Champion d'Europe
Posté 18 septembre 2024 - 15:56
ça prouve juste que le salary cap tu peux bien le transgresser à ta guise car au final le risque n'est pas énorme même en cas de récidive puisque c'est le cas ici.
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2024 - 17:47
ça prouve juste que le salary cap tu peux bien le transgresser à ta guise car au final le risque n'est pas énorme même en cas de récidive puisque c'est le cas ici.
Faut rester prudent
Il me semble qu'on ne sait pas pourquoi la sanction à été réduite
Forcément, des griefs qui ont été trouvé, ont peut être été annulé par l'enquête ou l'appel
Ou jugé trop sévère
En l'absence d'info je ne vois pas comment on peut se mettre à la place de l'instance qui choisi de baisser la sanction
(il parait que c'est sur le site de la FFR, comme le dit L'Equipe, mais je n'ai pas trouvé)
la 1ere sanction ci-dessous => Elle n'indique jamais un dépassement du Salary CAP
"PARIS, LE 2 JUILLET 2024
A la suite de l’instruction du dossier relatif à l’application du Salary Cap au titre de la saison 2022/2023, des observations formulées par le Rugby Club Toulonnais lors de l’audience du 22 mai 2024 et au regard de l’état de récidive du Club, la Section spécialisée « Salary Cap » de la Commission de discipline et des règlements a prononcé une amende de 500 000 euros à l’encontre du Rugby Club Toulonnais, au titre du manquement à l’obligation générale de transparence et de coopération."
Ca ne veut pas dire que c'est le seul dossier sur la table entre le Salaray Cap manager et le RCT
Mais celui-ci n'est pas une sanction pour dépassement
Notons bien une nouvelle fois que :
* C'est la ligue et sa commission SC qui prononce la sanction contre le RCT à 500.000
* C'est la commission d'appel de la FFR qui prononce la baisse de la sanction
On se retrouve dans le même cas que l'affaire Laporte - Altrad sur les sanctions contre le MHR... sauf que Laporte est plus là
Champion d'Europe
Posté 18 septembre 2024 - 20:04
Dans un communiqué de presse publié ce mercredi matin, le Rugby Club Toulonnais a tenu « à réagir à la publicité qu'a entendu donner le site lequipe.fr, le vendredi 13 septembre, à une décision de la commission d'appel de la FFR, dans un article intitulé " Salary-Cap : Toulon condamné en appel pour des manquements à la transparence et à la coopération" ». La communication du RCT mérite plusieurs remarques de notre part.
« En premier lieu, le RCT tient à rappeler qu'en aucun cas il n'a été sanctionné pour une violation du plafond du Salary Cap », est-il d'abord mentionné. Précisons que nous n'avons jamais écrit le contraire.
Le communiqué se poursuit ainsi : « Quant au prétendu "manquement à l'Obligation Générale de Transparence et de Coopération " allégué dans cet article, le Club est extrêmement surpris de prendre connaissance par voie de presse des motivations présumées d'une décision qui n'ont été ni notifiées au Club ni publiées par la FFR. » Cette affirmation est bien plus gênante, à deux titres :
1. contacté le 13 septembre, avant la publication de l'article en question, le président du RCT Bernard Lemaître nous avait répondu : « le RCT publiera un communiqué en début de semaine prochaine dans lequel il fera connaître sa réaction à la décision de la commission d'appel de la FFR. » Nous avions inséré cette réponse à notre article.
2. Le RCT est donc « extrêmement surpris » de prendre connaissance par voie de presse « des motivations présumées d'une décision qui n'ont pas été publiées par la FFR ». En fait, si, la FFR a bien publié sur son site internet ce qu'elle appelle « le dispositif de la décision » qui était accessible à tout le monde, même au RCT, et qui l'est toujours. Dans l'article du 13 septembre, nous n'avons fait que reprendre les éléments de cette publication, ni plus ni moins. Quant aux motivations de la décision de la commission d'appel de la FFR dont parle le RCT, nous ne voyons pas à quoi il est fait référence étant donné que nous n'en avons rien dit. Nous avons en revanche indiqué sur quoi se basait la première décision de la commission financière de la Ligue. Le « prétendu manquement à l'Obligation générale de transparence et de coopération allégué dans cet article », comme le qualifie le RCT, n'est donc ni prétendu ni allégué. Il apparaît dans une publication officielle sur le site de la FFR.
Si yen a qu'ça les dérange... Et ben on va vous en debarrass
Posté 18 septembre 2024 - 20:11
C'était pour dire rien du tout.Salary-cap : notre réponse au RCT
(F. Mons/L'Équipe)
Le Rugby Club Toulonnais a publié ce mercredi un communiqué de presse au sujet d'un article daté du 13 septembre sur sa condamnation en appel par la FFR en raison d'un « manquement à l'obligation générale de transparence et de coopération » dans le cadre du contrôle du salary-cap. Voici quelques précisions.
F.Be.[/size]publié le 18 septembre 2024 à 16h53[/size]mis à jour le 18 septembre 2024 à 17h11[/size]
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Dans un communiqué de presse publié ce mercredi matin, le Rugby Club Toulonnais a tenu « à réagir à la publicité qu'a entendu donner le site lequipe.fr, le vendredi 13 septembre, à une décision de la commission d'appel de la FFR, dans un article intitulé " Salary-Cap : Toulon condamné en appel pour des manquements à la transparence et à la coopération" ». La communication du RCT mérite plusieurs remarques de notre part.
« En premier lieu, le RCT tient à rappeler qu'en aucun cas il n'a été sanctionné pour une violation du plafond du Salary Cap », est-il d'abord mentionné. Précisons que nous n'avons jamais écrit le contraire.
Le communiqué se poursuit ainsi : « Quant au prétendu "manquement à l'Obligation Générale de Transparence et de Coopération " allégué dans cet article, le Club est extrêmement surpris de prendre connaissance par voie de presse des motivations présumées d'une décision qui n'ont été ni notifiées au Club ni publiées par la FFR. » Cette affirmation est bien plus gênante, à deux titres :
1. contacté le 13 septembre, avant la publication de l'article en question, le président du RCT Bernard Lemaître nous avait répondu : « le RCT publiera un communiqué en début de semaine prochaine dans lequel il fera connaître sa réaction à la décision de la commission d'appel de la FFR. » Nous avions inséré cette réponse à notre article.
2. Le RCT est donc « extrêmement surpris » de prendre connaissance par voie de presse « des motivations présumées d'une décision qui n'ont pas été publiées par la FFR ». En fait, si, la FFR a bien publié sur son site internet ce qu'elle appelle « le dispositif de la décision » qui était accessible à tout le monde, même au RCT, et qui l'est toujours. Dans l'article du 13 septembre, nous n'avons fait que reprendre les éléments de cette publication, ni plus ni moins. Quant aux motivations de la décision de la commission d'appel de la FFR dont parle le RCT, nous ne voyons pas à quoi il est fait référence étant donné que nous n'en avons rien dit. Nous avons en revanche indiqué sur quoi se basait la première décision de la commission financière de la Ligue. Le « prétendu manquement à l'Obligation générale de transparence et de coopération allégué dans cet article », comme le qualifie le RCT, n'est donc ni prétendu ni allégué. Il apparaît dans une publication officielle sur le site de la FFR.
Champion d'Europe
Posté 22 septembre 2024 - 08:18
Le piler droit du XV de la Rose (68 sélections) est arrivé dans le Var début juillet histoire de s'acclimater et d'apprendre des rudiments de français. À 31 ans, ce monstre de combat, double vainqueur du Tournoi des VI Nations (2017, 2020) raconte son arrivée à Toulon mais aussi comment le rugby lui a permis de canaliser sa rage intérieure.
« On vous entend beaucoup parler sur le terrain, c'est une façon de vous motiver ?
Non, c'est juste que la communication est fondamentale dans le rugby, comme dans la vie d'ailleurs. Parler, ça permet d'éviter les zones d'ombre. Dans une équipe, dans une relation ou en famille. Sur le terrain, je tiens à ce que mes coéquipiers sachent ce que je fais. Si j'ai l'intention de récupérer un ballon, je parle au gars à l'extérieur pour qu'il soit rapidement au soutien. Pareil dans la ligne défensive, pour être sur la même longueur d'onde. J'ai joué avec des joueurs de classe mondiale, des talentueux ou des gars avec des capacités incroyables. Mais sans la communication, il y a un truc en moins.
Les lendemains de match vous êtes en mode "chien tête en bas" pour une session de yoga...
C'est ma façon de réinitialiser mon corps, de retrouver de la bienveillance après la dureté des combats. Pilier droit, c'est un poste ultra exposé. Le lendemain d'un match mes muscles et mes tendons sont ultra raides. Les irriguer, leur redonner de la souplesse, me permet de déjà préparer le match d'après. J'ai eu une grave blessure au dos en 2022, j'ai eu le nerf sciatique irradié jusqu'au pied pendant six mois. On m'a conseillé le yoga Ashtanga et cette pratique m'a fait le plus grand bien. Dès que j'arrête, mon corps grince alors je suis assidu.
« Le Top 14, on dirait la Premier League du foot anglais »
Vous dites "après une activité Yang comme le rugby, place à une activité Yin", d'où vous vient cette pensée asiatique ?
Je bosse avec un mentor depuis cinq-six ans. On échange plusieurs fois par semaine. C'est un coéquipier de l'équipe d'Angleterre qui me l'a présenté à une époque où je me débattais avec une rage intérieure. Sa boîte "Saviour World" aide des athlètes de haut niveau ou des gens du spectacle à s'accomplir.
Son site présente un "story telling" sous forme de bandes dessinées avec ce slogan : rejoignez la Révolution des mâles...
Le monde d'aujourd'hui est très déroutant et il est parfois difficile d'y trouver sa place en tant qu'homme. Ce travail mental m'aide à être un mec plus responsable, plus fiable. J'ai aussi mon propre physiothérapeute, mon ostéopathe. Une équipe de six personnes qui m'aident à performer.
Cette rage qui brûlait en vous, d'où venait-elle ?
Je n'ai jamais connu mon père. Il est Irlandais, paraît-il. Donna, ma mère, vient des Caraïbes, de la Barbade et de la Jamaïque. J'étais un jeune énervé, je me fourrais toujours dans des embrouilles. Le rugby m'a appris à canaliser ma colère. Au départ, je prenais souvent des cartons, j'ai eu à coeur de devenir plus fiable vis-à-vis de mes coéquipiers. De cesser de réagir comme un môme colérique.
Cette colère, vous la gardez dans votre poche revolver prête à être dégainée ? Vous l'évacuez, la recyclez ?
On ressent tous de la colère, de la tristesse ou de la joie. C'est humain. Le truc, c'est d'identifier à quel moment se connecter avec nos émotions. Je continue d'être en colère (il rit) mais j'essaye de la canaliser de manière positive. D'en faire un combustible à l'entraînement et en match.
La découverte de Toulon, du stade Mayol et du Top 14, quel genre d'émotions cela vous a-t-il procuré ?
J'avoue qu'avant le premier match face à La Rochelle (victoire des Maritimes 19-15, 1re journée), je n'avais pas été aussi nerveux depuis des lustres. Je n'avais plus joué en match officiel depuis le 18 mai. Notre premier match à Mayol, samedi dernier (le 14 septembre) a été dingue (victoire 30-28 face à Castres, 2e journée). En traversant l'avenue des légendes, je me suis rempli de l'énergie des supporters tout en m'efforçant de rester dans ma concentration. Le Championnat est un marathon mais rien que les deux premières journées ont bien tapé dans les émotions. Cette compétition est la plus relevée au monde : les stades, les affluences, la couverture télé par Canal+ c'est juste incroyable. Le Top 14, on dirait la Premier League du foot anglais.
Quel est le pilier gauche que vous frétiller de croiser ?
Tous ! Face à La Rochelle, déjà, Reda Wardi, un joueur de classe mondiale, m'a donné un bon aperçu de la dureté des batailles qui se livrent chaque week-end en France. J'ai beaucoup de respect pour les piliers du Top 14. Me mesurer à eux a été une des motivations de venir à Toulon. Ce challenge est revigorant, tout comme le fait de continuer d'apprendre encore d'autres subtilités de mon métier aux côtés de "Brick" (le surnom d'Éric Dasalmartini, entraîneur de la mêlée du RCT) et de mes coéquipiers.
Qu'apprenez-vous ?
En France, il y a plus de pression dans les liaisons, je dois m'y adapter. L'esprit de la mêlée est très différent ici. Dès les commandements (Il parle en français), "flexion", "liez", "jouez". Si je bascule tôt, trop fort, je risque d'arriver en fin de course à l'impact, dénué de puissance (il se met au sol, en appui sur le terrain, pour nous montrer). Je suis encore en phase d'ajustement. À Toulon, la mêlée est une histoire de vie et de mort, c'est exaltant (il se marre). En Angleterre, on est plus analytiques. Ici, la mêlée, on y met les émotions. C'est tout une ville et une région qui vibrent. À Toulon on se sent gladiateur. J'adore !
Comment expliquez-vous ce Brexit inversé provoquant l'afflux de joueurs anglais en Top 14 ?
Tous ont envie de jouer dans le meilleur Championnat du monde. Et puis arriver dans un pays dont tu ne parles pas la langue, sortir de sa zone de confort, c'est ultra motivant.
Ça dit aussi la fragilité du rugby anglais. Est-il en danger ?
C'est un sujet délicat. Quand on voit que les London Irish n'existent plus, Worcester est dans le dur... J'ai le coeur serré pour tous ces joueurs qui se retrouvent sans boulot en Angleterre, faute d'argent. Et ça renforce mon sentiment d'être un privilégié de pouvoir jouer à Toulon. Ce club m'a tant fait rêvé avec Jonny Wilkinson il y a une quinzaine d'années. Ça donne envie de donner le meilleur de soi chaque week-end.
Vous avez débuté le rugby au poste d'arrière, vous voilà pilier droit...
J'ai joué arrière, centre, ouvreur avant d'être repéré par Collin Osborne le gourou du recrutement en Angleterre. Il est originaire du Zimbabwe mais il a aussi scouté Danny Care, Chris Robshaw, Mike Brown, Jordan Turner, George Lowe, George Robson... J'avais douze ans, je venais d'être exclu pour bagarre. Colin a perçu un truc en moi, mon tempérament, je crois. Pour ne pas que je me perde, il m'a fait intégrer leur Académie au milieu de joueurs de seize ans. Bon, il faut dire que j'avais déjà la même taille mais en plus gros. J'y suis resté jusqu'à 26 ans, j'ai joué 147 matches pour les Harlequins avant de passer quatre ans à Bristol.
Les Harlequins, comme le Stade Toulousain, aiment le jeu déployé...
Oui, tout comme Bristol, managé par Pat Lam. Des clubs où tout est l'occasion de jouer. Ici, c'est un peu différent. On verra. L'engagement physique change la donne. Après chaque match, j'ai besoin de dormir mes dix heures auxquelles j'ajoute une grosse sieste dans l'après-midi. Et je peux vous dire que je n'ai pas besoin d'un coach du sommeil (il éclate de rire). »
Champion d'Europe
Posté 25 septembre 2024 - 07:56
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 14:08
un petit tour et puis s'en va... préparation à la CDM en vue !
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 14:53
Encore une réussite Toulonnaise
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 15:00
Encore une réussite Toulonnaise
oui rien à dire
le Var est dans le fruit.
Posté 25 septembre 2024 - 16:51
ils vont nous piquer Jurand le remplaçant compensatoire de Penaud.
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 19:14
Equipe de France
Posté 25 septembre 2024 - 21:37
Un peu facile de refaire le scénario après coup.C'est lui qu'on avait soit disant lamentablement loupé ?
Put... Qu'est ce le club prendrait si on etait à la place du RCT.... Vous me direz il peut encore leur donner le titre.
Champion du Monde
Posté 25 septembre 2024 - 22:00
Un peu facile de refaire le scénario après coup.
Sur le papier il était une super pioche (il lui reste encore une saison et au demeurant il a fait quelques très bons matchs).
Dans le top 14, les supers pioches se transforment régulièrement en super flop.
Je préfère du Willis du Kinghorn, simplement de la bonne pioche mais qui assure grave.
Champion du Monde
Posté hier, 06:44
Un peu facile de refaire le scénario après coup.
Sur le papier il était une super pioche (il lui reste encore une saison et au demeurant il a fait quelques très bons matchs).
Raymond Calbuth III
Posté hier, 07:14
Un peu facile de refaire le scénario après coup.
Sur le papier il était une super pioche (il lui reste encore une saison et au demeurant il a fait quelques très bons matchs).
Oui, on en bavait un peu quand même. j'avais quand même la réserve que je voyais mal comment un mec de ce niveau, coaché en club par le nouveau sélectionneur NZ, pourrait s'installer de façon pérenne en Europe. ca sent le deal avec razor à plein nez.
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