contenu. Notre sport peut s'appuyer sur des valeurs anciennes, mais cela ne doit pas l'empêcher de se moderniser. »
La Ligue vient ainsi d'autoriser les intermèdes musicaux à chaque temps mort. La majorité des clubs adhèrent, surtout ceux qui ont des résultats sportifs peu convaincants. Mais à la Rochelle, en revanche, il n'y a pas d'efforts particuliers sur ce thème, selon Thomas Rousseau, le directeur d'exploitation : « Chez nous, le rajeunissement se fait naturellement, la moyenne d'âge des gens qui sont sur nos listes d'attente est de 44 ans. La moyenne d'âge de l'abonné est de 54 ans. On est un produit à la mode, on profite de nos titres de champion. Mais pas que. C'est une mode qui dure. On est à guichets fermés depuis janvier 2016, et dans quelques jours, contre Toulon, on fêtera notre 90e rencontre à guichets fermés en Top 14. On profite aussi de la faible concurrence sportive de la région. »
La saison dernière, 50 abonnements ont été remis sur le marché pour une liste d'attente de 7 200 personnes. Ce nouveau spectateur n'est pas obligatoirement un fin connaisseur de rugby. Il aime en revanche ce qui se passe autour d'une rencontre, avant et après. Et pendant, il regarde, ou pas. À Lyon, où le Matmut Stadium est devenu un endroit où il fait bon festoyer, il se murmure que de nombreux jeunes achètent des billets mais viennent seulement après le match pour profiter de la fête. « On préfère que les gens viennent au stade pour voir le match et supporter notre équipe, remarque Yann Roubert, le président du LOU, en souriant. Mais c'est vrai qu'on a encore des gens qui sont aux guichets à la pause, et après le match pour contrôler des entrées. »
À Lyon, l'affluence est remarquable et les tribunes joliment garnies, alors que les résultats sont moins bons que la saison passée. Pour taper dans l'oeil de ce nouveau spectateur capable d'être encore présent trois heures après la fin de la rencontre et de continuer à consommer, et donc rapporter de l'argent, la Ligue et les clubs utilisent beaucoup les réseaux sociaux.
« On vient de dépasser les 2 millions de fans sur nos réseaux avec un focus Instagram et Tik-Tok, avance Thomas Otton. Et 30 % de nos nouveaux abonnés sur Tik-Tok depuis la Coupe du monde sont des femmes. Et pour continuer sur ces chiffres, plus de 75 % de ces 2 millions de fans ont moins de 35 ans. On a clairement choisi d'aller les capter et de les nourrir avec une ligne éditoriale sportive mais pas que... Il ne faut pas leur montrer uniquement les plus beaux essais, les plus belles mêlées. Les publications qui fonctionnent le mieux sont celles où on voit des choses un peu singulières, des images de bodega, de troisième mi-temps, des instants décalés, des joueurs qui s'engagent dans la société. »
« Ce nouveau public a besoin de liberté, de choix, il n'est pas dans l'optique de l'abonnement, il ne veut plus s'engager. »
Thomas Otton, directeur communication et RSE de la LNR
Les étudiants adorent. On en voit beaucoup dans les travées de Jean-Bouin, ou sur la pelouse synthétique de Paris la Défense Arena. « On touche de nouvelles personnes, se réjouit Thomas Otton, certaines se disent que ça a l'air sympa et viennent voir un match... » Puis deux, puis trois... Mais sans forcément désirer s'abonner.
À la Rochelle, le club propose par exemple des places partagées car « on sait, analyse Thomas Rousseau, que 13 matches, ça peut-être long et contraignant. » « Ce nouveau public a besoin de liberté, de choix, il n'est pas dans l'optique de l'abonnement, il ne veut plus s'engager », décrit Otton.
Mais peut-il cohabiter avec l'habitué, le sexagénaire qui est abonné depuis quarante ans ? Yann Roubert le pense. Ce mélange est la clé d'une réussite populaire : « On y parvient, à cette communion, et c'est très agréable. » Pour Thomas Otton, « il ne faut pas tout bousculer, il faut prendre son temps. Et aussi prendre soin du coeur de cible historique. Les débats sont riches avec certains élus qui sont aussi garants de la tradition. » Mais la révolution semble en marche.
Posté 24 mars 2024 - 18:58
Bref au LOU, ils préfèrent avoir des titokeurs que des supporters... C'est sûr çà va dans le bon sens !
Mais pourquoi ils ont un Stade si-grand, si vide ?
3. Clermont : 16883 : Score très flatteur pour les supporters. Bravo !
Posté 25 mars 2024 - 11:54
Bref au LOU, ils préfèrent avoir des titokeurs que des supporters... C'est sûr çà va dans le bon sens !
Mais pourquoi ils ont un Stade si-grand, si vide ?
3. Clermont : 16883 : Score très flatteur pour les supporters. Bravo !
Pourvu que ca dure !
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