974 replies to this topic

[xdderf63]

Haaaaaa oui c'est vrai c'est perturbant quand meme

l'USAP se fait déstroncher sévère

Pau a mis une équipe compétitive
Les seuls du Top14
Toulouze qui joue à Bordeaux a le même physique que notre ancien arrière. Confirmation c'est le fils d'Olivier...


On a 4 troisième ligne sur le terrain sur 7 joueurs. Ca manque de vitesse sérieusement
Kehlhoffner Guilly le calédonien Tuataane et Oudard

[lecoon]

Bon bah retour à la maison...

[RCV06]

Ca fait longtemps que je l avais pas dit, j aime pas le 7.

De rien ça m a fait plaisir

[lecoon]

C'est vrai que c'est fouillis quand même

[rueducourage]

Une ASM trop tendre crucifiée par Toulouze.

[frednirom]

kurisaru n'est plus fidjien du tout.

[RCV06]

kurisaru n'est plus fidjien du tout.

Il est non genré

[xdderf63]

C'est vrai que c'est fouillis quand même

Manque de cannes et de stratégie
Pour l'instant. On est pris en vitesse
Pas très grave


La pelouse d'aimé Giral est déjà défoncée

[rueducourage]

C'est surtout les 2 premieres etapes de 7, qui tombent en pleine preparation, qui ne sont pas une priorite, non ?

Confirmation lors de ce premier match raté contre la sélection girondine. L'ASM qui était bien rentrée dans la partie, avec de la puissance et de l organisation n a pas pu résister aux inspirations et à la vitesse des jeunes bordelais.

[Parigot_Paris]

Le Racigne écrase Castres. 49 à 7 ça rime avec dans l'cul la balayette !

[Parigot_Paris]

J'observe que le Racigne a mis nombre de fidjiens dans l'effectif et l'encadrement.

[xdderf63]

16h16 - ASM contre Perpignan 

[el landeno]

Paul Albaladejo : « Damian Penaud pourrait être extraordinaire à 7 » Responsable de la toute nouvelle section de rugby à 7 au sein de Clermont, l'ancien international septiste Paul Albaladejo présente le Supersevens qui débute vendredi à Perpignan et loue les qualités de certains joueurs, dont l'international Damian Penaud, dans la perspective des Jeux Olympiques 2024 à Paris.

Recruté par Clermont le 1er juillet, Paul Albaladejo, petit-neveu de l'ouvreur international dacquois Pierre Albaladejo, dirige une section dédiée au rugby à 7. Parmi les clubs de Top 14, seule l'UBB a fait de même. Pour sa troisième édition, le Supersevens a franchi un cap et délivre maintenant le titre de champion de France de la catégorie. Après trois tournois qualificatifs, dont le premier débute ce samedi à Perpignan dès 10h30 et jusqu'à 20h30 et sera suivi par La Rochelle (20 août) et Pau (27 août), un tournoi final regroupera le 19 novembre les huit meilleures équipes, en fonction du classement. Avant le coup d'envoi de cette compétition, Paul Albaladejo décrypte le rugby à 7 des clubs professionnels, ses enjeux, ses limites actuelles et ses atouts.

 

 

« Quel est l'intérêt pour un club du Top 14 d'avoir aujourd'hui une section à 7 ?
La priorité de tout club, c'est le XV, afin d'être performant en Coupe d'Europe et en Top 14. Mais aujourd'hui, le Championnat professionnel à 7 nouvellement créé, ainsi que la place occupée par cette discipline au sein des Jeux Olympiques, dispose d'une certaine aura et draine de nouveaux publics. Un club peut y voir son intérêt en développant les capacités de ses jeunes joueurs, mais également en surfant sur l'image très positive du 7. Il ne s'agit pas d'isoler le 7 du XV mais au contraire de l'inscrire dans un projet de club, élargi à la région. Ce qui est notre cas à Clermont.

À terme, le rugby français comprendra-t-il l'importance du 7 pour faire émerger des talents à XV, afin que Gabin Villière ou Virimi Vakatawa ne soient pas des exceptions ? 
De tout temps, le Championnat de France à XV a été prédominant. Plus encore depuis qu'il est passé professionnel. Dans ce contexte, ce n'est pas facile pour les clubs de libérer, sur une longue durée, leurs meilleurs joueurs. C'est sur cet écueil que le 7 français s'est cassé les dents. Mais vous le savez, depuis 1991, Christophe Deylaud, puis les frères Lièvremont, Philippe Bernat-Salles, ainsi que Julien Malzieu, Gabin Villière, Virimi Vakatawa, se sont d'abord illustrés à 7 avant de percer à XV. Les grands noms du rugby sud-africain (Bryan Habana, Cheslin Kolbe, Kurt-Lee Arendse) en sont l'illustration parfaite : un très bon joueur à 7 est capable d'être excellent au plus haut niveau à XV. Mais l'inverse n'est pas obligatoirement vrai.

 

Le Blitzbok Cecil Afrika à l'oeuvre sous le maillot de l'équipe nationale d'Afrique du Sud à 7. (A. Mounic/L'Équipe)

« Le 7 se spécialise de plus en plus, en particulier pour les avants dans le jeu aérien et au grattage »

 

 

 

 

Quel est profil spécifique du joueur à 7 ?
La constante primordiale, c'est la vitesse : c'est vraiment la première qualité qu'on demande. Mais il n'y a pas forcément de profil type, car le 7 se spécialise de plus en plus, en particulier pour les avants dans le jeu aérien et au grattage. La vista et la qualité technique peuvent en partie compenser un petit manque de vitesse, mais ça ne concerne que les avants. Pour vous donner un exemple, aujourd'hui un joueur comme Damian Penaud (ailier international de Clermont) pourrait être extraordinaire à 7. Je ne sais pas s'il rêve des Jeux Olympiques, je ne sais pas s'il sera libéré à cette occasion, mais ses innombrables qualités lui permettraient de briller dans cette discipline.

À 7, les courses sont nombreuses, intenses et longues. Aligner ces séquences de sprint, est-ce un gage de réussite ?
Durant un match, oui, mais c'est valable aussi et surtout durant toute la durée d'un tournoi car les matches se suivent. La performance individuelle ne peut pas suffire : pour qu'une équipe fasse la différence, il faut que tous les joueurs puissent gérer leurs efforts afin de les répéter sur deux ou trois jours. Et c'est encore plus difficile lors de l'In Extenso Supersevens, où il faut enchaîner quatre matches dans une même journée.

«  sortent du lot sans oublier les Barbarians français »

 

 

 

 

Comment avez-vous préparé votre groupe pour ce Supersevens ?
Après avoir identifié les joueurs qui disputeront les tournois à 7, et qui sont tous de forts potentiels de notre centre de formation, nous avons planifié et harmonisé notre préparation avec celle de la présaison des Espoirs et des professionnels du club à XV.

Y a-t-il un favori pour le premier tournoi qualificatif du Supersevens à Perpignan ?
La Section Paloise et le Racing 92 (vainqueur de l'édition 2020) sortent du lot, sans oublier les Barbarians français (qui ont remporté cette compétition, l'année dernière), coachés par Nicolas Leroux, entraîneur national estampillé FFR, qui a supervisé de nombreux joueurs et composé une belle équipe, qu'on peut considérer comme l'antichambre de France 7. On verra aussi si Bordeaux-Bègles et Clermont peuvent rivaliser. »

 

 

[gregouarrrr]

https://www.lamontag...ermont_14171358

C est la confirmation le titre de 7 malgré les discours à l arrivé de Retière n est vraiment pas un réel priorité pour le club

dans ce cas là, qu ils arretent de faire des discours ... ca commence mal pour faire mieux que l an passé .... 

 

bref 

[Néophyte]

dans ce cas là, qu ils arretent de faire des discours ... ca commence mal pour faire mieux que l an passé .... 

 

bref 

 

Bref, il y a plusieurs étapes, et beaucoup d'espoirs sont retenus par la prépa du groupe pro. 

 

Je le répète, toutes les équipes du Top 14 ont envoyé des groupes très jeunes.