11142 réponses à ce sujet

[xdderf63]

j'ai cru lire ça ce matin, ptetre j'ai halluciné...

Ce matin yavais rien sur Retiere
A 14h00 par contre...

[F@b]

Ben pour moi, on est dans la logique que j'annonce depuis plus de deux ans
On vire JG, car on partait direct en pro D2, on sauve le club, on reconstruit, d'abord devant, puis derrière.
C'est long, ça ne se fait pas en deux saisons.
Si, parce que ça peut échouer, ça réussit on finira par revoir un jeu intéressant.

Après, en terme de casting, y a des ratés, mais ça fait parti du jeu.

[Eastern Outpost]

Ben pour moi, on est dans la logique que j'annonce depuis plus de deux ans
On vire JG, car on partait direct en pro D2, on sauve le club, on reconstruit, d'abord devant, puis derrière.
C'est long, ça ne se fait pas en deux saisons.
Si, parce que ça peut échouer, ça réussit on finira par revoir un jeu intéressant.

Après, en terme de casting, y a des ratés, mais ça fait parti du jeu.

 

Pourquoi ne peut-on remercier un message des Modos???!!!!!

 

Indigne d’ici

[Barnabe03]

Christophe Urios voulait trois ans, il en a obtenu deux, avec une option d’une année supplémentaire. Le président Jean-Claude Pats a eu le dernier mot, mais les deux parties partageaient depuis le début la même volonté de poursuivre la route ensemble. En scrutant les dessous de cette prolongation, toute autre issue paraissait inenvisageable.

La prolongation de Christophe Urios était dans les tuyaux depuis quelque temps, elle n’a jamais réellement fait de doutes. Il restait par contre des détails à régler et ils avaient leur importance. La durée du nouveau contrat a été le « détail » le plus prégnant, peut-être plus que le montant (salaire) dudit contrat.

Les négociations salariales ont existé, comme dans toute prolongation, il est difficile de dire si le manager a obtenu une « rallonge » ou pas. Une chose est sûre, son contrat n’est sans doute pas très éloigné de celui des coachs du Top 14 présentant la même expérience et palmarès, à savoir entre 400.000 et 450.000 annuels.

En explorant les coulisses de cette prolongation attendue, on peut donc dire que la durée fut, sans doute à un moment, le point de blocage qui a fait d’un dossier facile, un sujet un peu plus crispant dans la mesure où le manager avait clamé, haut et peut-être un peu trop fort, vouloir « trois ans sinon rien ».

Avant tout, une question peut légitimement se poser maintenant que la fumée blanche est sortie des bureaux de l’ASM : le débat de ne pas reconduire l’ancien manager bordelais a-t-il réellement existé ? A-t-il seulement effleuré l’esprit de celui qui a le pouvoir décisionnel, Jean-Claude Pats ?

Jean-Claude Pats a vraiment pris la main sur le dossier et dicté son choix du 2+1

Le président a balayé, ce mercredi, l’existence d’un « plan B », mais on peut affirmer que tout était envisagé, au cas où… même si la volonté première était de poursuivre avec l’ancien manager de l’UBB et de Castres.

L’idée d’étirer son contrat au-delà de 2025 est née en juin, quand Jean-Claude Pats a commencé à sonder son coach sur l’avenir. Le président n’a jamais caché que le processus qui doit remettre son club au cœur du jeu des meilleurs du Top 14 allait être long, sans doute plus long que prévu.

Rien que pour cela, ne pas conforter Urios dans sa mission, après deux saisons et demie sur le banc, aurait sans aucun doute mis un coup d’arrêt au chantier de la reconstruction. L’ASM aurait même été obligée de repartir de zéro, ou presque, avec un nouveau patron sportif et un staff forcément recomposé.Jean-Claude Pats, le président de l'ASM, lors de la conférence de presse organisée ce mercredi.

Pour sa part, Christophe Urios nous avait affirmé vouloir prolonger l’aventure à Clermont, où sa famille et lui se sentent bien. Il vantait aussi l’évolution du fonctionnement du club qui, pour lui, « s’est mis en mouvement ».

Il se projetait sur le moyen terme et fixait donc à trois ans (à partir de juin 2025) la durée nécessaire pour faire aboutir son projet, tout du moins ramener l’ASM à un autre rang qu’est le sien depuis maintenant trois ans, à savoir entre la 7e et 10e place.

Qui va tordre le bras à l’autre ?

La déclaration d’Urios dans nos colonnes a pour beaucoup été considérée comme un coup de pression mis par le manager sur la direction du club. A-t-elle un peu froissé du côté de l’actionnaire (Michelin) ? Difficile à dire, mais le « style » Urios tranche singulièrement avec ses prédécesseurs, de Vern Cotter à Jono Gibbes en passant par Franck Azéma, et peut donc heurter. De toute façon, on voit mal la gérance de la manufacture intervenir directement dans ce dossier.

Dans l’interview qu’il nous avait accordée, le manager clermontois évoquait le « danger » que constituait un coach en fin de contrat sur sa dernière saison. Il souhaitait alors que l’issue des négociations et discussions intervienne avant la fin du mois de novembre. Finalement, c’est avec un mois d’avance que les deux parties ont trouvé un terrain d’entente, ce qui va permettre désormais à l’ASM d’avancer sur le dossier « joueurs », prolongations et recrutement.

Pour revenir à l’annonce de la prolongation, effectuée ce mercredi dans les salons du stade Michelin, la décision de se « taper dans la main », entre Pats et Urios, était prise depuis quelques semaines. Mais concernant la durée du contrat, on pouvait se demander qui allait tordre le bras à l’autre, entre les 3 ans ou les 2+1 ?

Reconduire Christophe Urios jusqu’en 2028, mais en laissant une porte ouverte en 2027 pour une éventuelle séparation, montre bien que le président a pris la main sur le dossier en dictant son choix. Le voir seul au pupitre de sa troisième conférence de presse en qualité de patron de l’ASM, une première sans Christophe Urios, était aussi pour le moins significatif.

Christophe Buron

[Fanchic]

+1 déjà activé probablement

[Vynce]

+1 déjà activé probablement

Il se murmure même un + 5.

[twiX]

il est fort Buron, il replace Pats en homme fort, à poigne

 

Bon, maintenant que c'est fait, faut espérer que CU avec Roro nous récupèrent des vrais bons joueurs avec le talent nécessaire à un jeu ambitieux, voulu et mis en place par le staff...

[el landeno]

Roro va donc nous ramener Nakaitaci 

[Buckaroo]

"Le président Jean-Claude Pats a eu le dernier mot, mais les deux parties partageaient depuis le début la même volonté de poursuivre la route ensemble. En scrutant les dessous de cette prolongation, toute autre issue paraissait inenvisageable."

 

"Jean-Claude Pats a vraiment pris la main sur le dossier et dicté son choix du 2+1"

"Rien que pour cela, ne pas conforter Urios dans sa mission, après deux saisons et demie sur le banc, aurait sans aucun doute mis un coup d’arrêt au chantier de la reconstruction. L’ASM aurait même été obligée de repartir de zéro, ou presque, avec un nouveau patron sportif et un staff forcément recomposé."

 

"Reconduire Christophe Urios jusqu’en 2028, mais en laissant une porte ouverte en 2027 pour une éventuelle séparation, montre bien que le président a pris la main sur le dossier en dictant son choix. Le voir seul au pupitre de sa troisième conférence de presse en qualité de patron de l’ASM, une première sans Christophe Urios, était aussi pour le moins significatif."

 

J'ai lu des articles de journaux soviétiques de la grande époque qui étaient moins aux ordres que celui-ci. Ou l'art de faire passer une capitulation pour une victoire.

 

 

[twiX]

 

"Le président Jean-Claude Pats a eu le dernier mot, mais les deux parties partageaient depuis le début la même volonté de poursuivre la route ensemble. En scrutant les dessous de cette prolongation, toute autre issue paraissait inenvisageable."

 

"Jean-Claude Pats a vraiment pris la main sur le dossier et dicté son choix du 2+1"

"Rien que pour cela, ne pas conforter Urios dans sa mission, après deux saisons et demie sur le banc, aurait sans aucun doute mis un coup d’arrêt au chantier de la reconstruction. L’ASM aurait même été obligée de repartir de zéro, ou presque, avec un nouveau patron sportif et un staff forcément recomposé."

 

"Reconduire Christophe Urios jusqu’en 2028, mais en laissant une porte ouverte en 2027 pour une éventuelle séparation, montre bien que le président a pris la main sur le dossier en dictant son choix. Le voir seul au pupitre de sa troisième conférence de presse en qualité de patron de l’ASM, une première sans Christophe Urios, était aussi pour le moins significatif."

 

J'ai lu des articles de journaux soviétiques de la grande époque qui étaient moins aux ordres que celui-ci. Ou l'art de faire passer une capitulation pour une victoire.

 

 

 

Là il n'en perd pas une goutte

[ZACH]

Je ne sais pas vous , mais le "fin de mission " annoncée pour Retière , sec et sans autre commentaire me surprend , peut-être pas certains d'entre vous !

 

Puisque on évoque "la mission " , perso j 'ai pas tjrs trop compris qu'elle était la sienne et ensuite si tant est que....le bilan , ça donne quoi ?

 

Notre ami Retière n 'aurait -il pas été placardisé et si ce fut le cas qu'elles en seraient les causes ? 

 

Depuis l 'annonce de l 'arrivée avortée de Fa'ainga Anuku sans doute prématurée il a disparu des radars et est devenu l 'homme invisible alors que son recrutement  avait été annoncé avec le" tapage "habituel....nouveau pschitt , ou quoi ?

De ce que je sais le recrutement de Retiere à vite fait déchanter dans la maison jaune.

Il’a accumulé les conneries et a été progressivement mis en retrait.

Son départ était acté depuis un moment.

Les restaurateurs clermontois sont en deuil 

[casquette]

Larticle de Buron est très mal écrit mais assez révélateur de la réalité et de lambiance interne je pense.

[cocotte 63]

Je suis assez aligné sur le post de Fab, maintenant, on espère une progression de cet ensemble, avec néanmoins quelques petits doutes, issus principalement pour ma part des prolongations de derniers 18 mois, et de la gestion du groupe.

 

Sans oublier, la redondance de certaines scories qui a la longue pèse. 

[InASMWeTrust]

De ce que je sais le recrutement de Retiere à vite fait déchanter dans la maison jaune.

Il’a accumulé les conneries et a été progressivement mis en retrait.

Son départ était acté depuis un moment.

Les restaurateurs clermontois sont en deuil 

Je pense que c'était une erreur de casting, pas la bonne personne au bon moment. Pour avoir eu l'occasion de discuter très longuement avec lui, c'est un constructeur sur le long terme. Pas la personne qu'il fallait alors même qu'on était dans l'urgence, sans vrai plan et ni volonté de construire, mais seulement de sauver le bateau en train de couler. DR il a sa place dans un rôle de structuration générale, mais qui n'intègre pas les pros : recrutement et détection de jeunes, mise en place de plans de progression homogènes pour toutes les catégories, consolidation des effectifs des jeunes, progression des éducateurs et entraîneurs. Tout ce qui est ou devrait être le vrai fond d'un club, et encore plus d'un club pro. Ce rôle là, soit il existe dans une fédération, où les enjeux de court terme sont moindres. Soit dans un club où l'organisation le permet. L'ASM a assumé (je parle de la direction) de ne pas avoir de plan à long terme, et de confier tout le sportif à CU. Là dedans, il n'y avait pas de place pour DR ou pour toute autre personne qui aurait trop de prérogatives. A CU, maintenant qu'il a tout entre les mains, de montrer qu'il peut être autre chose qu'un entraîneur. 

[Gourine63]

Ben pour moi, on est dans la logique que j'annonce depuis plus de deux ans
On vire JG, car on partait direct en pro D2, on sauve le club, on reconstruit, d'abord devant, puis derrière.
C'est long, ça ne se fait pas en deux saisons.
Si, parce que ça peut échouer, ça réussit on finira par revoir un jeu intéressant.

Après, en terme de casting, y a des ratés, mais ça fait parti du jeu.

Jono Gibbes : environ 50% de victoire pour 50% de défaite, quelques matchs gagnés à l'extérieur mais surtout beaucoup de valises, hors des 6 et des défaites au Michelin, 18 mois de présence et un niveau de jeu affligeant = on allait tout droit en ProD2.

Urios : environ 50% de victoire pour 50% de défaite, quelques matchs gagnés à l'extérieur mais surtout beaucoup de valises, hors des 6 et des défaites au Michelin, 18 mois de présence et un niveau de jeu affligeant = reconstructeur a qui il faut du temps.

Où est la logique ? Si 18 mois ce n'est pas assez pour juger Urios alors pourquoi avoir viré Gibbes au bout de 18 mois ?