590 réponses à ce sujet

[ASM.fanclub.metz]

Et puis il va falloir trouver des joueurs si on joue la finale à Bilbao et le barrage top14 /prod2
C est le même weekend !!!!!😂😂

[dj0e]

Et puis il va falloir trouver des joueurs si on joue la finale à Bilbao et le barrage top14 /prod2
C est le même weekend !!!!!😂😂

Situation sur le papier hautement improbable, mais cocasse !

[gourmachou]

Situation sur le papier hautement improbable, mais cocasse !

mais pas irréalisable , pinaise et dire qu'il n'y a pas si longtemps nous voulions un doublé

[aymeric]

Suite à la finale de Coupe d'Europe remporté par les Clermontois pour la première fois de son histoire, la joie dans le vestiaire était indescriptible. Pourtant une mauvaise surprise les attends. En effet, l'ASM Clermont Auvergne devait également jouer une finale d'accession contre Mantauban à Sapiac le même jour. Préférant privilégier la Coupe d'Europe, l'équipe ne s'est alors naturellement pas présenté à Montauban. La LNR a alors décidé de déclarer une victoire par forfait aux Montalbanais au détriment des Clermontois. Ainsi Montauban accède au Top 14, tandis que le champion d'Europe L'ASM Clermont Auvergne, descend en Pro d2 pour la première fois de son histoire là aussi.

[marco43]

c'est pas arrivé au basket cette année(villeurbane je crois) ou suite à un report de match, ils avaient le même jour un match de CE et un match de championnat? 

[ELSAZOAM]

Suite à la finale de Coupe d'Europe remporté par les Clermontois pour la première fois de son histoire, la joie dans le vestiaire était indescriptible. Pourtant une mauvaise surprise les attends. En effet, l'ASM Clermont Auvergne devait également jouer une finale d'accession contre Mantauban à Sapiac le même jour. Préférant privilégier la Coupe d'Europe, l'équipe ne s'est alors naturellement pas présenté à Montauban. La LNR a alors décidé de déclarer une victoire par forfait aux Montalbanais au détriment des Clermontois. Ainsi Montauban accède au Top 14, tandis que le champion d'Europe L'ASM Clermont Auvergne, descend en Pro d2 pour la première fois de son histoire là aussi.

           

[Pâquerette]

J'essayais de réfléchir un petit peu à ce qui nous arrive cette année, en prenant le plus de recul possible. Pas évident.

Situation de base :

Saison 2016-2017 : Champion de France et vice-champion d'Europe.

Des infrastructures dans le top mondial.

Un staff complet et compétent.

Des finances saines.

Un jeu très agréable et efficace.

Des jeunes qui se révèlent ou confirment (Raka, Iturria, Penaud, Yato, ...).

Une saison presque parfaite, largement au niveau des concurrents.

 

Des points semblent alors toutefois poser problème :

- Manque d'une doublure en 9, faible profondeur de banc en 10.

- Manque de puissance physique en finale de coupe d'Europe par exemple. C'est aussi la contrepartie des choix de jeu, basé sur le mouvement et la vitesse.

- Faiblesse structurelle face aux doublons dans un effectif chargé en internationaux, notamment français.

 

 

Modifications à l'inter-saison

Départs : Debaty, Domingo, Bardy, Rado, Stanley, Planté, Gibbes

Arrivées : Slimani, Uhila, Laidlaw, Grosso, Betham, Goutta

Individuellement sur le terrain, les pertes ne semblent pas importantes et semblent très largement compensées par les arrivées. Un pilier gauche de moins (eclosion de Falgoux), un troisième ligne de moins (mais il y a déjà embouteillage et grosse poussée de la part des jeunes).

Sur le banc, le CV de Goutta est moins impressionnant que celui de Gibbes.

 

 

Saison 2017-2018

- Saison post-titre, marquée par un démarrage poussif pour ne pas dire tardif de l'équipe du point de vue résultats.

- Intégration plutôt positive des recrues, quand ils ne sont pas blessés. Slimani, Betham : OK. Laidlaw, sur ce qu'on en a vu OK. Uhila très peu vu mais pas d'a priori négatif. Grosso a mis du temps à s'adapter (8 mois) mais semble sur la bonne pente. Recrutement cohérent au regard du besoin identifié en A-1. Fragilité identifiée au poste de 10, mais permettant à Fernandez d'éclore le cas échéant : il a sans doute fallu arbitrer sur ce point, choisir c'est renoncer.

- Saison noire en terme de blessures, notamment des blessures graves (à très graves) en nombre totalement hallucinant et imprévisible. La moitié de l'effectif est en permanence à l'infirmerie, notamment les joueurs cadre de l'effectif. L''ASM utilise 55 joueurs depuis le début de la saison ! Conséquences :

* Absence de leaders sur le terrain pour encadrer chaque ligne. Parra en a été. Pui s'est blessé. Les jeunes sont lancés de façon anticipée, bon an, mal an. De toute façon avec une telle hécatombe impossible de se passer de cette solution

* Pas de continuité dans la mise en place du jeu. Chaque individu doit sans cesse réapprendre à jouer avec d'autres joueurs. Le niveau de jeu baisse mécaniquement.

* Appréhension légitime des valides, qui voient les copains broyés à l'infirmerie

* Retour prématurés des blessés, ou du moins sur la limite. Retour à un niveau pas encore suffisamment élevé pour produire leurs prestations habituelles. Le niveau reste supérieur à celui des jeunes, mais inférieur au rendement de l'année A-1. Risque de nouvelle blessure.
* Pas ou peu de repos pour les valides, pas ou peu de récupération. Baisse du niveau de performance, risque accru de blessure. Cercle vicieux.

- Grosse mise à disposition d'internationaux sur des plages de doublon.

- Recrutements en cours de saison : McAlister, Hingano. Plus de possibilités étaient offertes par le règlement au club.

- Jeu mis en place : A mon sens le gros point faible et l'absence de contest, de grattage. Pas forcément du fait des joueurs, surtout du fait du plan de jeu. Pour le reste, le jeu ne se met pas en place et cela peut évidemment s'expliquer par le manque de travail de l'ensemble du groupe ensemble (manque la moitié de l'effectif en permanence).

- Scandale Equipe de France...

- Départ feuilleton de Nakaitaci.

 

Plan d'action Club

- Un démarrage trop poussif, phénomène identifié depuis quelques saisons chez le champion en titre. Saison S-1 très (trop) longue, fortes sollicitations durant l'été, tendance naturelle au relâchement >> Action : trop tard pour cette saison. Une part correspond à des impondérables au niveau club (saison précédente trop éprouvante, sollicitations partenaires et médias, ...), une autre doit être encadrée mais arrive naturellement. Il convient de l'accepter et d'en diminuer les effets sans pour autant pouvoir les contrecarrer totalement.

- Les blessures entrainent les blessures, du fait de la non régénration des valides sur-exposés à de nouvelles blessures. Un mauvais concours de circonstance initial et une saison précédente ayant laissé des traces. Conséquences directes sur le jeu produit, sur le rendement et les résultats >> Action : rien à faire hormis aider les blesser à se rétablir et faire tourner au maximum avec les valides restant. Attendre la prochaine plage de repos conséquente pour revenir à une situation acceptable (inter-saison).

- Plages internationales : recruter moins européen et plus sudiste non sélectionnable : en cours S+1

- Recrutement en cours de saison : A mon sens, défaut détecté. Un recrutement plus tôt de renforts à la première accumulation aurait peut-être permis de ne pas entrer dans le cercle vicieux. Le choix fait a été de conserver des jokers pour plus tard dans la saison, et ne pas perturber le groupe par un recrutement inutilisé en match. Après, c'est trop tard : trop d'absences entraine de nouvelles absences. Sur le poste de 10 : pas de bol, le joker se blesse d'entrée >> Action : en A+1, ne pas hésiter à engager des recrutements plus ambitieux en cours de saison au gré des blessures longue durée sur les postes exposés. C'est un point récurent depuis plusieurs saisons, que je n'arrive pas à m'expliquer. Le choix semble venir du staff qui ne veut pas de joker sauf si plus-value importante, et privilégie les jokers en fin de période pour optimiser le rendement probabilistiquement attendu en phases finales...

- Les jeunes arrivent dans de mauvaises circonstances. Même si ça ne brisera pas leur carrière, il serait souhaitable de les faire entrer dans de meilleures conditions. >> Action : rien.

- Scandale Equipe de France : ce qui était acceptable il y a 20 ans sans internet et dans un monde non pro ne l'est moralement plus. >> Action : sensibiliser l'ensemble de l'effectif régulièrement à cet état de fait. Former les jeunes dès le plus jeune âge à l'importance du contrôle de l'image. Accompagner cela par un conseiller pro si besoin.

- Feuilleton départ de Naka >> Action : anticiper les prolongations pour blinder au maximum l'effectif. La philosophie du club va sur des contrats de longue durée (4 ans souvent). Il faudrait ne pas renouveler dans la dernière année, mais entre 1.5 ans et 1 an avant le terme pour faciliter les négociations et donner de la lisibilité à l'effectif.

 

 

Conclusion

Pour le reste, j'ai bien peur qu'il ne faille serrer les fesses comme on dit vulgairement jusqu'en A+1... Assurer évidemment le maintien, faire au mieux en CCup, et ça suffira. Financièrement ce sera bon. L'excellente sortie dernièrement du Président met la pression sur les partenaires pour qu'ils restent en A+1 en rendant innacceptable pour leur image un départ dans ces conditions l'année prochaine (si abandon en A+1, gros défaut d'image à venir puisque les supporters attendent des partenaires la poursuite de leur engagement face à cet accident).

 

L'équipe, le staff qui a fait une excellent saison 2016-2017 n'a aucune raison d'être devenue mauvaise toute seule. La confiance peut continuer sur la saison S+1 sauf si barrage/descente.

 

La stratégie pluri-annuelle de projet structurel reste cohérente malgré une saison galère.

 

La concurrence est de plus en plus féroce en Top14, il faut admettre que nous ne sommes plus incontestables en phase finale et qu'il faut s'y filer l'année durant pour y prétendre.

 

Le choix d'effectif l'an prochain est basé sur la polyvalence des gars recrutés, et la baisse du nombre de sélectionnables.

 

Une faiblesse structurelle au poste de 10 est identifiée depuis 2 ans. Si la polyvalence ne suffit pas en fin de saison, un recrutement sur un profil d'appoint parait souhaitable.

Un pilier gauche pourrait être recruté pour compenser le départ de Chaume avec le budget supplémentaire dégagé par la future liste élite.

 

Les prolongations de contrats doivent s'anticiper plus, si possible entre 1.5 et 1 ans avant la fin du contrat.

 

Nous, simples supporters, ne voyons évidemment pas tout, et ne savons pas tout. C'est normal, naturel et souhaitable.

 

 

Paramètres externes au Club

Je ne parle évidemment ici que des éléments paramétrables (plus ou moins facilement) par le club. Pas du contexte général non maitrisable par essence pour le club (Laporte, Fédé/ligue, EDF, calendrier, arbitrage sur le terrain, commission de discipline ne disposant pas d'une grille de lecture fiable, objective et partagée, sport passant évoluant doucement d'un jeu de ballon et d'évitement à un combat physique violent, contournement de salary cap, ...), bien que ce soit dévastateur dans l'équité du sport et pour son image.

 

 Pour l'ensemble de ce post, bravo !

 

[Bad Zé]

A dj0e, bravo pour ton post.
Concernant l'anticipation des renouvellements de contrats, ce ne doit pas être simple maintenant de tout verrouiller y compris 1,5 an avant le terme. Je serais pas étonné que l'ASM se soit positionné assez tôt comme ca a été le cas pour d'autres joueurs mais l'émergence de nouveaux clubs riches comme Lyon, Pau, se rajoutant aux Racing, doit rendre l'issue de certaines propositions de contrat beaucoup plus aléatoires qu'auparavant. La, quand on parle d'un international gif, il doit y avoir du monde au guichet assez tôt avant la fin du contrat. L'ASM connaît bien le sujet avec Slimani par exemple. Concernant Nakai, au dela de la propale inegalable de Lyon, le fait qu'il soit blessé à l'époque à dû compliquer un peu l'affaire.

[pluto]

J'essayais de réfléchir un petit peu à ce qui nous arrive cette année, en prenant le plus de recul possible. Pas évident.Situation de base :
Saison 2016-2017 : Champion de France et vice-champion d'Europe.
Des infrastructures dans le top mondial.
Un staff complet et compétent.
Des finances saines.
Un jeu très agréable et efficace.
Des jeunes qui se révèlent ou confirment (Raka, Iturria, Penaud, Yato, ...).
Une saison presque parfaite, largement au niveau des concurrents.
 
Des points semblent alors toutefois poser problème :
- Manque d'une doublure en 9, faible profondeur de banc en 10.
- Manque de puissance physique en finale de coupe d'Europe par exemple. C'est aussi la contrepartie des choix de jeu, basé sur le mouvement et la vitesse.
- Faiblesse structurelle face aux doublons dans un effectif chargé en internationaux, notamment français.
 
 
Modifications à l'inter-saison
Départs : Debaty, Domingo, Bardy, Rado, Stanley, Planté, Gibbes
Arrivées : Slimani, Uhila, Laidlaw, Grosso, Betham, Goutta
Individuellement sur le terrain, les pertes ne semblent pas importantes et semblent très largement compensées par les arrivées. Un pilier gauche de moins (eclosion de Falgoux), un troisième ligne de moins (mais il y a déjà embouteillage et grosse poussée de la part des jeunes).
Sur le banc, le CV de Goutta est moins impressionnant que celui de Gibbes.
 
 
Saison 2017-2018
- Saison post-titre, marquée par un démarrage poussif pour ne pas dire tardif de l'équipe du point de vue résultats.
- Intégration plutôt positive des recrues, quand ils ne sont pas blessés. Slimani, Betham : OK. Laidlaw, sur ce qu'on en a vu OK. Uhila très peu vu mais pas d'a priori négatif. Grosso a mis du temps à s'adapter (8 mois) mais semble sur la bonne pente. Recrutement cohérent au regard du besoin identifié en A-1. Fragilité identifiée au poste de 10, mais permettant à Fernandez d'éclore le cas échéant : il a sans doute fallu arbitrer sur ce point, choisir c'est renoncer.
- Saison noire en terme de blessures, notamment des blessures graves (à très graves) en nombre totalement hallucinant et imprévisible. La moitié de l'effectif est en permanence à l'infirmerie, notamment les joueurs cadre de l'effectif. L''ASM utilise 55 joueurs depuis le début de la saison ! Conséquences :
* Absence de leaders sur le terrain pour encadrer chaque ligne. Parra en a été. Pui s'est blessé. Les jeunes sont lancés de façon anticipée, bon an, mal an. De toute façon avec une telle hécatombe impossible de se passer de cette solution
* Pas de continuité dans la mise en place du jeu. Chaque individu doit sans cesse réapprendre à jouer avec d'autres joueurs. Le niveau de jeu baisse mécaniquement.
* Appréhension légitime des valides, qui voient les copains broyés à l'infirmerie
* Retour prématurés des blessés, ou du moins sur la limite. Retour à un niveau pas encore suffisamment élevé pour produire leurs prestations habituelles. Le niveau reste supérieur à celui des jeunes, mais inférieur au rendement de l'année A-1. Risque de nouvelle blessure.
* Pas ou peu de repos pour les valides, pas ou peu de récupération. Baisse du niveau de performance, risque accru de blessure. Cercle vicieux.
- Grosse mise à disposition d'internationaux sur des plages de doublon.
- Recrutements en cours de saison : McAlister, Hingano. Plus de possibilités étaient offertes par le règlement au club.
- Jeu mis en place : A mon sens le gros point faible et l'absence de contest, de grattage. Pas forcément du fait des joueurs, surtout du fait du plan de jeu. Pour le reste, le jeu ne se met pas en place et cela peut évidemment s'expliquer par le manque de travail de l'ensemble du groupe ensemble (manque la moitié de l'effectif en permanence).
- Scandale Equipe de France...
- Départ feuilleton de Nakaitaci.
 
Plan d'action Club
- Un démarrage trop poussif, phénomène identifié depuis quelques saisons chez le champion en titre. Saison S-1 très (trop) longue, fortes sollicitations durant l'été, tendance naturelle au relâchement >> Action : trop tard pour cette saison. Une part correspond à des impondérables au niveau club (saison précédente trop éprouvante, sollicitations partenaires et médias, ...), une autre doit être encadrée mais arrive naturellement. Il convient de l'accepter et d'en diminuer les effets sans pour autant pouvoir les contrecarrer totalement.
- Les blessures entrainent les blessures, du fait de la non régénration des valides sur-exposés à de nouvelles blessures. Un mauvais concours de circonstance initial et une saison précédente ayant laissé des traces. Conséquences directes sur le jeu produit, sur le rendement et les résultats >> Action : rien à faire hormis aider les blesser à se rétablir et faire tourner au maximum avec les valides restant. Attendre la prochaine plage de repos conséquente pour revenir à une situation acceptable (inter-saison).
- Plages internationales : recruter moins européen et plus sudiste non sélectionnable : en cours S+1
- Recrutement en cours de saison : A mon sens, défaut détecté. Un recrutement plus tôt de renforts à la première accumulation aurait peut-être permis de ne pas entrer dans le cercle vicieux. Le choix fait a été de conserver des jokers pour plus tard dans la saison, et ne pas perturber le groupe par un recrutement inutilisé en match. Après, c'est trop tard : trop d'absences entraine de nouvelles absences. Sur le poste de 10 : pas de bol, le joker se blesse d'entrée >> Action : en A+1, ne pas hésiter à engager des recrutements plus ambitieux en cours de saison au gré des blessures longue durée sur les postes exposés. C'est un point récurent depuis plusieurs saisons, que je n'arrive pas à m'expliquer. Le choix semble venir du staff qui ne veut pas de joker sauf si plus-value importante, et privilégie les jokers en fin de période pour optimiser le rendement probabilistiquement attendu en phases finales...
- Les jeunes arrivent dans de mauvaises circonstances. Même si ça ne brisera pas leur carrière, il serait souhaitable de les faire entrer dans de meilleures conditions. >> Action : rien.
- Scandale Equipe de France : ce qui était acceptable il y a 20 ans sans internet et dans un monde non pro ne l'est moralement plus. >> Action : sensibiliser l'ensemble de l'effectif régulièrement à cet état de fait. Former les jeunes dès le plus jeune âge à l'importance du contrôle de l'image. Accompagner cela par un conseiller pro si besoin.
- Feuilleton départ de Naka >> Action : anticiper les prolongations pour blinder au maximum l'effectif. La philosophie du club va sur des contrats de longue durée (4 ans souvent). Il faudrait ne pas renouveler dans la dernière année, mais entre 1.5 ans et 1 an avant le terme pour faciliter les négociations et donner de la lisibilité à l'effectif.
 
 
Conclusion
Pour le reste, j'ai bien peur qu'il ne faille serrer les fesses comme on dit vulgairement jusqu'en A+1... Assurer évidemment le maintien, faire au mieux en CCup, et ça suffira. Financièrement ce sera bon. L'excellente sortie dernièrement du Président met la pression sur les partenaires pour qu'ils restent en A+1 en rendant innacceptable pour leur image un départ dans ces conditions l'année prochaine (si abandon en A+1, gros défaut d'image à venir puisque les supporters attendent des partenaires la poursuite de leur engagement face à cet accident).
 
L'équipe, le staff qui a fait une excellent saison 2016-2017 n'a aucune raison d'être devenue mauvaise toute seule. La confiance peut continuer sur la saison S+1 sauf si barrage/descente.
 
La stratégie pluri-annuelle de projet structurel reste cohérente malgré une saison galère.
 
La concurrence est de plus en plus féroce en Top14, il faut admettre que nous ne sommes plus incontestables en phase finale et qu'il faut s'y filer l'année durant pour y prétendre.
 
Le choix d'effectif l'an prochain est basé sur la polyvalence des gars recrutés, et la baisse du nombre de sélectionnables.
 
Une faiblesse structurelle au poste de 10 est identifiée depuis 2 ans. Si la polyvalence ne suffit pas en fin de saison, un recrutement sur un profil d'appoint parait souhaitable.
Un pilier gauche pourrait être recruté pour compenser le départ de Chaume avec le budget supplémentaire dégagé par la future liste élite.
 
Les prolongations de contrats doivent s'anticiper plus, si possible entre 1.5 et 1 ans avant la fin du contrat.
 
Nous, simples supporters, ne voyons évidemment pas tout, et ne savons pas tout. C'est normal, naturel et souhaitable.
 
 
Paramètres externes au Club
Je ne parle évidemment ici que des éléments paramétrables (plus ou moins facilement) par le club. Pas du contexte général non maitrisable par essence pour le club (Laporte, Fédé/ligue, EDF, calendrier, arbitrage sur le terrain, commission de discipline ne disposant pas d'une grille de lecture fiable, objective et partagée, sport passant évoluant doucement d'un jeu de ballon et d'évitement à un combat physique violent, contournement de salary cap, ...), bien que ce soit dévastateur dans l'équité du sport et pour son image.

Eh Beh, ça s'appel pas se foulé pour en arriver là...

[jacobus]

J'essayais de réfléchir un petit peu à ce qui nous arrive cette année, en prenant le plus de recul possible. Pas évident.

Situation de base :

Saison 2016-2017 : Champion de France et vice-champion d'Europe.

Des infrastructures dans le top mondial.

Un staff complet et compétent.

Des finances saines.

Un jeu très agréable et efficace.

Des jeunes qui se révèlent ou confirment (Raka, Iturria, Penaud, Yato, ...).

Une saison presque parfaite, largement au niveau des concurrents.

 

Des points semblent alors toutefois poser problème :

- Manque d'une doublure en 9, faible profondeur de banc en 10.

- Manque de puissance physique en finale de coupe d'Europe par exemple. C'est aussi la contrepartie des choix de jeu, basé sur le mouvement et la vitesse.

- Faiblesse structurelle face aux doublons dans un effectif chargé en internationaux, notamment français.

 

 

Modifications à l'inter-saison

Départs : Debaty, Domingo, Bardy, Rado, Stanley, Planté, Gibbes

Arrivées : Slimani, Uhila, Laidlaw, Grosso, Betham, Goutta

Individuellement sur le terrain, les pertes ne semblent pas importantes et semblent très largement compensées par les arrivées. Un pilier gauche de moins (eclosion de Falgoux), un troisième ligne de moins (mais il y a déjà embouteillage et grosse poussée de la part des jeunes).

Sur le banc, le CV de Goutta est moins impressionnant que celui de Gibbes.

 

 

Saison 2017-2018

- Saison post-titre, marquée par un démarrage poussif pour ne pas dire tardif de l'équipe du point de vue résultats.

- Intégration plutôt positive des recrues, quand ils ne sont pas blessés. Slimani, Betham : OK. Laidlaw, sur ce qu'on en a vu OK. Uhila très peu vu mais pas d'a priori négatif. Grosso a mis du temps à s'adapter (8 mois) mais semble sur la bonne pente. Recrutement cohérent au regard du besoin identifié en A-1. Fragilité identifiée au poste de 10, mais permettant à Fernandez d'éclore le cas échéant : il a sans doute fallu arbitrer sur ce point, choisir c'est renoncer.

- Saison noire en terme de blessures, notamment des blessures graves (à très graves) en nombre totalement hallucinant et imprévisible. La moitié de l'effectif est en permanence à l'infirmerie, notamment les joueurs cadre de l'effectif. L''ASM utilise 55 joueurs depuis le début de la saison ! Conséquences :

* Absence de leaders sur le terrain pour encadrer chaque ligne. Parra en a été. Pui s'est blessé. Les jeunes sont lancés de façon anticipée, bon an, mal an. De toute façon avec une telle hécatombe impossible de se passer de cette solution

* Pas de continuité dans la mise en place du jeu. Chaque individu doit sans cesse réapprendre à jouer avec d'autres joueurs. Le niveau de jeu baisse mécaniquement.

* Appréhension légitime des valides, qui voient les copains broyés à l'infirmerie

* Retour prématurés des blessés, ou du moins sur la limite. Retour à un niveau pas encore suffisamment élevé pour produire leurs prestations habituelles. Le niveau reste supérieur à celui des jeunes, mais inférieur au rendement de l'année A-1. Risque de nouvelle blessure.
* Pas ou peu de repos pour les valides, pas ou peu de récupération. Baisse du niveau de performance, risque accru de blessure. Cercle vicieux.

- Grosse mise à disposition d'internationaux sur des plages de doublon.

- Recrutements en cours de saison : McAlister, Hingano. Plus de possibilités étaient offertes par le règlement au club.

- Jeu mis en place : A mon sens le gros point faible et l'absence de contest, de grattage. Pas forcément du fait des joueurs, surtout du fait du plan de jeu. Pour le reste, le jeu ne se met pas en place et cela peut évidemment s'expliquer par le manque de travail de l'ensemble du groupe ensemble (manque la moitié de l'effectif en permanence).

- Scandale Equipe de France...

- Départ feuilleton de Nakaitaci.

 

Plan d'action Club

- Un démarrage trop poussif, phénomène identifié depuis quelques saisons chez le champion en titre. Saison S-1 très (trop) longue, fortes sollicitations durant l'été, tendance naturelle au relâchement >> Action : trop tard pour cette saison. Une part correspond à des impondérables au niveau club (saison précédente trop éprouvante, sollicitations partenaires et médias, ...), une autre doit être encadrée mais arrive naturellement. Il convient de l'accepter et d'en diminuer les effets sans pour autant pouvoir les contrecarrer totalement.

- Les blessures entrainent les blessures, du fait de la non régénration des valides sur-exposés à de nouvelles blessures. Un mauvais concours de circonstance initial et une saison précédente ayant laissé des traces. Conséquences directes sur le jeu produit, sur le rendement et les résultats >> Action : rien à faire hormis aider les blesser à se rétablir et faire tourner au maximum avec les valides restant. Attendre la prochaine plage de repos conséquente pour revenir à une situation acceptable (inter-saison).

- Plages internationales : recruter moins européen et plus sudiste non sélectionnable : en cours S+1

- Recrutement en cours de saison : A mon sens, défaut détecté. Un recrutement plus tôt de renforts à la première accumulation aurait peut-être permis de ne pas entrer dans le cercle vicieux. Le choix fait a été de conserver des jokers pour plus tard dans la saison, et ne pas perturber le groupe par un recrutement inutilisé en match. Après, c'est trop tard : trop d'absences entraine de nouvelles absences. Sur le poste de 10 : pas de bol, le joker se blesse d'entrée >> Action : en A+1, ne pas hésiter à engager des recrutements plus ambitieux en cours de saison au gré des blessures longue durée sur les postes exposés. C'est un point récurent depuis plusieurs saisons, que je n'arrive pas à m'expliquer. Le choix semble venir du staff qui ne veut pas de joker sauf si plus-value importante, et privilégie les jokers en fin de période pour optimiser le rendement probabilistiquement attendu en phases finales...

- Les jeunes arrivent dans de mauvaises circonstances. Même si ça ne brisera pas leur carrière, il serait souhaitable de les faire entrer dans de meilleures conditions. >> Action : rien.

- Scandale Equipe de France : ce qui était acceptable il y a 20 ans sans internet et dans un monde non pro ne l'est moralement plus. >> Action : sensibiliser l'ensemble de l'effectif régulièrement à cet état de fait. Former les jeunes dès le plus jeune âge à l'importance du contrôle de l'image. Accompagner cela par un conseiller pro si besoin.

- Feuilleton départ de Naka >> Action : anticiper les prolongations pour blinder au maximum l'effectif. La philosophie du club va sur des contrats de longue durée (4 ans souvent). Il faudrait ne pas renouveler dans la dernière année, mais entre 1.5 ans et 1 an avant le terme pour faciliter les négociations et donner de la lisibilité à l'effectif.

 

 

Conclusion

Pour le reste, j'ai bien peur qu'il ne faille serrer les fesses comme on dit vulgairement jusqu'en A+1... Assurer évidemment le maintien, faire au mieux en CCup, et ça suffira. Financièrement ce sera bon. L'excellente sortie dernièrement du Président met la pression sur les partenaires pour qu'ils restent en A+1 en rendant innacceptable pour leur image un départ dans ces conditions l'année prochaine (si abandon en A+1, gros défaut d'image à venir puisque les supporters attendent des partenaires la poursuite de leur engagement face à cet accident).

 

L'équipe, le staff qui a fait une excellent saison 2016-2017 n'a aucune raison d'être devenue mauvaise toute seule. La confiance peut continuer sur la saison S+1 sauf si barrage/descente.

 

La stratégie pluri-annuelle de projet structurel reste cohérente malgré une saison galère.

 

La concurrence est de plus en plus féroce en Top14, il faut admettre que nous ne sommes plus incontestables en phase finale et qu'il faut s'y filer l'année durant pour y prétendre.

 

Le choix d'effectif l'an prochain est basé sur la polyvalence des gars recrutés, et la baisse du nombre de sélectionnables.

 

Une faiblesse structurelle au poste de 10 est identifiée depuis 2 ans. Si la polyvalence ne suffit pas en fin de saison, un recrutement sur un profil d'appoint parait souhaitable.

Un pilier gauche pourrait être recruté pour compenser le départ de Chaume avec le budget supplémentaire dégagé par la future liste élite.

 

Les prolongations de contrats doivent s'anticiper plus, si possible entre 1.5 et 1 ans avant la fin du contrat.

 

Nous, simples supporters, ne voyons évidemment pas tout, et ne savons pas tout. C'est normal, naturel et souhaitable.

 

 

Paramètres externes au Club

Je ne parle évidemment ici que des éléments paramétrables (plus ou moins facilement) par le club. Pas du contexte général non maitrisable par essence pour le club (Laporte, Fédé/ligue, EDF, calendrier, arbitrage sur le terrain, commission de discipline ne disposant pas d'une grille de lecture fiable, objective et partagée, sport passant évoluant doucement d'un jeu de ballon et d'évitement à un combat physique violent, contournement de salary cap, ...), bien que ce soit dévastateur dans l'équité du sport et pour son image.

Peut-être prévoir aussi un poste de "fouilleur, chercheur, recruteur" (Roro ?) en liaison avec le staff qui soit là uniquement pour ça

[Arverne03]

Un recrutement à l'arrière au dernier moment (façon Betham) n'est à mon avis pas à exclure.

Pour le résumé : accumulation de facteurs. éléments déclencheur = cascade de blessures (pas de bol).
Tout est traité aujourd'hui. A l'avenir ne pas hésiter à engager plus tôt des joueurs en cours de saison.

 

En ce qui concerne le joker on a, à mon avis, trop tergiversé dès le départ; ce qui nous a conduit à ce que l'on sait !   

[el landeno]

Dans les sous-sols du Stade de France, cette nuit de juin ne fait que commencer et Clermont sait qu'elle sera longue et festive. Mais Éric de Cromières sort de la joie intense de l'instant, celle du deuxième titre de champion de France que les Auvergnats viennent de décrocher contre Toulon (22-16), ose se projeter et parle d'« essayer de faire le doublé la saison prochaine ». Craint-il un relâchement ? « Pas du tout, balaye sans hésiter le président de l'ASM. Ce n'est pas le genre de la maison ! »

Le classement du Top 14

Près de neuf mois plus tard, cet élan spontané d'optimisme résonne cruellement. Clermont se morfond à la dixième place du Top 14, si loin des places qualificatives pour la phase finale (18 points) que la défense du bouclier de Brennus espérée par son dirigeant est (presque) déjà à abandonner au profit d'une moins habituelle lutte pour le maintien. On ne pense pas que ça les rassurera, mais les Auvergnats semblent plus traduire une nouvelle tendance du rugby français qu'inaugurer une malédiction. Car avant eux, le Stade Français, champion en 2015, s'était effondré en 2016 (12e), et le Racing 92, sacré en 2016, n'avait sauvé sa place de barragiste, la saison dernière, que lors de la dernière journée de la saison régulière.

Clermont pointe seulement à la dixième place du classement. (A. Martin/ L'Équipe)

Deux autres chiffres donnent un éclairage sur la difficulté de vivre en champion. Depuis le Stade Toulousain de Guy Novès, en 2011 et 2012, aucun club n'est parvenu à se succéder. Et le Brennus est allé à six écuries différentes lors des six dernières éditions... Le trophée n'avait plus été aussi volage depuis l'époque 1988-1993 (Agen, Toulouse, Racing, Bègles, Toulon et Castres). En pleine série noire, Clermont refuse de blâmer le poids du titre pour justifier cette descente aux tréfonds du classement. Mais leurs adversaires, compatissants, se chargent de leur trouver des circonstances atténuantes. Ancien Auvergnat et dernier vainqueur en date de l'ASM avec Oyonnax (12-18), samedi dernier, le pilier Vincent Debaty s'étonnait de voir la maison jaune et bleu ébranlée à ce point. « J'ai connu ça en 2010. Après un titre, c'est difficile. C'est toujours plus simple de prendre une grosse claque et de se relever. Tandis que quand tu as goûté au gâteau... C'est dur de repartir ! »

« On a été trop laxistes, trop gentils, trop tolérants » Jacky Lorenzetti, président du Racing

Quelques minutes plus tard, c'était son entraîneur, Adrien Buononato, qui décrivait sans faux-semblants « une équipe qui balbutie ». Il a connu ça lorsqu'il faisait partie du staff du Stade Français : « Pour l'avoir vécu, une année post-titre, où ça ne veut pas sourire... c'est dur. » Le technicien d'Oyonnax avance une explication. « Tu as plus d'équipes qui prétendent jouer le titre, estime-t-il. Aujourd'hui, tu es toujours sous tension. Cinq ou six ans en arrière, ils étaient quatre ou cinq dans ce cas. Là, tu faisais tourner ton effectif, tu assurais tes matches à la maison et t'accélérais à partir du mois de mars pour préparer ta phase finale. Aujourd'hui, tu rates ton début de saison, tu cours après tout le temps et quand tu vois le wagon qui s'éloigne, tu te mets encore plus de stress. »

Son ancien demi de mêlée à Paris, Julien Tomas, pointe, lui, « ce côté psychologique. Tu as mis tellement d'énergie pour atteindre le but suprême, qu'inconsciemment, même si tu veux un second titre, tu as du mal. Quand tu réattaques aux stages de présaison, tu te promets de remettre les compteurs à zéro, mais tu sais aussi que tout le monde veut aller chercher le champion de France... » Comme si les succès passés pouvaient être un passeport vers des triomphes futurs. « On n'était pas prêts mentalement pour la Coupe d'Europe, pointait le deuxième-ligne fidjien Leone Nakarawa, après l'élimination du Racing dès la phase de poules l'an dernier. On s'est laissé porter par les résultats de l'année d'avant. » Un effectif qui peine à repartir au combat avec autant d'ardeur, un peu repu et moins vaillant.

En battant Toulon, le Racing 92 est sacré champion de France

Mais aussi un encadrement qui, parfois, ne parvient plus à se montrer aussi inflexible que sur la route d'un titre. « On a été trop laxistes, trop gentils, trop tolérants, regrettait le président du Racing 92, Jacky Lorenzetti. Peut-être se sentait-on redevables vis-à-vis de nos champions. » Qui, tout juste auréolés, partent récupérer pour quatre semaines aussi obligatoires que bienvenues. « Tu as fini plus tard que les autres clubs et donc tu vas avoir moins de préparation !, rappelle Julien Tomas. Parfois, certains reprennent une semaine après la finale, quand toi tu as tout juste commencé tes vacances ! » Exemple extrême du cru 2015. 13 juin : titre du Stade Français. 15 juin : Pau premier à l'entraînement. 20 juillet : Paris est le dernier à reprendre. 21 août : début du Championnat.

 

Plus de matches, moins de repos, pas assez de préparation, c'est une équation absurde du Championnat actuel que Franck Azéma dénonçait déjà avant les maux de tête actuels de Clermont. Ce calendrier fou est une des explications de la vague de blessures qui décime l'ASM et qui avait déjà affaibli le Stade Français en 2015-2016. « Mais on ne me donne pas le droit de changer la formule du Top 14, s'insurgeait le manager auvergnat après une défaite contre Castres, le 31 décembre (27-31), qui lui avait coûté deux blessés supplémentaires (Strettle et Rougerie). Sinon, il y a longtemps que je l'aurais fait ! » Pas si insensé si, à l'avenir, on veut éviter au champion de traîner pendant des mois sa gueule (de bout) de bois.

[ELSAZOAM]

Une saison post-titre est difficile paraît-il, il y a un relâchement chez le champion...

Mais alors, comment ont fait les Toulousains pendant tant d'années ?!... Ils empilaient les titres sans que ça leur pose de problèmes. Bon, on va me dire que c'était une autre époque, mais quand même, ils y arrivaient !

[xdderf63]

Une saison post-titre est difficile paraît-il, il y a un relâchement chez le champion...

Mais alors, comment ont fait les Toulousains pendant tant d'années ?!... Ils empilaient les titres sans que ça leur pose de problèmes. Bon, on va me dire que c'était une autre époque, mais quand même, ils y arrivaient !

 

La concurrence étaient moins forte

Juste Biarritz SF

Ils avaient les meilleurs joueurs, le meilleurs staff, les meilleurs jeunes, la meilleure attractivité pour recruter, de gros moyens

[ELSAZOAM]

 

La concurrence étaient moins forte

Juste Biarritz SF

Ils avaient les meilleurs joueurs, le meilleurs staff, les meilleurs jeunes, la meilleure attractivité pour recruter, de gros moyens

Oui d'accord, tout ce que tu dis est vrai, mais il n'y avait pas de relâchement alors que ça aurait pu leur arriver aussi.

 

PS : ils avaient Biarritz et le SF comme concurrence, mais il y avait l'ASM aussi...