mais n'oublions pas les 10h15 de compensation de bestaven, il va etre pas simple à aller chercher à la régulière.
bateau classé monument historique il me semble.
c'est vrai , j'oubliais ...
Posté 31 décembre 2020 - 11:02
mais n'oublions pas les 10h15 de compensation de bestaven, il va etre pas simple à aller chercher à la régulière.
bateau classé monument historique il me semble.
c'est vrai , j'oubliais ...
Posté 31 décembre 2020 - 11:02
Ça vaut pas le kon tikiLe Joshua en hommage à Joshua Slocum le premier circum navigateur en solitaire à la voile à bord du Spray.entre 1895 et 1898
Posté 31 décembre 2020 - 11:11
oui je confirme , Jean à perdu du terrain cette nuit
mais bon , j'attends sa remontée de l'Atlantique Sud .
Et puis danger de nouveau pour les foils , ils vont retrouver
l'intense trafic des porte-containers entre Buenos Aires et
Rotterdam
Posté 31 décembre 2020 - 11:21
Posté 31 décembre 2020 - 12:08
Posté 31 décembre 2020 - 13:43
le plus grand de tous ?
Posté 31 décembre 2020 - 13:53
Posté 31 décembre 2020 - 14:10
Ça vaut pas le kon tiki
https://images.app.g...4WoScQ2S4S8GKi9
Ne serait ce pas plutôt le Kon de Tiki ?
Bon je retourne faire du paddle sur la Besbre, aprés avoir épluché les patates aux Glénans
Posté 31 décembre 2020 - 15:23
Posté 31 décembre 2020 - 15:50
le plus grand de tous ?
Il n'a jamais fait de course autour du monde en solitaire, en équipage oui, mais pas en solitaire
Posté 31 décembre 2020 - 16:05
"Naviguer est une activité qui ne convient pas aux imposteurs. Dans bien des professions, on peut faire illusion et bluffer en toute impunité. En bateau, on sait ou on ne sait pas."Il n'a jamais fait de course autour du monde en solitaire, en équipage oui, mais pas en solitaire
(Éric Tabarly)
Posté 31 décembre 2020 - 17:28
Il n'a jamais fait de course autour du monde en solitaire, en équipage oui, mais pas en solitaire
exact , pour autant il restera un géant dans les mémoires
Posté 31 décembre 2020 - 22:43
à fond la caisse avant le Horn à 850nm ....
Bestaven et Dalin pied au plancher
Y a t-il moyen de faire le break ? C’est ce qu’espèrent les deux leaders en cette veille de nouvelle année. Yannick Bestaven, en tête depuis 15 jours, est à l’attaque et pousse son plan Verdier-VPLP de 2015 au maximum de ses capacités. Au reaching dans un vent de Nord à Nord-Ouest soutenu, le bateau rouge, collé à la ZEA, file à plus de 20 nœuds de moyenne pour rester à l’avant du front qui le propulse vers la sortie du Pacifique. Il reste 850 milles à tenir jusqu’au passage du cap Horn.
En voile, comme dans de nombreux sports, la défense, c’est souvent l’attaque !
« J’ai fait des surfs à 30 nœuds » confie Charlie Dalin qui arbore un beau cocard sur l’œil droit après s’être cogné hier lors d’un beau « planté ». 150 milles dans le Nord de son prédécesseur, le skipper d’Apivia est exactement dans la même logique : une course poursuite avec le front qui ne lui laisse pas d’autres choix que d’appuyer sur l’accélérateur. « Il fallait être pied au plancher. Si tout va bien, je ne devrais pas me faire rattraper » espère Charlie. Si les deux hommes réussissent leur coup, ils pourraient bien prendre un sacré avantage au passage du cap Horn dans la nuit du 2 au 3 janvier.
Un avantage qui se compterait en plusieurs centaines de milles.
En 4e position, Thomas Ruyant est aussi l'un des plus rapides ce jeudi après-midi. Le skipper de LinkedOut tente un passage par le Nord et bénéficie pour l’heure de belles conditions pour accélérer aux abords de la grosse dépression secondaire. Malheureusement, ce phénomène va se déplacer avec lui et finir, probablement par le doubler…
Derrière, de Damien Seguin, 3e, à Giancarlo Pedote, 11e, ce n’est pas ambiance champagne et serpentins. Le peloton de chasse est pris au piège dans un trou d’air. Dans ce labyrinthe aux contours instables, chacun tente de trouver le meilleur passage possible : Dutreux, Herrmann, Le Cam, Joschke et Sorel à coup d’empannages au ras de la barrière des glaces ; Burton et Pedote en faisant le tour par le Nord.
Non contents de perdre du terrain, ces chasseurs sont en train de se faire rattraper par le trio Crémer/Tripon/Attanasio qui cavale à l’arrière de la dépression dans un bon flux de Sud-Ouest.
Une soirée presque comme les autres
Il y aura forcément quelques agapes. Un petit sac soigneusement préparé par les équipes étiqueté au 31 décembre et qui recèle quelques douceurs pour mettre un peu de baume au cœur aux esseulés des mers du Sud. Un repas qui sort de l’ordinaire, une mignonette de quelque breuvage alcoolisé pour se réchauffer le gosier. Si les navigateurs ont une pensée pour leurs proches et la terre, cette 53e journée de mer ressemble à toutes les autres et sera vécue au rythme imposé par les bateaux, la stratégie, la météo. « Le réveillon ne va pas être cotillons et langues de belle-mère et en plus, comme toutes les discothèques sont fermées… Cela va être une soirée comme les autres ! » confirme Yannick Bestaven. Même aveu chez Charlie Dalin ou Romain Attanasio, lequel est davantage préoccupé par des soucis de 'hook' qui l’empêchent de maintenir sa grand-voile au 2e ris (et qui l’obligent à naviguer sous ou surtoilé) que par la célébration du nouvel an !
Pour les coureurs du Vendée Globe, le vrai tournant n’est pas celui du passage à 2021. Mais celui qu’ils amorceront, clignotant à gauche, au moment de laisser à bâbord l’île Horn et son cap mythique.
Posté 01 janvier 2021 - 08:19
"Naviguer est une activité qui ne convient pas aux imposteurs. Dans bien des professions, on peut faire illusion et bluffer en toute impunité. En bateau, on sait ou on ne sait pas."
(Éric Tabarly)
"quand on ne sait pas"
Comment Donald Crowhurst a menti sur son tour du monde - Mer & Océan (mer-ocean.com)
Posté 01 janvier 2021 - 09:11
Jean Le Cam : « Il ne faut pas traîner dans le coin ! »
01 Janvier 2021 - 07h21 • 3617 vues
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Pour son cinquième Vendée Globe et avant son septième passage du cap Horn, Jean Le Cam conserve toute sa verve malgré des conditions très particulières cette année dans le Pacifique. Le skipper de Yes We Cam! devrait être dans les temps de son premier passage (en tête) lors du tour du monde en solitaire 2004 (56j 17h 13’).
« Là, ça avance, c’est clair ! Benjamin (Dutreux) est à deux milles. Et moi, je me suis un peu décalé dans le Nord : si on veut dormir tranquille, il vaut mieux en être à une certaine distance. J’arrive à faire une route qui me convient bien parce que le vent va un peu tourner vers la droite.
Chaque passage du cap Horn est particulier, mais cette fois a priori, il y aura de l’air ! Et ça, ce n’est pas terrible. Enfin surtout pour ceux qui vont tenir la vitesse devant, puisque nous, nous aurons moins de vent. Et après, ça rentre par derrière ! Il ne faut pas traîner dans le coin.
L’océan Pacifique, son état dépend des systèmes météo qu’il subit, mais cette fois, on dira que la première partie était tranquille, mais c’était très agité après. Les situations ont été brutales avec ces grandes bascules : un coup, on avait du vent de Sud, un autre, de la brise de Nord ! Ça secoue et c’est un peu chiant… Là par exemple, il n’y a pas la grande houle du Pacifique.
Il y a une douzaine d’heures, on était dans la molle totale… Maintenant, il reste un résidu de houle, mais trois fois rien. Ce n’est pas une situation habituelle ! Alors qu’il est 4h30 TU, il va bientôt faire nuit ici : je suis encore le 31 décembre… Enfin, je crois ! Parce que ça change tous les jours… Le cap Horn, c’est dans quatre jours environ. S’il y a baston, on va y aller pédale douce.
Bonne année ! »
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