14403 réponses à ce sujet

[Toorop]

 
Mouais... autant sur le direct j'ai pas compris et je nous ai estimé chanceux (car s'il siffle pas on est pas loin de l'essai pour le Racing), autant avec le ralenti il me semble que l'en avant se confirme. Mais ca se joue à peu. 
 
Je pense que l'arbitre a voulu faire dans la pédagogie pour tout ne se joue pas là dessus. Erreur ou pas, scandale arbitrale ou pas, chacun jugera et mettra le curseur où il veut. Entre les directives, un secteur toujours très dur à juger, la roublardise de tous les piliers (surtout dans une telle situation) et la sensibilité des arbitres, j'ai personnellement du mal à avoir un avis tranché. D'ailleurs Cardona a donné son avis, peut-être qu'un autre aurait eu un avis opposé. Il suffit de voir comment Cardona et Ruiz, à 1h d'intervalle avaient eu une analyse diamétralement opposée de la situation qui avait amené la blessure de Dupont lors de Irlande France. 
 
Alors j'aurais préféré qu'il la siffle et qu'on débrieffe une très mauvaise victoire plutôt qu'une défaite "imméritée" à en croire le staff, mais la pièce ne peut pas toujours tomber du bon côté. Encore une fois, un autre arbitre aurait pu mettre rouge à Massa que ca aurait pas été scandaleux, un autre arbitre aurait pu annuler notre premier essai et/ou le premier du Racing pour des écrans plus ou moins prononcés sur les derniers défenseurs, je pense également à une pénalité contre le Racing sur un ruck pour plongeon alors que pour moi c'est Falgoux qui s'enlève et qui accentue énormément le déséquilibre francilien (ce qui n'est habituellement jamais sifflé) piégeant donc l'arbitre à l'expérience, je lis aussi sur les réseaux qu'en fin de match Ceyte a fait un geste répréhensible passé inaperçu sur Le Garrec... 
 
Bref, sur un match qui se joue à 2 points, on trouvera toujours à redire sur l'arbitrage. Toulon l'avait mauvaise en début de saison lors de leur courte défaite au Michelin, Vannes aussi lorsque l'on vient gagner d'1pt chez eux ou plus récemment nous à Bordeaux... 
 
Je préfèrerai qu'on se concerne sur nous, notre jeu, nos lacunes, et ce qu'on doit absolument faire pour battre La Rochelle et à minima avoir une fin de saison sans crainte à devoir faire des calculs jusqu'à 3-4 journées de la fin comme l'an dernier. On aurait fait un match héroïque je n'aurais pas le même discours, mais on est très loin de la belle copie et je pense qu'il y a beaucoup à redire avant de faire une fixette sur l'arbitrage. 

Entièrement d'accord
Pareil pour l'en avant de le Garrec sur le petit côté de Bézy. On peut râler pour la pénalité non sifflée, voire crier au scandale pour l'absence de carton.
Mais ce que je retiens d'abord, c'est qu'on a une mêlée à 5 avec introduction à jouer, et qu'on a un lancement absolument dégueulasse qui se termine par le coup de pied ave Maria d'Urda dans l'en-but

[layathollah]

Pareil. Au-delà de la qualité individuelle et de l'effectif de façon générale, on voit des joueurs toujours dynamiques, qui viennent se proposer avec de la vitesse et DANS LES INTERVALLES ! Là où aujourd'hui on va taper dans le mur, pour créer un impacts souvent stérile ou mobilisateur de trop de joueurs et d'énergie. Et entendre qu'on n'a pas l'effectif pour ça, ça me gonfle, car ce sont des choses que tu apprends et entretiens durant toute ta formation, quel que soit le niveau. 

Je me rappelle d'une itw de Cotter qui expliquait l'apport des joueurs très techniques Sivivatu et King. Ils apprenaient à leurs partenaires comment changer d'intervalles ballon en l'air avant la réception de la passe. On n'est pas prêt de revoir ce type de geste m'est avis.

[biball]

Je me rappelle d'une itw de Cotter qui expliquait l'apport des joueurs très techniques Sivivatu et King. Ils apprenaient à leurs partenaires comment changer d'intervalles ballon en l'air avant la réception de la passe. On n'est pas prêt de revoir ce type de geste m'est avis.

Détrompe toi, il me semble que Plummer est capable de passer un triple axel avant la réception de chandelle.

[cocotte 63]

Cela fait plus de 3 mois que l'on voit que nous sommes désormais contrés contre chacun de nos adversaires, et que l'on ne voit pas une once de changement dans notre jeu... et on continue avec Urda, Simone, même Raka qui est à l'ouest depuis un paquet de matchs... c'est quand même un truc de fou !

 

Bref, on est quand même assez nombreux ici à faire le constat depuis des semaines, je ne peux pas comprendre qu'à ce niveau professionnel des choses si évidentes, ne soient pas traitées comme elles devraient, les bras m'en tombent matchs après matchs.

 

Quand je vois comment certains se sont faits crucifier pour presque rien, et que d'autres ont un permis illimité... je suis abasourdi !

[Jean Paul Belmondo]

Entièrement d'accord
Pareil pour l'en avant de le Garrec sur le petit côté de Bézy. On peut râler pour la pénalité non sifflée, voire crier au scandale pour l'absence de carton.
Mais ce que je retiens d'abord, c'est qu'on a une mêlée à 5 avec introduction à jouer, et qu'on a un lancement absolument dégueulasse qui se termine par le coup de pied ave Maria d'Urda dans l'en-but

 

Bah c'est la passe de Delguy qui est dégueulasse parce que Fouyssac est bien dans l'intervalle ... si la passe est bonne c'est essai imparable ..

 

Mais en effet on a pas cinquante à faire des lancement "cliniques" dans un match .. mais même un ou deux on n'y arrive pas et après 3 semaines d'entrainement ou de stage ... c'est quand même désespérant    

[rom1310]

Le problème c'est qu'on est incapable de lancer une attaque et ça commence par Urda qui ralentit tout et ne créait aucune incertitude ce qui facilite grandement le travail de la défense adverse.

 

Ajouter à cela qu'on prend les ballons en étant quasiment à l'arrêt (hormis Fouyssac qui a le mérite de se lancer dans les intervalles )

 

Ce qui m'a frappé sur les temps de jeu en fin de match après que nous ayons échoué à obtenir la pénalité sur la mêlé c'est que nous n'avons fait aucun temps de jeu à plus d'une passe..

 

C'est tout bonnement affligeant.

[julien]

C'est Urios qui a choisi les joueurs non?...

[fabrice145]

C'est Urios qui a choisi les joueurs non?...

Et les sent ! Comme il a bien senti tous les seconds couteaux que les autres clubs ne veulent plus (Toulouse, racing, Castres, ...)

On voit le résultat sur notre jeu

[l'exil]

Le souci c'est qu'à mesure que la situation comptable se tend, il semble réduire la voilure de notre "jeu" et dégager les manieurs de ballon au profit de "guerriers".

Alors déjà qu'il n'y a pas beaucoup de vent dans nos voiles.....

[Schell]

Moi ce qui me gène c'est, déjà, le projet de jeu, depuis au moins 2 ans...

 

Si encore ça gagnait ok, mais là...

 

Pour ma part, j'aime le rugby mais je ne vais pas au stade pour voir 80 minutes de groupés pénétrants.
Mise à part quelques anciens, je vois pas trop à qui ça plait.

Le rugby c'est aussi des décalages, des passes, des courses et pas juste des coups de pied (loupés en plus)...

[Babé03]

A la demande générale...

 

 

Jusque-là, Christophe Urios a usé de toutes les ficelles que sa longue expérience du management lui a enseignées pour tirer le meilleur de ses joueurs. Stage, mises au vert, entraînement à haute intensité avec opposition… depuis le début de saison, tout l’arsenal du « parfait manager » y est passé. Avec un certain succès avant Noël, mais pour un rendu proche du néant après les fêtes.

Avec cette cinquième défaite (face au Racing) de suite, on peut clairement parler d’une crise de résultats et même d’un état d’urgence. Samedi soir, au terme d’un match qui a mis en lumière l’essentiel de leurs lacunes du moment, les joueurs sont sortis tête basse. Christophe Urios, lui, nous est apparu un peu plus dépité.

Après 5 défaites de suite, on peut parler d’état d’urgence

Désabusé n’est pas encore le mot, mais sa combativité est mise à rude épreuve un peu plus à chaque défaite. Des revers que l’on peut qualifier, sur cette série noire, de frustrant, désolant ou décourageant, c’est selon. Interrogé samedi soir sur ses doutes éventuels pour sonner la fin de la récré et remobiliser ses troupes, le coach clermontois n’a pas vraiment éclairé la semaine qui s’annonce.

« On est des professionnels quand même. Il y a pire dans la vie. Ce soir (NDLR : samedi), c’est dur ! Il va falloir repartir au combat. Des joueurs vont rentrer dans le groupe pour la réception de La Rochelle. On avait préparé ces deux matchs (NDLR : Racing et La Rochelle) comme ça. Le rugby est un sport d’énergie, on en a besoin, même si ce soir (NDLR : samedi) on n’en a pas manqué, mais c’était parfois trop désordonné ».

Pas dupe des interprétations que l’environnement et les suiveurs du club pourraient faire en pareille situation, Christophe Urios assure ne pas déceler de « décrochage » des joueurs vis-à-vis de ses méthodes. Le message passe-t-il encore dans le vestiaire est une question que de nombreux supporters peuvent se poser.

« Je ne perçois pas un manque d’engagement ou d’enthousiasme chez mes joueurs, assure-t-il. Il faut gagner des matchs. C’est toujours pareil, quand tu ne gagnes pas, tu laisses la porte ouverte à plein de choses… ».

Même s’ils paraissent parfois perdus dans ce qu’ils cherchent à entreprendre dans le jeu, essentiellement au niveau des lignes arrière, les joueurs de l’ASM ne peuvent pas, pour l’instant, être accusés de passivité. Sans doute leur manquent-ils un ou plusieurs guides sur le terrain. Des joueurs capables de mener des révoltes, comme le club en a possédé lors des « quinze glorieuses ».

Dès aujourd’hui, jusqu’à samedi et la réception cruciale de La Rochelle, qu’ils soient leaders ou suiveurs, joueurs de devoir, de l’ombre ou d’ailleurs, les Clermontois doivent avoir conscience que leur club est réellement en état d’urgence. Casser la spirale de la défaite passera déjà par là. Christophe Urios va devoir, aussi, trouver les (bons) mots.

[InASMWeTrust]

A la demande générale...

 

 

Jusque-là, Christophe Urios a usé de toutes les ficelles que sa longue expérience du management lui a enseignées pour tirer le meilleur de ses joueurs. Stage, mises au vert, entraînement à haute intensité avec opposition… depuis le début de saison, tout l’arsenal du « parfait manager » y est passé. Avec un certain succès avant Noël, mais pour un rendu proche du néant après les fêtes.

Avec cette cinquième défaite (face au Racing) de suite, on peut clairement parler d’une crise de résultats et même d’un état d’urgence. Samedi soir, au terme d’un match qui a mis en lumière l’essentiel de leurs lacunes du moment, les joueurs sont sortis tête basse. Christophe Urios, lui, nous est apparu un peu plus dépité.

Après 5 défaites de suite, on peut parler d’état d’urgence

Désabusé n’est pas encore le mot, mais sa combativité est mise à rude épreuve un peu plus à chaque défaite. Des revers que l’on peut qualifier, sur cette série noire, de frustrant, désolant ou décourageant, c’est selon. Interrogé samedi soir sur ses doutes éventuels pour sonner la fin de la récré et remobiliser ses troupes, le coach clermontois n’a pas vraiment éclairé la semaine qui s’annonce.

« On est des professionnels quand même. Il y a pire dans la vie. Ce soir (NDLR : samedi), c’est dur ! Il va falloir repartir au combat. Des joueurs vont rentrer dans le groupe pour la réception de La Rochelle. On avait préparé ces deux matchs (NDLR : Racing et La Rochelle) comme ça. Le rugby est un sport d’énergie, on en a besoin, même si ce soir (NDLR : samedi) on n’en a pas manqué, mais c’était parfois trop désordonné ».

Pas dupe des interprétations que l’environnement et les suiveurs du club pourraient faire en pareille situation, Christophe Urios assure ne pas déceler de « décrochage » des joueurs vis-à-vis de ses méthodes. Le message passe-t-il encore dans le vestiaire est une question que de nombreux supporters peuvent se poser.

 

Même s’ils paraissent parfois perdus dans ce qu’ils cherchent à entreprendre dans le jeu, essentiellement au niveau des lignes arrière, les joueurs de l’ASM ne peuvent pas, pour l’instant, être accusés de passivité. Sans doute leur manquent-ils un ou plusieurs guides sur le terrain. Des joueurs capables de mener des révoltes, comme le club en a possédé lors des « quinze glorieuses ».

« Je ne perçois pas un manque d’engagement ou d’enthousiasme chez mes joueurs, assure-t-il. Il faut gagner des matchs. C’est toujours pareil, quand tu ne gagnes pas, tu laisses la porte ouverte à plein de choses… ».

Dès aujourd’hui, jusqu’à samedi et la réception cruciale de La Rochelle, qu’ils soient leaders ou suiveurs, joueurs de devoir, de l’ombre ou d’ailleurs, les Clermontois doivent avoir conscience que leur club est réellement en état d’urgence. Casser la spirale de la défaite passera déjà par là. Christophe Urios va devoir, aussi, trouver les (bons) mots.

Toutes les ficelles du bon manager, mais manager de quelle époque ? Et on se plaint de l'absence de leaders, mais le bon manager c'est aussi celui qui sait les détecter, les garder et les faire émerger. 

[cetotomatos]

Le disque est rayé.

[joubert13]

Bordel deux ans déjà de cette purge immonde.
Un coach resté dans le rugby du siècle dernier.
Honnêtement, toutes les autres équipes du championnat sont plus intéressantes et enthousiasmantes que nous à voir jouer.
Ras le bol des ballons portés, ras le bol des chandelles, ras le bol de voir Urda titulaire chaque week-end malgré son niveau fédérale, ras le bol de voir les meilleurs jeunes quitter le navire, ras le bol de voir Sowakula hors groupe alors quil est le seul joueur technique et beau à voir jouer, et qui apporte du liant avants-3/4.

[anje]

Si tout l'arsenal du parfait manager y est déjà passé....Alors on est pas dans la merde

Si il n'y a pas de décrochage, je me demande si certains ont réellement accroché un jour. 

Peut-être qu'il faudrait que certains décrochent (la caravane qu'ils ont au cul) et que lui même décroche de certains de ses principes.

Faut définitivement arréter avec les bons mots et les remplacer par les bonnes décisions.

 

Non je vais m'arrêter parce que tout m'énerve dans cet article qui pourrait avoir été fait par un stagiaire et qui n'a aucun angle précis et qui semble juste être écrit sur du vent pour rebondir sur ce que l'ensemble des supporters disent depuis deux jours.