.Entre Jalibert, Moefana, Penaud, Bielle Biarrey, les girondins auront bientôt plus de poids que les melons du capitole sur les lignes arrières...
La mafia fouette et donc s'inquiète.
Posté 11 septembre 2023 - 08:32
.Entre Jalibert, Moefana, Penaud, Bielle Biarrey, les girondins auront bientôt plus de poids que les melons du capitole sur les lignes arrières...
Posté 11 septembre 2023 - 08:32
Pas facile de pénétrer les forteresses de la mafia qui méprise les mythes abolis...Et après on va nous dire que la mafia cassoulet est un mythe...
Elsazoam, si t'es par là, c'est cadeau.
Posté 11 septembre 2023 - 08:38
Il y a aussi le répertoire, mais je n'arrive pas toujours à me souvenir...C'est ta vitesse de création qui m'impressionne en fait.
Posté 11 septembre 2023 - 08:55
Je pense qu'on a pas encore revu le vrai Villière.
Il est pas encore libéré.
Je suis certain que ça va revenir.
aucun doute , il va monter en puissance dans les matchs à venir
Posté 11 septembre 2023 - 11:08
aucun doute , il va monter en puissance dans les matchs à venir
Ah bin plus de puissance c'est le fils spirituel de Chabal que tu nous promet là
Posté 11 septembre 2023 - 11:20
C'est ce qu'on appelle un groupe soudé
heureusement que le Merdol est là pour mettre au grand jour cette histoire (est elle vraie?) dont l'EDF avait grandement besoin.
avec au passage, toujours un petit reste de vomi pour Jalibert...
Posté 11 septembre 2023 - 12:31
heureusement que le Merdol est là pour mettre au grand jour cette histoire (est elle vraie?) dont l'EDF avait grandement besoin.
avec au passage, toujours un petit reste de vomi pour Jalibert...
Non mais c'est surtout un article de merde sans fondement, Ramos ne veut pas jouer 10, on sait qu'il est là en dépannage et c'est très bien comme ça.
Font chier le midol à pondre des articles lèche cul pour les joueurs Toulousains. Je suis le premier à réclamer plus d'impartialité.
Posté 11 septembre 2023 - 21:17
Je suis le seul à trouver Villière bof bof en ce moment ?
Posté 12 septembre 2023 - 06:09
Parfois, être très propre, c'est sale. Disons que c'est louche, ou mauvais signe. On peut vite en devenir translucide. La dernière fois que le quinze de France avait rendu un devoir aussi peu raturé que celui de vendredi soir, c'était déjà contre les Néo-Zélandais au Mondial 2015. Cinq fautes dans un quart de finale, c'est formidable ? On applaudit ? Non, on évite, on jette un voile pudique et on se souvient que les Bleus avaient volé en éclats (62-15) ce soir-là à Cardiff. N'oublions jamais que le record mondial du premier de la classe, les mains dans les poches et le doigt sur la couture du short, appartient aux Japonais, ceux de 1995, pixélisés par la Nouvelle-Zélande (145-7). Une seule faute leur avait été reprochée. C'est ce qui peut pendre au nez d'une équipe lorsqu'elle est dépassée sur tout, en retard partout.
Vendredi, lors du match d'ouverture de « sa » Coupe du monde, l'équipe de France n'a concédé que quatre pénalités, dans un match surchargé émotionnellement. Et elle a battu les Blacks (27-13), coupables eux de douze fautes. Dans ce cas de figure, l'extrême propreté ne renferme aucun vice caché. « C'est notre discipline qui nous permet de virer en tête à la mi-temps », reconnaissait le sélectionneur Fabien Galthié. « Quatre fautes ? C'est du haut niveau », appréciait le troisième-ligne François Cros. On rapprochera donc la tenue de route disciplinaire de vendredi de celle du quart de finale victorieux en 2007, toujours contre les Blacks (2 pénalités concédées, 0 en seconde mi-temps), ou bien des quatre fautes verbalisées contre l'Irlande dans le Tournoi 2012 et contre l'Angleterre en 2014.
Le rendu de vendredi soir mérite d'autant plus d'éloges que l'histoire avait mal commencé, avec deux pénalités sifflées contre Gabin Villière (1re) et Grégory Alldritt (7e), pour des attitudes intempestives dans des rucks. Entre la 7e et la mi-temps, les Bleus ont beaucoup subi et manqué un nombre élevé de plaquages. Pour autant, ils n'ont été sanctionnés que d'une pénalité (hors-jeu, 24e) et de deux coups francs (mêlée, 12e, départ anticipé sur un renvoi, 26e). Entre la 26e et la 80e, à peine une pénalité contre Cros près de l'en-but néo-zélandais (soutien sur le côté, 42e). « En première période, la défense française a été remarquable quand elle était dans le rouge, sous pression dans ses vingt-deux mètres », analyse Yannick Bru, ancien entraîneur des avants du quinze de France. En interne, cette performance a sûrement valu les félicitations de la commission de discipline et de son surveillant général Jérôme Garcès. Il y a quatre ans, lui était en finale de Coupe du monde, au Japon. Ce soir-là, le Béarnais de 49 ans, arbitre international pendant dix ans, remisait pour de bon son sifflet.
« Jérôme apporte un regard différent, il change notre prisme. On avait parfois tendance à se laisser aller. Lui nous éveille à la rigueur de la règle »
William Servat, co-entraîneur de la conquête
Un an et demi plus tard, en janvier 2021, Galthié annonçait : « Nous avons ajouté Jérôme Garcès à notre équipe pour régler nos problèmes d'arbitrage. » Il intègre le dispositif dès le stage pré-Tournoi à Nice et les premiers effets ne tardent pas à poindre. Au cours des quatre premières journées du Six Nations, les Bleus donnent neuf pénalités contre l'Italie et l'Irlande puis huit face à l'Angleterre et six contre Galles. La bulle Covid-19 éclate, le match contre l'Écosse est repoussé à la fin mars et la discipline paie les pots cassés (15 fautes). La tournée d'été qui suit en Australie glisse sur cette mauvaise pente. Garcès passe de simple consultant à membre de l'encadrement à temps plein. Il renonce donc à ses fonctions de manager des arbitres de Top 14 auprès de la DTN.
Au sein du quinze de France, Garcès siffle la fin de l'indulgence. C'est lui qui arbitre les oppositions à haute intensité, en expliquant sur le vif la raison de la faute et l'attitude qu'il aurait fallu adopter. Il multiplie les débriefings des matches : une partie généraliste en grand comité puis des entretiens individualisés. On l'a vu cet été récupérer un à un les joueurs qui sortaient à peine du feu de l'action pour les asseoir à côté de lui, leur demandant, malgré la fatigue, de diagnostiquer sur des images la nature d'une faute, et même in english pour simuler une discussion avec un arbitre international. « Avec son expertise et sa connaissance des profils d'arbitres, Jérôme est un vrai atout dans l'étude des particularismes de tel ou tel arbitre, explique Alexandre Ruiz, devenu le premier ancien arbitre français à devenir l'entraîneur principal d'un club pro (Soyaux-Angoulême, Pro D2). On a pris conscience en France que la discipline, l'arbitrage, ça se travaillait. Que même en étant dominé, on peut défendre intelligemment. Qu'une faute bête peut ficher en l'air le boulot de tout le monde. »
Ces derniers mois, il y eut quelques pâtés. En Italie en février dernier (18 fautes) ou en Écosse cet été (14). Mais une tendance se dessine : avant l'arrivée de Garcès, les Bleus tournaient en moyenne à 11,8 pénalités contre eux, ils tournent désormais à 10,6. Sur l'année 2023, le curseur s'est stabilisé à 10,1. « Jérôme apporte un regard différent, il change notre prisme, explique William Servat, co-entraîneur de la conquête. On avait parfois tendance à se laisser aller. Lui nous éveille à la rigueur de la règle. »
C'est Garcès qui fait remonter auprès de son ancien confrère et compatriote Joël Jutge, patron des arbitres à World Rugby, les interrogations du staff français. Entre 2009 et 2011, Jutge fut un précurseur, « le Garcès » de Marc Lièvremont en équipe de France. Si les Bleus se frayèrent un chemin jusqu'en finale de la Coupe du monde en 2011, ils le durent plus à leur maintien disciplinaire qu'à leur opulence offensive. Aussi étrange que cela puisse paraître, les Français, qui ont commencé à jouer au rugby sans en connaître les règles, ont été novateurs dans le recyclage des arbitres. À cette Coupe du monde, les Fidjiens possèdent « leur Garcès », en la personne de Glen Jackson. Mais pas les Sud-Africains, ni les Néo-Zélandais ni les Irlandais. Quand on lui fit la remarque la semaine dernière, avant le match, le sélectionneur des Blacks Ian Foster s'était braqué : « On n'a pas les mêmes moyens financiers que la France. »
Posté 13 septembre 2023 - 06:09
Melvyn Jaminet s'est révélé à Perpignan qu'il a guidé jusqu'à la montée en Top 14 en 2021. Quelques semaines plus tard, l'arrière (24 ans) vivait déjà ses premières sélections sous le maillot de l'équipe de France lors de la tournée d'été en Australie. Avec seulement 11 capes au compteur, il remportait aussi le Grand Chelem en 2022. Recrue phare du Stade Toulousain l'été dernier, le natif du Var connaît pourtant un exercice plus compliqué en rouge et noir, même s'il est sacré champion de France au mois de juin (contre La Rochelle, 29-26).
Retenu pour préparer la Coupe du monde après une saison tronquée par deux blessures aux chevilles, l'arrière a parfaitement lancé son tournoi en inscrivant le second essai face à la Nouvelle-Zélande (27-13), vendredi, deux minutes après son entrée en jeu et sera titulaire face à l'Uruguay, jeudi (21 heures). Pour L'Équipe, Il est revenu sur ses deux années riches en émotions.
« Un magnifique souvenir. Je vivais ma première phase finale. La semaine de la finale n'a pas été très sereine. J'étais incertain jusqu'au dernier moment. Je revenais d'une déchirure à l'ischio. J'avais disputé la demi-finale face à Oyonnax, le week-end précédent (victoire 27-15), mais j'avais encore des douleurs. Je ne savais pas si ma cuisse blessée allait tenir ou péter à nouveau. Comme c'était le dernier match de la saison, j'ai joué à 200 %. Nous avons battu Biarritz (33-14, le 5 juin 2021). J'ai inscrit 23 points, dont un essai. À la 70e, le match était déjà plié.
Je me souviens être sorti un peu du match. Le petit regret, c'est que nous étions encore impactés par le Covid. Il n'y avait que mille spectateurs dans les tribunes. Idem pour l'après-match et les célébrations du titre. Pour l'anecdote, c'est à l'issue de cette finale que le staff de Perpignan m'a annoncé que j'étais pressenti pour être sélectionné pour la tournée d'été en Australie avec l'équipe de France. D'ailleurs, j'avais jeté mes crampons en me disant que la saison était terminée. J'ai couru pour aller les récupérer. Je les ai retrouvés très vite. Heureusement ! »
« J'étais parti avec le groupe en Australie. Tout se passait très bien. Je participais aux entraînements sans appréhension. Mais à aucun moment, je m'imaginais démarrer ce premier test (le 7 juillet 2021).
La hiérarchie était claire, même si sur les deux derniers entraînements, j'étais en rotation avec Anthony Bouthier. Au mieux, j'espérais grappiller une place de remplaçant. J'ai découvert ma titularisation à l'annonce de l'équipe quand ma tête est apparue sur le rétroprojecteur. Le staff ne m'avait rien dit. La surprise était totale. Ma carrière a basculé en Australie. C'est l'un des moments les plus forts que j'ai vécu. Mais en raison du décalage horaire, j'ai dû patienter avant de pouvoir le partager avec mes proches.
Le jour du match, j'ai essayé de ne pas être dépassé par mes émotions. La Marseillaise a été un moment très fort. Je suis resté très concentré. Malheureusement, nous nous inclinons en fin de match (23-21). La défaite a été difficile à digérer en raison du scénario et cet essai encaissé sur la dernière action. J'étais responsable. J'ai fait une erreur. J'avais une passe à réaliser et le match était terminé. Je l'ai ratée. J'avais ce poids. »
« C'était intense. Mais je retiens surtout la semaine précédant ce succès. J'ai beaucoup discuté avec le staff. J'ai su très vite qu'il me maintenait sa confiance. Mentalement, ça m'a fait un bien fou. Ils ont trouvé les bons mots pour me rebooster. Je me suis dit : "Melvyn, tu as fait une erreur. Tu n'as pas le droit d'en faire une seconde." J'avais une forte pression. Une fois le coup d'envoi donné, j'ai évacué. Tout se passe bien. Puis vient cette dernière pénalité à trois minutes de la fin de la rencontre, alors que nous sommes menés 26-25 (victoire 28-26 le 13 juillet 2021).
J'ai du mal à expliquer ce que j'ai ressenti. J'ai fait le vide. J'étais là, sans être là. J'ai presque fait abstraction du contexte tellement j'étais focalisé sur ma routine. J'ai des souvenirs qui me manquent. Quand le ballon est parti, je savais qu'il allait passer entre les perches. Le soulagement était immense. Mais le match n'était pas encore terminé ! Il ne fallait pas craquer. Au coup de sifflet final, c'était de la folie. »
« C'était face à Biarritz. Je me suis donc dit que ça allait ressembler à mes matches de la saison passée. Je n'ai pas eu ce déclic de me dire que j'allais faire face à un énorme changement, comme si j'affrontais Toulouse ou une autre grosse écurie du Top 14. J'ai vécu ce match sans grande appréhension. Tout s'est bien déroulé. Nous gagnons avec le bonus (33-20). J'inscris 15 points. C'est un très bon souvenir. »
« Affronter la Nouvelle-Zélande fait rêver. J'ai senti que j'entrais dans une nouvelle dimension. Au regard du résultat (victoire 40-25, le 20 novembre 2021), j'ai la sensation que l'équipe de France a franchi un cap et envoyé un message fort. Ce match a aussi été marqué par la relance de Romain Ntamack depuis notre en-but.
Sur le coup, je ne réfléchis pas. J'étais revenu à 200 % pour me replier. Quand Romain relance, je donne encore tout pour être au soutien. Je n'appelle pas Romain. Je suis cuit mais il a dû sentir que j'arrivais sur sa gauche. Au final, il y a un peu de frustration que cette action n'aille pas au bout. J'aurais peut-être dû tenter une feinte de passe, garder le ballon ou faire une passe au pied. Mais j'étais tellement fatigué... Tu ne réfléchis plus. »
« Je savais que ce match serait compliqué, notamment dans mon rôle de buteur. Il y avait beaucoup de vent à Murrayfield. À l'échauffement, je n'ai jamais réussi à comprendre dans quel sens il allait. Je ne savais pas comment taper. J'étais perturbé. Je réalise un 3/7. Même dans le jeu, je ne suis pas bon. Malgré la victoire (36-17, le 26 février 2022), je n'étais pas satisfait. Le staff non plus. Mais comme après l'Australie, Fabien (Galthié) m'a maintenu sa confiance. Il attendait beaucoup plus de moi. Je devais encore prouver. »
« J'en ai encore des frissons. Sur le dernier match face à l'Angleterre (25-13, le 19 mars 2022), je n'ai pas eu le temps de savourer sur le terrain. Ce n'est qu'au moment de mon remplacement, à la 76e minute, que j'ai pu prendre pleinement conscience de ce que nous venions de réaliser.
C'était vraiment très émouvant de voir le Stade de France en feu. On marque l'histoire. C'est grand ! Avec le recul, je mesure encore un peu plus le chemin parcouru. Je me dis que tout est allé très vite. Je sais que je suis très chanceux. Certains joueurs n'ont jamais gagné de titre en équipe nationale, alors que je remporte le Grand Chelem lors de mon premier Tournoi ! C'est dingue ! »
« Pour mon dernier match avec Perpignan, je ne pouvais pas rêver mieux. Je ne m'imaginais pas un instant quitter l'USAP sur une relégation. Passer par ce match de barrage face à Mont-de-Marsan (qui s'était incliné en finale d'accession face à Bayonne) ne nous faisait pas peur. Cette victoire (41-16, le 12 juin 2022) et ce maintien sont presque plus importants que la montée en Top 14 la saison passée. J'ai quitté le club avec le sentiment du devoir accompli.
Encore une fois, j'ai failli ne pas jouer cette rencontre. Je m'étais fait mal à un genou trois semaines plus tôt. Le staff m'a préservé pour que je sois à 100 % pour ce match. Je sors une grosse performance (21 points). Mentalement, ça me fait un bien fou. Après le Grand Chelem, le retour avait été compliqué. Il avait fallu vite rebasculer dans l'opération maintien. Alors que, généralement, quand tu gagnes un titre, la saison est terminée ! »
« C'était pour l'ouverture de la saison à Bordeaux. Je suis remplaçant. C'est un très bon souvenir avec la victoire au bout (25-26, le 4 septembre 2022). Je mets la pénalité de la gagne (67e). Le matin, j'étais venu faire les repérages au stade. Malgré la distance (45 mètres en coin), je ne me suis pas posé de questions. Mon aventure avec le Stade Toulousain s'est lancée idéalement. »
« Je me blesse une première fois à la cheville gauche mi-octobre. Ça a été difficile à vivre. Je savais que j'allais louper la tournée de novembre avec les Bleus. Les voir jouer ces matches m'a fait mal. Puis je me suis à nouveau blessé à la cheville, droite cette fois, fin avril. Je savais que j'allais manquer la phase finale.
C'était dur à accepter, à digérer. J'avais eu des hauts et des bas, mais je me sentais très bien à ce moment de la saison. Aucune des deux blessures n'a été pire que l'autre. »
« Même si je ne jouais pas, j'ai vraiment eu la sensation de faire pleinement partie du groupe. Avec les autres blessés, nous avons eu la chance de monter à Paris deux jours avant la finale. Nous étions présents pour la préparation d'avant-match, nous avons pu entendre les discours, etc. Je me suis senti dans l'équipe !
Après est-ce que je me sens champion (victoire contre La Rochelle 29-26, le 17 juin 2023) ? D'un côté, oui, car je me suis entraîné toute la saison, j'ai tout fait pour revenir au plus vite à la suite de mes deux blessures, j'ai bataillé avec le groupe pour arriver jusque-là. Mais d'un autre côté, comme tout compétiteur, tu veux jouer la finale. Il manque quelque chose. »
« Quand je vois mon nom dans la liste (des 42 joueurs retenus, dévoilée le 21 juin), je suis d'abord très soulagé de conserver la confiance du staff. Ça faisait trois mois que je n'avais pas joué en raison de ma cheville. Je venais à peine de recourir à pleine vitesse. J'ai un peu douté aussi. Je craignais que ma cheville ne soit pas totalement remise. J'avais de l'appréhension. Je m'interrogeais pour savoir si j'allais être apte à encaisser cette préparation de deux mois qui s'annonçait très intense. J'étais quand même très heureux. J'ai donc fait le maximum sur les derniers jours qui me restaient pour être prêt. »
Posté 14 septembre 2023 - 23:29
j'ai trouvé Jelonch quelconque et même amaigri généralement. Je l'imaginais superman dès le premier, l'incroyable retour de Jelonch comme s'il n'avait jamais quitté les terrains blabla... il avait l'air même pas prêt je dirais presque. Bon. Il va jouer contre la Namibie forcément, et sûrement contre l'Italie, ne serait-ce qu'à partir du banc. Avec 2-3 matches dans les pattes, il risque de retrouver du rythme pour les phases finales.
Posté 14 septembre 2023 - 23:59
Posté 15 septembre 2023 - 08:52
Finalement, comment on voit qu'un joueur est un GRAND joueur ?
les esprits simples pourrait répondre "en le voyant jouer, pardi !"
bah non... un grand joueur, tu sais qu'il est grand quand il ne joue pas et que l'équipe sans lui erre sur un terrain sans rien maitriser.
hier il en manquait au moins 5 : Penaud, Dupont, Jallibert, Aldritt et Ramos
Posté 15 septembre 2023 - 08:59
Finalement, comment on voit qu'un joueur est un GRAND joueur ?
les esprits simples pourrait répondre "en le voyant jouer, pardi !"
bah non... un grand joueur, tu sais qu'il est grand quand il ne joue pas et que l'équipe sans lui erre sur un terrain sans rien maitriser.
hier il en manquait au moins 5 : Penaud, Dupont, Jallibert, Aldritt et Ramos
Oui mais Macalou, Hou !
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