Joueur de TOP 14
Posté 28 janvier 2022 - 18:54
Sache que j'ai déjà dit ici que si Damian posait son sac chez nous, ça me plairait bien, donc je ne le critique pas non plus, il est parfois limite en défense, encore que ce n'est pas mauvais non plus, mais quel attaquant ! un mec qui peut faire basculer un match, j'aime beaucoup.
Penaud à Toulouse .....tu rêves ! 
C'est quoi cette maladie des supporters Toulousains, qui veulent faire signer tous les internationaux et qui viennent chaque années pleurer parce qu'il y a trop de doublons !!!! 
Ni pour ni contre, bien au contraire!
Posté 28 janvier 2022 - 18:56
Lui il nous a bien fait chier en courge ou en melon. Mais quelle classe. Surtout maintenant dans les tribunes vibrant pour le fiston en jaune
Grand joueur, en effet!
Mais d'accord avec la chocolatine, pas fan du bonhomme, déjà il est bas-corrézien, mais c'est pas tout!
Champion du Monde
Posté 28 janvier 2022 - 19:04
Grand joueur, en effet!
Mais d'accord avec la chocolatine, pas fan du bonhomme, déjà il est bas-corrézien, mais c'est pas tout!
Champion du Monde
Posté 28 janvier 2022 - 19:23
Tixeront est en fin de contrat ?
Non. Pas touche 
Joueur du Grand Chelem
Posté 28 janvier 2022 - 19:47
Tu parles de quoi?
Pour Penaud...je ne suis pas certain qu'il ai besoin de chercher chez Rougerie de la ''filiation''. A priori il a ce qu'il faut à la maison...
Je parle de quoi ?
Il y a une grande différence entre être le géniteur et être le compagnon, le compagnon au sens compagnonnage professionnel.
Le compagnon de profession c'est celui qui te donne les astuces, qui te donne les attitudes à avoir, qui te donne les tours de main, qui te donne le savoir professionnel, cela n'a rien à voir avec l'atavisme.
Dans ce contexte il est évident que la filiation professionnelle de Penaud vis à vis de Rougerie est bien plus établie qu'avec son père.
Voilà de quoi je parle !!
Champion d'Europe
Posté 28 janvier 2022 - 20:07
Mais tout à fait.Et ben moi je dis installons le.
Champion du Monde
Posté 28 janvier 2022 - 20:38
Grand joueur, en effet!
Mais d'accord avec la chocolatine, pas fan du bonhomme, déjà il est bas-corrézien, mais c'est pas tout!
Walaaaaaa ! tu as tout compris 
Ni pour ni contre, bien au contraire!
Posté 28 janvier 2022 - 21:07
T'as eu 3 like avec ça... ?
En même temps oui c'est un de tes meilleurs posts.
Wallis l' a pas vu, elle likera! 
Champion du Monde
Posté 28 janvier 2022 - 21:42
Ok
Pareil. N'empêche qu'à l'âge de Penaud, il n'avait pas plus de "maturité", il pouvait passer pour un branleur. Et je me demande même si Penaud en comparaison n'est pas en avance au niveau jeu (Roro "ne défendait pas" non plus)
Le problème de Penaud c'est plus maintenant c'est quand il était pensionnaire du CDF, Rougerie ne lui reprochait pas d'être un branleur au sens ou lui a pu l être avec Malzieu et le Chinois, mais il lui reprochait de ne pas assez bosser et je ne pense pas que c'était la cas des 3 autres.
Grand joueur, en effet!
Mais d'accord avec la chocolatine, pas fan du bonhomme, déjà il est bas-corrézien, mais c'est pas tout!
Pour le peu que je l ai côtoyé quand j étais dans le Limousin c'était un pur corrézien atteins de Melonite aiguë. Sur le dossier de fusion CAB/USAL il avait été très méprisant et hautain.
Tout le contraire de Villepreux qui était très accessible lors de son passage a l USAL.
Joueur de Pro D2
Posté 28 janvier 2022 - 21:47
Quand Rougerie avait l'âge de Penaud, il se faisait pourrir et insulter par les supporters toulousains. On se passerait de ce genre de conneries hein
Quand les Capitouls l'appelaient "la chèvre" ? Quand l'EdF a joué à Toulouse avec une ligne de 3/4 si toulousaine que le stadium entonnait des "toulousains, toulousains quand "leurs" joueurs touchaient le ballon, avant le silence voire quelques sifflets quand ces "cons" avaient la bêtise de passer la balle à Rougerie ?
#onnoublierien 
Joueur de promotion
Posté 28 janvier 2022 - 22:10
Ce serait quand même très surprenant que Lyon ne le prolonge pas eu égard à la qualité des matchs qu'il fait depuis son arrivée et surtout ces derniers temps. Par contre si ils font cette erreur, je pense que nous avons tout à gagner à nous positionner dessus. Il a toutes les qualités requises pour un 8 avec un vrai profil de "patron" du pack qui nous manque. Entre un Isa présent en pointillé entre les plages internationales et un Taufua à la mine tous les dimanches, il n'y a pas photo, y compris au niveau du montant du contrat...Il a fait preuve d'un très gros investissement dans l'équipe à son arrivée à Lyon.
En plus je trouve qu'il ressemble énormément à Lee, non seulement dans sa façon de jouer (de porter la balle notamment) mais également physiquement (sauf la coupe de cheveux évidemment...)...et puis il pourrait peut-être nous rencarder sur les Tigers...
Joueur de TOP 14
Posté 28 janvier 2022 - 22:37
Quand les Capitouls l'appelaient "la chèvre" ? Quand l'EdF a joué à Toulouse avec une ligne de 3/4 si toulousaine que le stadium entonnait des "toulousains, toulousains quand "leurs" joueurs touchaient le ballon, avant le silence voire quelques sifflets quand ces "cons" avaient la bêtise de passer la balle à Rougerie ?
#onnoublierien
Moi j’ai préférer celle avec merceron, marsh, bory, roro.
c’est à cette époque que j’ai définitivement basculé dans le camp asmiste….
Champion du Monde
Posté 28 janvier 2022 - 23:04
Walaaaaaa ! tu as tout compris
J ai bien compris que tu t’inquiétais pour lui alors voila des nouvelles fraiches
Actu Rugby a retrouvé... Alain Penaud : "J’avais vraiment la volonté d'être entraîneur..."
Il vend des sucettes ovales, des crocodiles aussi agressifs qu’un troisième ligne au plaquage ou des fraises qui feraient rougir un pilier. Pas d’inquiétude, ce ne sont que des bonbons. Ces produits sont le quotidien d’Alain Penaud. L’ancien rugbyman des années 90 – 2000 est aujourd’hui directeur commercial pour la marque Pierrot Gourmand, filiale du groupe Andros. « Je m’occupe de la commercialisation de ces gammes de confiserie via les réseaux GMF, le hard-discount, les réseaux de déstockage et le circuit long », souligne le Corrézien de naissance auprès d’Actu Rugby.
Corrézien un jour, Corrézien toujours
Installé à Altillac (Corrèze), Alain Penaud vit près du siège du groupe Andros basé dans le Lot à Biars-sur-Cère. Il a rejoint cette entreprise familiale en 2009 : « J’ai commencé sur une partie fromage. Le groupe venait de racheter Solo Italia, qui faisait à la fois des desserts italiens et du fromage. J’ai fait mes dents et appris le métier à ce moment-là ».
Puis entre 2013 et 2014, il bascule sur la marque Pierrot Gourmand, en devenant directeur commercial. Un poste avec des activités polyvalentes, « entre le travail sur les gammes de produits, le marketing, le développement et les relations avec les centrales d’achat basées à Paris et à Lille », précise-t-il. Tout cela en restant enraciné dans son département de naissance la Corrèze. Un territoire qui a vu grandir sa carrière de rugbyman.
Alain Penaud est aujourd'hui directeur commercial pour la marque Pierrot Gourmand.
Le titre de champion d’Europe : « Un souvenir incroyable ! »
Né en 1969 à Juillac en Corrèze, Alain Penaud a grandi dans ce petit village. C’est à 13 ans qu’il commence le rugby dans un club formant une entente entre Juillac, Saint-Aulaire et Objat. Le jeune Penaud fait ses gammes et rejoint le CA Brive quand il a 16 ans. « C’est le club de ma vie. J’y ai terminé ma formation de rugbyman. En équipe première, c’est quinze ans d’activité. Je suis Briviste d’adoption et de naissance. Mes racines sont à Julliac. Mais j’ai passé beaucoup de temps à Brive », admet-il.
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Le CAB, quelle histoire d’amour. C’est avec ce club qu’il vit sa principale consécration : la victoire en Coupe d’Europe en 1997 (il a été aussi champion de France en 2001 avec Toulouse, NDLR). Une finale face à Leicester remportée sans contestation possible (28-9). « Je garde l’image de cette emprise qu’on a eue sur le match pendant ces 80 minutes. Nous avons eu la capacité d’étouffer Leicester, pourtant favori », narre-t-il. Il enchaîne, non sans émotion, alors que les 25 ans de ce titre viennent tout juste d’avoir lieu : « Nous étions le Petit Poucet, et nous avons passé toutes les étapes, sans perdre un seul mal. Au fur et à mesure de la compétition, on sentait la confiance de plus en plus nous habiter. C’est un souvenir incroyable ! »
Le 25 janvier 1997, il y a 25 ans, le CA Brive remportait la Coupe d'Europe de rugby. Le plus grand moment de l'histoire du club.
Le 25 janvier 1997, le CA Brive remportait la Coupe d’Europe de rugby. Un grand moment pour Alain Penaud, qui soulève ici le trophée. (©Icon Sport)
Grand Chelem 97 avec le XV de France
1997 fut une année exceptionnelle sur tous les plans pour Alain Penaud. Avec le XV de France, il décroche un Grand Chelem lors du tournoi des V Nations. « Nous gagnons notamment face à l’Angleterre à Twickenham (20-23). Sur les vingt premières minutes, nous encaissons vingt points. On se fait rouler dessus. Puis il y a la mi-temps, qui nous fait du bien. Nous revenons dans le match et nous gagnons cette rencontre. En termes de remontée, c’est improbable », reconnait l’ouvreur aux 32 sélections sous le maillot bleu.
Rugby amateur, semi-professionnel et professionnel
Avec un passage aux Saracens, au Stade Toulousain, au Stade Français ou à Lyon, Alain Penaud a cumulé vingt ans de carrière dans le rugby, de 1987 à 2007 : « Je fais partie de cette génération qui a connu le rugby amateur, semi-professionnel et professionnel. Sur une partie de ma carrière, j’ai eu parallèlement une activité ». De la gestion du réseau de panneau publicitaire à la direction d’une brasserie à Brive jusqu’à atterrir dans un cabinet de gestion de patrimoine à Toulouse.
Une vie rythmée par son métier et le rugby. « Au début des année 90, on ne s’entraînait pas tous les jours. C’est à partir de 1994-1995 que le rythme des entraînements a augmenté. Je me rappelle lors de mon passage à Toulouse en 1999-2001, Guy Novès organisait ses entraînements de façon à ce que les joueurs encore semi-professionnels puissent continuer leur activité au moins sur du mi-temps », se souvient-il.
Un regret : ne pas avoir pu devenir entraîneur de rugby
Le rugby est devenu son unique métier dans les années 2000, notamment en revenant à Brive. Et un projet a mûri tout au long de sa carrière : devenir un jour entraîneur. « J’ai eu la chance de rencontrer divers entraîneurs, qui avaient des différences dans leur approche du rugby. Comme François Pienaar, Guy Novès, Mark Bakewell, Didier Faugeron, Fabien Galthié. J’avais cette vision rugbystique très multiculturelle. Là-dessus, sur ce terreau, j’ai passé du temps à bosser sur le jeu et ce que pourrait devenir le rugby », explique le Corrézien.
Joueur de Fédérale 3
Posté 28 janvier 2022 - 23:11
Ok
Pareil. N'empêche qu'à l'âge de Penaud, il n'avait pas plus de "maturité", il pouvait passer pour un branleur. Et je me demande même si Penaud en comparaison n'est pas en avance au niveau jeu (Roro "ne défendait pas" non plus)
me souviens de son surnom donné par certain quand il a été contraint de passer au centre vu qu'il n'avait plus sa place à l'aile : porte de saloon"
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