276 réponses à ce sujet

[George Abitbol]

je l'ai classée dans les gens chiants centrés sur leurs petits problèmes

 

 

Que ce soit réellement le cas ou pas, ça ne permet pas de juger si elle a été effectivement victime de harcèlement ou pas.

 

 

Il y a probablement plein de gens chiants qui ont été victimes de harcèlement.

[Alex chocolatines]

alors sans mettre en doute ses dires, en tout cas sur la qualité des responsables de F2, pour l'avoir suivi un temps sur les réseaux sociaux,

je l'ai classée dans les gens chiants centrés sur leurs petits problèmes

En admettant que la nana soit "un peu chiante", cela serait une circonstance atténuante du comportement présumé de ses collègues ? 

[Le Marseillais]

En admettant que la nana soit "un peu chiante", cela serait une circonstance atténuante du comportement présumé de ses collègues ? 

Non, mais ça signifie que le comportement est d'autant plus présumé.

(je sais,je m'ennuie en ce moment, donc j'aime bien faire ch   le monde)

[Alex chocolatines]

Non, mais ça signifie que le comportement est d'autant plus présumé.

(je sais,je m'ennuie en ce moment, donc j'aime bien faire ch   le monde)

Quand j'étais gamin, et que je disais "je m'ennuiiiiiiiiiiiiiie" Ma grand mère répondais prend un marteau et tape toi sur les doigts !

Sinon, tu peux compter les grains de riz dans un paquet, ou les coquillettes   

[Le Marseillais]

Quand j'étais gamin, et que je disais "je m'ennuiiiiiiiiiiiiiie" Ma grand mère répondais prend un marteau et tape toi sur les doigts !

Sinon, tu peux compter les grains de riz dans un paquet, ou les coquillettes   

Non merci.

Je préfère emm   tout le monde sur le forum, c'est beaucoup plus vivant.

[Alex chocolatines]

Non merci.

Je préfère emm   tout le monde sur le forum, c'est beaucoup plus vivant.

Bon alors va dire à Ptolémée que c'est la fin du monde ! là ça va t'occuper un moment !

[Le Marseillais]

Bon alors va dire à Ptolémée que c'est la fin du monde ! là ça va t'occuper un moment !

[la bella y la Bestia]

En admettant que la nana soit "un peu chiante", cela serait une circonstance atténuante du comportement présumé de ses collègues ? 

non , un motif. 

[Bougnat et Breton]

 

 

Que ce soit réellement le cas ou pas, ça ne permet pas de juger si elle a été effectivement victime de harcèlement ou pas.

 

 

Il y a probablement plein de gens chiants qui ont été victimes de harcèlement.

Et il y a aussi plein de gens qui ont été très chiants et qui n'ont jamais été victimes de harcèlement ......surtout sexuel .......regarde moi par exemple !!

[RCV06]

Non, mais ça signifie que le comportement est d'autant plus présumé.

(je sais,je m'ennuie en ce moment, donc j'aime bien faire ch   le monde)

Je vois pas la différence quand tu t'ennuies pas

Et il y a aussi plein de gens qui ont été très chiants et qui n'ont jamais été victimes de harcèlement ......surtout sexuel .......regarde moi par exemple !!

Alors que toi tu attendais que ça, mais moi en tant que 3/4 je peux te dire que c'est chiant d avoir les nanas qui t envoient leur culotte depuis les tribunes

[bazooka]

[Toorop]

L'Equipe ce matin

 

Avant de se libérer d’un poids et de témoigner du harcèlement moral et du sexisme qu’elle a vécus lors de son passage au service des sports de France Télévisions, Clémentine Sarlat (32 ans) a eu besoin de temps. Jeudi, quand nous l’avons contactée, elle nous a d’abord expliqué pourquoi elle n’en avait pas fait mention lors de son départ du groupe audiovisuel à l’été 2018 : « Je comprends que mes consœurs règlent toutes leurs problèmes en interne, discrètement. Je l’ai fait aussi à ce moment-là et j’ai de la culpabilité aujourd’hui. Pour les autres femmes, pour que ces pratiques-là changent, j’aurais peut-être dû procéder autrement. Mais c’est dur d’assumer cela. »

Désormais indépendante et productrice de podcasts, elle a finalement assumé pleinement sa décision de parler dans nos colonnes. Elle a notamment décrit l’époque délicate du premier semestre 2018, à son retour de congé maternité, « une période fragile pour les femmes. En mai 2017, avant mon congé maternité, la direction des sports m’annonce que je vais coprésenter Stade 2 avec Matthieu Lartot. En réalité, c’était de la com’. Il fallait juste annoncer une présentatrice. Lorsque je reviens, en janvier 2018, on me dit : “À cause des lumières et des caméras, tu ne pourras pas être à côté de Matthieu.” Je n’étais plus coprésentatrice. Quand j’ai demandé une augmentation, on m’a répondu : “Rends-toi d’abord indispensable !” Matthieu l’a eue, normal ! Mais pourquoi pas moi ? […] J’allais à Stade 2 en pleurant. Pour la préparation de l’émission, personne ne me parlait. Ils m’avaient mise dans un bureau à part, loin des rédacteurs en chef […] Puis on m’a mise en RTT sur mes jours de télétravail demandés pour m’occuper plus facilement de mon bébé, ça a été la goutte d’eau. » Elle a aussi évoqué les comportements sexistes récurrents de certains journalistes.

Joint vendredi avant la parution de l’interview, France Télévisions n’avait pas souhaité réagir aux déclarations de son ex-journaliste. Mais hier après-midi, dans un communiqué, le groupe audiovisuel a annoncé l’ouverture d’une enquête interne. Et sa présidente, Delphine Ernotte, nous a également informés par écrit avoir pris personnellement l’affaire en mains : «J’ai lu les propos de Clémentine Sarlat. J’ignorais cette situation et j’ai engagé immédiatement une enquête. Je l’ai appelée et j’ai échangé directement avec elle. Le harcèlement est intolérable dans toutes les entreprises et particulièrement dans le service public. L’égalité entre les femmes et les hommes est un combat que je ne lâcherai pas. » La journaliste, qui n’avait pas tenté d’alerter sa présidente à l’époque, a apprécié la démarche.« Elle m’a appelée et dit : “Je vous crois, je ne remets pas en doute votre parole, mais je veux connaître le contexte.” Elle a ajouté que j’avais été courageuse de parler et que j’avais tout son soutien. »

Au sein du service des sports, le groupe WhatsApp de la rédaction a croulé sous les messages, hier. La démarche de leur ancienne collègue y a reçu un accueil très majoritairement favorable. Quelques journalistes ont aussi pris l’initiative de lui adresser un message personnel. « J’espère que ses anciens collègues comprendront aussi avec bienveillance qu’elle se soit exprimée et qu’ils ne feront pas preuve d’égoïsme, prévient Vanessa Le Moigne, journaliste à beIN Sports. Je vois ce que l’on vit comme une vraie bataille. On est l’égale des hommes dans ce métier, oui, mais on part avec une lourde valise à porter.»

Nathalie Iannetta a également adressé un message à Sarlat. «Quelle honte, bouillonne la chroniqueuse de Téléfoot. C’est une consternation mais, en même temps, mêlée d’un truc qui n’est même pas surprenant. Je salue surtout son courage. Cela ne doit pas être facile de raconter cela, de devoir se justifier. Le vrai problème, c’est que c’est toujours aux victimes de se prendre en charge, d’oser briser le silence et d’être courageuses. Vous n’allez pas me dire que personne ne s’était aperçu dans la rédaction de la manière dont on pouvait lui parler et se comporter avec elle. C’est insupportable. »

De nombreuses autres consœurs y sont allées de leur soutien et de leurs remerciements comme Charlotte Namura, Émilie Tran Nguyen, Margot Dumont ou encore la consultante Jessica Houara-d’Hommeaux. Certains de ses confrères ont fait de même, comme le journaliste de TF1, Grégoire Margotton : « Le témoignage de Clémentine Sarlat [...] décrit une réalité. Et rappelle aussi que dans certains médias, heureusement, le respect et la courtoisie sont la norme. Pas partout. Pas encore… » En messages privés, les confessions de femmes du milieu entre elles se sont aussi multipliées sur le thème : « Quand je ne serai plus en poste, je parlerai... », car la crainte de perdre son travail est réelle. « C’est la vérité, plus t’es précaire, plus tu fermes ta gueule ! J’ai toujours pensé cela », martèle Iannetta.

Dans ces cas-là, certaines journalistes doivent s’unir. « Je suis admiratif de la prise de parole de Clémentine, souligne Antoine Chuzeville, journaliste du service des sports de France Télés et délégué syndical SNJ. Mais je ne suis absolument pas surpris. Elle n’est plus dans la rédaction depuis un an et demi mais les comportements qu’elle décrit sont toujours là. L’été dernier, trois jeunes femmes du service des sports “vulnérables”, c’est-à-dire en stage, en pige ou en CDD, sont venues nous voir pour se plaindre et signaler certains comportements. Il s’agissait de phrases à connotation sexuelle très explicite, des invitations très poussées de rejoindre des journalistes beaucoup plus âgés après le boulot, des réflexions dégradantes. Cela avait été vérifié et parfois dit devant une petite assemblée. J’avais demandé un rendez-vous à ma direction et celle des ressources humaines. Le dossier avait été pris très au sérieux. Mais je ne sais pas trop ce que cela a donné… C’est notre regret. On espère que cette enquête permettra de faire remonter tous les témoignages. » Certaines journalistes, en poste ou parties de l’entreprise, auraient déjà discrètement fait savoir qu’elles étaient prêtes à témoigner. 

[RCV06]

En admettant que la nana soit "un peu chiante", cela serait une circonstance atténuante du comportement présumé de ses collègues ? 

Ne pas oublier que c'est une femme donc chiante par nature, ça ne peut pas être retenue contre elle
 

[Vynce]

Perso j'aime bien la blague sur le collier. 

[Alex chocolatines]

Perso j'aime bien la blague sur le collier. 

Bien sur que c'est drole, mais on ne peut pas rire de tout avec n'importe qui .... Je suis le premier à raconter des conneries plus grosses que moi, mais il faut faire ça dans un cadre propice à la déconne, une soirée entre potes, une troisième mi temps.... ou un forum "blagounettes" ! Dans le cadre du travail, et si en plus il y a un lien de subordination, il faut garder une certaine distance...