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ASM ESPOIRS 2018-2019


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1522 réponses à ce sujet

#106 TiNTiN

TiNTiN

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Posté 11 juillet 2018 - 18:00

Et il en  manque d'autres par exemple Taofifenua, titulaire à l'arrière pour le titre en mai et qui fait partie des gros potentiels.

Doit y avoir une liste cachée ... 

 

Chez moi, il apparait dans la liste des ailiers. ^_^

 

e6sn.jpg



#107 Rémy63

Rémy63

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Posté 11 juillet 2018 - 18:04

Il est bon partout ;) Il a commencé au centre en Cadet, puis a été décalé à l'aile en Crabos et joue essentiellement en 15 avec les espoirs.

 

Vraiment un mec très doué techniquement et qui s'adapte très bien à tous les postes. Il aura beaucoup à apprendre de Nanai-Williams.



#108 Lavande50

Lavande50

    Equipe de France

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Posté 11 juillet 2018 - 19:37

Le mot de Xavier Sadourny dans le Rugby Infos Clermont au sujet de Taofifenua : "Il est de 99, il a connu une saison compliquée à cause d'un problème au genou, au ménisque. Il vient d'être opéré donc il est indisponible trois ou quatre mois. Malgré tout, il a pu exprimer son potentiel en phases finales avec les Espoirs. C'est un bon joueur, on le sait, il a de la vitesse. Faire la saison qu'il a faite avec cette blessure, bravo. C'est un arrière mais il peut aussi jouer à l'aile. Il doit travailler son jeu au pied."



#109 totoche

totoche

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Posté 11 juillet 2018 - 21:58

http://www.asm-omnis...-d-aden-fellah/



#110 Le vieux Tullois

Le vieux Tullois

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Posté 11 juillet 2018 - 22:28

 

Chez moi, il apparait dans la liste des ailiers. ^_^

 

e6sn.jpg

Effectivement .... les lunettes vont être remboursées à 100 % , pour moi c'est une occasion à saisir !



#111 Lourugby

Lourugby

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Posté 14 juillet 2018 - 19:21

Au sujet de Samuel Ezeala, j'ai vu dans une interview qu'il souhaitait bien porter le maillot de l'équipe de France plutôt que celui de l'Espagne.

 

Cependant, avec la nouvelle réglementation de la FFR, les sélections françaises des moins de 20 ans sont considérés comme des sélections classiques (l'Afrique du Sud avait fait le même choix en 2013). Donc j'imagine qu'il continuera de jouer avec l'Espagne chez les jeunes pour conserver une chance de jouer au niveau international chez les pros si d'aventure il n'était pas assez fort pour viser la grande équipe de France. 

 

C'est dommage car je l'aurai bien vu avec les U20 l'an prochain, il aurait surement beaucoup progressé au contact d'une très belle équipe.  



#112 Rémy63

Rémy63

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Posté 16 juillet 2018 - 07:47

Si quelqu'un a l'interview de Sam Ezeala dans le midol du jour, je suis preneur.

#113 celois

celois

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Posté 16 juillet 2018 - 09:32

Midi Olympique n° 5451 du 16 au 22 juillet

 

SIX MOIS APRES SON TERRIBLE CHOX AVEC VIRIMI VAKATAWA QUI EMUT LA FRANCE ENTIERE, LE JEUNE AILIER CLERMONTOIS, SACRE CHAMPION DE FRANCE ESPOIRS, REVE DE PASSER A AUTRE CHOSE. POUR MIDI OLYPIQUE, IL REIVENT POUR LA PREMIERE FOIS AUSSI LONGUEMENT SUR SON ACCIDENT ET LES SEMAINES QUI L’ONT SUIVI, AVEC UNE MATURITE DECONCERTANTE MATINEE DE L’INSOUCIANCE DE SES 18 ANS. IL EVOQUE EGALEMENT SON HISTOIRE PERSONNELLE : DEPUIS SON ADOTPION PAR DES PARENTS CATALANS A SON DERACINEMENT A 15 ANS POUR REJOINDRE CLERMONT.

Propos recueillis par Nicolas Zanardi

 

Voilà 2 semaines que vous avez effectué votre « rentrée des classes » à l’ASM pour la préparation de la saison avec le groupe pro. Sauf qu’à la différence des autres espoirs, votre nom est déjà entré dans les esprits de tous les observateurs du Top 14…

 

J’ai conscience d’avoir eu cette notoriété après cette histoire de KO, oui… C’est un peu compliqué, car je m’en serais bien passé. Si j’ai la chance de faire quelques matchs avec les professionnels cette saison, je sais que c’est forcément un sujet qui va revenir, parce qu’il a un peu marqué les gens et qu’on m’en parle encore… C’est normal après tout. Ca m’ennuie un peu, cat je n’aime pas forcément l’idée d’être connu comme « le joueur qui a fait un énorme KO ». Mais ça ne me pèse pas non plus particulièrement, et honnêtement, ça n’est pas ce qu’il y a de plus dur à vivre…

 

Quels souvenirs gardez-vous de cette rencontre, six mois plus tard ?

 

"Mais j’ai tout gardé" de ce match contre le Racing ! Hormis le choc avec Virimi Wakatawa, je me souviens de tout ! Des sensations avant le match, des quelques ballons que j’ai pu avoir… En revanche, l’accident et la sortie sur civière, je les ai oubliés. Mes premiers souvenirs après mon réveil, ils sont à l’hôpital, avec mes parents qui avaient fait le déplacement.

 

Avez-vous déjà revu les images de votre accident ?

 

Oui, forcément. Avec les réseaux sociaux, aujourd’hui, tout le monde t’identifie sur des images, des vidéos. Tous mes copains à Barcelone étaient réunis pour regarder le match, donc tout le monde a eu un peu peur pour moi, et tout le monde m’en a parlé. C’était dur de passer à côté.

 

Quelle a été votre réaction à la vue du choc ?

 

La première fois que j’ai revu ces images, je me suis dit : « Ah oui, quand même ». Mais en fait, je me suis surtout posé beaucoup de questions. Est-ce que j’ai présenté la bonne épaule ? Qu’est-ce que j’aurais pu faire pour éviter ça ? D’ailleurs, dura nt cette intersaison, nous travaillons beaucoup pour éviter le plus possible ce genre d’accidents. Cela passe par de la technique de plaquage, du renforcement au niveau des cervicales. On fait tout ce qui est possible en matière de prévention.

 

Avez-vous gardé contact avec Virimi Vakatawa, qui était venu vous offrir son maillot à votre réveil ?

 

On a parlé une fois à l’hôpital, lorsqu’il est venu me voi. Jamais depuis. Mais le fait qu’il vienne s’inquiéter de ma santé m’a beaucoup touché. Surtout que c’était très sincère de sa part… Cela montre quel genre de personne il est, et comme Virimi est un joueur dont j’essaie de m’inspirer, c’était d’autant plus important. Mais il n’y a pas que lui, hein ! J’aime aussi beaucoup ce que font Teddy Thomas, Rieko Ioane, et bien évidemment Alivereti Raka que je côtoie à Clermont et qui est une véritable bombe.

 

Après le choc, combien de temps avez-vous mis pour récupérer ?

 

Honnêtement, après le KO, je me sentais super bien 4 ou 5 jours après. Durant les premiers jours, j’étais un peu plus sensible au bruit et à la lumière, bien sûr, ce genre de symptômes typiques après une commotion. J’ai eu aussi mal à la tête pendant un jour ou deux, mais rien de plus. Ce que je voulais, moi, c’était reprendre tout de suite ! Je pensais qu’au bout de 2 semaines au maximum, je serais sur les terrains… Mais les médecins de l’ASM m’ont fait comprendre qu’après ce qu’il m’était arrivé, il ne fallait prendre absolument aucun risque. C’est pourquoi ils m’ont prescrit un repos total de 3 mois…

 

En quoi a consisté ce protocole ?

 

J’ai d’abord eu une semaine de repos complet, où je n’allais même pas en cours. La deuxième semaine, j’ai pu y retourner, avec la consigne de rentrer chez moi en cas de problème de vue, de concentration, etc. Comme ça n’est jamais arrivé, je n’en ai même pas profité ! (rires) Ensuite, la reprise sportive a été très progressive. Il s’agissait d’abord de marcher, puis de courir tout doucement, puis un peu plus vite… La reprise de la musculation s’est faite aussi en douceur, avec des charges très légères pour recommencer… Il fallait suivre le protocole scrupuleusement, jusqu’au bout, jusqu’à la reprise du contact. C’était la condition absolue pour que je puisse reprendre. Au bout d’un mois et demi, je ne tenais plus en place. Je me sentais prêt, je voulais rejouer ! Mais mes parents étaient plutôt contents des précautions qui étaient prises autour de moi. C’était pour ma santé après tout.

 

Aviez-vous quand même de l’appréhension au moment de renouer avec la compétition, les chocs, les plaquages ?

 

J’ai repris pour un gros match avec les espoirs contre la Rochelle, d’autant plus important que c’était mon premier sur le terrain d’honneur de Marcel Michelin. Ce n’est pas que j’avais de l’appréhension, mais en début de match, j’étais plus dans l’observation que dans l’action. Toute l’équipe était comme ça, d’ailleurs, car nous avions effectué une entame catastrophique. Il y avait un joueur de La Rochelle, Romaric Camou, qui nous a traversé à plusieurs reprises… Me concernant, il fallait que je retrouve de la confiance. Je pensais que j’étais passé à autre chose, mais c’était comme si une part de moi n’avait pas oublié le choc avec Virimi Vakatawa. Et puis en deuxième mi-temps, j’ai commencé à me lâcher un peu plus. C’est allé encore mieux pour mon, deuxième match contre Carcassonne. Et cela a été en s’améliorant tout au long des phases finales, jusqu’au titre. Aujourd’hui, l’accident est totalement derrière moi.

 

Avez-vous conscience d’être devenu un symbole ? Celui de la dureté toujours accrue du jeu, des difficultés que peuvent connaitre les jeunes pour intégrer un Top 14 qui n’a jamais été aussi exigeant….

 

Je ne veux pas être un symbole. En tout cas, j’espère ne pas le rester. C’est vrai que, si je peux m’exprimer ainsi, ma commotion était la commotion parfaite, et je comprends qu’elle ait marqué les esprits. Mais les accidents, les commotions, ce sont malheureusement des choses qui arrivent. Et pas seulement sur les terrains du Top 14. Il y en a à tous les niveaux : en espoirs, en Fédérale, dans les catégories de jeunes. Où elles sont certainement beaucoup moins bien prises en charge…

 

Difficile de ne pas évoquer ici le sujet du jeune joueur de Billom, Adrien Descrulhes, décédé après un choc à la tête sur un terrain, quelques mois après votre histoire. Lequel s’est avéré beaucoup moins médiatique, malgré des proportions beaucoup plus dramatiques…

 

J’ai entendu parler de l’histoire du jeune Adrien, bien sûr. J’ai même partagé quelque chose à son sujet sur les réseaux sociaux… On avait à peu près le même âge… C’est terrible, ce qui est arrivé. Je ne le connaissais pas, mais cette histoire m’a fait énormément de peine, m’a fait comprendre ce à quoi j’avais peut-être échappé. Je ne sais pas si son cas était le même que le mien, c’est difficile d’effectuer des comparaisons. Je sais juste que j’ai eu de la chance d’être très bien pris en charge au niveau du club de Clermont. Quand je leur disais que je voulais rejouer, les médecins me disaient : « Ecoute, tu n’as que 18 ans, tu dois avant tout penser à ta santé. » Et je sais bien qu’ils avaient raison, même si quand on est joueur, c’est parfois dur à entendre.

 

Votre commotion a occulté votre parcours et votre histoire, qui sont peu communs. Pouvez-vous nous le raconter ?

 

Je suis né à Barcelone, où j’ai été adopté à l’âge de 2 ans par mes parents, Carles et Dolors. Ma mère biologique est nigériane et avait émigré en Espagne. Du coup, au départ, j’ai logiquement été davantage attiré par le foot que par le rugby. Et puis, petit à petit, l’ambiance du rugby m’a détourné du foot. Au final, c’est plus ou moins ce que mes parents voulaient ! (rires) Mon père adoptif Carles était éducateur au Buc. Tout petit, j’allais voir mon frère adoptif, et à 4 ans, on m’a mis le ballon entre les mains. J’ai joué jusqu’en moins de 16 ans dans toutes les catégories, également en sélection régionale de Catalogne. Mais le rugby en Espagne, c’est un peu compliqué : il n’y a pas beaucoup d’équipes, pas beaucoup de joueurs. C’est pour cela qu’à 15 ans, j’ai commencé à envisager d’aller en France.

 

Justement, comment avez-vous atterri à Clermont, plutôt qu’à Perpignan ou Montpellier par exemple ? On a entendu parler d’une rocambolesque histoire de CV vidéo…

 

(il se marre) Régulièrement, il y avait des recruteurs de Perpignan qui venaient en Espagne, pour essayer de repérer des joueurs. Mais ils ne m’ont pas pris. Du coup, avec deux autres copains, on s’est mis en tête d’aller ailleurs. Eux sont allés faire des détections à Montpellier, à Paris… Moi, je ne voulais pas passer par des détections. J’ai donc envoyé des candidatures à plusieurs clubs : Toulouse, Montpellier, le Racing, Clermont… Concernant Toulouse et Montpellier, ils m’ont simplement répondu de venir passer une détection. Quant à l’ASM et au Racing, ils m’ont demandé d’envoyer une vidéo. J’avais quelques images de matchs, du coup, je me suis fait aider pour effectuer un montage. Après ça, les deux clubs étaient OK pour me rencontrer. Et c’est à Clermont que je suis allé en premier…

 

Pensiez-vous y rester ?

 

Non. Mes parents auraient préféré que j’aille à Perpignan. Pour eux, Clermont, c’était trop loin, il n’en était pas question. Je n’avais que 15 ans à l’époque… Finalement, ils ont été d’accord pour que nous allions visiter le club, mais dans leur esprit, c’était hors de question que je signe là-bas.

 

Alors comment le club vous a convaincu ?

 

C’était assez drôle : mon père essayait d’envoyer des piques, et posait plein de questions. Concernant les études, le logement, les éventuelles facilités, etc. Le truc, c’est que Fred Sciauvaud et Freddy Maso avaient réponse à tout ! En plus, nous avons été présentés le jour même à plusieurs joueurs, mais aussi à Xavier Sadourny, Jean-Marc Lhermet… Tout ça faisait plaisir. Du coup, à la fin de la journée, mon père m’a dit : « OK, ici, on veut bien te laisser. » Du coup, je n’ai même pas rencontré les gens du Racing (rires). Il vaut sans doute mieux : Paris, c’était peut-être un peu grand pour un jeune garçon comme moi…

 

Avec le recul, il faut croire que votre destin est quelque part lié à celui du Racing…

 

Oui… (rires) Ce qui est marrant, c’est que lorsque nous y sommes allés en Crabos, j’ai vu pour la première fois la personne avec qui j’étais entré en contact. C’était pour un gros match, décisif pour la première place de la poule, et nous avions perdu. IL m’avait dit : « Tu vois, si tu étais venu chez nous, tu serais premier ! » (rires) C’est drôle, quand j’y repense. Après, je n’imaginais pas ce qui allait se passer quelques mois plus tard…

 

Pour revenir à votre arrivée en France, vous avez débarqué à 15 ans dans un pays dont vous ne connaissiez rien, ni personne. Comment avez-vous vécu cette période ?

 

La première personne que j’ai rencontrée à Clermont, c’est Dorian Lavernhe. Avec lui, nous avons tout fait ensemble : les premières années à l’internat, en Crabos, en espoirs, en pro. Du coup, dès notre première année espoir, nous avons pris une coloc ensemble. Et on a été champions de France cet été. Autant dire qu’on en a bien profité…

 

Ai niveau scolaire, votre déracinement n’a-t-il pas été préjudiciable ?

 

Non, et c’était pourtant la grosse question au départ. Quand je suis arrivé, je ne parlais pas du tout français. J’avais bien pris deux semaines de cours particuliers intensifs juste avant mon départ, mais ça n’avait pas servi à grand-chose. Je ne comprenais rien, j’étais incapable de tenir une conversation, à part « bonjour, ça va ? » Du coup, au niveau scolarité, j’ai été amené à faire un choix difficile. En Espagne, j’étais en seconde et j’allais passer en première. Ce que m’a proposé Clermont, c’était de passer une année entière à ne faire que du français, puis intégrer le cursus normal, en seconde. En gros, je redoublais deux ans. J’ai beaucoup réfléchi, et j’ai finalement pris la décision d’accepter. Et je crois que j’ai plutôt bien fait : je viens juste de valider mon bac de français, et l’an prochain, je vais passer un bac ES.

 

Pour revenir au rugby, les Bleuets auront un titre de champion du monde moins de 20 ans à défendre l’été prochain. Espérez-vous être de la partie ?

 

J’ai joué avec les moins de 18 ans espagnols, et j’ai déjà eu des appels de l’Espagne. Mais sachant que j’ai peut-être la possibilité de postuler à la sélection française, je veux en faire ma priorité du moment. Ne serait-ce que par respect pour la France, le pays qui me forme. Je suis espagnol et j’ai des affinités pour le Nigéria, bien sûr. Mais aujourd’hui, je me sens bien plus français que nigérian. Ne serait-ce que parce que je n’ai jamais vécu au Nigéria, alors que je passe mes meilleures années ici… C’est pour cela que j’ai effectué ma demande de passeport.

 

Savez-vous au moins si vous pouvez réglementairement postuler à l’équipe de France des moins de 20 ans ?

 

Normalement oui, puisque je viens de passer trois ans en France. Bernard Laporte a dit que sous sa présidence, seuls les joueurs avec un passeport français peuvent être appelés en sélection, mais il a aussi dit que pour les joueurs qui font la démarche d’en demander un, il peut y avoir des exceptions. Donc oui, je pense être éligible pour les moins de 20 ans. Après, encore faut-il que je sois performant en club…

 

Justement, en club qu’attendez-vous de la saison qui arrive ?

 

Je ne suis pas dans la tête de Franck Azéma, et je me garderai bien de réclamer quelque chose. Tout ce que j’espère, c’est effectuer une saison à 25 matchs, que ce soit avec les espoirs ou les professionnels. Je veux juste éviter les pépins physiques, et prendre du plaisir sur le terrain. Parce qu’à mon âge, le rugby reste d’abord un jeu, non ?



#114 Rémy63

Rémy63

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Posté 16 juillet 2018 - 09:41

Un grand merci :)

 

Une bonne tête bien faite ce p'tit jeune. Espérons que les pépins physiques vont le lâcher ;)



#115 celois

celois

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Posté 16 juillet 2018 - 10:35

Oui c'est clair.

 

Une chose laisse un doute sur son avenir quand même... il a envisagé le Racigne !!

 

Blague à part ça tient à peu de choses finalement..

 

En espérant que dès cette saison il fasse parler de lui pour autre chose que ce premier match, pour que ça arrête de lui coller à la peau.



#116 Rémy63

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Posté 16 juillet 2018 - 10:38

Surtout que pour le coup, à l'aile, il y a vraiment un coup à faire pour les jeunes. Avec Raka sur le flanc, Grosso en bleu, les spécialistes sont pas très nombreux.



#117 George Abitbol

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Posté 16 juillet 2018 - 16:46

Avez-vous gardé contact avec Virimi Vakatawa, qui était venu vous offrir son maillot à votre réveil ?
 
On a parlé une fois à lhôpital, lorsquil est venu me voi. Jamais depuis.

Pourquoi je ne suis pas étonné ?

#118 rugbyasm77

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Posté 16 juillet 2018 - 19:52

Surtout que pour le coup, à l'aile, il y a vraiment un coup à faire pour les jeunes. Avec Raka sur le flanc, Grosso en bleu, les spécialistes sont pas très nombreux.

raka devrait être prêt pour le début de saison ! mais il y a de très grandes chances qu'il devienne international dans les mois qui viennent donc je vois bien les ailes tenu par moala et lui pendant les doublons 



#119 Enzo

Enzo

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Posté 21 juillet 2018 - 08:52

ils partent, ils arrivent

Départs: Septar(Pau);Tournebize(Montpellier);Nicoué(Biarritz);Barjaud(pret Nevers);Garret et Giorgadze (Brive);Villatte et Begon(Issoire);Meunier(Vichy);Cherouk(entraineur,FFR) ; Trussardi(pret Béziers) ; Ouvrier(Montpellier) ; ;Neparidzé(Vannes);Devic(Grasse);Duranona(Argentine)Gauthier(?);Tripier(?);Jaoudat(?);  
 
Arrivées: Viallard(Brive);Bousquet(Toulouse);Fellah(entraneur,Tyrosse);Bibi Biziwu et Noah(Massy);Oupin(Bayonne);Kehlhoffner(Provence Rugby);Gueho(Vannes)
 
double licence
Pottiez (Issoire)
Delort et Gimbert (Clermont Cournon)


#120 tix

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Posté 22 juillet 2018 - 11:25


ils partent, ils arrivent

Départs: Septar(Pau);Tournebize(Montpellier);Nicoué(Biarritz);Barjaud(pret Nevers);Garret et Giorgadze (Brive);Villatte et Begon(Issoire);Meunier(Vichy);Cherouk(entraineur,FFR) ; Trussardi(pret Béziers) ; Ouvrier(?) ; Gauthier(?);Tripier(?);Jaoudat(?);  ; Neparidzé(Vannes);Devic(Grasse);Duranona(Argentine)
 
Arrivées: Viallard(Brive);Bousquet(Toulouse);Fellah(entraneur,Tyrosse);Bibi Biziwu et Noah(Massy);Oupin(Bayonne);Kehlhoffner(Provence Rugby);Gueho(Vannes)


Est t´il possible de préciser les postes de chacuns des nouveaux arrivants stp ?