EDF de Galthié
#7786
Posté 16 août 2023 - 10:27
#7787
Posté 16 août 2023 - 10:58
ARRÊTE D'ÉCRIRE INT'l !!!!!!!!!
tu ne viens pas de le faire?
#7788
Posté 16 août 2023 - 11:19
Podcast sympa et plutôt intéressant sur le thème "Qu'est ce qu'une belle équipe ?", avec Fabien Galthié comme invité, dans l'émission "Sous le soleil de Platon" de Charles Pépin sur France Inter.
Je trouve qu'il avait une forme d'apaisement et une profondeur dans son discours assez captivante et touchante, notamment par rapport à ses interviews lunaires dans le cadre du rugby.
- Frédéric58 et Rugby ? aiment ceci
#7789
Posté 16 août 2023 - 13:21
Podcast sympa et plutôt intéressant sur le thème "Qu'est ce qu'une belle équipe ?", avec Fabien Galthié comme invité, dans l'émission "Sous le soleil de Platon" de Charles Pépin sur France Inter.
Je trouve qu'il avait une forme d'apaisement et une profondeur dans son discours assez captivante et touchante, notamment par rapport à ses interviews lunaires dans le cadre du rugby.
Et aussi, une vision différente de l'homme,bien au delà du technocrate du jeu, tel qu'il est décrit bien souvent.
- Lima aime ceci
#7790
Posté 16 août 2023 - 15:37
Podcast sympa et plutôt intéressant sur le thème "Qu'est ce qu'une belle équipe ?", avec Fabien Galthié comme invité, dans l'émission "Sous le soleil de Platon" de Charles Pépin sur France Inter.
Je trouve qu'il avait une forme d'apaisement et une profondeur dans son discours assez captivante et touchante, notamment par rapport à ses interviews lunaires dans le cadre du rugby.
A fayoter comme ça, on croirais que tu veux te faire embaucher comme psy chez les bleus …
#7791
Posté 16 août 2023 - 16:26
Mathieu Warnier, Media365, publié le mercredi 16 août 2023 à 13h45
Alors qu'il a partiellement participé à l'entraînement du XV de France ce mardi, Anthony Jelonch a donné des signes positifs selon William Servat.
Il y avait un invité de plus ce mardi lors de l'entraînement du XV de France. Sérieusement blessé au genou gauche en février dernier, Anthony Jelonch a retrouvé ses coéquipiers en sélection après avoir été autorisé par le Stade Toulousain à rejoindre les Landes. Toutefois, face à la presse à l'issue de cette séance, William Servat a tenu à préciser que le troisième-ligne aux 25 sélections « n'est pas dans les 42 » joueurs officiellement appelés pour préparer la Coupe du Monde. Assurant que l'organisation de la compétition à domicile est une « chance » dans le cas d'Anthony Jelonch, l'entraîneur en charge de la conquête et des tâches spécifiques au sein du staff de Fabien Galthié a mis en avant le fait que « la solidité des liens entre les clubs et la Fédération est grande ». « Ugo Mola a donné son feu vert pour qu'il vienne nous voir un petit peu », a ajouté l'ancien talonneur face à la presse.
Jelonch « postulant pour la suite » selon Servat
Malgré tout, Anthony Jelonch n'a pas pu prendre part à l'intégralité du programme prévu lors de cette séance d'entraînement à haute intensité, qui a dessiné le XV qui devrait être aligné ce samedi à Nantes face aux Fidji. « Il n'est pas encore en opposition totale. On l'a protégé comme vu avec son club, a confirmé William Servat face à la presse. Il a continué avec nous ce qu'il a fait en club depuis quinze jours. » Mais, malgré cette activité réduite, tout indique qu'Anthony Jelonch est sur la bonne voie à peine un peu plus de cinq mois après avoir été victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche. « Ce sont des choses très positives pour l'état d'esprit et cela a permis à tout le monde de voir qu'il était en forme et postulant pour la suite », a conclu l'adjoint de Fabien Galthié. De là à croire que le nom d'Anthony Jelonch se glisse dans la liste annoncée le 21 août prochain à la mi-journée, il n'y a qu'un pas.
#7792
Posté 16 août 2023 - 16:59
Les 1/4 de finale sont dans 2 mois, je le vois bien arriver en trombe, frais comme un gardon avec une grosse demi-heure voire une titularisation contre l'Italie le 6 octobre.
#7794
Posté 16 août 2023 - 19:58
Ah bin tiens, encore un parallèle bien foireux entre la guerre et le rugby, c'est vrai que ca manquait
#7795
Posté 16 août 2023 - 20:18
Ah bin tiens, encore un parallèle bien foireux entre la guerre et le rugby, c'est vrai que ca manquait
Cépapédé qu'il a dit RCV donc c'est bon.
#7796
Posté 16 août 2023 - 22:18
Ah bin tiens, encore un parallèle bien foireux entre la guerre et le rugby, c'est vrai que ca manquait
Cépapédé qu'il a dit RCV donc c'est bon.
- Frédéric58, Silhouette et Alex chocolatines aiment ceci
#7797
Posté 17 août 2023 - 05:33
Ne cherchez pas, vous ne trouverez aucune image de l'entraînement du quinze de France de mercredi. Interdiction de filmer et de prendre des photos, y compris pour les invités massés en nombre dans la tribune du stade municipal du Bourret. Pourquoi ? Car les Bleus portaient leur maillot version Coupe du monde qui débute dans désormais trois semaines contre la Nouvelle-Zélande (8 septembre-28 octobre). Celui d'Arthur Vincent, largement déchiré sur le côté, n'aura cependant pas résisté bien longtemps à la séance à haute intensité effectuée sous un soleil de plomb à Capbreton. Sur le plan de jeu à venir et la composition d'équipe concoctée pour affronter les Fidji samedi soir à Nantes (21 h 05), Fabien Galthié et ses adjoints n'avaient, comme souvent, en revanche rien à cacher.
C'est donc le groupe aligné depuis le début de semaine qui disputera ce troisième et avant-dernier match de préparation (huit jours avant la dernière répétition contre l'Australie, au Stade de France). Avec cependant une petite surprise. À l'aile, c'est finalement le polyvalent Yoram Moefana (23 ans, 17 élections) qui devrait porter le numéro 11 plutôt qu'Émilien Gailleton. Le Bordelais, comme d'autres bien sûr, pourrait jouer une carte importante en vue de l'annonce du groupe des 33 lundi puis des semaines à venir. C'est d'ailleurs le principal enseignement de la séance de mercredi.
Pour le reste, aucune surprise ne devrait être annoncée ce matin par le sélectionneur sur les coups de 9h30. Sur l'autre aile, Louis Bielle-Biarrey (20 ans) enchaînera sa troisième sélection d'affilée, et sa deuxième en tant que titulaire cet été. La charnière sera composée du demi de mêlée Maxime Lucu et de l'ouvreur Antoine Hastoy, dont la performance sera encore davantage scrutée après le forfait de Romain Ntamack en début de semaine.
À l'arrière, Melvyn Jaminet (13 sélections) aura pour sa part l'occasion de s'illustrer mais aussi, et surtout, de se relancer en équipe de France plus d'un an après sa dernière titularisation lors de la tournée au Japon. Le numéro 15 du Stade Toulousain, forcément très attendu après une saison délicate marquée par plusieurs blessures, sera aussi le buteur de cette équipe de France.
Au centre, Jonathan Danty, lui aussi, n'aura pas le droit à l'erreur. De ce que l'on a compris cette semaine, le staff n'a pas vraiment été convaincu par sa prestation contre l'Écosse (30-27) la semaine dernière à Saint-Étienne. Le centre rochelais, dont la puissance devrait faire du bien contre les Fidjiens, devrait être associé à Arthur Vincent (15 sélections). Le Montpelliérain, entré en jeu une vingtaine de minutes lors de la défaite à Edimbourg (25-21) au début du mois, n'a plus débuté un rendez-vous international depuis plus de deux ans. C'était précisément le 17 juillet 2021 lors d'un court revers (33-30) contre les Wallabies à Brisbane. Son genou gauche lui a pourri la vie malheureusement. Et le voilà aujourd'hui en passe d'être récompensé après tant d'efforts.
Pour le huit de devant, le staff comptera forcément beaucoup sur l'expérience de Grégory Alldritt. Le troisième-ligne aux 40 sélections est même fortement pressenti pour être le capitaine de cette équipe de France chamboulée. Placé en numéro 8, le Rochelais devrait être entouré du Lyonnais Dylan Cretin mais aussi de François Cros, absent sur blessure lors des deux premiers matches.
Dans la cage, c'est un duo montpelliérain composé de Paul Willemse, de nouveau opérationnel, et Florian Verhaeghe qui est attendu. Quant à la première ligne, un doute demeurait ces derniers jours sur l'identité du pilier droit. C'est bien Uini Atonio, entré 31 minutes à Geoffroy-Guichard, qui devrait débuter tout comme Reda Wardi de l'autre côté et le talonneur Peato Mauvaka au milieu. L'objectif sera double encore ce week-end : monter en puissance et croiser les doigts pour ne pas enregistrer de nouvelles blessures.
#7798
Posté 17 août 2023 - 20:07
Dupont saura s'adapter et Galthié ( par rapport à son système de jeu ) ou pas et c'est toute la question.
On aura la réponse en voyant qui ils mettront titulaires.
Si ce n'est pas Jalibert, il pourrait avoir légitimement les boules....
On a la réponse je crois. Ramos pas envisagé en 10, et les seconds couteaux contre les Fidji, hors Jalibert n'y est pas titu. Cela laisse donc penser qu'il le sera pour la coupe du monde.
#7799
Posté 17 août 2023 - 20:44
On a la réponse je crois. Ramos pas envisagé en 10, et les seconds couteaux contre les Fidji, hors Jalibert n'y est pas titu. Cela laisse donc penser qu'il le sera pour la coupe du monde.
ça laisse surtout penser à un tas de choses. Préserver Jalibert pour les échéances majeures ? Ou est ce qu'il a déçu face à, l'Ecosse et Galthié en profite pour tester un peu plus Hastoy ? Qui pourrait peut etre remonter dans la hiérarchie ? On ne sait pas vraiment ce que pense le coach et puis, lui meme n'est surement pas arrêté sur des choix.
Sinon, content pour Alldritt qui sera capitane, c'est largement mérité mais d'un autre coté, faudrait peut etre l'epargner un peu au risque de le péter...
#7800
Posté 17 août 2023 - 21:35
On en connaît qui commencent à ressentir des palpitations dès qu'une notification commençant par « rugby, équipe de France » clignote sur leur téléphone. Depuis lundi, depuis qu'on sait que le genou gauche de Romain Ntamack a lâché contre l'Écosse et que sa Coupe du monde (8 septembre-28 octobre) a pris fin à Geoffroy-Guichard un 12 août, la nervosité ambiante est montée d'un cran.
« Manquerait plus qu'on pète Dupont contre l'Australie dans huit jours, indique Richard Dourthe, finaliste de la Coupe du monde en 1999, pour résumer cette peur du pire. Maintenant, de là à parler de psychose, il faut arrêter. Je ne connais pas un joueur de rugby qui ne se soit pas blessé méchamment. Tout le monde va vouloir remettre en cause la prépa physique, trop dure, trop longue, ou trop je ne sais quoi. Une préparation où tu vas chercher certaines limites, c'est le b.a.-ba. Je suis plus circonspect sur les quatre matches amicaux. Quatre, c'est beaucoup. Je m'interroge aussi sur la blessure de Cyril Baille (décollement musculo-aponévrotique du gastrocnémien interne, avec une absence évaluée à cinq-six semaines). C'est une déchirure à un mollet, la déchirure typique chez un pilier. Il va passer trois-quatre semaines en béquilles, ça m'inquiète. »
« On savait qu'on péterait sans doute des gars au cours de la préparation, et on en pétera sans doute pendant la compétition »
Laurent Labit, entraîneur de l'attaque des Bleus
La blessure fatale à Ntamack et celle, préoccupante, de Baille ont rendu d'un coup plus palpable un truisme vieux comme la forêt des Landes : eh oui, on n'a rien inventé de moins confortable que le sport de haut niveau pour ceux qui rêvent de ne jamais se faire une éraflure. Passons sur les prophéties de ceux qui savent prévoir une catastrophe juste après qu'elle a eu lieu et qui préconiseraient presque de préparer le match d'ouverture contre la Nouvelle-Zélande en jouant aux boules au camping de Seignosse.
L'histoire des Coupes du monde étant remplie de fantassins tombés à l'entraînement (Carbonneau et Castaignède en 1999, Willemse en 2019...), faudrait-il aussi arrêter de s'entraîner ? Jeudi, Fabien Galthié est revenu sur le lundi noir vécu par le quinze de France et ses conséquences.
« On a pu l'annoncer entre nous et prendre ensemble de plein fouet cette gifle monumentale. Ça fait partie de la Coupe du monde, de la vie en commun. C'est malheureusement ce à quoi on s'était préparé. On a réussi à le vivre ensemble. Après, on encaisse, on digère et on se relève. » Dans les bungalows du camping, pas de panique. Juste du fatalisme. « On avait volontairement parlé très tôt de ce cas de figure aux joueurs », signale l'entraîneur de l'attaque, Laurent Labit. « On savait qu'on péterait sans doute des gars au cours de la préparation, et on en pétera sans doute pendant la compétition », glisse-t-on en interne.
Les Anglais ont perdu leur demi de mêlée titulaire (Van Poortvliet) samedi dernier lors de leur victoire contre les Gallois (19-17), les Sud-Africains ont perdu leur centre Am un peu plus tôt et Galthié est assez bien placé pour savoir que ces choses arrivent et qu'elles peuvent être surmontées.
En 1999, si la charnière des Bleus - Carbonneau-Castaignède - ne s'était pas dégondée, si la cuisse de Pierre Mignoni n'avait pas cédé (à l'entraînement, décidément), il n'aurait pas été rappelé à la rescousse pour avoir un rôle dans le chef-d'oeuvre de Twickenham contre les Blacks (victoire 43-31). « Je veux aussi parler de Matthieu Jalibert et Antoine Hastoy, insista le sélectionneur. C'est leur destin. C'est écrit. Ils doivent croire en eux. » On ne sait pas ce qui était écrit, ni où, mais on peut comprendre l'idée.
Et la peur de rater la chance unique de jouer une Coupe du monde à la maison ? Si près du but en plus... « C'est inhérent à notre sport, poursuit Galthié. On l'aime très fort, il nous donne beaucoup de bonheur, mais il est dur. À tout moment vous pouvez disparaître. On a tous vécu ça, même les joueurs qui sont aujourd'hui dans l'équipe. C'est le cas notamment d'Arthur Vincent. » Ou d'Anthony Jelonch, qui se bat contre le temps qui reste.
« Fallait-il quatre matches amicaux après une préparation physique qu'on a décrite comme super dure ? »
Pierre Berbizier, ancien sélectionneur des Bleus
« Ces joueurs connaissent la règle de ce jeu qui est impitoyable, reprend Galthié. Samedi, on va affronter les Fidji, un adversaire terrible. C'est le match parfait, au bon moment, pour de suite repartir au combat. On ne peut pas jouer au rugby sans mettre son corps sur la ligne. C'est la règle de base : un bon joueur met son corps sur la ligne. » Maxime Lucu adhère : « Pendant toute la saison, on nous a beaucoup parlé de ne pas se blesser en club parce qu'il y avait la Coupe du monde au bout. Si on réfléchit et que l'on est en demi-teinte, c'est là qu'arrive la blessure. Plus tu es prêt dans ta tête, plus le risque de blessure diminue. »
Ancien sélectionneur des Bleus (1991-1995), Pierre Berbizier imagine plutôt que la petite graine de la peur est entrée au camping. « Il y a eu des petites alertes pour Cros et Willemse, puis les coups durs avec Ntamack et Baille, sans oublier que ce staff a déjà un "joker blessure" avec Jelonch. Quand la blessure arrive alors qu'on n'est pas encore dans la compétition, c'est problématique. Cela va entraîner une psychose, d'autant qu'on est censé arriver à une période où on doit monter dans l'engagement, pas seulement physique mais mental. Fallait-il quatre matches amicaux après une préparation physique qu'on a décrite comme super dure ? »
Quatre, c'est autant que l'Écosse ou l'Angleterre. Un de plus que l'Irlande. Quant aux Néo-Zélandais et Sud-Africains, qui viennent d'enchaîner quatre tests internationaux dans le Sud, ils ont prévu des retrouvailles à Twickenham le 25 août. Elles ne sont pas garanties sans risque.
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