Danty se serait entrainé avec les titulaires pour vendredi.
Je le sens bien le coup de zouzgef
Posté 04 septembre 2023 - 20:25
Danty se serait entrainé avec les titulaires pour vendredi.
Je le sens bien le coup de zouzgef
Posté 04 septembre 2023 - 20:34
SI chalureau est vraiment raciste, le seul risque que prend galthié c'est un pétage de plomb du joueur en match de coupe du monde qui conduit l'arbitre a lui mettre rouge.
tous le monde va lui tombé dessus !!
rappeler vous le rouge de Vaha lors de la dernière coupe du monde et tous ce qui a été écris/dit ensuite.
pour ceux qui suivent bien le XV de France, du coup c'est qui le 5 ieme choix ?
Posté 04 septembre 2023 - 20:35
Salut à tous - Je prends le sujet après une coupure de plusieurs jours - Je vois une affaire CHALUREAU qui occupe bcq, le forum....Mais en définitive il a fait quoi exactement pas suivi à l'époque .... ????
Posté 04 septembre 2023 - 20:36
Messianique, christique et Jesus dit:
Danty c'est dantesque...
Posté 04 septembre 2023 - 20:37
Pour connaître un très proche de Galthié, celui-ci est décrit dans un état messianique presque "christique". Et très inquiet quant à son état psychologique en cas de défaite (=absence de titre) à la CDM ...
avec la blessure de Willemse, Galthié a très peur de finir sur la paille et cherche donc une poutre ... celle qui est dans son oeil
ça me rappelle vaguement un truc à l'école d'un mec affable.
peut etre celui qui a dit : Fontaine je ne boirai pas de ton eau
Posté 04 septembre 2023 - 20:37
DépressionSalut à tous - Je prends le sujet après une coupure de plusieurs jours - Je vois une affaire CHALUREAU qui occupe bcq, le forum....Mais en définitive il a fait quoi exactement pas suivi à l'époque .... ????
Posté 04 septembre 2023 - 20:39
Posté 04 septembre 2023 - 20:41
C'est pas tout a fait exact, il est aussi multi-recidiviste, ou a tout le moins il est connu pour ce type de problemes / comportements et c'est loin d'etre sa seule casserole (deja des problemes avec Toulouse, et l'aggression rapportée dans la presse a ete la goutte d'eau). Raphael Poulain l'avait explique des 2020:
"Cette agression ma choqué car ce nest pas le premier fait darme de Chalureau. Il faut bien distinguer lhomme du sportif. Ce nétait pas la première fois car Toulouse lui a donné une seconde chance et la mis à pied le lendemain. Ce na rien à voir avec le Stade-Toulousain mais cest lhomme en lui même qui est profondément raciste."
https://www.minutesp...ns-les-details/
Posté 04 septembre 2023 - 20:41
Pour connaître un très proche de Galthié, celui-ci est décrit dans un état messianique presque "christique". Et très inquiet quant à son état psychologique en cas de défaite (=absence de titre) à la CDM ...
hahahaha
Posté 04 septembre 2023 - 20:45
Dépression
Il a broyé du noir...
Donc, je subodore une altercation violente avec une personne de couleur ???
Posté 04 septembre 2023 - 20:53
Jai bien précisé « casseroles judiciaires » parce quautrement sur les « on dit » saint Haouas sanctionné de manière trop dure en a aussi un paquet
C'est plutot l'inverse, y'avait pas mal d'histoire qui tournaient sur Haouas, et pas grand monde n'a dit qu'il etait trop sanctionne (il suffit de lire les histoire sorties du MHR une fois qu'il etait parti). Et comme dit plus haut, il faudra m'expliquer quel est l'interet de tous ces gens a partager le meme mensonge sur ce pauvre petit Chalureau (et ce bien avant que ca devienne une histoire mediatisee)
Posté 04 septembre 2023 - 20:56
Donc, je subodore une altercation violente avec une personne de couleur ???
Posté 04 septembre 2023 - 21:05
Oui. En raison de sa couleur dit d'abord la justice . Il nie et fait appel.
Galthié décide de l'appeler il y a un an. Il joue. Il est pris dans la liste des 42. Il joue et compte 6 sélections. Et à 5 jours de l'ouverture du mondial, deux députés font un coup de com'.
Il doit la jouer, c'est peut être une immense erreur de Galthié, mais jusqu'à preuve du contraire c'est lui qui décide.
Franchement j'espère qu'on fera un beau match vendredi, comme ça on va parler rugby.
Merci du résumé mon ami et désolé si je suis passé pour un ignare, mais je connais très peu ce joueur ( hormis la blessure de FISCHER il me semble...) et encore moins sa sélection...Je te rejoins sur la dernière phrase parlons rugby....c'est l'essence du forum ...Mais là, l'EDF semble s'être tirée une balle dans le pied, à 08 jours du match...
Posté 04 septembre 2023 - 21:09
Merci du résumé mon ami et désolé si je suis passé pour un ignare, mais je connais très peu ce joueur ( hormis la blessure de FISCHER il me semble...) et encore moins sa sélection...Je te rejoins sur la dernière phrase parlons rugby....c'est l'essence du forum ...Mais là, l'EDF semble s'être tirée une balle dans le pied, à 08 jours du match...
Haka, Faucon
Elu président de la FFR le 14 juin dernier, Florian Grill jongle depuis avec un emploi du temps infernal. Deux jours à gérer sa boîte (CoSpirit) , les trois suivant à Marcoussis, au siège de la fédé, et les week-ends sur les terrains. Nous sommes à onze jours du Coup d'envoi de la Coupe du monde et l'ancien deuxième-ligne du PUC nous reçoit dans ses bureaux du centre de Paris. Pendant près de deux heures, il a évoqué tous les sujets chauds depuis sa prise de fonction : la Coupe du monde, bien sûr, l'état dans lequel il a récupéré la Fédération et sa relation au quinze de France et à Fabien Galthié.
Dans trois jours (vendredi, 21h15), c'est France - Nouvelle-Zélande et le début de la Coupe du monde. Comment pressentez-vous l'événement qui approche ?
« Je suis incroyablement enthousiaste. On sent la pression monter. J'ai encore dans les yeux le tifo dans le Stade de France contre l'Australie (27 août, 41-17). La Marseillaise a cappella, les poils qui se dressent. Jacques Rivoal, le patron de la Coupe du monde, me disait qu'il y avait deux heures de queue à l'ouverture de la boutique officielle place de la Concorde. On sent que les gens attendent cet événement, qu'ils ont envie de partager et de sourire. On sent que ça prend. On sent que ça vibre.
C'est à la fois un levier formidable pour la FFR et le rugby français mais ce n'est aussi qu'une parenthèse...
Bien sûr. Toute la stratégie de nos équipes, c'est d'utiliser la lumière médiatique pour montrer tout ce que nos clubs font au jour le jour. Et l'amplifier. Le rôle au quotidien d'un club dépasse la dimension sportive. Il y a la dimension éducative, et il n'est pas besoin d'ouvrir deux fois les yeux pour comprendre à quels points certaines valeurs ont besoin d'être inculquées aux gamins. Le rugby peut le faire. Il y a aussi la dimension sociétale. J'aimerais que tout le monde voie la somme d'actions incroyables menées par les clubs qui passent en dessous des radars et faire comprendre à l'État, aux régions, aux départements et à toutes les mairies le rôle sociétal du rugby.
Avec les sections de rugby adapté, le rugby santé... On a déjà 270 clubs qui mènent des actions dans les quartiers prioritaires (QPV), avec des moyens dérisoires. Il faut monter à 400. Si l'État et les collectivités nous font confiance et si, en plus, on a des mécènes qui viennent donner plus de moyens, on aura la capacité de faire nation sur la durée. On est là, on peut le faire.
Comment souhaiteriez-vous impliquer davantage le privé ?
Tous ces partenaires qui aujourd'hui viennent chercher de la visibilité, j'ai envie de leur dire : OK, ça c'est fait ; maintenant, comment faire pour donner du sens ? La Fédération leur propose de s'engager avec elle sur des missions citoyennes. On est un pays où le sport n'est pas considéré. J'aimerais aider à faire évoluer ça. Un exemple : on parle, concernant l'obésité, d'un coût de 10,7 milliards pour la collectivité. Le rugby est un sport où justement ces personnes sont accueillies à bras ouverts. On travaille sur ce sujet avec le ministère de la Santé. Moi je ne veux pas uniquement parler avec la ministre des Sports, mais avec les ministères de la Santé, de l'Éducation, de la Ville, du Travail... Je veux leur parler de toutes ces filles dans les quartiers que le rugby peut toucher, de lutte contre le racisme, l'homophobie ou la transphobie, parler d'emploi... On est en train de créer un fonds de dotation en ce sens.
« Le rugby a beaucoup disparu du monde scolaire ; or on a un outil phénoménal pour revenir dans les écoles, c'est le rugby à cinq, sans choc, sans plaquage. Un sport mixte par excellence »
Vous dites souvent que le rugby est le deuxième sport médiatique en France mais seulement le dixième en termes de pratique. La Coupe du monde peut changer cela ?
Non. Pour réduire cet écart, il faut donner plus de moyens aux Ligues régionales et aux départements. Malgré l'équation budgétaire complexe, on a décidé d'augmenter de 50 % (injecter 3 M€ de plus) les budgets dévolus aux Ligues et départements. Le rugby a beaucoup disparu du monde scolaire ; or on a un outil phénoménal pour revenir dans les écoles, c'est le rugby à cinq, sans choc, sans plaquage. Un sport mixte par excellence.
Il y a des STAPS où il n'y a plus d'option rugby, or ce sont les futurs profs d'EPS. Un chiffre hyper-intéressant : plus de 50 % de nos actuels joueurs de l'équipe de France viennent de villes de moins de 20 000 habitants. Certains viennent de zone rurale, cinq de Wallis et Futuna ou de Nouvelle-Calédonie. Il faut juste se rendre compte. En se financiarisant, ce qui était le sens de l'histoire, le rugby s'est concentré sur les grosses agglos. Si on n'y prend pas garde, le nombre de clubs va se réduire. C'est le process en cours aujourd'hui, avec des fusions à six, sept ou huit pour faire des cadets et des juniors. La proximité, c'est le premier critère de la pratique. Pour jouer, grosso modo, il faut être à moins de 10 kilomètres. L'enjeu, c'est de maintenir, voire rajouter des clubs.
Vous tablez sur quel afflux de licenciés grâce à l'effet Coupe du monde ?
Le budget de la gouvernance précédente tablait sur 30 % de croissance. Ça me paraît beaucoup au regard de ce qu'on a observé en 2007. Moi, je m'attends à 20 %, ce qui est déjà très bien. Mais le sujet, c'est de les fidéliser. Qu'est-ce qui fidélise les licenciés ? La qualité de l'encadrement, donc il faut des éducateurs diplômés ; la qualité des dirigeants et la qualité des installations. Par exemple, la féminisation des vestiaires. Parce que vous imaginez bien que la question de la proximité est encore plus prononcée pour les féminines.
Pouvez-vous expliquer comment le déficit d'exploitation de la FFR est passé de 9 M€ à 13 puis à 20 ? Et plus généralement dans quel état vous avez trouvé la Fédération ?
Il y a des choses très positives et je ne veux pas les passer sous silence. S'il y a une fierté, c'est l'apaisement. C'est d'avoir constitué ce bureau fédéral (avec des anciens laportistes). Cet apaisement, on le devait bien au rugby. On aurait été ridicules. Les "anciens" découvrent des trucs qu'ils ne savaient pas. D'autant que Serge Simon leur avait interdit de nous parler. Au dernier comité directeur, il y a eu six abstentions ou votes contre (sur 40 membres). Il y a de bonnes équipes à Marcoussis, et il y a aussi ce gouffre budgétaire. Le lendemain de l'élection, c'était moins 9 millions d'euros. Puis moins 13, car ils avaient anticipé des revenus "hospitalités" irrationnels.
« Alexandre Martinez était président par intérim, mais il n'avait pas les leviers de la décision. Et quand il était trésorier, il ne les avait pas non plus. Quelqu'un comme Serge Simon faisait ce qu'il voulait »
On arrive à moins 20 une fois effectuée la correction sur les nouveaux partenariats maillots qu'ils avaient inscrits au prix tarif ; or il y a eu des négociations et on a abouti à 2,5 M€ de moins. Même chose pour les revenus des Six Nations. Ils avaient tablé sur l'hypothèse haute. Idem pour le GIE et les hospitalités. J'essaie d'expliquer tout dans le détail. Il y avait à la FFR des commissions qui rassemblaient 450 personnes, sur le rugby à cinq, à sept, sur le handicap... On a 20 millions de déficit, donc on n'a gardé que celles qu'on a estimées indispensables. On a remplacé des commissions de dix par deux ou trois chargés de mission bénévoles. On a ramené l'ensemble à une centaine de personnes. Ça fait partie des économies qu'on peut faire.
Vous avez décidé de conserver dans le bureau fédéral Alexandre Martinez, trésorier de l'ancienne gouvernance, qui a toujours assumé cette politique budgétaire. Pourquoi ?
Parce que trois jours après mon élection (14 juin), je fais une matinée de transition avec Alexandre Martinez. Ce matin-là, il m'a tout dit. Il a attiré mon attention sur le problème des primes joueurs qui explosaient le budget, sur les retards de règlement du Coq sportif... Il était président par intérim, mais il n'avait pas les leviers de la décision. Et quand il était trésorier, il ne les avait pas non plus. Quelqu'un comme Serge Simon faisait ce qu'il voulait. Certes, Alexandre Martinez a validé des choses que je n'aurais jamais validées, à commencer par les frais d'avocats. Mais, globalement, il a limité la casse. Je pense qu'il faut savoir tendre la main. Je suis là pour que le rugby avance, pas pour juger les erreurs des uns et des autres.
Vous venez d'annoncer la prolongation jusqu'en 2027 du contrat maillot avec Altrad...
Elle a été décidée par la précédente gouvernance, je l'ai signée. Il y aura trois partenaires textiles : la face avant avec Altrad (10 M€ par saison sur quatre saisons), la Société générale sur le dos (7 millions la saison) et Renault sur le short (5 millions la saison).
En décembre, le tribunal correctionnel de Paris a condamné Altrad et Laporte et jugé que le partenariat maillot était fondé sur un pacte de corruption. Que se passe-t-il si la cour d'appel entérine cette condamnation ?
L'appel d'offres en cours a respecté les règles d'usage. Ainsi que la présomption d'innocence en attendant le second procès.
Quel était le problème avec les primes des joueurs pour la Coupe du monde ?
Elles n'avaient pas été budgétées. Serge Simon avait topé dans la main des joueurs, mais si les choses avaient perduré, on aurait explosé le budget de l'ordre de 3 M€. Quand je dîne avec Fabien Galthié la première fois, je lui demande s'il était invité dans ces réunions au sujet des primes. Réponse : non. Raphaël Ibañez non plus. Simon passait en direct avec les joueurs. Avec Jean-Marc Lhermet (vice-président en charge des équipes de France), on a demandé si Fabien souhaitait être impliqué. Il le souhaitait, donc on a fait une réunion avec Fabien, Raphaël, Mathieu Brauge (team manager) et les représentants des joueurs (Dupont, Fickou, Marchand, Ollivon, Alldritt).
On leur a dit qu'on était désolé de venir parler de ça à deux mois de la Coupe du monde, pendant le stage à Monaco. On leur a dit que les comptes de la Fédé étaient affreux. Que ce qu'on pouvait faire, c'est leur donner l'équivalent de cent pour cent des primes partenaires versées à la FFR si on est champion ou vice-champion. Si on donnait plus, on bouffait sur le rugby amateurs. Ils ont été nickel (chaque joueur touchera environ 200 000 € en cas de sacre). Et Fabien a été aidant. Les joueurs nous ont juste demandé un truc que j'ai immédiatement accepté : ils avaient droit dans le cadre prévu par Serge Simon à quatre invitations pour leur match et quatre places payantes. C'est rien. Quand tu es l'acteur principal, c'est un non-sens. On est passé à six invitations et dix places payantes.
Est-il vrai que dans l'enveloppe des primes rien n'était prévu pour le staff ?
Oui, c'est vrai. Ça aussi on l'a changé, et le premier cercle du staff a décidé que tous les membres seraient concernés par ces primes.
Appréhendiez-vous votre relation avec Galthié étant donné ses prises de position pendant l'élection de 2020 ?
On m'avait dit que ça allait être le chaos. Pas du tout. Je ne m'inquiétais pas. Mon message a été simple : "Je comprends et je respecte ton amitié avec Bernard Laporte. Considère nous comme une ressource, pas question qu'on s'impose à vous". »
Posté 04 septembre 2023 - 21:14
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