14525 réponses à ce sujet

[xdderf63]

moi ça me parle

des bons mecs qui n'ont pas eu la reconnaissance internationale au niveau qu'ils méritaient

irréprochables et infatigables

je serais surtout curieux de savoir qui a eu l'idée de les faire venir

 

Aurais tu l'article de l'Equipe sur la mise au vert, je ne l'ai pas vu passer si tu l'as posté

Il y a peut être la réponse à l'intérieur ? 

 

Merci à toi ! 

[GUY03]

Je te soupçonne d être un Bot IA

Bot IK plutôt.

[el landeno]

 

Aurais tu l'article de l'Equipe sur la mise au vert, je ne l'ai pas vu passer si tu l'as posté

Il y a peut être la réponse à l'intérieur ? 

 

Merci à toi ! 

il était dans l'après match

 

« Ça nous a fait du bien de nous retrouver, c'était important » : Clermont requinqué par une mise au vert Après sa lourde défaite à Paris, l'ASM avait décidé de se réfugier dans un hôtel clermontois la veille de recevoir l'UBB. Une retraite qui a permis aux Jaunards de trouver les ressources nécessaires pour repartir de l'avant.

 

 

Même ces dix dernières minutes mal maîtrisées et un peu dingues, entre un carton jaune (73e), un essai refusé (78e) et deux concédés à des Bordelais enfin actifs (74e et 80e), qui les privaient du bonus offensif et remettaient leurs visiteurs dans le bonus défensif, n'ont pas pu gâcher leur plaisir. Les Clermontois soufflaient, ils avaient produit du jeu, avec 5 essais à la clé, répondu dans le défi physique à une équipe du haut de tableau, et effacé l'affront de la semaine précédente (6-36), une énième défaite sans exister à l'extérieur, à Paris, qui appelait ce genre de réponse.

 

 

Le sourire retrouvé, Christophe Urios décrivait des jours « compliqués » dans la préparation de la venue de l'UBB. « Notre semaine a été agitée, mais dans le bon sens, insistait l'entraîneur. Et visiblement, on a besoin de ça. Je commence à comprendre des choses dans la relation au groupe. Il a besoin d'être piqué. » Et orienté : à la veille du match, les Auvergnats se sont mis au vert dans un hôtel clermontois, à moins d'un kilomètre en ligne droite et en pente douce du stade Marcel-Michelin.

lire aussiTop 14 : Bordeaux Bègles s'incline à Clermont mais arrache le bonus défensif à la sirène

Régis Montagne y a retrouvé ses partenaires, lui qui avait manqué le début de semaine et ses tourments, notamment les remous du tweet insultant d'un ancien joueur, Marvin O'Connor, mettant en cause Urios. « Il fallait sans doute vivre ces moments, constate le pilier droit, alors à Marcoussis, à la découverte des Bleus. Quand je suis revenu jeudi, j'ai trouvé un groupe très concerné, appliqué, où tout le monde était content. Si on en devait passer par là. Et ça a donné un bon résultat derrière ! Quant à la mise au vert, ça nous a fait du bien de nous retrouver, c'était important. »

Un séjour agrémenté de la visite de deux anciens de l'ASM

Dans le calme de l'établissement, où beaucoup de familles, sans doute en vacances dans la région, logeaient, on croisait ainsi les joueurs en tenue du club. Joris Jurand, auteur du premier essai auvergnat après 45 secondes de jeu, un baromètre certain de l'engagement des locaux, racontait « un bon moment » passé entre joueurs vendredi soir.

 

 

Mais le court séjour a aussi été agrémenté par la visite de deux anciens du club, organisée par le staff, Xavier Verdy, troisième-ligne des années 1980-1990, et Jacques Cristina, numéro 8 qui a étiré sa carrière à Montferrand entre 1967 et 1980. « Quand il y a ces gens qui ont porté le maillot avant nous et qui ont saigné et sué dans ce maillot, c'est important de s'en rappeler, explique Urios. Parce qu'on est que de passage ! Surtout, Xavier a vécu une période où le club était comme nous en ce moment, en transition. Ça reconstruisait, comme nous ! »

lire aussiChristophe Urios (entraîneur de Clermont) après la victoire face à l'UBB : « On a pris les Bordelais sur leur point fort »

L'ancien flanker, 63 ans, était dans les tribunes pleines du Michelin, samedi. « L'aventure est en train de se forger ! », appréciait Verdy après la victoire. La veille, il avait surtout essayé de « ne pas faire les vieux cons, dire "de mon temps". On voulait transmettre la passion. Même si on ne peut pas comparer nos deux époques, sur l'aventure humaine, des choses sont toujours vraies. Moi, j'ai connu les années 1980 (après la finale perdue de 1978) et on ne passait plus les huitièmes de finale. Il avait fallu reconstruire une équipe et on avait fini par passer des caps et s'installer dans les dix meilleures équipes ».

Les anecdotes ont parlé à la génération actuelle. Régis Montagne en a retenu une, en particulier : « Quand ils jouaient, eux, ils travaillaient dans la semaine et avaient match le week-end ! Alors, nous, on a une grande chance d'être dans notre situation. » Quitte à faire des mises au vert chaque week-end ? « Est-ce que c'est ça qui a fait qu'on a gagné ?, s'interrogeait Jurand. J'espère que non, parce que si on fait ça avant chaque match à domicile, ça va coûter cher au club... et ma femme va me faire la gueule assez souvent ! »

 

[el landeno]

toute ressemblance avec la purge de l'ASM ne serait que fortuite ...

 

Sacrée trajectoire pour Alexandre Roumat, formé au Biarritz Olympique (2012-2017), où il a débuté sa carrière en Pro D2, avant d'être repéré par Laurent Marti, le président de Bordeaux-Bègles, dénicheur de talents reconnu. Mais après cinq ans en Gironde (2017-2022), il a été poussé vers la sortie par le manager de l'époque, Christophe Urios, qui ne croyait pas en lui, notamment au poste de troisième-ligne centre, comme l'avait révélé son père Olivier dans nos colonnes : « Il a mangé de la merde pendant deux ans avec le meilleur entraîneur du monde. Comme il n'était plus assez bon pour jouer à Bordeaux, il s'est donc rabattu sur Toulouse... » (L'Équipe du 17 septembre 2022).

Urios avait recruté Antoine Miquel qui jouait à... Toulouse. Aujourd'hui, ce dernier évolue à Oyonnax, en Pro D2... Roumat, lui, a fait le chemin inverse avec le succès que l'on sait.

[reo63]

toute ressemblance avec la purge de l'ASM ne serait que fortuite ...
 
Sacrée trajectoire pour Alexandre Roumat, formé au Biarritz Olympique (2012-2017), où il a débuté sa carrière en Pro D2, avant d'être repéré par Laurent Marti, le président de Bordeaux-Bègles, dénicheur de talents reconnu. Mais après cinq ans en Gironde (2017-2022), il a été poussé vers la sortie par le manager de l'époque, Christophe Urios, qui ne croyait pas en lui, notamment au poste de troisième-ligne centre, comme l'avait révélé son père Olivier dans nos colonnes : « Il a mangé de la merde pendant deux ans avec le meilleur entraîneur du monde. Comme il n'était plus assez bon pour jouer à Bordeaux, il s'est donc rabattu sur Toulouse... » (L'Équipe du 17 septembre 2022).


Urios avait recruté Antoine Miquel qui jouait à... Toulouse. Aujourd'hui, ce dernier évolue à Oyonnax, en Pro D2... Roumat, lui, a fait le chemin inverse avec le succès que l'on sait.

personnellement je ne vois pas de joueur parti de chez nous qui aurait cette réussite ailleurs.

[InASMWeTrust]

personnellement je ne vois pas de joueur parti de chez nous qui aurait cette réussite ailleurs.

De toute façon, un jeune c'est un pari, car au-delà du talent, il y a 50 facteurs qui peuvent l'emmener en haut ou en pro D2 ou en Nationale. Ce qui compte, c'est de tenter ces paris là. le problème, c'est qu'on voudrait que nos jeunes soient des Roumlat ou des N'Tamack ou des le Garrec toute de suite. Moi, j'aimerais juste qu'ils soient de bons joueurs Top14, qui sont le socle de ton groupe. Et qu'on profite de ceux qu'on forme plutôt qu'acheter du Jiff prometteur. C'est aussi un enjeu financier, parce que je pense qu'on paie plus cher un Montagne ou un Massa qu'un jeune du même âge de chez nous (et je ne compte pas seulement le SC, mais la place dans le budget, sans compter les indemnités de formation). Mais on ne rentrera jamais dans ce cercle vertueux sans faire des paris sur nos jeunes. 

[Gourine63]

personnellement je ne vois pas de joueur parti de chez nous qui aurait cette réussite ailleurs.

Et puis si ça se trouve le joueur est aussi un peu coupable, peut-être que Roumat a levé le pied en voyant que le coach ne le tenait pas en haute estime, accentuant le cercle vicieux de la non-confiance.

J'ai beaucoup de chose à reprocher à Urios mais j'essaye de m'appuyer sur du concret (départ forcé de Tiberghien encore sous contrat par exemple, incohérences dans les déclas), les relations joueur-entraineur sont biaisées selon le point de vue d'où l'on se place.

Il ne faut pas y prêter attention, Cotter aussi a eu son lot de détracteurs parmi ses ouailles.

[cocotte 63]

Et puis, des entraineurs qui se trompent, des joueurs qui n'en font pas assez, il y en a toujours eu et il y en aura toujours.

Chaque entraineur a son profil de joueur à chaque poste, et si tu n'as pas ce profil, et bien tu ne pars pas avec un à priori positif, et puis la relation avec ton boss etc... bref un ensemble de choses.

 

On sait ce qu'Urios souhaite en 8, et on a aussi vu comment il a "installé" PGS dans l'équipe, qui est pourtant doté d'un autre physique que Roumat... bref c'est ainsi chacun sa chapelle, mais bravo à Roumat pour la qualité de ses prestations depuis 2 ans, car c'était pas gagné d'avance ! Belle progression, t'as des joueurs qui percent vite et qui s'éteignent un peu derrière, et d'autres à maturité plus lente, qui s'imposent un peu plus tard.

 

Faut du talent, de la chance et beaucoup de travail... y'a pas de secret !

[Arverne03]

Et puis, des entraineurs qui se trompent, des joueurs qui n'en font pas assez, il y en a toujours eu et il y en aura toujours.

Chaque entraineur a son profil de joueur à chaque poste, et si tu n'as pas ce profil, et bien tu ne pars pas avec un à priori positif, et puis la relation avec ton boss etc... bref un ensemble de choses.

 

On sait ce qu'Urios souhaite en 8, et on a aussi vu comment il a "installé" PGS dans l'équipe, qui est pourtant doté d'un autre physique que Roumat... bref c'est ainsi chacun sa chapelle, mais bravo à Roumat pour la qualité de ses prestations depuis 2 ans, car c'était pas gagné d'avance ! Belle progression, t'as des joueurs qui percent vite et qui s'éteignent un peu derrière, et d'autres à maturité plus lente, qui s'imposent un peu plus tard.

 

Faut du talent, de la chance et beaucoup de travail... y'a pas de secret !

 

La vraie vie quoi ! 

[Milian]

Et puis, des entraineurs qui se trompent, des joueurs qui n'en font pas assez, il y en a toujours eu et il y en aura toujours.

Chaque entraineur a son profil de joueur à chaque poste, et si tu n'as pas ce profil, et bien tu ne pars pas avec un à priori positif, et puis la relation avec ton boss etc... bref un ensemble de choses.

 

On sait ce qu'Urios souhaite en 8, et on a aussi vu comment il a "installé" PGS dans l'équipe, qui est pourtant doté d'un autre physique que Roumat... bref c'est ainsi chacun sa chapelle, mais bravo à Roumat pour la qualité de ses prestations depuis 2 ans, car c'était pas gagné d'avance ! Belle progression, t'as des joueurs qui percent vite et qui s'éteignent un peu derrière, et d'autres à maturité plus lente, qui s'imposent un peu plus tard.

 

Faut du talent, de la chance et beaucoup de travail... y'a pas de secret !

Le probleme c'est que Urios j'ai l'impression qu'il y a un paquet de talents qui lui passent sous le nez.
Si le mec est pas un super craque très précoce, ça l'interesse pas..
Pourtant y'a beaucoup de joueurs a maturité tardives qui percent un peu plus tard que les autres et qui ensuite deviennent bien meilleur..

Bref, tous les joueurs n'ont pas la meme maturité au meme âge. Il faut etre patient avec certains car ça en vaut parfois le coup.

Fofana n'étais pas l'un des plus précoces et pas un des plus bosseurs à ses débuts, premier matche en top 14 à 21 ans et  premiere cap EDF à 24 ans il me semble qu'il a eu besoin que Rougerie soit là au quotidien pour le pousser.
Vers ses 27-28 ans, il était ensuite considéré comme un des meilleurs centre du monde à son poste (avant d'avoir une suite gachée par les blessures à répétition).
Est ce que si Fofana avait été dans le Clermont d'aujourd'hui on ne lui aurait pas demandé d'aller voir ailleurs dès ses 20 ans ?
J'ai l'impression qu'on n'est plus suffisament patient avec certains jeunes. Vu que y'a de plus en plus de joueurs précoces, on aimerait qu'ils le soient tous ou partent. Je trouve ça dommage..

Meme nous supporters, à force d'etre habitués à voir des joueurs crever l'écran à 19 ans, on manque d'indulgence avec ceux qui sont encore un peu plus agé et dont l'éclosion prend un peu plus de temps.

[sly86]

Chez urios, j’ai l’impression que le biais est plutôt celui du gabarit physique que celui de la jeunesse et du niveau immédiat.

 

roumat, bielle biarrey, dépoortere on cela en commun d’être des gabarit léger pour le top 14 , et urios ne semble pas aimer cela

 

tixeront qui a du se « blinder » physiquement avant de convaincre en est un autre exemple meme si urios a peut être appris après les éclosion des sus nommée.

[cocotte 63]

tout ce que vous dites est vrai mais n'oubliez pas une chose, les managers sont là pour 3 ans environ, donc on parle de court terme au mieux dans des clubs stables, pour 5 ans, donc, ils ont la pression du résultat immédiat... et fonce tout droit avec leurs convictions qui ne sont pas LA vérité absolue mais leur vérité, les résultats valident ou pas...

 

Moi aussi, je préfèrerai miser sur Beleaubre - Darricarrère que Simone et Moala en fin de piste... mais je ne suis que derrière mon clavier !

 

Moi aussi, j'aurai installé PGS en 8 quoiqu'il en coûte, et construit autour et garder LEE sous le coude pour sa ou ses deux dernières saisons... mais je suis derrière mon clavier...

 

Urios a eu sa prolongation a presque 1 million d'euros sur 2 saisons, donc c'est lui qui a raison pour le moment ! nous on discute, on débat, on critique...

[RCV06]

Meme nous supporters, à force d'etre habitués à voir des joueurs crever l'écran à 19 ans, on manque d'indulgence avec ceux qui sont encore un peu plus agé et dont l'éclosion prend un peu plus de temps.

 

 

, les managers sont là pour 3 ans environ, donc on parle de court terme au mieux dans des clubs stables, pour 5 ans, donc, ils ont la pression du résultat immédiat...

 

Voila un bon résumé.

 

Les supporters veulent tout et son contraire.

 

-Des résultats rapides

-Des jeunes qui soient formés au club et a qui on donne leur chance, donc ça suppose qu on ait un réservoir de jeunes de qualité opérationnels de suite sinon ça ne colle pas avec le point numéro 1, sauf que la formation c'est pas comme faire pousser des carottes, on est jamais sur du résultat final. Toulouse ils ont un tel réservoir qu ils peuvent ne garder que la crème de la crème, je ne pense pas que ce soit notre cas.

-Des noms qui claquent pour rivaliser avec les autres clubs au jeu de celui qui a la plus grosse.

 

Le problème de base c'est qu Urios est clivant et qu une bonne partie du forum ne l aime pas et va chercher tout ce qui peut prouver que c'est une pipe, voir l exemple Roumat plus haut.

Si on regardait de près, je suis sur que pour un Roumat qu il a foiré, il en a réussi plusieurs autres mais que personne ne relèvera.

[el landeno]

Chez urios, j’ai l’impression que le biais est plutôt celui du gabarit physique que celui de la jeunesse et du niveau immédiat.

 

roumat, bielle biarrey, dépoortere on cela en commun d’être des gabarit léger pour le top 14 , et urios ne semble pas aimer cela

 

tixeront qui a du se « blinder » physiquement avant de convaincre en est un autre exemple meme si urios a peut être appris après les éclosion des sus nommée.

et d'autre part, les grands entraineurs sont ceux qui adaptent le jeu de leur équipe en fonction des joueurs dont ils disposent et dont ils arrivent à optimiser les qualités. 

pour moi, CU n'en fait clairement pas partie...

[F@b]

et d'autre part, les grands entraineurs sont ceux qui adaptent le jeu de leur équipe en fonction des joueurs dont ils disposent et dont ils arrivent à optimiser les qualités. 

pour moi, CU n'en fait clairement pas partie...

où alors ce sont les grands joueurs qui s'adaptent aux desiderata de leur entraineur

Sinon ils vont voir ailleurs

Au choix