Si Toulon sort des 8 et qu’on gagne nos deux matches on est 7èmes
Pas si viiiiiiiiiite !
Posté 07 mai 2023 - 12:48
Si Toulon sort des 8 et qu’on gagne nos deux matches on est 7èmes
Pas si viiiiiiiiiite !
Posté 07 mai 2023 - 12:50
En cas de victoire à Bayonne et d'égalité avec eux à la fin....c'est pas simple non plus de savoir qui terminera devant l'autre.
Posté 07 mai 2023 - 12:52
En cas de victoire à Bayonne et d'égalité avec eux à la fin....c'est pas simple non plus de savoir qui terminera devant l'autre.
Petit "point règlement du championnat", pris sur le site de la LNR :
Si deux ou plusieurs équipes se trouvent à égalité à l’issue de la saison régulière, leur classement sera établi en tenant compte des facteurs ci-après. Chaque facteur n’est à prendre en compte que si celui qui le précède n’a pas permis de départager les équipes concernées et d’établir ce classement :
- Nombre de points terrain obtenus sur l'ensemble des rencontres ayant opposé entre elles les équipes concernées (y compris le cas échéant points de bonus et points de pénalisation) ;
- Goal-average sur l'ensemble des rencontres de la compétition ;
- Goal-average sur l'ensemble des rencontres ayant opposé entre elles les équipes restant concernées ;
- Plus grande différence entre le nombre d'essais marqués et concédés sur l'ensemble des rencontres ayant opposé entre elles les équipes restant concernées ;
- Plus grande différence entre le nombre d'essais marqués et concédés dans toutes les rencontres de la compétition ;
- Plus grand nombre de points marqués dans toutes les rencontres de la compétition ;
- Plus grand nombre d'essais marqués dans toutes les rencontres de la compétition ;
- Nombre de forfaits n'ayant pas entraîné de forfait général de la compétition ;
- Place obtenue la saison précédente dans le Championnat de France.
Posté 07 mai 2023 - 13:20
Posté 07 mai 2023 - 14:42
Posté 07 mai 2023 - 20:04
Bon faut gagner la bas vu notre saison cest loin dêtre fait
Posté 08 mai 2023 - 06:35
« Depuis que je suis arrivé, en janvier, des infos, il y en a eu pas mal ici ! On s’habitue », a lâché l’œil goguenard Christophe Urios, samedi après avoir livré son analyse du succès de son équipe.
Il faut dire que la semaine qui vient de s’écouler n’a pas été avare de remous. En tout début de semaine, fuite déjà l’info sur un passage de témoin à la gouvernance en fin de saison. Annonce rendue officielle le mardi soir au terme d’un Conseil d’administration qui a validé le passage de témoin entre Jean-Michel Guillon et Jean-Claude Pats le 1er juin prochain.
Christophe Urios a-t-il vu arriver le coup quand il a débarqué en janvier ? « J’ai un peu d’expérience, je vois et je respire les choses. J’avais bien vu que ça pouvait arriver. Après l’avoir rencontré une première fois, Jean-Michel (Guillon) me fait rencontrer ensuite Jean-Claude (Pats)… c’est plutôt assez rare dans une négo », déclarait en fin de semaine le coach, sourire en coin.
« Je retiendrais toujours que c’est Jean-Michel Guillon qui m’a fait venir à Clermont »Pour autant, Urios n’oubliera pas à qui il doit sa signature à l’ASM. « Jean-Michel a été extrêmement clair avec moi et je ne me sens pas du tout trahi, comme il l’a dit d’ailleurs. Je sentais que son départ était possible parce que, aussi, son mandat a été très mouvementé, ça lui pesait. Et je retiendrai toujours que c’est Jean-Michel Guillon qui m’a fait venir à Clermont ».
Le manager clermontois va devoir désormais composer avec Jean-Claude Pats, dans une relation qui pourra se mettre en place dès cet été. Sur le sujet du duo président - entraîneur, Christophe Urios s’était confié dans nos colonnes le 24 mars. « Le Top 14, c’est une jungle et pour en sortir vivant, il faut que le président et le manager soient très solides et très soudés ».
Entre le futur président et son manager, les premiers échanges ont déjà eu lieu. « Je ne le connais pas beaucoup, explique le coach. C’est un vrai supporter de l’ASM, ça fait 10 ans qu’il est derrière les poteaux, à côté de la grosse caisse comme il aime à le dire. J’ai eu l’occasion d’échanger longuement, j’ai pu lui dire comment je voyais les choses. Aujourd’hui, c’est quelqu’un qui prend ses marques, qui analyse beaucoup et qui a une idée précise de ce qu’il veut faire. De prime abord, de par sa stature et son poste chez Michelin, c’est quelqu’un qui donne confiance. Après, comme pour un entraîneur, c’est le terrain qui parlera », a souligné le coach de l’ASM en évoquant Jean-Claude Pats.
Outre ce changement de gouvernance, la semaine s’est donc poursuivie avec « l’affaire » Vahaamahina : interdiction définitive de jouer prononcée par la FFR, suite à sa commotion et ses conséquences subies en décembre et, surtout, un entretien du joueur paru chez nos confrères L’Équipe, particulièrement à charge contre l’ASM.
On a fait le choix de ne rien dire, le match était à 15 heures, ça va vite. Non, je n’ai pas eu peur que ça perturbe le groupe
Samedi, on a interrogé Christophe Urios sur la gestion de cette nouvelle « information » concernant son club, dans l’avant-match face à Paris. « Vendredi, quand on a su que ça allait sortir, on s’est posé la question ; qu’est-ce qu’on fait ? Forcément que quelque part ça impacte. On a fait le choix de ne rien dire, le match était à 15 heures, ça va vite. Non, je n’ai pas eu peur que ça perturbe le groupe ».
Ni le changement de gouvernance, ni le fracas provoqué par la sortie médiatique d’un de leurs partenaires n’ont finalement affecté le rendement des joueurs clermontois. Après une semaine tourmentée, il a donc fait grand bleu, samedi face au Stade Français.
Et Urios de conclure, « il s’en passe des trucs ici, mais ça va bien finir par se stabiliser ».
Christophe Buron (La Montagne - 07/05/2023)
Posté 08 mai 2023 - 07:45
Après la pluie, le beau temps !
Posté 08 mai 2023 - 07:48
Changement à la présidence, "affaire Vahaamahina"... Retour sur la drôle de semaine vécue par l'ASM ClermontLa victoire bonifiée obtenue face au Stade Français (32-16) dans un Michelin volcanique comme rarement cette saison, est venue ponctuer une semaine pour le moins agitée dans les coulisses du club. Du remue-ménage qui n’a visiblement pas impacté les acteurs sur le terrain.« Depuis que je suis arrivé, en janvier, des infos, il y en a eu pas mal ici ! On s’habitue », a lâché l’œil goguenard Christophe Urios, samedi après avoir livré son analyse du succès de son équipe.
Il faut dire que la semaine qui vient de s’écouler n’a pas été avare de remous. En tout début de semaine, fuite déjà l’info sur un passage de témoin à la gouvernance en fin de saison. Annonce rendue officielle le mardi soir au terme d’un Conseil d’administration qui a validé le passage de témoin entre Jean-Michel Guillon et Jean-Claude Pats le 1er juin prochain.
Christophe Urios a-t-il vu arriver le coup quand il a débarqué en janvier ? « J’ai un peu d’expérience, je vois et je respire les choses. J’avais bien vu que ça pouvait arriver. Après l’avoir rencontré une première fois, Jean-Michel (Guillon) me fait rencontrer ensuite Jean-Claude (Pats)… c’est plutôt assez rare dans une négo », déclarait en fin de semaine le coach, sourire en coin.
« Je retiendrais toujours que c’est Jean-Michel Guillon qui m’a fait venir à Clermont »Pour autant, Urios n’oubliera pas à qui il doit sa signature à l’ASM. « Jean-Michel a été extrêmement clair avec moi et je ne me sens pas du tout trahi, comme il l’a dit d’ailleurs. Je sentais que son départ était possible parce que, aussi, son mandat a été très mouvementé, ça lui pesait. Et je retiendrai toujours que c’est Jean-Michel Guillon qui m’a fait venir à Clermont ».
Le manager clermontois va devoir désormais composer avec Jean-Claude Pats, dans une relation qui pourra se mettre en place dès cet été. Sur le sujet du duo président - entraîneur, Christophe Urios s’était confié dans nos colonnes le 24 mars. « Le Top 14, c’est une jungle et pour en sortir vivant, il faut que le président et le manager soient très solides et très soudés ».
Entre le futur président et son manager, les premiers échanges ont déjà eu lieu. « Je ne le connais pas beaucoup, explique le coach. C’est un vrai supporter de l’ASM, ça fait 10 ans qu’il est derrière les poteaux, à côté de la grosse caisse comme il aime à le dire. J’ai eu l’occasion d’échanger longuement, j’ai pu lui dire comment je voyais les choses. Aujourd’hui, c’est quelqu’un qui prend ses marques, qui analyse beaucoup et qui a une idée précise de ce qu’il veut faire. De prime abord, de par sa stature et son poste chez Michelin, c’est quelqu’un qui donne confiance. Après, comme pour un entraîneur, c’est le terrain qui parlera », a souligné le coach de l’ASM en évoquant Jean-Claude Pats.
Outre ce changement de gouvernance, la semaine s’est donc poursuivie avec « l’affaire » Vahaamahina : interdiction définitive de jouer prononcée par la FFR, suite à sa commotion et ses conséquences subies en décembre et, surtout, un entretien du joueur paru chez nos confrères L’Équipe, particulièrement à charge contre l’ASM.
On a fait le choix de ne rien dire, le match était à 15 heures, ça va vite. Non, je n’ai pas eu peur que ça perturbe le groupe
Samedi, on a interrogé Christophe Urios sur la gestion de cette nouvelle « information » concernant son club, dans l’avant-match face à Paris. « Vendredi, quand on a su que ça allait sortir, on s’est posé la question ; qu’est-ce qu’on fait ? Forcément que quelque part ça impacte. On a fait le choix de ne rien dire, le match était à 15 heures, ça va vite. Non, je n’ai pas eu peur que ça perturbe le groupe ».
Ni le changement de gouvernance, ni le fracas provoqué par la sortie médiatique d’un de leurs partenaires n’ont finalement affecté le rendement des joueurs clermontois. Après une semaine tourmentée, il a donc fait grand bleu, samedi face au Stade Français.
Et Urios de conclure, « il s’en passe des trucs ici, mais ça va bien finir par se stabiliser ».
Christophe Buron (La Montagne - 07/05/2023)
On aprend donc que le futur président est sourd d'une oreille.
Posté 08 mai 2023 - 08:16
Posté 08 mai 2023 - 08:18
Cest faux, on y a pas toujours eu des résultats mais on a jamais balancé clairement la coupe dEurope, exception faite des deux premières éditions de lère Cotter ( turn over aux wasps et saison suivante à Sale) et cest surtout parce quon était hors course. Sinon on a toujours fait honneur à la compétition, y laissant pas mal de plumes sur nos chances en championnat !
Posté 08 mai 2023 - 08:28
Rassurez-moi c'est bien le fils de.
Qu'est ce qui faut pas écrire comme conneries pour gagner sa croute au Midol...
Il parle pas du CO, bizarre.
Posté 08 mai 2023 - 08:33
On aprend donc que le futur président est sourd d'une oreille.
Proposons l'accueil aux sourds...
Posté 08 mai 2023 - 08:39
Cest faux, on y a pas toujours eu des résultats mais on a jamais balancé clairement la coupe dEurope, exception faite des deux premières éditions de lère Cotter ( turn over aux wasps et saison suivante à Sale) et cest surtout parce quon était hors course. Sinon on a toujours fait honneur à la compétition, y laissant pas mal de plumes sur nos chances en championnat !
Le midol a vraiment la mémoire très courte, ce journal devient vraiment écoeurant !
juste envie d'en rajouter une couche, rien de plus
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