Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 12:10
Mon entraîneur non, perso. Celui d'une équipe adverse ne m'a par contre jamais parlé comme ça. l'EDF a dû demander si le SF pouvait organiser une opposition, je ne pense pas que ce soit les parisiens qui soient venus pleurer pour avoir cet honneur... il pourrait avoir un minimum de tenue au lieu de les traiter de peintres ou de manchots.
On a déjà entendu des coach dire bien pire, je ne te dirai pas quoi au risque de froisser les modos ...
Bon ça veut pas dire que Galtoche a raison hein.
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 12:15
On a déjà entendu des coach dire bien pire, je ne te dirai pas quoi au risque de froisser les modos ...
Bon ça veut pas dire que Galtoche a raison hein.
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 12:23
Encore une fois, dire quelque chose de piquant à TON groupe, c'est une chose, le faire à des gars qui viennent te rendre service, je n'en saisis pas l'intérêt.
ouais, à part peut etre passer ses nerf ou un message subliminal à son groupe, mais si c'est ça, c'est pas franc, pas forcément clair et effectivement pas respectueux pour ceux qui viennent filer un coup de main. Bon, on l'a déjà dit et redit, Galthie c'est pas forcément un grand psychologue, on pourrait meme dire plus mais on tomberait dans les grossièretés.
Parisien Névrotique
Posté 18 septembre 2023 - 12:28
Bon sur RMC le jeune et brillant Boris Bourahoua, entraîneur adjoint au SF a vraiment dédramatisé en disant que tout ça c'est rien que des billevesées, des broutilles, des vaticinations et qu'il n'y a pas de quoi en chier un coucou lumineux. Il n'a pas dit ça EXACTEMENT comme ça mais vous avez tous remarqué ma facilité à m'exprimer en langue verte ou soutenue ! 
Note des modos : oh que oui, on a remarqué ! 
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 12:32
Bon sur RMC le jeune et brillant Boris Bourahoua, entraîneur adjoint au SF a vraiment dédramatisé en disant que tout ça c'est rien que des billevesées, des broutilles, des vaticinations et qu'il n'y a pas de quoi en chier un coucou lumineux. Il n'a pas dit ça EXACTEMENT comme ça mais vous avez tous remarqué ma facilité à m'exprimer en langue verte ou soutenue !
Note des modos : oh que oui, on a remarqué !
On a aussi remarqué que t'as lancé pas mal d'histoires alléchantes sans donner de suite, on est là comme Gourine à la Jonquéra avec devant lui une gonzesse en string qui se trémousse mais qui ne prend pas les affaires en main, bref, on est sur la béquille quoi
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 14:12
Tu sais, comme il gueule sur des jeunes, ça fait du buzz sur les résocios.
Il m'étonnerait fort que les gars de l'EDF, n'ait pas eu droit, à leur piqure de rappel.
Ne me dis pas que ton entraineur t'as toujours fait des courbettes !
Aussi
Mon entraineur des jeunes non, mon entraineur des séniors non, mais c'est pas le même contexte, ces jeunes ils n ont pâs dans leur grande majorité vocation a être inter la majorité ne jouera peut être même pas en top 14, donc son exigence est mal venue encore une fois s'ils veut des opposants tip top ils prends des joueurs confirmés si c'est des jeunes il les encourage au lieux de gueuler dessus. Les jeunes devaient être heureux de servir de partenaire à l EDF et d'être dirigé par lui, et le souvenir qu ils vont en garder c'est de s'être fait traiter de peintre par Galthié
ça a du être fait aussi .. et certainement de manière un peu plus virulente que les quelques piques envoyées aux "aprentis" ... Sauf qu'on nous ne montre pas tout ...
Pas besoin, c'est tout a fait normal qu eux se fassent allumer.
Bon sur RMC le jeune et brillant Boris Bourahoua, entraîneur adjoint au SF a vraiment dédramatisé en disant que tout ça c'est rien que des billevesées, des broutilles, des vaticinations et qu'il n'y a pas de quoi en chier un coucou lumineux. Il n'a pas dit ça EXACTEMENT comme ça mais vous avez tous remarqué ma facilité à m'exprimer en langue verte ou soutenue !
Note des modos : oh que oui, on a remarqué !
Qui pouvait imaginer que le SF allait dire quelque chose de négatif, Galthié il aurait pas été un peu joueur et entraineur au SF et si jamais il gagne faudrait pas être fâché 
Parisien Névrotique
Posté 18 septembre 2023 - 14:13
Mon entraineur des jeunes non, mon entraineur des séniors non, mais c'est pas le même contexte, ces jeunes ils n ont pâs dans leur grande majorité vocation a être inter la majorité ne jouera peut être même pas en top 14, donc son exigence est mal venue encore une fois s'ils veut des opposants tip top ils prends des joueurs confirmés si c'est des jeunes il les encourage au lieux de gueuler dessus. Les jeunes devaient être heureux de servir de partenaire à l EDF et d'être dirigé par lui, et le souvenir qu ils vont en garder c'est de s'être fait traiter de peintre par Galthié
Pas besoin, c'est tout a fait normal qu eux se fassent allumer.
Qui pouvait imaginer que le SF allait dire quelque chose de négatif, Galthié il aurait pas été un peu joueur et entraineur au SF et si jamais il gagne faudrait pas être fâché
Et là je sors mon argument massue : oah éh l'autre et oh tu charries !
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 14:16
Et là je sors mon argument massue : oah éh l'autre et oh tu charries !
Ferait mieux de booster Macalou s-il veut traiter de peintre quelqu un du SF 
Joueur de Fédérale 3
Posté 18 septembre 2023 - 14:21
Un jour, le père Galthié, il va se faire emplâtrer sévère , par un Urios ou équivalent, qui ne se retiendra plus ..
Joueur de TOP 14
Posté 18 septembre 2023 - 14:40
Moi non, mais il a fallu y passer quand même...
Mais je vais ouvrir (ou pas) un sujet "prostate" afin de ne pas polluer celui-ci présent !
On va se faire gronder...
Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk
Champion du Monde
Posté 18 septembre 2023 - 14:46
Bon et prompt rétablissement.
J’aimerais pouvoir te faire une contrepèterie mais je n’ai pas ton talent.
A très vite .
Merci !
Joueur de Pro D2
Posté 18 septembre 2023 - 17:40
Coupe du monde de rugby 2023 - Fabien Galthié (XV de France) : "Mettez-moi les meilleurs joueurs, pas les peintres !"
Clément Labonne
Publié le 17/09/2023 à 14:01 Mis à jour à 16:09
Lors de l'opposition entre le XV de France et les Espoirs du Stade français, Fabien Galthié a durci le ton en direction des jeunes parisiens. Le sélectionneur des Bleus voulait voir "les meilleurs joueurs, pas les peintres".
Fabien Galthié muscle son discours. Ce dimanche, le XV de France s'est entraîné avec les Espoirs du Stade français pour débuter sa préparation du match contre la Namibie (21 septembre, 21 heures). Les Bleus ont notamment fait une opposition contre les jeunes parisiens pour retrouver des automatismes, notamment autour des cadres français. Mais cette opposition a surtout été marquée par les consignes rudes de Fabien Galthié à l'encontre des Espoirs du Stade français.
"Mettez-moi les meilleurs joueurs receveurs, pas les peintres ! Allez, allez, allez ! Vite, vite, vite ! Mettez-moi les mecs réveillés pas les mecs qui dorment en receveurs ! Un mec adroit, pas un manchot !" s'est notamment exclamé le sélectionneur des Bleus, visiblement mécontent de ses "adversaires" du jour, dans une vidéo publiée par RMC. 48 heures après le succès sans éclat du XV de France face à l'Uruguay, l'ancien demi de mêlée de Colomiers doit remettre ses protégés dans le droit chemin. Pour preuve, la grande majorité des cadres devraient être remis en selle face à la Namibie. L'entraînement de ce dimanche a notamment révélé que Jonathan Danty a participé à la séance avec les titulaires et que Louis Bielle-Biarrey pourrait enchaîner sa deuxième rencontre dans le Mondial.
Au sujet de ces propos, qui déclenchent une certaine polémique autour du sélectionneur, la communcation de la FFR a tenu à préciser, ce dimanche après-midi, qu'ils avaient été prononcés sur l'air de la plaisanterie, sans aucune méchanceté à l'encontre des jeunes joueurs du Stade français.
On retrouve le vrai Galthié
C'est clair que c'est le spécialiste de la vanne, et puis ça a du bien les faire marrer les jeunes d'être traité de manchots et de peintres
Je plaide pour le remplacement de Galthié par Bernadette Soubirous
Champion d'Europe
Posté 19 septembre 2023 - 05:43
La dernière fois que nous avons pu croiser Cyril Baille et échanger quelques mots avec lui, c'était dans les travées du stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d'Ascq jeudi soir. Le quinze de France venait de battre l'Uruguay (27-12). Le pilier gauche avait le sourire. En costard-baskets, il effectuait quelques jongles pied droit pied gauche non loin du bus des Bleus avant de lancer d'un air malicieux : « Tu m'as oublié ? » La surprise d'abord, suivi d'un silence interrogatif. « C'est mon anniversaire ! 30 ans ! », s'est marré « Cissou » avant de s'éclipser. Il était minuit passé d'une minute. Le 15 septembre 2023 venait de voir le jour, comme Cyril Baille trente ans plus tôt. Un cap fêté dans l'intimité du groupe France.
Dimanche matin, changement d'ambiance sur le terrain de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) où l'équipe de France s'est entraînée une dernière fois avant de migrer vers Aix-en-Provence pour préparer les deux prochaines rencontres (Namibie, jeudi, et Italie, le 6 octobre). Baille avait enfilé la chasuble « bleue », floqué du numéro 1, celle des présumés titulaires. Lundi, rebelote. Son retour à la compétition ne fait presque plus de doute.
Depuis sa blessure au mollet droit, contractée mi-août face à l'Écosse, Cyril Baille est resté au sein du groupe France. Son remplacement n'a jamais été une option. Sur le coup, ce contretemps, synonyme d'absence pour le match d'ouverture face à la Nouvelle-Zélande (27-13), a été difficile à encaisser. « Je l'ai croisé le soir même, il avait un peu peur, il était dans le flou en attendant les examens médicaux », raconte Christian Califano, homme de terrain pour TF1. L'ancien pilier international (71 sélections), proche du joueur, poursuit : « Dès que le verdict est tombé et qu'il a su que le staff le gardait, il était soulagé. » Le pilier gauche s'est focalisé sur sa guérison et sa réathlétisation. « Ses valeurs humaines et son expérience collective sont une plus-value pour le groupe », reconnaît le co-entraîneur des avants William Servat. Ensuite, sa détermination à revenir au plus vite, sans pour autant prendre le moindre risque, a rassuré joueurs et staff.
« Un profil comme Baille, si fort techniquement, ça n'existe pas ! »
Jean-Baptiste Poux, ancien pilier international (42 sélections)
Cyril Baille est désormais prêt à démarrer sa Coupe du monde. « Il lui tarde de rejouer », assure son ex-coéquipier Yoann Huget (62 sélections). « Ce retour face à la Namibie est idéal, juge, pour sa part, l'ex-pilier Jean-Baptiste Poux (42 sélections). Ce match et celui face à l'Italie (6 octobre) doivent lui permettre de monter tranquillement en puissance d'ici le quart de finale (14 ou 15 octobre). »
Le retour de Cyril Baille va surtout apporter un plus dans le jeu. « C'est un joueur très important dans le système des Bleus, poursuit l'actuel entraîneur de la mêlée de Bordeaux-Bègles. Sur les bases du poste, il est très fort. Il est dense et massif, mais il n'a pas une tenue en mêlée supérieure à celle de Wardi ou Gros. En revanche, il apporte un plus ballon en main. Il crée du danger autour de lui. C'est un très bon point d'appui ou un très bon relais grâce à sa mobilité et sa qualité de passe. Sans oublier sa forte complicité avec son demi de mêlée Antoine Dupont. Un profil comme Baille, si fort techniquement, ça n'existe pas ! »
Un sentiment partagé par Christian Califano : « Sans rien enlever aux performances de Wardi et Gros, Cyril est tellement important dans le groupe. Il rassure. Il a atteint une forme de maturité. » Sera-t-il prêt après quasiment cinq semaines sans jouer ? « Oui, affirme encore Cali. C'est un bosseur. Il a trop d'acquis et d'expérience pour se louper. » « Cyril a une fraîcheur incroyable, assure aussi William Servat. Il a énormément travaillé et a perdu un peu de poids. J'ai même l'impression qu'il est mieux qu'avant sa blessure. Il a cette capacité à être performant rapidement. C'est un joueur très important pour l'équipe. » Tout est dit.
Champion d'Europe
Posté 19 septembre 2023 - 06:00
Défense intraitable - capable par exemple de laisser les Gallois à zéro essai à Cardiff pour la première fois dans le Tournoi depuis 2009 -, bataille du sol souvent gagnée, longueur de jeu au pied inégalée et contre-offensives lasers. Voilà, pour résumer, le cocktail qui avait permis à l'équipe de France de décrocher le Grand Chelem en 2022.
Une forme de consécration pour le jeu de dépossession mi-étouffant mi-fulgurant mis en place par Fabien Galthié depuis le début de son mandat en 2020, bien aidé par les super-pouvoirs de Julien Marchand, Grégory Alldritt, Antoine Dupont, Jonathan Danty et autres Gabin Villière, pour ne citer qu'eux.
Depuis, mis à part la défaite en Irlande le 11 février dernier (32-19), l'équipe de France n'a pas fléchi dans sa courbe d'excellence en termes de résultats, s'offrant notamment les trois nations majeures de l'hémisphère Sud - Australie (30-29) et Afrique du Sud (30-26) en novembre et la Nouvelle-Zélande en ouverture de la Coupe du monde (27-13) - et un carton mémorable à Twickenham face à l'Angleterre en mars (10-53).
Mais ses forces se sont un poil diluées face à une adversité qui vient la contrer sur certaines d'entre elles - c'est le risque quand on enchaîne les victoires - et un arbitrage qui a évolué dans le jeu au sol pour favoriser les attaques et donc un peu moins l'art du grattage de Marchand ou de Danty. Entre 2022 et 2023, certains chiffres témoignent d'une équipe de France moins dominatrice dans le jeu au sol, et donc plus exposée défensivement, et une attaque qui se cherche encore, comme le montrent certaines phases de possession qui vont au-delà des quatre-cinq temps de jeu.
« On a beaucoup travaillé le système offensif pour être capables de tenir le ballon plus longtemps mais on sait aussi que le jeu de dépossession est une arme forte pour notre équipe
Matthieu Jalibert, ouvreur des Bleus
« Il faut qu'on prenne de la confiance sur nos systèmes offensifs », reconnaissait lundi à ce sujet l'ouvreur Matthieu Jalibert, évoquant même « de nouveaux lancements » pour les matches à venir. Interrogé sur une Coupe du monde finalement moins favorable à l'offensive que prévu par les directives arbitrales de World Rugby, le Bordelais a poursuivi : « Globalement, il y a pas mal de jeu au pied, de dépossession. Nous, c'est quelque chose qu'on aime faire depuis quatre ans. On a gagné aussi des matches grâce à la qualité de notre jeu au pied, la pression qu'on était capables de mettre sur l'équipe adverse et la défense. On a beaucoup travaillé le système offensif pour être capable de tenir le ballon plus longtemps mais on sait aussi que le jeu de dépossession est une arme forte pour notre équipe. Le but, c'est d'avoir différentes armes pour s'adapter à ce que proposent les adversaires mais aussi les arbitres. »
N'est-ce pas là l'un des paradoxes dans l'évolution du jeu cherchée par cette équipe de France depuis la tournée de novembre 2022 ? S'appuyer sur les forces (défensives) de ses succès passés et développer un jeu plus large offensivement est-il possible ?
Les Bleus s'étaient noyés dans cette équation à Dublin en février en prenant des risques dans leur camp qui ne lui ressemblaient pas. « C'est une équipe de France hybride, pointe David Darricarrère, entraîneur des trois-quarts de Castres. Elle a basé son jeu sur la dépossession, en défendant très fort, en jouant les ballons de contre. Et elle s'est mise à évoluer dans son jeu pour avoir un panel plus étoffé et pouvoir jouer tous les rugbys. C'est vrai que ça balbutie un peu par moments. Elle est capable d'envoyer un jeu un peu différent quand il le faut mais il a manqué jusqu'à maintenant cette efficacité. Mais ils sont capables de mettre des scénarios en place et d'adapter leur jeu par rapport à l'adversaire. » La deuxième période face aux All Blacks est un exemple de défense à réaction, plus haute et plus agressive face aux velléités offensives adverses, même depuis leur camp.
Reste que la défense française est plus perméable ces derniers mois, au nombre d'essais mais aussi de franchissements (voir infographie). « On peut et on se doit de faire mieux pour gagner la compétition, répond le capitaine de la défense bleue, le centre Gaël Fickou. Mais deux essais par match, ce n'est pas catastrophique, surtout quand tu joues la Nouvelle-Zélande. Contre l'Uruguay, bien sûr qu'on peut s'améliorer, on a fait des erreurs qui ne nous ont pas aidés. On aurait pu encaisser un essai, mais pas deux. »
Par rapport à l'équipe du Grand Chelem 2022, les Bleus ont aussi perdu la puissance de Paul Willemse (blessé), au sommet de son art de la découpe il y a dix-huit mois, les gratteurs Julien Marchand et Jonathan Danty, à l'infirmerie sur ce début de Coupe du monde, la boussole Romain Ntamack à l'ouverture et même Cyril Baille, précieux par sa qualité de passe sur certains lancements offensifs devant la défense, tandis que le coup de pied de Melvyn Jaminet à l'arrière a été remplacé par celui de Thomas Ramos, moins long mais plus précis dans la fameuse bataille du jeu au pied offensif.
« Sans Marchand ni Danty (qui a rejoué contre la Namibie jeudi), on récupère moins de ballons, d'autant que l'arbitrage est plus tatillon là-dessus, enchaîne Darricarrère. Et les équipes adverses bossent et ciblent nos gratteurs. Un Marchand est plus visé sur les rucks. En termes d'animation, nous avons aussi perdu Romain (Ntamack) qui amenait beaucoup de sérénité et de confort avec Antoine (Dupont) à la mêlée. Il manque un stratège dans l'équipe, un joueur qui trie les ballons. Mais il ne faudra pas se recroqueviller non plus, c'est le meilleur moyen de passer à côté. »
« Même si nous sommes tous frustrés, il faut arrêter d'intellectualiser : ce n'est pas parce que tu prends un peu plus d'essais que ta sérénité a bougé. Vous verrez que le système défensif sera performant quand il faudra l'être
Pascal Papé, ancien deuxième-ligne des Bleus
Le point d'équilibre n'est pas facile - impossible ? - à trouver pour des Bleus qui semblaient dégager plus de certitudes au bout d'une année 2022 exceptionnelle. « Je ne trouve pas cette équipe de France moins forte qu'il y a un an, balaie l'ancien deuxième-ligne Pascal Papé (65 sélections). Ce n'est pas parce qu'on a fait un match de merde (contre l'Uruguay) que ça remet en cause l'objectif global. Même si nous sommes tous frustrés, il faut arrêter d'intellectualiser : ce n'est pas parce que tu prends un peu plus d'essais que ta sérénité a bougé. J'étais dans le stade pour France - Nouvelle-Zélande et même lorsqu'on se fait traverser et que les Blacks marquent en premier, à aucun moment je ne me suis dit qu'on allait perdre le match, à aucun moment. Cette équipe de France ne panique pas. Pour moi, c'est un faux débat de se dire qu'on est moins bons en défense et donc que l'équipe de France est moins forte. Et vous verrez que le système défensif sera performant quand il faudra l'être. »
« Les préparations se peaufinent jusqu'au dernier moment. On a mis l'accent sur d'autres secteurs que la défense, les équipes nous ont par ailleurs bien analysés, glissait lundi l'entraîneur adjoint en charge des avants William Servat, dans la même veine que son ancien coéquipier en Bleu. On a une volonté de créer plus de jeu. Il n'y a pas si longtemps, après les tests de novembre 2022, vous nous trouviez trop restrictifs. Aujourd'hui, on nous juge sur d'autres secteurs. On a essayé de développer notre jeu pour qu'à l'approche des grands matches, on soit fin prêts. » Le compte à rebours s'égrène désormais en jours.
Champion du Monde
Posté 19 septembre 2023 - 06:10
Un jour, le père Galthié, il va se faire emplâtrer sévère , par un Urios ou équivalent, qui ne se retiendra plus ..
Oh oh....recentrez -vous sur la compète....et zapper tous les à côtés , que ce soient les déclas de Galtié ou la Une de Valeurs actuelles...on s'en tape , aux risques de faire diversion et d' éloigner le groupe de sa concentration totale pour l 'objectif avoué !
Moi ce qui me préoccupe los de ces matchs de poules c 'est de ne pas "casser "D'emblée Dupont - Aldritt , Ramos, Mauvaka..Danty.....aprés, entre Boks, Blacks, Irlandais , voir British, on va avoir de quoi s'employer !
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