C'est un peu l'histoire de Muhammad Ali Sadpara, ancien porteur devenu himalayiste.
Pour les passionnés d'alpinisme
#271
Posté 07 février 2021 - 17:39
#272
Posté 07 février 2021 - 18:01
Un petit HS
Les hélicos sont liés à l'histoire de l'alpinisme....on le voit encore aujourd'hui avec ceux de l'armée pakistanaise.
Ces appareils pilotés par des experts sont capables d'exploit !
Un petit cocorico pour l'Ecureuil fabriqué à Marignane pas loin de chez le Marseillais
Un dernier pour la route : the record !
Réalisé à Istres encore dans les Bouches-du-Rhône
Jean Boulet aux commandes....un ouf !
- Le Marseillais aime ceci
#273
Posté 07 février 2021 - 18:02
C'est la même Usine qui a aussi construit celui là...
Je serai Pakistanais je ne serai pas bien tranquille
- ASM34 aime ceci
#274
Posté 07 février 2021 - 18:03
Les écureuils trop justes ...un Lama en renfort pour atteindre la trés haute altitude
Quatre Écureuils et un Lama en renfort ?
Concernant les moyens aériens engagés, les informations d'hier se sont toutefois un peu éclaircies : les hélicoptères Écureuils du 5e escadron de l'armée pakistanaise n'avaient en fait pas dépassé les 7 000 mètres d'altitude (la limite constructeur), soit un plafond n'ayant finalement permis aucune recherche visuelle.
Ces machines revoleront aujourd'hui mais certaines sources concordantes indiquent qu'un Lama serait également employé. Cet appareil, par son poids léger et sa forte puissance, est mieux taillé pour le vol en haute montagne et détient d'ailleurs toujours, depuis 1972, le record d'altitude en ayant atteint les 12 442 m. Celui de l'armée qui serait engagé est détendeur du record du pays avec 8 209 m.
- ASM34 aime ceci
#275
Posté 07 février 2021 - 18:04
C'est un Lama de compétition !
#276
Posté 07 février 2021 - 18:07
C'est un Lama de compétition !
Un Dalaï lama
(je m'excuse, je m'excuse....)
- le nougatier et ASM34 aiment ceci
#277
Posté 07 février 2021 - 18:09
Un Dalaï lama
(je m'excuse, je m'excuse....)
Et sans oxygène, bravo.
- Le Marseillais et ASM34 aiment ceci
#278
Posté 07 février 2021 - 18:11
11 Lamas contre 11 chèvres ce soir
- Le Marseillais aime ceci
#279
Posté 07 février 2021 - 18:19
il y à une probabilité qu'ils aient dévissé sur la paroi ...
#280
Posté 07 février 2021 - 18:26
11 Lamas contre 11 chèvres ce soir
Je n'ose même pas regarder.
- Le Marseillais, Ptolémée et ASM34 aiment ceci
#281
Posté 07 février 2021 - 19:12
Pakistan: vive inquiétude sur le sort de trois alpinistes disparus sur le K2
Le sort de trois alpinistes, disparus alors qu'ils tentaient l'ascension du K2, second plus haut sommet du monde, suscitait une vive inquiétude après l'échec d'une deuxième journée de recherches par hélicoptère, a annoncé dimanche 7 février le club alpin du Pakistan
Les alpinistes John Snorri (d'Islande), Juan Pablo Mohr (du Chili) et Muhammad Ali Sadpara (Pakistan) ont perdu le contact avec leur camp de base vendredi. «De nouvelles recherches par hélicoptère n'ont rien donné», a déclaré à l'AFP le secrétaire du club, Karrar Haidri.
Les hélicoptères de l'armée pakistanaise ont survolé sans résultat les pentes du K2 jusqu'à une altitude de 7000 mètres, a-t-il ajouté.
Selon Chhang Dawa Sherpa, le chef de l'expédition, une équipe de secouristes est partie à pied à leur recherche. «Malheureusement, nous n'avons trouvé aucune trace,» a déclaré M. Sherpa dans un communiqué.
«Les chances de survivre pendant deux ou trois jours à 8000 mètres en hiver sont très faibles», a estimé Sajid Sadpara, le fils de l'un des disparus, qui a aperçu son père pour la dernière fois au «goulot d'étranglement», la dernière difficulté technique du K2.
Vendredi 5 février, un alpiniste bulgare avait fait une chute mortelle sur ce même K2 en redescendant vers son camp de base. Il s'agit de la seconde personne à avoir perdu la vie ces dernières semaines en tentant l'ascension du K2, qui culmine à 8611 m.
En janvier, c'est un alpiniste espagnol de 49 ans, Sergi Mingote, qui avait trouvé la mort sur le K2, à la suite d'une chute également en redescendant vers le camp de base.
Les risques encourus sont nombreux sur cette montagne, où plus 80 personnes ont péri, contre près de 450 qui en ont réussi l'ascension. En janvier, dix alpinistes népalais en ont réussi la première ascension hivernale.
Les conditions hivernales sur le K2 sont terribles, avec des vents pouvant atteindre 200 km/heure et une température tombant parfois à -60 degrés Celsius. Ce qui explique que cette montagne soit beaucoup moins fréquentée que l'Everest, que des milliers de grimpeurs de tous âges ont réussi à gravir.
Mais à cause de la fermeture des frontières due notamment à la pandémie, il y a peu d'autres massifs prestigieux accessibles en ce moment et ce sont pas moins de quatre cordées totalisant 60 alpinistes qui ont convergé cet hiver vers le K2.
#282
Posté 07 février 2021 - 20:50
3ème nuit ...
#283
Posté 07 février 2021 - 23:05
Plus d'espoir , c'est fini ...
Le récit de Sajid effondré pense
" peut-être un accident à la descente dans la traversée du Bottleneck
dans l'éperon des Abruzzes "
la cordée avait un téléphone satellite actif qui n'a pas été utilisé
Hivernale au K2 : les recherches aériennes du jour n'ont rien donné
#284
Posté 07 février 2021 - 23:23
un des hélicos en vol au K2
rien ..aucune trace
Vues du ciel
Dans la matinée, une première rotation a embarqué le cinéaste-photographe d'aventure canadien Elia Saikaly, sur place depuis plusieurs semaines pour réaliser un film sur l'expédition de John Snorri et de la famille Sadpara. Jusqu'à environ 7 000 mètres, il a pris de nombreux clichés qui ont ensuite été analysés au camp de base pour tenter de découvrir le moindre indice en agrandissant les images. Cela n'a rien donné.
Une seconde rotation a ensuite emmené Chhang Dawa Sherpa (de l'agence népalaise Seven Summit Treks) et Sajid, le fils de Muhammad Ali Sadpara, a priori seul survivant du groupe. Dans de bonnes conditions, avec un vent de 40 km/h et une visibilité dégagée, l'hélicoptère a pu ainsi atteindre les 7 800 mètres, soit environ le niveau de l'habituel camp IV.
Aucune trace n'a été relevée jusqu'à cette altitude mais le temps plus bouché au-dessus n'a toutefois pas permis d'avoir plus d'indications sur le secteur le plus dangereux du Bottleneck et de sa traversée, située vers 8 200 m.
Sajid pense à un accident à la descente
Ramené par les hélicoptères de l'armée sur Skardu, Sajid a donné un entretien télévisé dans lequel il mentionne la possibilité d'un accident à la descente dans cette zone, où se noue, rappelons-le, la majorité des drames sur cet itinéraire « classique » de l'éperon des Abruzzes.
Il parle d'ailleurs désormais de rechercher les corps et non plus les alpinistes qui en seraient déjà à trois jours et deux nuits passées, en plein hiver himalayen, au-delà des 8 000 mètres.
Si en janvier 2018, Élisabeth Revol avait pu survivre autant de temps sur le Nanga Parbat, elle était toutefois beaucoup plus bas, évoluant entre 7 500 et 6 100 mètres avant d'être secourue par Denis Urubko et Adam Bielecki.
Sajid retient la thèse de l'accident puisqu'aucune alerte n'a été lancée, la cordée ayant pourtant au moins un téléphone satellite avec elle. Il suggère plutôt « à la descente » puisqu'il a été le dernier à voir la cordée, alors en bonne forme, franchir cette zone à la montée, vers midi.
Le groupe en était alors à 11 heures d'ascension et 900 mètres de dénivelé depuis le camp III, après une nuit sans réel repos à cause du manque de place dans les deux seules petites tentes encore en état où se sont abrités la dizaine de prétendants au sommet.
Sajid fournit également des informations plus précises :
« Avec mon père, nous montions sans utiliser de l'oxygène mais nous avions les bouteilles avec nous pour les utiliser en cas de besoin. À environ 8 200 m, comme je commençais à avoir vraiment mal à tête, mon père m'a alors dit de prendre de l'oxygène, mais le régulateur de mon masque était gelé. Au lieu de me faire risquer la vie en me donnant son masque et en continuant l'ascension, il m'a alors dit de redescendre. C'est la dernière fois que je les ai vus.
Je suis arrivé au camp III vers 17 heures. Mon père et ses camarades n'avaient pas de radios avec eux, je ne pouvais donc pas les joindre mais j'ai pu contacter le camp de base et signaler que l'équipe devrait être de retour vers 22 ou 23 heures [le timing qu'avait tenu Nims et ses camarades népalais le 16 janvier lors de leur première historique, ndlr].
Toute la nuit, j'ai attendu dans la tente pour leur préparer du thé chaud. Je n'ai pas éteint la lumière pour qu'ils puissent rapidement la retrouver dans le noir. Au matin du 6 février, j'ai prévenu le camp de base que personne n'était revenu d'en haut. On m'a alors conseillé de commencer immédiatement à descendre puisque la météo sur la montagne commençait à s'aggraver ».
#285
Posté 08 février 2021 - 09:09
Le K2 ne pardonne rien ..
trés expérimentés ou pas ..
recherches appuyées le long de l'éperon des Abruzzes ( cliché ) , aucun résultat
recherche au terrifiant passage du Botlleneck , aucun résultat
aux dernières news , les secours optent pour l'envoi de plusieurs drones .
reste à savoir si le vent en haute altitude ne va pas contrarier le projet
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