Merci.
Audit interne donc... un mal sans doute nécessaire mais ça confirme la période difficile que traverse le club a tous les étages.
c'est d'ailleurs ce dont souffrait lavanini avant son retour, je crois. Comme quoi ça a déjà commencé.
Oui Stéph tu as raison.
Je crois pourvoir dire que je connais bien ce club et je peux assurer qu’il est bienveillant. C’est une certitude.
La mentalité de certains joueurs est mauvaise, c’est exact.
Est ce generationnel ? Je ne sais pas.
Ce que je crois, c’est qu’une très mauvaise gestion a prévalue après Fontes / Cotter et les signaux envoyés par les gens en place ont été pris par les joueurs / personnels comme de la faiblesse.
C’est la porte ouverte aux abus voir dérives. Et les mecs s’entraînent dans ce sillage qui court à la perte .
C’est l’effet de groupe . C’est ainsi .
Pour faire simple « la fête du slip » à savoir un club qui paye bien et ferme les yeux sur les dérives de tous ordres.
Au final, faut il être étonné des comportements de ces dernières années ?
De l’ordre dans la maison et à tous les étages, me semble la solution.
C’est en cours depuis l’arrivée de JM.
Facile a dire et plus pénible et complexe à mettre en place car durant les travaux les ventes continuent…..avec des personnes à qui tu dis « Stop »….
Courage car on est sur les bons rails et ça c’est une certitude.
Il a dû y avoir une conjonction malheureuse de deux choses qui ont amené cette fête du slip :
- un management post-2017 qui a laissé la place aux joueurs. Une sorte abandon d'autorité et de vouloir donner la bonne direction, sous couvert qu'on faire confiance à ce groupe. Et plutôt que tirer vers le haut, ils ont tiré vers le bas les autres, et eux avec (ça ne concerne pas tout le monde, mais la dynamique de groupe fait qu'Un Fritz Lee ou un Morgan Parra ne peuvent rien contre un glissement de terrain, malgré toute leur volonté).
- un changement aussi de perception du rugby, très fort chez les plus jeunes (ceux qui arrivent), mais qui se développe aussi chez les autres. C'est un métier, pas plus, et le club est l'entreprise qui emploie. Ca change complètement le contrat de confiance mutuel, l'attachement au club, mais aussi les droits et les devoirs implicites du monde du sport. En gros, on veut être un salarié normal, mais on veut garder aussi les avantages du sport passion.
Du coup, pour certains le club devient un support de carrière, qui doit tout au joueur.