11071 réponses à ce sujet

[steph]

Oui
Pas trop entendu Lhermet sur le sujet

Responsable des équipes de France, ça s'assume dans les bons comme les mauvais moments.
Simon se serait fait traiter de beaux noms d'oiseaux s'il était encore en poste, je pense.

[Alex chocolatines]

Responsable des équipes de France, ça s'assume dans les bons comme les mauvais moments.
Simon se serait fait traiter de beaux noms d'oiseaux s'il était encore en poste, je pense.

Voui mais la bande à Bernie et le marchand de brouettes se tiraient une belle batterie de casserole, là ils sont plus discrets les mecs on n'est plus habitués.

[el landeno]

« Je ne l'ai jamais vu aussi heureux » : après les blessures et les périodes de doutes, le renouveau de Pierre-Louis Barassi Titulaire au centre en ouverture du Tournoi face au pays de Galles ce vendredi soir (21h15), Pierre-Louis Barassi est un concentré d'émotions qui ont façonné son début de carrière. Le Toulousain va connaître sa quatrième sélection seulement, sa deuxième titularisation, et il a une chance à saisir.

Octobre 2019, décembre 2020, juillet 2021. Une sélection par année puis trois ans et demi sans porter le maillot des Bleus même si son nom a souvent figuré dans les listes du sélectionneur Fabien Galthié. Pierre-Louis Barassi (26 ans), titulaire au centre avec Yoram Moefana face aux Gallois ce vendredi, en ouverture du Tournoi des Six Nations (21h15), a désormais une vraie chance à saisir, et c'est aussi parce qu'il a opéré une profonde remise en question, au fil de hauts et de bas qu'il a petit à petit appris à maîtriser. Portrait d'une boule à facettes.

 

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« Il est très exigeant et a du mal à ce qu'on dise du bien de lui »

Faustine, sa compagne

 

 

 

« Il est si dur à définir... » Adrien Seguret, avec qui Pierre-Louis Barassi a été champion du monde U20 en 2018, souffle en même temps qu'il rigole. Jean-Marc Doussain, acolyte de longues discussions pendant quatre saisons au LOU (2018-2022), évoque « un garçon avec des facettes très différentes... » « Il est vraiment très difficile à cerner, prolonge en souriant sa compagne, Faustine. C'est quelqu'un qui peut paraître froid au premier abord, même hautain ou réservé, mais qui prend beaucoup de place une fois qu'il est à l'aise. Il devient vite très attachant. Mais il est très exigeant et a du mal à ce qu'on dise du bien de lui. » Depuis le début de sa carrière, Barassi a souvent repoussé les propositions d'interviews.

Derrière cela, il faut deviner la trace d'un après-Coupe du monde 2019 difficile à gérer, où il a vite été mis en lumière, à 21 ans, alors qu'il avait finalement peu joué (14 minutes). « Ce n'était pas pénible, mais c'est vrai que tout est arrivé d'un coup. J'ai préféré rester sur la réserve et me protéger un peu, nous confiait-il fin 2019. Inconsciemment, je me mets de la pression quand je réponds aux médias avant de faire mes preuves. » Cinq ans après, son discours n'a pas tellement changé. Un hiver de Coupe des champions où il crève l'écran ? « Je préfère rester encore un peu tranquille, deux matches ce n'est pas suffisant pour moi... » Un mois à enchaîner des performances sérieuses ? « Je réfléchis un peu pour parler, car j'aime bien le fait d'être dans mon coin. Tout reste à faire.. »

 

« Il comprend mieux son corps, il a appris à mieux gérer son quotidien

Adrien Seguret, un de ses meilleurs amis

 

 

 

Trois sélections chez les Bleus au moment de démarrer ce Tournoi, le bilan international de Barassi peut sembler maigre au regard de son potentiel. La faute, au-delà d'une concurrence féroce au centre, à des blessures qui ont rythmé sa carrière. Jamais de gros coups durs, mais une succession de pépins qui l'ont ralenti. En vrac, une déchirure aux ischio-jambiers (presque trois mois d'absence à l'hiver 2019), une cheville bien amochée (de mi-septembre à début novembre 2021), des ischio-jambiers une nouvelle fois touchés (au printemps 2023, au moment des phases finales), une blessure aux côtes (un mois en avril 2024), une autre à un mollet (un mois en octobre 2024).

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« Il a eu des gros moments de doute, mais il s'est forgé une carapace, constate le Castrais Seguret, autrefois partenaire d'une paire de centres surnommée « les Frères Lumière » à Lyon, et avec qui les liens sont restés très forts. Il comprend mieux son corps, il a un peu d'expérience et il a appris à mieux gérer son quotidien. Je le sens plus épanoui. » Avoir repris ses études pendant ses périodes de blessures et donc d'inactivité lui a aussi permis de s'aérer la tête. Lundi soir, à Marcoussis, il passait même une soutenance depuis sa chambre pour son Master de management opérationnel dédié aux sportifs de haut niveau à l'EM Lyon, une grande école de commerce.

« Il a rencontré les bonnes personnes et compris comment se faire bien accompagner »

Jean-Marc Doussain, ancien coéquipier à Lyon dont il est resté très proche

 

 

 

Parti de Lyon pour Toulouse en 2022, « PL » a connu une première saison gâchée par les blessures et il s'est forcé à opérer une remise en question de fond. Découvrir un nouveau fonctionnement au quotidien ne s'est pas fait sans heurts et le centre des Bleus a eu du mal à trouver sa place. Pour comprendre le Stade Toulousain, Barassi, surtout en 2023, a de nombreuses fois squatté le bord de terrain des matches des Crabos ou Espoirs du club, pour lire plus facilement le projet de jeu, l'âme du club, les réflexes à adopter. Les pépins physiques à répétition l'ont aussi conduit à consulter un spécialiste mental, pour voir ce qui n'allait pas et extérioriser certaines choses.

« ll a fait du travail mental et essayé de trouver des pistes de réflexion pour avancer. Et ce qui ne change pas, c'est qu'il a toujours besoin d'appeler ses copains, de se confier, de parler », confie Seguret. Préparation mentale et soutien psychologique lui ont éclairci le cerveau. « J'étais à fond derrière lui pour qu'il fasse ce travail, ça l'a beaucoup aidé à relativiser. Avec les blessures, les moments de moins bien, il n'était pas facile à vivre hein ! », confie sa compagne. « C'est quelqu'un qui est sensible, qui se remet beaucoup en question. Il a rencontré les bonnes personnes et compris comment se faire bien accompagner », estime Doussain.

« Je ne l'ai jamais vu aussi heureux qu'en ce moment. Il vit ça comme un gros soulagement »

Faustine, sa compagne

 

 

 

Ceux qui l'entourent estiment à un an, au moins six mois, ce déclic, cette barrière mentale franchie et la prise de conscience validée. « Il est en train de grandir, c'est l'expérience, la maturité », croit Seguret. « Il a pris le taureau par les cornes, accepté certaines choses, compris d'autres, notamment sur la concurrence à Toulouse. Je lui ai expliqué que certains très grands joueurs du Stade n'avaient parfois pas joué de phases finales, mais que c'était normal, que c'était le club qui était comme ça. Je lui ai dit, regarde la chance que tu as, ce que tu as déjà fait, avance ! », raconte Doussain, passé lui aussi par la maison rouge et noire (2009-2018).

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Monter à Marcoussis dimanche dernier et se retrouver titulaire pour le premier match du Tournoi fait dire à Barassi que ses efforts et ses changements ont payé. « Je ne l'ai jamais vu aussi heureux qu'en ce moment. Il vit ça comme un gros soulagement, il est excité, témoigne sa compagne. Il a bien enchaîné et ça lui sourit enfin. Il a digéré les périodes de blessure, le changement de statut en passant de Lyon à Toulouse. » Si son instinct de compétiteur a pu parfois lui jouer des tours, trop pressé, trop frustré, c'est aussi, chez lui, un levier efficace pour se remettre sur pied et avancer. « C'est un caractère, c'est sûr, admet son pote Seguret. Il a la dalle, c'est un tueur. Quand ça allait moins bien, il me disait souvent que le jour où il allait revenir, il aurait envie de bouffer tout le monde, de regagner sa place. » L'heure de Barassi est arrivée.

 

 

[HugoltBolt]

Bon apparemment 65% des français sont favorables au retour de Jegou/Auradou, tout va bien du coup.

Va quand même falloir m'expliquer où ils les ont trouvés là quand même.

[Parigot_Paris]

Pour ce qui me concerne, je ne veux pas la mort du pécheur. Nan, RCV06, pas du pêcheur, tu me montreras ta licence et tes dardillons sur les hameçons.

 

Les gars ont fait un connerie mais la justice argentine a traité eul'problème avec un sérieux digne du camp des Loges. Donc passons l'éponge tels les Fernand Raynaud de la justice.

[steph]

Bon apparemment 65% des français sont favorables au retour de Jegou/Auradou, tout va bien du coup.

Va quand même falloir m'expliquer où ils les ont trouvés là quand même.

A la Rochelle et à Pau, ou alors c'est le même institut de sondage qui s'est occupé des élections en Biélorussie.

[el landeno]

À l'image de Moefana et Barassi, les trois-quarts centre du XV de France privilégient le travail de l'ombre La victoire contre le pays de Galles (43-0), vendredi, a confirmé, malgré le retour de l'offensif Barassi, que les centres des Bleus sont attendus dans le travail de l'ombre, souvent autour de Dupont, près des avants, et dans leur abattage défensif. Là-dessus, Moefana et Barassi n'ont pas déçu.

L'impression est aussi tenace après match que les attentes élevées avant. Au centre, les Bleus ont depuis le début de mandat de Fabien Galthié des tandems alléchants, de Fickou-Vakatawa à Moefana-Barassi en passant par Danty-Fickou, en attendant l'heure de Depoortere et Gailleton. Le retour contre Galles de Pierre-Louis Barassi, ses courses tranchantes, son sens du timing ou encore sa faculté à faire jouer après lui, qui avaient sauté aux yeux récemment avec Toulouse, pouvaient laisser augurer des étincelles au milieu du terrain.

 

Pourtant, comme souvent ces derniers mois, ressort donc cette impression de ne pas avoir exploité les qualités du joueur, voire de ne pas les avoir vues à l'oeuvre. Yoram Moefana et Gaël Fickou n'ont pas échappé à ce constat récemment. Ce qui ne les empêche pas de satisfaire le staff des Bleus, dont les systèmes demandent plus un travail de l'ombre à la paire de centres, au service d'individualités qui brillent autour d'eux.

Ni des relayeurs ni des botteurs

Écartons tout de suite l'option d'un premier centre-deuxième ouvreur, qui n'a été testée que deux fois en novembre 2021 avec une association Jalibert-Ntamack avant de retourner au placard. Avec Dupont, Ntamack (ou Jalibert) et Ramos, les Bleus ont trois joueurs au pied clairement identifiés et les centres tricolores ne sont pas attendus dans ce domaine.

Et à la main ? Les statistiques récentes montrent qu'ils ne sont pas non plus très sollicités, pas en tout cas dans les standards romantiques du centre relayeur et distributeur. « Contrairement aux Écossais où les centres jouent presque tous les ballons, le quinze de France a Antoine Dupont, joueur incroyable qui a besoin d'espaces, court balle en mains, met de l'incertitude près des rucks, estime l'ancien sélectionneur Philippe Saint-André (2011-2015). Donc Fabien Galthié s'est adapté et nos centres se sont resserrés et sont moins sollicités directement en attaque puisqu'on passe beaucoup par des passes au pied. »

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Ni Moefana ni Barassi n'apparaissent dans le top 5 des joueurs ayant porté ou passé le plus de ballons vendredi soir face à Galles (43-0), alors que l'Irlandais Bundee Aki a terminé contre L'Angleterre avec 78 m parcourus ballon en mains sur 11 courses. Question de profils - Bundee Aki se rapproche d'un Jonathan Danty, souvent utilisé en point de fixation au centre du terrain - mais pas que... En novembre, contre la Nouvelle-Zélande (30-29) et l'Argentine (37-23), Moefana en 12 avait cumulé 7 passes, Fickou 5. Alors que les Bleus veulent aller vers plus de possession et imposer des séquences longues, pourquoi un tel paradoxe statistique ?

 

Des neuvième et dixième avants ?

L'installation du percuteur/gratteur Danty au cours du premier mandat de Galthié avait dessiné cette tendance dans le système des Bleus : le premier centre a presque un rôle de neuvième avant, qui vient compléter les blocs au près, déblayer au soutien offensif ou attaquer la ligne derrière touches et mêlées. Aussi puncheur et habile ballon en mains soit-il, Moefana doit cocher ces cases dans le système des Bleus, lui qui semble avoir plus de libertés dans le système offensif bordelais.

 

Pierre-Louis Barassi et Yoram Moefana au contact du centre gallois Nick Tompkins. (B. Papon/L'Équipe)

Le constat s'est étendu à Barassi vendredi soir, tant les Bleus ont voulu concentrer la défense galloise. « Les deux ont complété le jeu des avants, dans une stratégie qui voulait concasser les Gallois dans l'axe avant de trouver une faille sur les extérieurs avec une transversale au pied ou une longue passe de Dupont, estimait notre consultant Jean-Baptiste Élissalde dans le salon tactique. Si on les a peu vus sur les largeurs, c'est parce qu'ils ont une importance primordiale dans le petit jeu autour d'Antoine Dupont et des avants pour les soulager. »

Un rôle flagrant sur les séquences dans les 22 mètres gallois avant les essais de Théo Attissogbe (18e) et Louis Bielle-Biarrey (23e). « C'est prépondérant : en venant aider les avants, en créant des points d'appuis et des leurres, ils libèrent des espaces pour les autres trois-quarts », poursuit Élissalde. Que Dupont, Ntamack et Ramos savent capter sans passer par leur paire de centres.

« Je ne suis pas certain que ce soit un système qui limite le jeu offensif des centres français, ajoute Pierre Villepreux, ancien entraîneur du quinze de France (1995-1999). Contre les Gallois, nos centres ont été sautés pour favoriser l'efficacité de l'attaque française. Les conditions climatiques et l'animation autour de Dupont et Ntamack amènent à choisir la meilleure solution et le nombre d'essais inscrits montre que c'était le bon choix. »

De gros défenseurs

Voilà bien une composante du poste de centre sous Galthié qui n'a pas varié : son importance dans le système défensif. Dès son arrivée à la tête des Bleus il y a cinq ans, Fickou est devenu le capitaine de défense. Danty a ensuite apporté sa densité et sa faculté à contester les ballons au sol. Les épaules de Moefana et Barassi ont surchauffé vendredi soir avec respectivement 17 et 15 plaquages à leur actif. « Leur impact, très en pointe, était adapté à ce que proposait l'attaque galloise », souligne Villepreux.

Après la rencontre, le revenant Barassi insistait sur la solidité défensive et pointait des « progrès » à réaliser sans les préciser, conscient que l'adversité va monter samedi à Twickenham. L'appétit des deux centres aussi ? « On sent quand même que Barassi a des fourmis dans les jambes, qu'il a envie de prendre des intervalles, estime Dimitri Yachvili, ancien demi de mêlée des Bleus et consultant France Télévisions. Sans doute que pour son retour, après quelques années d'absence en équipe de France, il s'est un peu bridé pour livrer une copie propre. » Ou qu'il s'est fondu si rapidement dans le système des Bleus qu'il a mis de côté ses envies de fulgurances individuelles, comme ont su le faire Yoram Moefana et Gaël Fickou avant lui.

 

 

[cocotte 63]

Dupont est un joueur extraordinaire, je le conteste aucunement, mais j'ai peur que d'en faire l'alpha et l'oméga de notre jeu en EDF sur quasi toutes les phases de jeu offensives nous portent préjudice face aux meilleurs, j'aimerai que l'on opte pour un peu plus d'alternance où Dupont puisse la jouer très classique sur plus de phases de jeu, histoire d'être plus complet, et moins lisible ou prévisible !

[HugoltBolt]

Dupont est un joueur extraordinaire, je le conteste aucunement, mais jai peur que den faire lalpha et loméga de notre jeu en EDF sur quasi toutes les phases de jeu offensives nous portent préjudice face aux meilleurs, jaimerai que lon opte pour un peu plus dalternance ou Dupont puisse la jouer très classique sur plus de phases de jeu, histoire dêtre plus complet, et moins lisible ou prévisible !

 

Le problème de cela on l'a surtout vu à la CDM :  si pour une raison X ou Y il est absent, Galthié a-t-il un plan B ? 
Pas certain.

[Toorop]

Dupont est un joueur extraordinaire, je le conteste aucunement, mais jai peur que den faire lalpha et loméga de notre jeu en EDF sur quasi toutes les phases de jeu offensives nous portent préjudice face aux meilleurs, jaimerai que lon opte pour un peu plus dalternance ou Dupont puisse la jouer très classique sur plus de phases de jeu, histoire dêtre plus complet, et moins lisible ou prévisible !

Individuellement c'est effectivement exceptionnel voire inédit.
Mais il fait combien de passes à son 10 par match ?

[cocotte 63]

en tout cas, sur le match de vendredi soir, c'était trop flagrant... NTM n'avait quasi aucun rôle, ni impact... pour cela, il lui aurait fallu plus de ballons jouables, où il pouvait imposer/dicter le jeu.

 

S'il n'y a pas d'évolutions, ce sera pareil avec Jalibert, je dirai même pire, car lui est très offensif, donc il va vouloir les jouer les quelques ballons qu'il aura, même quand ils ne seront pas bons.

 

Vraiment, je pense que l'EDF doit se pencher très sérieusement sur le sujet.

[Alex chocolatines]

en tout cas, sur le match de vendredi soir, c'était trop flagrant... NTM n'avait quasi aucun rôle, ni impact... pour cela, il lui aurait fallu plus de ballons jouables, où il pouvait imposer/dicter le jeu.

 

S'il n'y a pas d'évolutions, ce sera pareil avec Jalibert, je dirai même pire, car lui est très offensif, donc il va vouloir les jouer les quelques ballons qu'il aura, même quand ils ne seront pas bons.

 

Vraiment, je pense que l'EDF doit se pencher très sérieusement sur le sujet.

Galthie avance masqué il n'a pas voulu révéler son plan diabolique aux Anglais. Vous allez voir ce que c'est le French Flair 2.0 

[RCV06]

en tout cas, sur le match de vendredi soir, c'était trop flagrant... NTM n'avait quasi aucun rôle, ni impact... pour cela, il lui aurait fallu plus de ballons jouables, où il pouvait imposer/dicter le jeu.

 

S'il n'y a pas d'évolutions, ce sera pareil avec Jalibert, je dirai même pire, car lui est très offensif, donc il va vouloir les jouer les quelques ballons qu'il aura, même quand ils ne seront pas bons.

 

Vraiment, je pense que l'EDF doit se pencher très sérieusement sur le sujet.

Je sais pas si tu as vu l analyse du jeu de l EDF dans le midol mais leur parallèle avec le foot us est pas mal vu, avec Dupont qui navigue derrière une ligne d avant comme un quarterback en cherchant l ouverture ou en balançant une passe au pied a son ailier comme le ferait un quarterback mais à la main.

[Bon Chasseur]

en tout cas, sur le match de vendredi soir, c'était trop flagrant... NTM n'avait quasi aucun rôle, ni impact... pour cela, il lui aurait fallu plus de ballons jouables, où il pouvait imposer/dicter le jeu.

 

S'il n'y a pas d'évolutions, ce sera pareil avec Jalibert, je dirai même pire, car lui est très offensif, donc il va vouloir les jouer les quelques ballons qu'il aura, même quand ils ne seront pas bons.

 

Vraiment, je pense que l'EDF doit se pencher très sérieusement sur le sujet.

euh bof, même en grande forme en Bleu comme à Toulouse Ntamack n'a jamais été un joueur qui touchait énormément de ballons. Justement ce n'est pas un ouvreur qui domine la balle comme Jalibert, qui en a besoin pour s'exprimer. Ntamack tu peux rien lui donner du match, et sur un ballon il court au ralenti comme tjrs mais traverse la défense et sur un autre ballon te fait une passe au pied qui va à l'essai, ou il chope un ballon chaud dans ses 22 et te relance 30m. Ca a tjrs été son jeu. Sobre mais efficace. Par contre j'ai un peu de réserves sur l'asso Dupont/Jal. Je sais le staff compétent, Galthié notamment même si j'en attends encore d'Arlettaz, mais c'est très imprévu Ntamack qui saute dès le 2è match donc je ne sais pas s'ils vont réussir à faire marcher cette paire en une semaine. A voir.

[cocotte 63]

Non jai pas lu cette analyse, mais oui ça donne à peu près ça

Je suis assez circonspect de cette strategie du tout Dupont, en rugby à 15, je ne vois pas où ça peut mener en tout cas, face à des cadors, et stratège comme le manager sudaf, encore une fois lobjectif étant dêtre champion du monde donc de battre coup sur coup deux à trois grandes équipes, et là sans évolution et alternance, je me dis que ça risque dêtre compliqué !

En première mi-temps je me suis juste dit mais cest pas possible quel est le rôle de NTM, sur une action près de len-but et qui doit finir par un essai en plus ! il était là mais ne servait à rien, je me suis dit cest pas possible, cest trop !