Jallibert sera le prochain, lui si souvent blessé les années précédentes, il ne peut pas passer à travers
c'est pour cela qu'hastoy doit jouer l'italie. Sinon jouer à la roulette russe sera moins risqué.
Posté 22 septembre 2023 - 10:13
Jallibert sera le prochain, lui si souvent blessé les années précédentes, il ne peut pas passer à travers
c'est pour cela qu'hastoy doit jouer l'italie. Sinon jouer à la roulette russe sera moins risqué.
Posté 22 septembre 2023 - 10:17
c'est sûr que s'ils mettent Serin, ce dernier sera loin d'être timide. Il ne réussit pas forcément des chefs d'oeuvre à chaque occasion, mais s'il y a bien une chose, il n'a pas froid aux yeux, et en plus il est très talentueux et complet comme 9, et rusé. Je trouve que Couilloud apporte aussi une dimension mentale au post de 9 où il est capable de s'énerver et de prendre le match à son compte et faire la différence. Une certaine hargne. A mon avis sans Dupont, ce sont vers eux qu'il faut se tourner. Mais Galthié va bien sûr s'orienter vers Lucu, déjà dans le groupe et comme carte garantie la charnière UBB avec Jalibert.
ca ne veut rien dire, la charniere de l'UBB ne joue pas du tout comme en EDF.
pour moi le meilleur equilibre reste Serin-Jalibert.
toutefois, je prefererais que Dupont puisse jouer mais uniquement à 100% de ses moyens meme avec une protection.
Posté 22 septembre 2023 - 10:17
Peut-on gagner la CDM sans Dupont, après avoir déjà perdu N'Tamack?
La réponse est dans la question, non.
Déjà faudra battre l'Italie pour aller en 1/4.
Je te trouve bien optimiste! Il faudra déjà qu'on ait suffisament de joueurs valides pour aligner une équipe contre l'Italie.
Posté 22 septembre 2023 - 10:23
Peut-on gagner la CDM sans Dupont, après avoir déjà perdu N'Tamack?
La réponse est dans la question, non.
Déjà faudra battre l'Italie pour aller en 1/4.
Surtout qu'on est pas sur que le stade de repli sur lequel on va jouer à cause de la tempête prévue sur Lyon dans 15 jours sera prêt ...
Posté 22 septembre 2023 - 10:26
J'espère qu'on saura rapidement car s'il faut remettre un 9 dans le bain il faut pas tarder. Garder Dupont dans le groupe pour finalement l'écarter la semaine précédent le 1/4 ne permettra pas à son remplaçant de se mettre au niveau je pense.
Posté 22 septembre 2023 - 10:31
Surtout qu'on est pas sur que le stade de repli sur lequel on va jouer à cause de la tempête prévue sur Lyon dans 15 jours sera prêt ...
avec le forfait et les points partagés on est qualifiés!
Posté 22 septembre 2023 - 10:32
Posté 22 septembre 2023 - 13:51
rappeler Serin serait un désaveu de Lucu, non ?
Posté 22 septembre 2023 - 14:28
rappeler Serin serait un désaveu de Lucu, non ?
oui, mais surtout hypnotiser le groupe...
Jallibert sera le prochain, lui si souvent blessé les années précédentes, il ne peut pas passer à travers
oui mais on a un joker ,l'as Toy...
Posté 22 septembre 2023 - 14:50
Serin en ce moment
Brice de Nice...
Posté 22 septembre 2023 - 14:55
rappeler Serin serait un désaveu de Lucu, non ?
Posté 22 septembre 2023 - 15:03
ToutaféQue si Serin grille la politesse à tout le monde, mais si c'est juste pour remplacer numériquement Dupont, sachant qu'on ne peut prendre le risque d'avoir seulement deux 9 pour les (on l'espère) 4 prochains matchs, alors je ne vois pas le souci.
Posté 22 septembre 2023 - 15:13
Peut-on gagner la CDM sans Dupont, après avoir déjà perdu N'Tamack?
La réponse est dans la question, non.
Déjà faudra battre l'Italie pour aller en 1/4.
Si les joueurs te lisent, ils ne vont pas vouloir sortir du bus de peur de se prendre une branlée à Lyon !
Posté 22 septembre 2023 - 20:52
En fouillant dans les règlements de World Rugby, on a fini par comprendre pourquoi on ne retrouvait pas de cas de joueurs évoluant avec un masque de protection, alors que la pratique est plutôt fréquente en basket - c'était déjà le cas de LeBron James en NBA en 2014 - ou en foot. Rappelez-vous du défenseur allemand Antonio Rüdiger qui avait joué avec un masque contre les Bleus mi-juin 2021 lors de l'Euro, lui qui s'était fracturé le fameux os zygomatique quelques semaines plus tôt avec son club de Chelsea.
Ces masques en carbone, souvent faits sur mesure pour les sportifs de haut niveau et qui permettent de rejouer avant le délai incompressible de six semaines de consolidation osseuse naturelle, sont interdits en rugby. La règle 12 de World Rugby recense les équipements autorisés et approuvés par la Fédération internationale (protège-tibia, mitaines, épaulières, casque, GPS, lunettes spécifiques*) et le masque n'en fait pas partie.
« Tout équipement comportant des matériaux rigides [...] n'est généralement pas autorisé, peut-on lire sur le site de World Rugby. Les matériaux rigides qui ne répondent pas à une spécification de performance spécifique (comprendre : qui n'ont pas été testés et approuvés par World Rugby) peuvent augmenter le risque pour le porteur ou les autres joueurs (coéquipiers et/ou adversaires). Cela signifie que les appareils tels que les masques, les appareils auditifs, les prothèses et les moniteurs de fréquence cardiaque portés sur la poitrine (entre autres) ne peuvent être portés pendant les matches par aucun joueur. » Antoine Dupont ne pourra donc pas porter de masque rigide par mesure de sécurité, dont la sienne, dans un sport où les contacts sont évidemment plus fréquents qu'au basket et en football.
Ce cas en rappelle un autre, celui d'Imanol Harinordoquy et son énorme masque en mode gladiateur en demi-finale de H-Cup avec Biarritz face au Munster en 2010. Avec le recul, on se demande encore comment le troisième-ligne centre a pu jouer avec un attirail quasi médiéval sur le visage, le principal concerné reconnaissant après coup qu'il n'y « voyai (t) rien ». Ce masque, en mousse, avait été fabriqué à la hâte pour protéger un nez fracturé, et non une pommette : « La veille du match, M. Owens (l'arbitre) passe à l'hôtel pour vérifier la protection que je dois utiliser et il m'interdit de jouer avec parce qu'elle pouvait mettre en péril la santé des autres joueurs », se rappelait Harinordoquy dans nos colonnes six ans plus tard, à l'heure de la retraite sportive.
Pour Dupont, le staff des Bleus trouvera-t-il aussi - s'il veut avancer son retour - un compromis entre protection du visage de son capitaine et respect des règlements de World Rugby ? A priori, l'équation s'annonce compliquée dans un délai aussi court.
C'est l'équivalent d'un plaquage cathédrale pour tout un groupe, tout un pays. Mais au milieu de cet abattement national, à faire pâlir d'inquiétude Mercredi Addams, deux hommes vivent l'épisode de la pommette d'Antoine Dupont (fracturée jeudi soir contre la Namibie, 46e) d'une façon singulièrement différente.
Maxime Lucu et Baptiste Couilloud savent que leur destin a changé au moment où Johan Deysel a télescopé, tous phares éteints, le capitaine du quinze de France ; surtout le destin de celui qui enfilera le numéro 9 des Bleus pour un soir, contre l'Italie le 6 octobre, et peut-être deux en englobant le quart de finale qui fait frissonner dans les chaumières.
Jusqu'ici, Lucu (30 ans, 17 sél.) et Couilloud (26 ans, 15 sél.) étaient quelque part protégés, derrière la star Dupont. Un destin de finisseur, d'après le lexique de notre sélectionneur. Les voilà surexposés par le simple fait qu'ils seront les demis de mêlée des Bleus pour le (ou les) premiers matches éliminatoires de cette Coupe du monde, à commencer par le France-Italie de Lyon, étant entendu qu'une victoire italienne, même pas bonifiée, précipiterait Galthié et ses flèches dans un des neuf cercles de l'enfer. Sauf si d'ici là, les Italiens font sauter les All Blacks (29 septembre, 21 h à Lille).
Pour Lucu et Couilloud, la responsabilité devient considérable, même si elle sera partagée avec d'autres, qui sont larges d'épaules (Fickou, Ollivon, Alldritt, Jelonch, Marchand). L'avantage, c'est qu'ils possèdent devant eux deux semaines pour incarner la fonction, en prendre la mesure. Mais est-ce vraiment un avantage ? Oui, si pendant ce délai, le psychodrame désenfle en même temps que la joue de Dupont.
On ne sait pas si dès jeudi soir, dans leur chambre d'hôtel d'Aix-en-Provence, Maxime Lucu et Baptiste Couilloud ont eu l'idée d'allumer la télé. Si tel fut le cas, ils n'auront pas pu échapper à l'invocation, entendue d'une chaîne à l'autre, prônant le rappel toutes affaires cessantes de Baptiste Serin (*), recalé de la liste des 33 à la fin du mois d'août. « Fabien anticipe tout, indique Guy Accoceberry, numéro neuf des Bleus à dix-neuf reprises dans les années 90. Stratégiquement, il a dû réfléchir à quoi faire s'il perdait Antoine. Si la fracture est mauvaise, le scénario d'un rappel de Serin ne serait pas incohérent. »
Bruit de fond, comparaisons déraisonnables, débats de bonne ou mauvaise foi rythmeront le feuilleton « neuf ou d'occasion ». Lucu et Couilloud devront s'en extraire, tenir tout ce ramdam à distance, tout en assumant la charge qui leur est désormais conférée.
Le maillot numéro 9 pèse lourd. Celui-là encore plus, tant l'emprise du capitaine Antoine Dupont, son rayonnement en attaque, en défense, pied gauche, pied droit, dans le subconscient des adversaires, et celui des arbitres, ne connaît pas d'équivalence. Ce qui ne changera pas, c'est qu'il n'y aura qu'un 9 pour deux.
« Je conçois que la connexion bordelaise avec Matthieu Jalibert puisse plaider pour une titularisation de Lucu »
Aubin Hueber, ancien demi de mêlée, vingt-trois sélections avec les Bleus
« Qui mettre titulaire ? Les deux ont été habitués au rôle de finisseur, et je trouve que Lucu, peut-être parce qu'il a été le plus affecté à cette mission depuis trois ans, est très bon tout de suite quand il entre, souligne Aubin Hueber, vingt-trois sélections en Bleus à ce poste. Bien sûr, ce ne serait pas évident de passer de numéro 2 à... numéro 2. Je conçois aussi que la connexion bordelaise avec Matthieu Jalibert puisse plaider pour une titularisation de Lucu. »
« Maxime Lucu est le meilleur finisseur des deux, abonde Accoceberry. Offensivement, Baptiste Couilloud est celui qui se rapproche le plus de Dupont parce qu'il est aussi un puncheur, qu'il a des pattes et qu'il aime déclencher autour des rucks. Aucun ne se dégage comme un vrai numéro 1. Ils ont des qualités tellement différentes que le choix dépendra, à mon sens, de la stratégie en fonction de l'adversaire, selon qu'on veut posséder ou déposséder, finir en contrôle ou en accélérant. »
Le Basque possède un autre atout, digne d'un talisman il n'a jamais perdu quand il a joué avec les Bleus. Le Lyonnais Couilloud, lui, a été appelé par Galthié avant - dès la Coupe d'automne 2020 - et fut même nommé capitaine lors de la finale rageante à Twickenham. Doublure lumière attitrée de Dupont contre les All Blacks en 2021 et tout au long du Grand Chelem en 2022, Lucu a pris cette place, sans qu'on sache si elle lui donne un statut à part. Il compte ainsi moins de titularisations (4) que son concurrent (5).
Leurs temps de jeu dans ce Mondial sont tout aussi proches (67 minutes pour Lucu, 51 pour Couilloud). Ce qui les sépare, c'est que chacun possède quelques-unes des qualités de Dupont, mais pas les mêmes. Très véloce ces dernières semaines, Couilloud ressemble au Dupont-franchisseur, casseur de reins et marqueur (4 essais, 0 pour son alter ego bordelais). Lucu serait plutôt le Dupont-oxygénateur, grâce à la longueur de son jeu au pied. Pour eux, cette Coupe du monde vient aussi de basculer dans une autre dimension.
Posté 22 septembre 2023 - 21:04
Peut-on gagner la CDM sans Dupont, après avoir déjà perdu N'Tamack?
La réponse est dans la question, non.
Déjà faudra battre l'Italie pour aller en 1/4.
En sport on est jamais sur de rien avec ou sans qui que ce soit.
Est ce qu on devait gagner la CDM 2011 personne ne misait un euro dessus et pourtant avec une équipe bricolée en finale avec une ambiance de merde, sans un arbitrage honteux on la ramenait à la maison du pays de kiwis.
Donc le pire n est jamais sur
Et pour finir
Quand on veut être sûr de son coup, mon petit bonhomme, on plante des carottes, on ne joue pas au rugby !
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