
SALARY CAP
#512
Posted 19 January 2020 - 19:35 PM
Si seulement c'était limité au seul rugby...
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#513
Posted 19 January 2020 - 22:27 PM
Les Français n'ont qu'une couille. Ils Laporte.Les anglais portent leurs couilles. Le top 14 est plus à l'aise dans sa merde.
- PATRICK78230 and Francoisbougnat like this
#514
Posted 19 January 2020 - 22:32 PM
On devrait fermer ce sujet, si j ai bien compris le SC c'est du flan juste une excuse pour cacher le fait qu on est des petites bites du recrutement
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#515
Posted 19 January 2020 - 22:35 PM
Et pourtant tout le monde dit sur le forum qu'en fait, on en a une grosse...On devrait fermer ce sujet, si j ai bien compris le SC c'est du flan juste une excuse pour cacher le fait qu on est des petites bites du recrutement
...d'équipe 😁
#516
Posted 20 January 2020 - 07:31 AM
Non, non, on laisse ouvert pour qu'un jour peut être les choses changent.
Ou alors faut aussi fermer le dopage, les commotions, etc...
On risque pas de se faire un peu ch... ensuite ?
#517
Posted 23 January 2020 - 19:21 PM
#518
Posted 23 January 2020 - 19:48 PM
Ça dit que la Rochelle est intéressée par Kruis ou Skelton pour remplacer Jolmes (en délicatesse avec O'Gara et Gibbes et qui pourrait être libéré de manière anticipée).
#519
Posted 23 January 2020 - 21:18 PM
Ça dit que la Rochelle est intéressée par Kruis ou Skelton pour remplacer Jolmes (en délicatesse avec O'Gara et Gibbes et qui pourrait être libéré de manière anticipée).
On en voudrait pas de Jolmes nous ? JIFF (il me semble), plutot adapte a notre type de jeu ?
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#520
Posted 23 January 2020 - 21:24 PM
Ça dit que la Rochelle est intéressée par Kruis ou Skelton pour remplacer Jolmes (en délicatesse avec O'Gara et Gibbes et qui pourrait être libéré de manière anticipée).
je viens de voir l'info, mais j'ai du mal à voir ces joueurs en TOP 14, car ils ne doivent êtres smicards de tels joueurs...
#521
Posted 23 January 2020 - 23:12 PM
L'audit financier du club londonien des Saracens, effectué par l'ancien avocat Lord Dyson à la demande de la Premiership rugby league (PRL), et qui portait sur les trois dernières saisons, a été rendu public mercredi. Il avait conclu, en novembre dernier, à un large dépassement du salary-cap (fixé à 7 millions de livres avec possibilité d'ajouter 80 000 livres par joueur international et de ne pas inclure le salaire de deux marquee-players) et avait conduit à une sanction sans précédent dans le rugby, 5,4 millions d'amende et une pénalité de 35 points au classement du Championnat cette saison.
Même si, depuis, la sanction s'est encore aggravée puisque les Saracens ont accepté d'être relégués la saison prochaine, faute de pouvoir repasser sous la limite salariale d'ici le mois de juin, les éléments du dossier de 103 pages rédigé par Lord Byron viennent éclairer deux points restés jusque-là obscurs : l'ampleur exacte du dépassement et comment le club contournait le règlement.
Sur trois saisons, entre 2016 et 2019, les Saracens ont dépassé le salary-cap de plus de deux millions de livres : 1,1 m en 2016/17, 98 000 en 2017/18 et 906 000 en 2018/19. L'ancien président et propriétaire du club, le multi-millionaire Nigel Wray (qui a démissionné de ses fonctions le 2 janvier) avait trouvé un arrangement avec quelques-uns de ses joueurs-stars et investissait avec eux et d'autres personnalités du club, dans des « joint-ventures », des sociétés appartenant à plusieurs personnes.
Le nom du deuxième-ligne international Maro Itoje, par exemple, apparaît à plusieurs reprises. On découvre que Wray avait investi 250 000 livres dans la société du joueur et que les Saracens avaient surévalué ses droits d'image de 800 000 livres. Itoje avait aussi perçu, sur les trois années concernées, les sommes de 30 000, 30 000 et 35 000 livres, de la part d'une société où travaille Lucy, la fille de Nigel Wray, et qui s'occupait des hospitalités à l'Allianz Park, le stade des Saracens. Le rapport pointe le fait qu'aucune preuve n'a été fournie des apparitions de la star anglaise à ces hospitalités.
Les frères Vunipola sont également cités puisque, là encore, l'ex-président a investi 450 000 livres dans une société où le troisième ligne Billy et le pilier Mako sont actionnaires majoritaires. Il avait également prêté de l'argent à 0 % aux deux internationaux pour l'achat d'une maison.
Deux autres joueurs, eux aussi internationaux mais qui n'ont pas participé à la dernière Coupe du monde, ont aussi bénéficié de ces arrangements. Une société appartenant au demi de mêlée Richard Wigglesworth a reçu un coinvestissement de 220 000 livres de la part de Wray et ce dernier est également accusé d'avoir payé 20 % de la maison de l'ex-ailier des Saracens, Chris Ashton. Un prêt selon le millionnaire qui, pour avoir été remboursé avec plusieurs mois de retard par le joueur, est venu s'ajouter à la masse salariale.
Car ce jeudi, quelques heures après la publication du rapport, Nigel Wray est sorti de son silence pour la première fois depuis sa démission, par le biais d'un très long communiqué (voir ci-dessous) où il tente d'expliquer ses méthodes. Il reconnaît avoir été négligent dans le sens où il aurait dû soumettre ses montages au salary-cap manager de la Ligue pour les faire valider en amont (ce qu'il avait fait lors de précédentes saisons, en 2015 par exemple). Surtout, il reprend point par point chaque somme versée, sur les trois saisons concernées, et assure, en ce qui concerne les investissements, « que dès que les sociétés feront des bénéfices, son apport initial sera intégralement remboursé par les joueurs. »
Le rapport de la PRL, lui, souligne que « les joueurs n'étaient pas complices et que la tricherie n'était pas délibérée ». On peut aussi lire qu'il déconseillait d'appliquer deux fois la sanction maximale de 35 points (pour les deux années où le dépassement avoisine le million de livres) et estime que la rétrogradation serait une punition disproportionnée.
Les Saracens évolueront pourtant en Championship, la Deuxième Division anglaise, la saison prochaine, dernier rebondissement d'un scandale qui ne cesse, depuis début novembre, de secouer le rugby anglais et d'aviver les tensions entre les clubs. Ces derniers, lors d'une réunion à l'automne, avaient exigé que les Saracens se soumettent à un nouvel audit, fin janvier, pour vérifier que leur rival avait pris des mesures pour rester dans les clous du salary-cap.
« Nous avons attentivement étudié cette solution, a expliqué mercredi le nouveau président du club, Neil Golding. Mais il s'avère que ce processus aurait généré une longue période de tensions financières, mais également émotionnelles. Ce n'était pas possible pour nous et nous nous sommes mis d'accord avec la PRL sur la relégation dans l'espoir de pouvoir tirer un trait sur les erreurs commises par les Saracens. »
#522
Posted 23 January 2020 - 23:20 PM
L'audit des Saracens a été très poussé. Il concerne des sommes faramineuses.
Les autres clubs demandent un nouvel audit.
Qu'en serait il, s'ils étaient soumis eux aussi à un audit aussi détaillé ?
#523
Posted 23 January 2020 - 23:28 PM
Surevaluer les contrats d'image, c'etait pas justement ce que faisait Mourad avec le DIC ?
#524
Posted 23 January 2020 - 23:36 PM
Surevaluer les contrats d'image, c'etait pas justement ce que faisait Mourad avec le DIC ?
Il est fort probable que tous les clubs européens aient la crotte au cul.
#525
Posted 24 January 2020 - 08:53 AM
Le DTC...Surevaluer les contrats d'image, c'etait pas justement ce que faisait Mourad avec le DIC ?
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