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Vendée Globe 2024-2025 . L'aventure existe encore ..


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#856 julien

julien

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Posté 13 janvier 2021 - 09:08

Sachant que Besthaven a 8 ou 10 h je crois

 

10h30

 

Le 1er qui passera la ligne ne sera pas forcément le vainqueur!


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#857 thurfin

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Posté 13 janvier 2021 - 09:15

 

10h30

 

Le 1er qui passera la ligne ne sera pas forcément le vainqueur!

ils nous ont volé la course donald%20trump.gif


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#858 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 09:21

..et pendant ce temps là en Patagonie , Didac Costa , Stéphane Le Diraison

et Kojiro Shiraishi franchissent à leur tour le Cap Horn 

cartographie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Prise de pouvoir des foilers ?

rien n'est définitif selon moi ... :fume:

 

 


bureau-vallee-2-c-1600-660.jpg

À la santé des foilers !

13 Janvier 2021 - 07h01 • 6894 vues 

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Louis Burton (Bureau Vallée 2) est venu mettre son grain de sel sur le podium provisoire du Vendée Globe depuis hier soir. Un top 3 mené de nouveau par Yannick Bestaven (Maître CoQ IV) et complété par Charlie Dalin (Apivia), qui sent fort la prise de pouvoir des foilers. En tout cas, de ceux qui vont pouvoir s'exprimer prochainement, lorsque les alizés seront stabilisés. 

« C’est dingue, ça ne partira jamais par l’avant dans ce Vendée Globe ! » Ce matin, Thomas Ruyant, 4e, n’en revenait toujours pas. Et nous non plus. Après 65 jours de course bien consommés, personne n’est encore parvenu à dégager la moindre marge.

Le classement du matin le confirme : 5,6 milles entre Yannick Bestaven, de nouveau leader, et Charlie Dalin ; 26,1 milles entre le leader et le troisième. Entre les deux hommes qui comptent le plus gros crédit de temps suite au sauvetage de Kevin Escoffier, Yannick Bestaven (10h15) et Jean le Cam (16h15), il y a 121 milles d’écart. Et entre les deux, Boris Herrmann, avec ses 6 heures de crédit pour la même raison, ne compte que 63,8 milles de dédit sur le boss à plumes.

Il ne s’agit pas de remettre une pièce dans le jukebox des calculs tordus – une heure n’a pas le même impact selon la vitesse d’avancement des bateaux, et on n’est pas à l’abri de nouveaux épisodes météo torves –, simplement de prendre conscience que le scénario de Vendée Globe dépasse de très loin tout ce qui pouvait être imaginé au matin du 8 novembre dernier.

Le bénéfice de l'Ouest

Comme il pouvait l’espérer, Yannick Bestaven (Maître CoQ IV) n’a pas tout perdu à rester dans l’Ouest de la flotte. Face à ce vent de Nord-Est, le bateau rouge peut lofer, serrer le vent, et progresser sur des angles qui lui sont favorables. Cap au 20°, il fonce plein nord, animé du souci de ne pas aller frôler la côte et son activité commerciale et halieutique. Les vitesses ne sont pas folles, 19,5 nœuds depuis le dernier classement, mais les vents gagnent progressivement en stabilité. « Il y a quelques variations de force et direction, il faut être dessus pour ajuster le tir, précisait ce matin Thomas Ruyant (LinkedOut). On commence à avoir du vent, un alizé qui se cale tout doucement et qui va ouvrir à mesure qu'on va progresser par le nord, avec en prévision de jolis bords de reaching à haute vitesse en foiler ». 

Lui en est privé, de l’option foiler à cette allure, son foil bâbord ayant rendu l’âme il y a bien longtemps déjà. Ceux qui vont pavaner avec la carène hors d’eau ont déjà commencé à prendre position : Maître CoQ IV, donc, mais aussi Louis Burton (Bureau Vallée 2), qui a pris la 3e position depuis hier soir et qui, ce matin, au bénéfice d’un meilleur angle au vent, allait vite (13,1 nœuds dans 11,5 nœuds de vent si l’on en croit les fichiers). Seul Thomas Ruyant faisait mieux (14,4 nœuds) dans le même angle au vent.

6e, à 63,8 milles de la tête, Boris Herrmann (SeaExplorer – Yacht Club de Monaco) paraît, lui aussi, doté d’un foiler en parfait état de marche, tout comme Giancarlo Pedote, dont les moustaches de première génération semblent parfaitement faire l’affaire. Est-ce que Charlie Dalin, qui a façonné dans l’Indien une cale basse de puits de foil de remplacement, pourra foiler en tribord amures ? Seul l’établissement d’alizés plus soutenus permettra de le savoir.

Les dérives droites tiennent encore bon

Respectivement 5e, 7e et 9e, Damien Seguin (Groupe APICIL), Benjamin Dutreux (OMIA – Water Family) et Jean le Cam (Yes We Cam!) exploitent les qualités de glisse de leurs IMOCA à dérives droites. Amusant – significatif, surtout –, les trois ont les positions les plus à l’Est du groupe de tête. Leur décalage longitudinal est de 170 milles environ sur le leader, de 80 milles à peu près sur Dalin et consorts.

Si l’on devait distinguer un trou notable, ce serait celui qu’il reste à combler pour Armel Tripon (L’Occitane en Provence), à 713 milles de la tête et Clarisse Crémer (Banque Populaire X), et à 416 milles de Maxime Sorel (V and B – Mayenne), lui-même très légèrement décroché.


Romain Attanasio touché aux côtes
Moins de 300 milles derrière, Romain Attanasio en a terminé avec la dépression, mais pas sans dommages : au près dans 40 nœuds, sur une mer assez démontée, le skipper de Pure – Best Western était inquiet pour le bateau. Il avait même eu du mal à se tenir. Un dernier grain à 50 nœuds, le bateau s’est couché et, tandis qu’il sortait pour choquer un peu, il est tombé, les côtes embrassant violemment un winch. Le masque de la douleur trahissait la rudesse de ce qu’il venait d’endurer : « Je suis un peu tombé dans les pommes, je pense, mais j’ai l’habitude. Mais ça me fait un mal de chien, quand je respire à fond seulement. J’ai la tête qui tourne. Et le temps que je fasse ça, le vent est passé au 260°, je suis vent arrière et plus au près, dans une mer de gueux. J’ai l’impression que c’est fini ».

À quelque 2000 milles de la tête, Arnaud Boissières, Alan Roura et Jérémie Beyou avancent à l’ouest des îles Falklands, à l’arrière d’une dépression australe qui est passée dans leur nord. Pip Hare sera parvenue à garder son Superbigou accroché au tableau arrière de Charal jusqu’après le cap Horn : elle décroche lentement, comptant actuellement 80 milles de retard sur le foiler dernière génération du triple vainqueur de la Solitaire du Figaro. Quand on vous dit que ce Vendée Globe est merveilleusement insensé…

Bientôt le Horn pour Le Diraison
Le cap Horn, Stéphane Le Diraison l’aura mérité. Le skipper de Time for Oceans aura connu le pire de tout pendant deux mois : quatre jours de claquements de voiles dans une pétole incroyable, et des dépressions qui levaient la mer par-dessus l’imaginable : « Dans la dernière dépression que j’ai subie il y a quatre jours, les fichiers me disaient que la houle était de 7,5 mètres. Quand tu sais que le chiffre des fichiers, c’est la moyenne du tiers le plus haut, ça signifie que j’ai eu des vagues de 10 mètres… Quand je regardais le hublot à l’avant, je me voyais descendre à des angulations de 30 degrés ; quand je regardais derrière, je voyais des montagnes foncer sur moi ; j’ai fini par ne plus rien regarder… » Stéphane le Diraison aura eu droit à une dernière blague avant son cap Horn : une pétole molle est venue le cueillir dans sa position très Nord. « Ah, le cochon, il se sera fait désirer ! » La réconciliation, ce sera pour midi, 13 heures au pire, pour le Francilien.

A l’arrière, Alexia Barrier se faisait bien secouer également dans une de ces dépressions qui ne font pas regretter d’avancer avec 3 ris dans la grand-voile et un simple solent à l’avant, en mode conservateur et des sorties dans le cockpit réduites à leur strict minimum. Plus loin, Clément Giraud et Sébastien Destremau avaient des trajectoires un peu tordues. Rien d’anormal : c’est que l’heure des réparations ava



#859 julien

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Posté 13 janvier 2021 - 09:31

Petit rappel : Le jury international a accordé 16h15' de compensation à Jean Le Cam, 10h15' à Yannick Bestaven et 6h à Boris Herrmann pour avoir participé à la recherche et au sauvetage de Kevin Escoffier. Ces temps seront retranchés de leur chrono à leur arrivée aux Sables-d'Olonne. 


https://www.vendeegl...fr/cartographie



#860 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 10:08

Stéphane à vécu des moments stressants , limite terrifiants , une houle de 8 mètres ,

des vagues gigantesques de 10 mètres  :crying:

 

." Quand tu es sur cette moyenne de fichier, ça veut dire que tu en vois régulièrement à 10 mètres et qu’il y en a plein à 8 ou 9 mètres."

 

 

 

 

cap-sur-la-nouvelle-zelande-en-plein-c-1

Stéphane le Diraison : " Je voyais foncer sur moi des immeubles "

13 Janvier 2021 - 09h00 • 3168 vues 

 

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Stéphane Le Diraison (Time for Oceans) en aura vu de toutes les couleurs avant de franchir le cap Horn, aux alentours de midi ce jour. Ce matin, il a raconté en détails ce qu'il a vécu dans le grand Sud. Impressionnant.

Stéphane, te voilà bientôt au bout des mers du Sud !
" Le cap Horn, c’est dans 80 milles ! Je profite de mes derniers instants où je peux pisser et cracher sous le vent, ensuite, je serai tenté de faire tout ça face au vent, je ne sais pas ce que ça va donner (il se marre). Ce n'était pas 'gratos’ d'aller vers lui. Ah le cochon, il se sera fait désirer jusqu'au bout ! Je me suis fait 'empétoler’ cette nuit ; j'étais dégoûté ce matin. Je suivais attentivement les fichiers pour ne pas me faire avoir, et le vent a complètement molli. J’ai essayé de comprendre : la prévision avait complètement évolué et j'étais au cœur de la pétole. C’est anecdotique, mais passer en deux heures, de force 8 à force 0, c’est bien que je suis maudit ! Je me retrouve donc avec un vent mollissant, et sur une route pas directe. L’approche aura été longue : ça fait 48 heures que j'ai l'impression que j'arrive au cap Horn. Ce devrait être pour de vrai, ce midi. 

Ta route Nord te met sur une trajectoire sympa !
Je vais passer au plus près, à deux milles du caillou. Ça va être singulier. Il me reste un empannage dans 30 noeuds de vent. J’en ai eu une sacrée collection dans ce Pacifique... Ce n'est pas ce que je préfère : quand la grand-voile passe, tu as l'impression que tu vas péter toutes tes lattes. Ça va être une belle journée. J'ai hâte de vivre ce moment mythique. Ensuite, je vais faire du Nord et le thermomètre va remonter. Ce ne sera pas de refus : j'ai approché le cap dans un vent de Sud-Ouest, glacial. C’est vivifiant, mais j'en ai ras le bol de devoir mettre des gants pour dormir : tout est humide, trempé et tu vis emmitouflé… mais les mains dépassent. 

Comment s'en est sorti ton bateau ? 
L’aventure suivante sera de guetter un moment propice pour monter dans le mât afin de retendre le gréement. Ça fait 10 jours que je dois le faire, mais je n’avais pas les conditions. Je suis en retrait par rapport au potentiel du bateau. Quand tu es sous trois ris dans la grand-voile, ce n’est pas l'important ; ça compte maintenant que les conditions sont plus maniables. Je suis à 70% des polaires. J’ai hâte de grimper quasiment jusqu’au capelage pour aller mettre deux tours de clé de 10, je ne vais même pas avoir le temps d’attraper le vertige ! Je vais attendre d’avoir une mer plus calme, peut-être aux Malouines. Devoir naviguer en retrait, en veillant en permanence au mât, c’est usant nerveusement et j’ai aussi envie de retrouver la sérénité. 

Tu sembles avoir bien récupéré, après le gros coup de vent d’il y a quatre jours. Quels souvenirs garderas-tu de ton grand sud ?
La houle du Pacifique, c'est quand même un truc de dingue. Elle m'a fait du mal dans tous les sens : c'était usant physiquement, nerveusement. Il y a quatre jours, la grosse cartouche a succédé à plein d'autres. J’ai enchaîné les fronts. 45 nœuds, ça va bien, mais quand on attaque les 60, c'est beaucoup, c'est énormément de manœuvres. Parce que je joue le jeu à fond : ma place au classement est justifiée par mille choses, mais pas parce que je ne me bats pas. Je suis vraiment dessus. Il y a eu plein de transitions avant la grande cartouche. J’ai eu 35 nœuds une nuit, j’avançais 'trois ris - solent’ et le vent est redescendu. J'ai passé alors tous les intermédiaires, j'ai passé toutes les voiles d'avant et j'ai refait le cheminement dans l'autre sens quand le vent est revenu. En 24 heures, j'avais pris ou relâché 10 fois des ris, fait 4 changements de voile d'avant. Bref, je suis entré fatigué dans la cartouche et elle fut terrible : je me faisais sortir de la couchette. Je voyais foncer sur moi des immeubles. Le fichier m’annonçait de la houle de 7,5 mètres. Ça, c'est la moyenne du tiers des vagues les plus hautes. Quand tu es sur cette moyenne de fichier, ça veut dire que tu en vois régulièrement à 10 mètres et qu’il y en a plein à 8 ou 9 mètres.
 

Comment t'es-tu senti, alors ? 
Ce n’est pas ‘détente’. Il faisait petit mon bateau. J'ai un hublot qui me permet de regarder sur l'avant, j'ai fini par ne plus regarder dedans. Quand je regardais vers l'avant, je devais descendre la pente à 30 degrés, peut-être. Le bateau descendait et j’avais l'impression que j’allais sancir. J’ai fini par ne plus regarder vers derrière non plus : des montagnes qui déferlaient sur le cockpit. 

Je suis sorti une fois dans une relative accalmie, pour voir si tout allait bien. Je restais dans le cockpit, hein. Là, j’entends un grondement. J’ai juste eu le temps de me jeter contre le panneau, qu’une montagne d’eau remplissait entièrement le cockpit ! J’étais dans l'eau entièrement ! Les conditions ont été dantesques, usantes physiquement ; j’ai été projeté dans tous les sens. Nerveusement ausi, je suis allé chercher loin. 

Je serais curieux d’avoir les statistiques de la flotte. Il me semble que je suis celui qui a eu le plus de petit temps (une pétole m’a collé 4 jours durant avec les voiles qui battaient), mais je dois être aussi celui qui gagne le record du gros temps. Cali (Arnaud Boissières) et Alan (Roura) ont pris aussi, mais ils avaient moins de vagues. J'ai eu la leur, de cartouche ; j’en ai pris une aussi en Tasmanie, j’ai connu une dépression tropicale en Afrique du Sud. Pour moi, cela aura été le Vendée Globe de tous les contrastes. 

Mon rêve maintenant ? Une remontée à 20 noeuds de vent travers ! " 

 



#861 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 10:34

Alexia Barrier au milieu du Pacifique Austral redoute la

présence d'icebergs remontés de la zone des glaces ..

elle est encore loin du Point Nemo 

Courage et bon vent Alexia  :rolleyes:

 

 

 

 

il-fait-froid-dans-le-grand-sud-c-1600-6© Alexia Barrier / TSE - 4MYPLANET 
Alexia Barrier : "Je prends les choses du bon côté"

13 Janvier 2021 - 09h20 • 1816 vues 

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Joint ce matin à 5h, la skipper de TSE - 4myplanet affronte depuis 48h une dépression qui devrait l'accompagner pendant 24h encore. Alexia Barrier prend son mal en patience et se satisfait du bon comportement de son bateau, Le Pingouin construit pour Catherine Chabaud en 1998 ! 

« Cela fait à peu près 48 heures qu’on a attaqué cette dépression. J’ai vu dans un premier temps le baromètre descendre très vite. Je me suis dit qu’il était temps d’ariser les voiles. J’ai rapidement mis le tourmentin et pris quatre ris, s’en est suivi des risées à 40 nœuds.

Le vent varie entre 25 et 40 nœuds et je fais plutôt route au Nord pour contourner la zone des glaces et potentiellement des icebergs qui seraient remontés au-delà de la zone des glaces. J’empannerai ensuite quand le vent sera tombé. Parfois, je suis sous-toilé mais cela me permet de ne pas manœuvrer dans la baston.

Je sors de temps en temps pour voir si tout va bien, s’il n’y a pas un bout ou un morceau de voile qui se fait la malle. Je dors dans un pouf en ciré quand c’est musclé et quand il y a une phase plus cool, je vais dans la bannette. C’est assez long encore car il y a encore 24h de vent assez fort avant d’empanner et d’aller vers le « famous one », le cap Horn.

Mon bateau se comporte très bien, le pilote aussi, je prends les choses du bon côté et de toutes façons, j’y suis et ça va bien finir par passer ! »

 



#862 superelvis

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Posté 13 janvier 2021 - 11:04

Faut un mental en acier

#863 Bougnat et Breton

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Posté 13 janvier 2021 - 12:26

Faut un mental en acier

Pour la première édition qui ne s'appelait pas Vendée Globe, c'est plusieurs bateaux qui étaient en acier :rolleyes:



#864 superelvis

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Posté 13 janvier 2021 - 12:50

Haha
Genre ovni ?

#865 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 13:04

entre Charlie et Yannick c'est du " à toi moi à moi "

un coup 1er , un coup 2ème et vice et versa 



#866 Bougnat et Breton

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Posté 13 janvier 2021 - 13:19

Haha
Genre ovni ?

Non, les OVNI c'est en alu et c'est beaucoup plus récent

 

Genre Joshua oui



#867 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 13:40

Stéphane Le Diraison visiblement heureux d'en finir 

avec sa galère de l'Indien et du Pacifique 

Vidéo du bord - Stéphane LE DIRAISON 

 

 

 

 

 

 

 

 

et la vidéo d'Isabelle Joschke un peu après son abandon 

on comprend tous ton immense déception , mais oui tu

peux être fière de ce que tu as fait 

c'est juste un parcours exceptionnel , respect à la guerrière

chapeau bas  :salut03:

Vidéo du bord - Isabelle JOSCHKE | MACSF 



#868 thurfin

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Posté 13 janvier 2021 - 13:50

celui qui est impressionnant c'est quand même Seguin, 5 eme, encore en course pour la gagne avec une main en moins implosion%20du%20tibia.gif

C'est dejà arrivé qu'un athlète handy sport boucle un tour du monde en solo ?



#869 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 15:10

  Analyse météo Cap au Nord dans l'alizé - l'heure des choix   



#870 Ptolémée

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Posté 13 janvier 2021 - 17:05

Romain Attanasio : " Ça me fait mal quand je suis à la colonne "

vidéo impressionnante dans le gros temps 

au milieu de nulle part , faut en avoir ou je pense pour ne pas être

terrifié ...

 

Vidéo Lire l'article                  






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